Métaux rares stratégiques ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Métaux rares stratégiques ?

Ce sont des domaines sensibles puisqu’ils se montrent complètement dénaturés par l’idéologie et ses graves irrationalités. La réalité étant tout autre que ce que les géopolitiques, toutes existantes en même temps, voudraient qu’elle soit. Ainsi, l’Europe n’a aucune politique commune concertée et la seule liste stratégique de l'Union Européenne est celle des matières critiques pour…l'industrie européenne. Pas pour les peuples. Une vision aussi corporatiste, aussi étriquée, aussi excluante de tout ce qui peut les déranger – nous contraint à aller tout reconceptualiser !

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Wikipédia - Liste des matières premières stratégiques

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Wikipédia ne classe qu’en matières premières stratégiques. Ne va pas jusqu’à affiner en métaux rares stratégiques Et - parce qu'il n'y a pas de stratégie politique industrielle européenne commune - il n'y a pas de liste européenne de matières stratégiques mais une liste de l'Union Européenne des matières critiques pour l'industrie… européenne. Pas pour les peuples. Ce qui, dès le départ donc, exclut les citoyens vivants de la réalité de leur vie. Ce qui semble plus que fortement exagéré !

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Affinons, enfin, cette liste en… 8 huit métaux stratégiques qui risquent de manquer cruellement dans une dizaine d’années. Sauf ? Sauf si nous recyclons !

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« Le JRC ( Centre commun de recherche européen ) alerte du risque de pénurie, d'ici avant 2030 en Europe, de huit métaux stratégiques utilisés dans les cellules photovoltaïques, les turbines d'éoliennes, les batteries et moteurs des véhicules électriques et les dispositifs d'éclairage.

Le JRC identifie 12 métaux stratégiques "critiques et quasi-critiques" pour lesquels le développement des technologies énergétiques nécessitera de s'approvisionner sur le marché mondial, sur la décennie 2020-2030. Le risque de pénurie de ces matières premières, sujettes à la volatilité des prix, "provient de la dépendance de l'UE sur les importations (Chine, ndlr), de la demande croissante à travers le monde et des raisons géopolitiques".

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JRC-rapport-métaux-stratégiques-Europe-pénurie-d'énergie

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Parmi eux, huit métaux sont classés "à haut risque". Six sont des terres rares, indispensables notamment à la miniaturisation de technologies "préoccupantes". Elles sont utilisées pour les véhicules électriques, l'énergie éolienne et solaire ainsi que l'éclairage, souligne le JRC.

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Il s'agit du dysprosium (Dy), du néodyme (Nd) et du praséodyme (Pr) utilisés pour fabriquer les aimants des génératrices éoliennes et des moteurs des véhicules hybrides et électriques. Auxquels s'ajoutent l'europium (Eu), le terbium (Tb) et l'yttrium (Y) qui servent dans les phosphores utilisés dans les ampoules, tubes fluorescents ou écrans de télévision, ainsi que le gallium (Ga) et le tellure (Te) de cadmium utilisés dans la production de cellules solaires.

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Quatre autres métaux sont "quasi-critiques" : le platine (Pt) (catalyseur pour les piles à combustible), l'indium (In) (composant de cellules solaires), le graphite (C) (fabrication de piles alcalines et lithium-ion pour les véhicules hybrides et électriques) et le rhénium (Re) (alliage de turbines). Les conditions du marché pour ces métaux "doivent être surveillés au cas où ils se détériorent. Ce qui augmente le risque de goulots d'étranglement de la chaîne d'approvisionnement", préviennent les chercheurs.

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Le dysprosium a été identifié comme étant "le plus à risque" parmi les terres rares. L'UE devrait exiger 25% de l'offre mondiale en 2020-2030 pour répondre à la demande de l'Union pour les véhicules hybrides et électriques et les éoliennes, table le JRC.

