Les Communs dans tous leurs lieux
Lieux communs pour biens communs. Liens communs pour biens communs. Les lieux afin de réunir les liens et les biens. Nous ne communiquons que par ce qu’il y a de commun entre nous…ce qui ne signifie pas la facilité – des pionniers doivent faire émerger (parfois très difficilement !) ce dont nous n’avons pas ou peu conscience. La propagande faisant tout pour l’enterrer et le dissimuler, ce commun. Qui est communément si présent. Du vrai communisme (qui n’a jamais existé en grand nulle part), jusqu’à la communication. En passant par la Commune, le communal, les comment et les comme, les commandes et les commémorer, le communautaire et la mise en commun, les commencements et les commensurables, les commissions et les commuables, les commutateurs et les communions musicales, etc. – tout ce qui fait de l’univers du commun un des plus vaste qui existe. Celui qui, entre autres, permet de répondre à tout les comme et à tous les comment !
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Oui il ne s’agit pas moins que nous faire oublier le monde plurimillénaire du commun, le monde des partages et des mises en commun. Que nous n’y pensions plus et l’oublions bien trop vite. Les biens communs sont tirés par le haut pas par le bas - il faut donc faire un effort de compréhension. En Droit, les communs datent de 1 500 ans. Ils sont bien ancrés dans les traditions et ont la légalité de leur côté. Impossible de les effacer d’un trait de plume !
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Contre les pouvoirs justement – il reste, sans cesse, les lieux communs pour les biens communs. Les liens communs pour les biens communs. Les lieux afin de réunir les liens et les biens. A nous de désensabler et de rendre très présente cette trilogie !
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« C’est une longue histoire, à éclipses, qui court des bois communaux du Moyen-Age jusqu'à Wikipédia. Depuis quelques années, un mouvement en faveur des «biens communs» s’emploie à revivifier un espace qui ne relève ni de l’État ni de la propriété individuelle exclusive.
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Un «commun», explique Valérie Peugeot, chercheuse à Orange Labs et présidente de Vecam, c’est «une ressource partagée, ni privée ni publique, matérielle ou immatérielle, gérée par une communauté qui met en place des règles de gouvernance». Et qui «se caractérise par un agencement différent des attributs de la propriété», la trilogie usus (le droit d’usage), fructus (le droit de recueillir les fruits d'un bien) et abusus (le droit de disposer d’un bien), poursuit l’informaticien Philippe Aigrain, cofondateur de l’association la Quadrature du Net et auteur, en 2005, de Cause commune (Fayard).
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Le portail-des-lieux-du-commun ?
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Une communauté universelle des usagers
Ce «retour des communs» – titre d’un ouvrage collectif paru le 20 Mai 2015, sous la direction de l’économiste Benjamin Coriat – s’opère à la double lumière d’une crise écologique planétaire et d’un réseau mondialisé. Les travaux pionniers de l’Américaine Elinor Ostrom ont d’abord porté sur les biens communs physiques, via l’étude des modes de gestion des ressources naturelles par des communautés locales. La révolution numérique est venue en modifier les contours. «L’Internet et le Web ont été pensés comme des "communs", avec des protocoles ouverts et des ressources partagées», souligne Valérie Peugeot. Mais les biens communs numériques, eux, sont «non rivaux» – leur usage par une personne n’en prive pas une autre –, extensibles, réplicables. Et la communauté des usagers est universelle.
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En la matière, plaide Valérie Peugeot, «le droit a un rôle essentiel à jouer : quand il y a abandon de droits pur et simple, ce sont les plus forts qui utilisent au mieux la ressource». Les enjeux sont multiples. Plusieurs rapports ont préconisé d’inscrire dans la loi une définition du domaine public pour empêcher les appropriations abusives – une question de nouveau soulevée par la polémique autour des droits du Journal d’Anne Frank – et d’encourager un accès plus ouvert aux travaux de la recherche publique. Pour les promoteurs des biens communs, il s’agit aussi de sécuriser des «communs volontaires» qui existent déjà via des licences (logiciel libre, Creative Commons...).
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Définir un nouveau statut des communs
(…) En promouvant la valeur d’usage plutôt que la valeur d'échange, en sortant de la dichotomie État-marché, le mouvement des biens communs ne pose pas seulement la question des périmètres du marchand et du non-marchand : il pousse aussi à sortir d’une vision de la propriété par le seul prisme des droits exclusifs. De la construction des savoirs façon Wikipédia au développement de l’Open Access pour la recherche publique, de l’écosystème du logiciel libre à celui des contenus en Creative Commons, la vitalité des biens communs numériques en témoigne largement.
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Le logiciel libre, ça coule de source
La légende veut que ce soit en voulant modifier le pilote d’une imprimante Xerox récalcitrante, et en découvrant qu’il n’avait pas accès au code source, que l’informaticien américain Richard Stallman ait eu, au début des années 80, le «déclic» qui allait le pousser à initier le mouvement du logiciel dit «libre»: celui que chacun peut librement utiliser, étudier, modifier et partager – ce qui implique l’ouverture du code. «Il s’agissait de renverser la tendance qui voulait qu’un utilisateur de logiciel n’ait aucun droit sur celui-ci», explique Hugo Roy, membre de l’équipe juridique de la Free Software Foundation Europe (FSFE).
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Une démarche qui, dit-il, «résonne aujourd’hui, dans la mesure où tout s’est transformé en ordinateur : nous en avons le parfait exemple avec les mobiles connectés ou avec les voitures Volkswagen». A l’inverse des programmes conçus et protégés comme des «boîtes noires», le logiciel libre assure le partage, la transparence et la coopération des développeurs. Le navigateur Firefox, la suite bureautique LibreOffice, le lecteur multimédia VLC n’en sont que quelques exemples. A rebours des idées reçues, l’écosystème du «libre» ne vit pas que de collaboration et d’eau fraîche : quand le code est un bien commun, les business models sont basés sur les services (notamment aux entreprises). Le modèle s’est étendu aux bases de données – ainsi la Mairie de Paris diffuse-t-elle des données sous licence libre sur le site ParisData – et au matériel «ouvert», ou Open Hardware : les «bidouilleurs» d’électronique ont ainsi adopté les circuits imprimés fabriqués par l’Italien Arduino, dont les plans sont librement disponibles.
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Wikipédia, la coconstruction des savoirs
Avec ses 36 millions d’articles rédigés dans plus de 250 langues par quelque deux millions de contributeurs, Wikipédia est aujourd’hui le septième site le plus consulté au monde, derrière Google, Facebook et YouTube, mais devant Twitter. Depuis 2001, il «donne le pouvoir à une communauté non définie par avance de rédiger une encyclopédie», rappelle Rémi Mathis, conservateur à la Bibliothèque nationale de France et ancien président de l’association Wikimédia France. Avec pour maîtres mots l’ouverture à tous et la «neutralité de point de vue», mais aussi l’autorégulation – ce que le sociologue Dominique Cardon nomme la «vigilance participative». Les «Wikipédiens» «se disputent, négocient [...], veillent, vérifient, corrigent, protègent, [...] argumentent, votent», écrivait-il en 2009 dans la revue Réseaux.
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Creative Commons, la culture en partage
Le juriste Lawrence Lessig est le concepteur des licences Creative Commons (CC), «première tentative décisive pour encadrer la protection des "œuvres de l’esprit" gratuitement diffusées sur Internet», résume François Gèze. Il s’agissait, explique Philippe Aigrain, de «faire exister une sphère de communs volontairement consentis dans le contexte du droit d’auteur actuel». Ces licences permettent à un créateur de définir par avance les conditions de réutilisation de son œuvre : attribution à l’auteur, restriction possible aux usages non commerciaux, autorisation ou non de travaux dérivés (remix, etc.) et conditions de rediffusion. En 2014, ce mode de partage concernait 882 millions d’œuvres – textes, photos, vidéos, morceaux de musique…
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Open Access, pour une recherche ouverte
L’an dernier, c’est l’Académie des sciences qui dénonçait «l’augmentation insupportable des coûts d’abonnement [aux revues scientifiques], imposée par quelques éditeurs à l’ensemble des institutions et universités, empêchant la libre diffusion des articles». En ligne de mire, une poignée d’acteurs dominants aux marges plus que confortables – l’Américain Wiley, l’Allemand Springer ou le Néerlandais Elsevier. Le mouvement en faveur de l’«accès ouvert», ou Open Access, vise à encourager la diffusion des travaux de la recherche publique pour sortir des dérives d'un système «financé, dit Valérie Peugeot, aux deux bouts par le public, les chercheurs d’un côté, les bibliothèques de l’autre».