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La demande européenne de lithium est, elle, estimée à près de 15% de l'offre mondiale tandis que celle du graphite est à 10% pour les batteries des véhicules électriques.

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Enjeux stratégiques des métaux rares

Autosuffisance européenne : possible ou pas ?

Augmenter l'offre primaire, favoriser le recyclage et la substitution des terres rares sont préconisés par le JRC pour limiter les risques de pénurie. Comment ? »

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Nous pouvons, évidemment, changer nos habitudes de consommation – ce qui parait le plus raisonnable et le plus adulte. D’autant plus que ces métaux rares polluent beaucoup lors de leur extraction. Provoque de la radioactivité. Et que – jusqu’à une période récente – leur recyclage n’était même pas envisagé.

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Oui ce qui rend ce néolibéralisme insupportable c’est son manque fondamental de sérieux. C’est une arriération tournée vers les pillages et non pas une pensée prudente et responsable de protections des ressources naturelles. Aussi, trône-t-il sur les gasPillages par les pillages les plus farfelus de tout ce que la Nature offre si gratuitement. Mais pas sans…limites non renouvelables ! Ce qui n’est certainement pas, là, l’organisation sociale de la gestion sensée, rationnelle et raisonnable des ressources. Ce serait plutôt l’inverse. Se précipiter, sans conscience, sur le seul profit-tête-de-linotte ne résout rien du tout. Mais ajoute d’autres problèmes, au contraire. Ainsi, les métaux rares en voie de disparition ? Toujours la fainéantise des gaspillages…Et jamais l’âge adulte du recyclage – soit la correction de l’irresponsabilité des dilapidations capitalistes.

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materiaux/ - métaux-précieux/

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Irresponsabilités liées avec un infantilisme incroyable. Ainsi ce constat…« Il faut nous rendre à l’évidence. Nous sommes totalement accros aux métaux rares ! Ces derniers – palladium, nickel, cobalt, étain… – sont de plus en plus utilisés dans les cartes électroniques. Le tantale, par exemple, permet une miniaturisation de certains composants. On le retrouve ainsi…etc ». Ainsi, déjà, nous ne nous rendons pas et surtout pas à une prétendue « évidence – résistances sérieuses toujours. En second, tout ce qui rend accros admet …l’évidence d’aller en cure drastique et de se désintoxiquer une fois pour toute. Cet article est donc conçu comme une cure de désintoxication. D’abord, les faits rassemblés. Ensuite, l’intrusion dramatique des idéologies. Enfin, le début des recyclages : recyclages autant nécessaires pour la préservation de la nature et de la biodiversité que pour la conservation des métaux rares (ayant cessés d’être avant tout stratégiques !). Conservation qui va falloir arracher aux folles dissipations consommatoires (cette addiction toujours non soignée !).

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Quand ? Le calendrier de la disparition des matières premières. Tout est chronologisé dans le lien suivant très complet (à faire circuler si vous pensez qu’il est utile !) :

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Le calendrier de la fin des matières premières

A voir aussi sur le tableau périodique des éléments dont la Terre va manquer :

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Le-tableau-périodique-des-éléments-dont-la-terre-va-manquer

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Ce qui nous est plutôt caché (dans le sens que si nous ne faisons pas nos propres recherches – jamais nous ne le saurions !).

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High-tech/chimie / De-quoi-est-fait-votre-iphone ?

Présentation terminée …

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Ensuite, les graves maladies idéologiques qui mettent les priorités réalistes à l’envers, qui font passer des caprices lunatiques pour de la prudence sage et des absurdités d’avidités comme un sens durable des affaires. Un exemple nous éclairera…

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Le problème central ? « Celui-ci se résume, selon l'historienne, Mme Oreskes, à la défense de la liberté économique comme garante des libertés individuelles. Même aux yeux de grands chercheurs, les faits scientifiques peuvent être occultés par l'idéologie, résume en substance Mme Oreskes. "Ces scientifiques qui avaient fondé toute leur carrière sur l'utilisation de la science pour défendre les Etats-Unis contre l'Union soviétique ont vu, à la fin de la guerre froide, dans les sciences de l'environnement un avatar du communisme", explique l'historienne. » […comment se montrer, à la fois, plus hors réel, si irrationnels et très…antiscientifiques ?]