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Mais pour François Gèze, président du portail Cairn.info, «il faut se défier d’une dichotomie simpliste opposant le "tout libre" au "tout marchand", car le diable gît dans les détails de l’entre-deux». L’organisation du travail de validation par les pairs (peer reviewing), la mise en forme, les services en ligne ont un coût, insiste-t-il. Valérie Peugeot n’évacue pas la question : «il faut que les éditeurs existent, mais il faut un équilibre via les délais d’exclusivité», plaide-t-elle. »
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Selon Wikipédia, en 533 est publié aussi le Digeste (ou Pandectes), qui correspond à une modernisation de toute la législation antique ainsi qu’à une synthèse de la jurisprudence antique. À cela s’ajoute un manuel pour enseigner le droit, les Institutes. Enfin les lois nouvelles, voulues par Justinien, les Novelles, sont écrites en grec, la langue véhiculaire de l’empire, après 534. Cette œuvre législative prend une importance fondamentale en Occident car c’est sous cette forme reçue de Justinien que l’Occident médiéval, à partir du XIIe siècle adopte le droit romain…A lire ce « Code Justinien » (base de notre Droit), nous nous apercevons que le droit « des corporations » (le privé) est nettement plus restreint que ce que la propagande veut nous faire croire. Et que les communs (ce qui, par droit naturel, appartient à tous) vraiment infiniment plus vaste. (Livre Second, Titre I « De la division et de la qualité des choses ») que ce que les diverses trahisons et spoliations avaient laissé paraitre dans les « médias des milliardaires » (sans aucune objectivité d’information !).
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Le Code Justinien et les Communs
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De plus, depuis la grave diffamation de Garrett Hardin nommée « la tragédie des biens communs ». Qui ose que tout bien commun ne saura pas être géré par la communauté humaine Alors que , depuis ses calomnies, le privé a largement prouvé que, à cause de sa cupidité anormale alliée à une irrationalité qui le rend irresponsable – lui, ne sait pas du tout gérer les biens collectifs. Seulement les spolier (ce qui n’est sûrement pas adulte !) Il est même prêt à détruire la vie et la nature pour les graves illusions de « ses » profits. Globalement – aucun profit « rationnel » n’existe : à chaque fois, le dit profit est un coût pour quelqu’un d’autre. De plus – la sagesse collective refuse de suivre les dérégulés (synonyme = les déréglés) dans la folie du profit « que pour moi et rien à foutre des autres » ! Leurs profits (sic) ne sont donc…possibles que parce que très peu se laissent entrainer par ces dangereux agissements antisociaux. A bannir de la réPublique !
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Bref, Elinor Ostrom a largement démontré que la gestion d’un bien commun par la collectivité est largement possible. Et souhaitable. Ce pourquoi elle a reçu le prix Nobel d’économie. Ce qui donne au MOUVEMENT DES COMMUNS un très grand sérieux que le privé, irresponsable et refusant de rendre des comptes, a perdu.
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Ce pourquoi le privé dérégulé est devenu un très grave problème mondial (il faut aller contre tous ses travers) et que les Communs font partie de la solution (ils vont réparer les dégâts du privé égaré !).