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Même aux yeux de grands chercheurs, les faits scientifiques peuvent être occultés par l'idéologie ?

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L'agnotogie ? L'ignorance délibérée qui se fait passer pour de la science ?

Ce qui nous ramène en plein d’un historique de …l’agnotologie !

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** Lorsque trop de savoirs accumulés empêchent le grand public de « pouvoir » comprendre

** Lorsque la science en devient de…l’ignorance martelée

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** Lorsque les savoirs ne servent plus qu’à manipuler, tromper, maquiller et empêcher tout débat…tout en faisant croire à l’existence de nombreux débats

** Oui lorsque les faits scientifiques sont complètement occultés par l'idéologie

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Nous sommes dans l’ignorance qui se fait passer pour de la science objective !

« Robert Proctor (université Stanford) a forgé, en 1992, ce mot saisissant : "Agnotologie." Cette "science de l'ignorance" était au centre d'un colloque qui s'est tenu au Centre d'études interdisciplinaires de l'université de Bielefeld, dans le nord de l'Allemagne. Car, depuis la fin des années 2000, le terme imaginé par l'historien des sciences américain n'est plus seulement un néologisme : il recouvre une discipline aux confins de la philosophie, de la sociologie et de l’histoire des sciences. Une discipline dont l'objet est l'étude de l'ignorance elle-même, mais aussi des moyens mis en œuvre pour la produire, la préserver et la propager.

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Mais d'autres manœuvres sont plus contre-intuitives. "On le sait moins, mais les entreprises du tabac ont aussi subventionné, avec des sommes considérables, de la très bonne recherche biomédicale, dans des domaines comme la virologie, la génétique, l'immunologie, par exemple. Plusieurs Prix Nobel ont eu leurs travaux financés ainsi, explique Robert Proctor. Mais cette recherche n'était suscitée qu'à des fins de distraction. Il fallait documenter ce qui pouvait causer des maladies possiblement attribuables au tabac : lors des procès contre l'industrie, les avocats des industriels mettaient toujours en avant les risques viraux, les prédispositions familiales, etc., pour dédouaner la cigarette." […attitudes sans équivoques de délinquants !].

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Augmenter le savoir disponible peut être, paradoxalement, une façon d’accroître l'ignorance du public. "De fait, ceux qui veulent produire de l'ignorance sur un sujet donné prônent généralement "plus de recherche", renchérit l'historien des sciences Peter Galison (université Harvard). Le fait que tous les points de détail ne soient pas résolus permet de donner l'illusion qu'il y a débat sur l'ensemble de la question. D'ailleurs, le slogan des néocréationnistes américains c'est : "Enseignez la controverse.""

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Comment cette forme d'ignorance se propage-t-elle dans la société ? Les médias ont leur grande part de responsabilité. "Une idée de l'objectivité très ancrée dans les médias veut qu'une bonne présentation d'un sujet oppose systématiquement deux points de vue contradictoires, dit M. Galison. Mais, dans certains cas, ne pas choisir, c'est précisément faire un choix !"

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Pour évaluer la pénétration du discours des industriels du tabac dans l'opinion, Robert Proctor s'est livré à une fascinante expérience. L'historien des sciences remarque, dans l'une des nombreuses notes internes confidentielles rendues publiques par l'industrie du tabac à la fin des années 1990, après une décision de justice, que les stratèges d'un grand cigarettier demandaient en 1975 à leur département de relations publiques de ne plus utiliser le terme "jeunes fumeurs". Celui-ci devait être remplacé par "jeunes adultes fumeurs". Robert Proctor a eu l'idée de rechercher cette expression dans les millions de livres numérisés par Google, en fonction de leur date de publication. Résultat : l'expression était absente de l'ensemble de la production éditoriale anglophone (romans, essais, ouvrages scientifiques, etc.) avant 1975 ; elle ne s'y propage rapidement qu'après son invention par l'industrie du tabac...

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Il ne s'agit pas de propagation d'ignorance stricto sensu mais "cela permet de mesurer l'impact que peut avoir un simple mémo interne sur l'ensemble de la société", illustre M. Proctor. Aujourd'hui encore, ajoute le chercheur, "autour de 20 % des Américains pensent que le tabac n'est pas vraiment dangereux". Une proportion plus forte tient pour scientifiquement douteux la nocivité du tabagisme passif, alors que celle-ci est bien documentée - plus de 500 000 morts prématurées, chaque année dans le monde.

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Un célèbre mémo interne du cigarettier américain Brown & Williamson le dit, dès 1969, en termes crus : "Le doute est ce que nous produisons." Le projet agnotologique de l'industrie du tabac, assumé et formalisé dès les années 1950, a fait plus tard des émules, sur d'autres thèmes. »

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Ainsi…les conformistes baignent dans toujours plus d’illusions et un monde en toc…puisque – « Avec grand succès. "Aux Etats-Unis, une bonne part de la population - jusqu'à la moitié selon certaines études - ont l'impression qu'il y a beaucoup de débats dans la communauté scientifique sur la réalité du changement climatique anthropique, explique l'historienne des sciences Naomi Oreskes (université de Californie à San Diego), auteure, avec Erik Conway, d'un récent ouvrage remarqué sur le sujet (Merchants of Doubt, Bloomsbury Press, 2010). En 2004, j'ai publié une étude (une analyse de la littérature scientifique, publiée dans la revue Science) qui montrait que cela était faux. Immédiatement, j'ai été attaquée et j'ai cherché à savoir qui étaient ceux qui m'attaquaient." Bien vite, l'historienne découvre "un mouvement très organisé de personnalités qui avaient prétendu, plusieurs années auparavant, que les pluies acides et le trou dans la couche d'ozone ne posaient pas de problème".

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Les mensonges flagrants d’hier retardent la vérité d’aujourd’hui. Puisque 1) les mêmes procédés ne sont toujours pas entrés dans les procédures juridiques, éditoriales, médiatiques ou politiques 2) les mêmes imposteurs sont vantés par les mêmes médias 3) bref (ceci n’étant pas le thème de l’article) qu’il faille avoir en tête ces « marchands hypocrites de faux doutes » et les propagations préméditées…d’ignorances ! A noter, enfin, qu'il existe une ignorance très nocive et peu connue : celle de ne rien vouloir savoir, de regarder ailleurs, de dédaigner la réalité, de mépriser les faits concrets, « d’ignorer » les autres etc. les deux ignorances unies peuvent menacer vraiment la civilisation. Ce dont nous accusons les agnotologistes !

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Nos déchets électroniques valent de l'or ! Mais isoler les métaux précieux si intimement imbriqués les uns dans les autres n'est pas simple. Le défi a été relevé par une équipe de chercheurs qui utilise les propriétés étonnantes de l'eau dans un état extrême dit supercritique.

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Recycler juste avec de l’eau à 500 ° ? Une très bonne nouvelle dans la masse des mauvaises...Et quelle nouvelle : s'attaquer au plus urgent, dans l'esprit de l'économie circulaire, en trouvant ce miracle non polluant par rapport aux techniques sales et, enfin, exploiter cette richesse dormante, polluante par son encombrement. On ne fait pas assez de tam-tam à ces nouvelles positives, alors qu'il y en a sûrement d'autres, et pourtant que cela nous ferait du bien d'entendre parler de cette France là...