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Aujourd’hui, il y a même un sujet qui ne trouvera sa solution qu’en plaçant cette organisation humaine dans la catégorie des….biens communs. Ce sont les élections ! Nous ne pouvons plus laisser les élections entre les mains irresponsables des politiques. Ils vont donner ce « droit souverain qui n’appartient qu’au peuple » à ce 1 % irresponsable de l’Humanité des trop riches qui ont perdu tout…sens commun !. Et contre de…l’argent (pratique hautement antirépublicaine !) : celui qui paie les campagnes électorales…avec toujours la même illégale rengaine…avant : tout promettre (chômage, pouvoir d’achat, sécurité, droits protégés, éducation, santé, etc.) - après : faire exactement l’inverse de ces promesses (destruction illégales des droits, augmentations voulues du chômage négligences sur éducation et santé, surfiscalisation des pauvres, etc.). Bref, à cause d’eux (tout est de la faute des politiques professionnels – les citoyens eux sont scandalisés par leurs pratiques) - les élections sont PRIVATISÉES. Dans la plus complète illégalité. Claire ennemie de l’intérêt public, participant seul de la réPublique – cette privatisation empêche tout fonctionnement adulte. Les élections ne peuvent plus fonctionner. Tous les constats le hurlent. Un tiers doit intervenir !
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Aujourdhui-ce-sont-les-milliardaires-qui-nous-informent :- donc désinforment !
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Monde à l’envers – ce sont les milliardaires qui informent ? Leur information ne peut être perçue comme « objective ». On ne peut être juge et partie, débiteur et usurier, subventionnés et antiétatiques,etc… les conflits…d’intérêts sont …exacerbés. En en réPublique, si nous ne signons pas une « déclaration de non intérêt », nous ne pouvons pas participer à aucune décision collective. Le MONOPOLE illégal des médias est une des parties du problème des élections (séquestrées par cette information…trop intéressée ?)…
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Biens communs – les élections ne pourraient plus être financées par des intérêts particuliers. Ce qui défigure l’intérêt général. Ce qui empêche le politique élu de légiférer par simple…conflit d’intérêt (…appartenant au seul 1 % il ne peut œuvrer pour le bien de tous !)…les campagnes électorales doivent être démonétisées (…égalité de moyens à tous les candidats)…etc. ce qui, à terme, ne peut que mettre fin à la politique de carrière. Où nul ne peut représenter loyalement personne. La démocratie représentative aura été sabotée par les politiques mêmes. Ils ne représentent plus que leurs seuls intérêts indéfendables ! Puisque ces intérêts ne se concrétisent que par la trahison prouvée du plus grand nombre.
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Pourquoi toute élection est désormais...impossible ?
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Dans l’état actuel des choses (et toutes choses égales par ailleurs) toute élection est donc devenue impossible – le dogme actuel est : « l’intérêt général c’est 1 % ». Donc il y a bien eu un coup d’état. Coup d’état illégal. L’état est volé par 1 % de non élus du tout. Qui ne le seront jamais. Qui ne font qu’une seule chose si superficielle – financer les campagnes électorales. Boycotts de ces pratiques antidémocratiques voire appartenant au terrorisme financier. Oui, à avoir eu les yeux plus gros que le hypo-gastre, ils perdent tout – sans élections ils n’ont plus de prises concrètes
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Qui va voter pour qui va ne faire qu’étendre le chômage dans l’intérêt unique des trop riches ?
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S’ils se sont enrichis de 25 % ces dernières années - c’est au détriment de qui ? Donc les politiques n’existent que pour les enrichir et nous appauvrir ! A part ces 1 % nul ne peut plus voter pour eux !
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Qui va voter pour l’élu vendu qui va ne faire que lui rogner ses droits acquis ? Qui va agir lâchement dans le dos afin de lui voler ses droits légaux ?
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Oui les élections trônent toujours dans l’illégalité lorsqu’elles couvrent des politiques antidémocratiques et antirépublicaines –1 % ce n’est pas la majorité…et ne le sera jamais !
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http://www.imagiter.fr/article-qui-a-detresse-les-detresses-96929976.html
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Élections, biens communs et comment s’organiser globalement et unitairement ?