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Ce pourquoi cette…ignorance volontaire domine. Mais plus pour longtemps ! Recyclages ? D’abord, un bref regard sur le concret des manques et des problèmes à résoudre ?

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** - Le rhénium est le métal le plus difficile à obtenir au monde, selon Science et vie. Son exploitation vous permet de partir en vacances. En effet, cet élément est utilisé pour la fabrication des avions de ligne modernes et de chasse. Il vient améliorer la résistance thermique des turbines des réacteurs. Il est pourtant très difficile à produire. Sous-produit de la molybdène, déjà sous-produit de l'exploitation minière du cuivre, le rhénium est en bout de production. D'après Science et vie, seulement 50 tonnes seraient produites chaque année, contre 2 000 pour l'or.

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** - Face à ces pénuries, l'étude publiée par l'université de Yale souligne l'urgence d'améliorer les programmes de recyclage de l'électronique. Elle conseille notamment une collecte plus responsable des consommateurs, qui trop facilement laissent dans les tiroirs les vieux téléphones dont ils ne se servent plus. "Contrairement au pétrole, on ne consomme pas à proprement dit les métaux, on les utilise. Ils peuvent donc en théorie être recyclés lorsque l'équipement qui les contient arrive en fin d'usage", selon Jean-François Labbé. Mais le recyclage n'est jamais total et n'est pas toujours rentable. Il ne peut couvrir à lui seul la demande croissante, estime le géologue. Il faut continuer d'extraire. Une solution qui se heurte à de nombreux obstacles : opposants, contraintes environnementales ou encore géopolitiques.

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** - Une start-up française vient de trouver un procédé pour récupérer jusqu’à 95 % de ces ressources finies (tantale, nickel, cobalt…), présentes en nombre dans nos appareils électroniques. Comment ? Grâce à l’eau supercritique. Explications.

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** - Plomb, zinc, cadmium… Les sols n’ont pas été épargnés par des décennies d’industrialisation. Les adeptes de l’agriculture urbaine lorgnent sur les friches aux abords des villes. Mais comment rendre ces terrains à nouveau cultivables ? Des expérimentations révèlent la capacité de certaines plantes à immobiliser ou extraire partiellement les polluants. Des travaux sont également menés pour recycler les métaux accumulés dans les végétaux. Ces techniques de dépollution, basées sur les plantes, sont-elles efficaces et suffisantes ? Tour d’horizon des possibles.

Plus de 300 000 sites seraient potentiellement pollués en France suite à des activités métallurgiques ou minières. Soit une surface d’environ 100 000 hectares – l’équivalent de près de 2000 exploitations agricoles ! Devant cet immense gisement foncier, on se prend à rêver de jardins partagés, de cultures maraichères, de vergers, s’étalant sur d’anciennes zones industrielles désaffectées. Mais peut-on assurer une décontamination suffisante de ces sols pour les rendre à nouveau cultivables ? Les plantes peuvent-elles être une solution pour les dépolluer ?

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Légalement, les entreprises ont une obligation de remise en état de leurs sites]. À ce jour, les techniques d’excavation, consistant à enlever la terre puis à la mettre en décharge ailleurs, demeurent la voie privilégiée. « Ce sont des techniques qui permettent de résoudre immédiatement la pollution du sol, mais elles restent très coûteuses », indique Valérie Bert, ingénieure à l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris). L’excavation, qui revient à déplacer le problème de la pollution sur un autre site, ne peut être utilisée que pour de faibles volumes de matériaux à traiter.

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Dépolluer-les-sols-contaminés-aux-métaux-lourds-avec-des-plantes !