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S’il y a grand maximum 10 % de la population qui passe son temps à dévaliser les 90 % - comment se fait-il que ces 90 % ne réagissent pas ? Avec le nombre, ils sont sûrs d’imposer leur volonté. Une partie n’a pas pris conscience entièrement de la réalité. Une autre a beaucoup de confusion dans la tête : avec cet absurde découragement, puisque comment 1 % pourrait encercler 99 % ? D’autres, encore, se divisent toujours plus les cheveux et entre eux. D’autres, enfin, n’ont pas compris qu’il faut s’unir mais non en groupuscules (et pas dans le but obtus d’élections mais de transformations immenses..) mais bien en un gigantesque mouvement unitaire. De toute façon le 1 % a déjà perdu toutes les prochaines élections. 1 % ce ne peut être l’intérêt de tous. Donc financer les politiques = les contraindre à se retourner contre l’écrasante majorité – ne va plus continuer. Qui va voter encore pour les politiques des seuls 1 % ? Ce qui implique augmenter le chômage, ne voter que des lois antisociales, détourner tout l’argent collectif vers les surassistés trop riches, etc. Et – en boucle -Donc toute élection est, actuellement, devenue impossible puisque tous les politiques sont hors des lois. Pendant ce temps – comment se rassembler ? Il est proposé que tous les citoyens s’organisent en réseau pour protéger notre écosystème (ce que ne font pas les politiques !). Tout le monde ? Sauf ces 1 % et les politiques qui vont avec (qu’ils se les gardent !)…Dans ce tissu extrêmement concret cet article aura parcourt ce qu’il y a encore de commun (le maximum !).
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Antienne récurrente que ce n’est pas en demeurant dans la mentalité de ceux qui ont causé tous les problèmes que nous trouverons les solutions. C’est pourtant l’obstination barbare des prétendues élites depuis 40 ans que de maintenir les fauteurs de troubles et de problèmes au pouvoir. Jamais nous n’avons vu, dans l’Histoire, autant d’anti-élites s’auto proclamant élites et les vraies élites écartées de la si puérile nursery nommée médias dominants. Où pas une parole sérieuse et adulte n’est prononcée durant tout le jour. Et chaque jour.
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C’est à l’extérieur d’un tel antisystème d’imposteurs, d’évaporés, de lunatiques en costard-cravates, que toutes les SOLUTIONS se trouvent, bien évidemment. Ce que les conformistes n’arrivent toujours pas à comprendre. Constituant un cercle congelé autour des « médiatiques » inopérants et inefficaces. Leurrant et trompant nos sens directs.
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Les personnages ESSENTIELS pour nous tous n’ont pas de cercles de foules autour d’eux/ elles – mais une profondeur de pensée, des arguments dominant la scène, une vision puissante et toutes les qualités pour mener autrui. Tandis que les prétendus dirigeants n’ont plus à dégoiser que des personnes décérébrées, n’entendant rien, ne comprenant rien, complètement déconnectées de la réalité…avec aucune envie de les suivre. Autant dire que, déjà, au niveau électoral ils sont minoritaires. Le bloc UMP (le nom Républicain non ils ne le seront jamais) Ps et Fn (dont umpsfn soit « funmps ») ne score qu’autour de 30 % de la population adulte totale (des plus de 18 ans) du pays. Puisque toute élection légale et…républicaine (le sont-elles encore ?) doit afficher 3 colonnes bien distinctes : votants, inscrits et population totale. Soit avec les non inscrits ( qui dépassent de loin des 2 millions) et les immigrés payant impôts locaux et nationaux donc étant susceptibles (d’après la Constitution) de voter…donc autour de 30 % des adultes et – l’impact réel sur la population ? La base sociologique pour le personnel et la philosophe des médias « monopolisés » par 10 milliardaires illégitimes maximum ou même 3 (sous certains angles) ne « représente » que… 11 % de la population adulte. C’est dire.
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…………………………………Ce qui est fait.
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - AUSSI - <<<<<<<<<<<
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Rendre enfin les chiffres utiles
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La performativité du langage des chiffres
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La grande erreur d'avoir voulu imposer la loi Travail par la force ?
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FILOCHE contre Macron…
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation
….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La guerre des forêts et la lutte pour les biens communs ? Lorsque Robin des bois et la forêt de Windsor furent la lutte pour les Communs, les droits communaux ?
le Code Justinien aura fondé universellement les biens communs et...restreint le privé !
la Terre un bien commun
les discrets de la gratuité (la liste est longue...) sans qui le monde se serait écroulé....