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De nouvelles techniques ont émergé, basées sur l’utilisation des plantes. Leur nom ? « Phytotechnologies » . « Avec ces techniques, nous ne faisons pas de la dépollution, contrairement à ce qui est souvent dit dans les médias, mais de la gestion du risque par la maîtrise des impacts », tient à préciser d’emblée Frédérique Cadière, du département Friches urbaines et sites pollués de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), organisme public qui gère certains sites pollués. L’enjeu est de limiter les transferts des contaminants dans l’environnement et, en suivant la chaine alimentaire, vers les herbivores. On assume que l’on va laisser les polluants mais on en limite les effets »

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Des plantes qui extraient partiellement les polluants

Si les techniques de phytotechnologie ne sont pas encore sur le marché, elles font l’objet de plusieurs programmes de recherche. La technique la plus avancée en terme de développement porte le nom de « phytostabilisation ». Elle consiste à planter une couverture végétale qui immobilise les contaminants dans le sol. « On se sert des avantages du couvert végétal pour éviter le contact avec la surface, limiter le ruissellement et l’infiltration des eaux de pluie vers la profondeur du sol, et les transferts de polluants vers les nappes souterraines », précise Frédérique Cadière. Réintroduire de la végétation permet également de limiter l’érosion et d’éviter que le vent ou la pluie n’éparpillent des éléments métalliques autour du site. Des bactéries ou des champignons peuvent être ajoutés pour immobiliser les polluants au bord des racines. « L’immobilisation des polluants se fait très rapidement. Les premiers effets peuvent être observés au bout de quelques semaines », appuie Valérie Bert, de l’Ineris.

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D’autres plantes vont davantage absorber et transporter des quantités significatives de polluants vers leurs tiges et leurs feuilles. On parle alors de « phytoextraction ». Les racines des plantes ne pouvant descendre que jusqu’à un mètre environ de profondeur dans le sol, elles ne peuvent extraire que partiellement les polluants. « On n’atteint qu’une partie des éléments métalliques, cette technique n’est donc qu’une solution partielle à la décontamination », souligne Frédérique Cadière.

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Que faire ensuite de ces tiges et feuilles remplies de métaux lourds ? Des essais de combustion ont été menés par l’Ineris. « Si cette biomasse issue de sols pollués est brûlée en chaudière équipée de systèmes de filtration efficaces, il n’y a pas de problèmes avec les émissions dans l’air », précise Frédérique Cadière. Reste la question des sous-produits, comme les cendres issues de cette combustion. Selon les métaux contenus dans les cendres, celles-ci pourraient être épandues dans la nature. […tant d’efforts et d’imaginations afin de réparer les dégâts causés par les fous du profitisme : leurs prétendus « profits » coûtant alors…une fortune aux autres. Le concept de profit est donc bien une…pollution !].

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« Évidemment, on doit regarder la gestion de la dépollution des sols dans sa globalité et ne pas se contenter du transfert de la pollution des sols vers les plantes », concède Valérie Bert. L’Ineris mène d’ailleurs des travaux sur le sujet, par exemple sur la valorisation de la biomasse, dans la filière Bois et Énergie. Ne rien faire de ces végétaux chargés en métaux revient à en faire de nouveaux déchets. Et laisser les plantes mourir in situ signifie que la pollution métallique va revenir dans le sol.

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D’où le projet mené par la chimiste Claude Grison pour recycler les métaux stockés dans les feuilles et tiges. C’est sur l’ancien site minier du village Saint-Laurent-le-Minier dans le Gard que cette chimiste cultive et travaille sur des plantes hyper-accumulatrices de métaux. Mais réhabiliter ce site de manière écologique par phytoextraction nécessite des décennies, et les fonds publics manquent. Pour attirer des industriels afin qu’ils financent le programme de phytoextraction, la chimiste transforme ces feuilles chargées d’éléments métalliques en catalyseurs pour la chimie.

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Francis Douay s’intéresse notamment au miscanthus et égrène ses vertus : « C’est une plante qui accumule peu de polluants dans les parties aériennes récoltées, sans besoin d’apports fertilisants, adaptée au climat et qui peut servir pour produire du chauffage ou de l’électricité, des litières pour les animaux, de paillis, des fibres pour l’écoconstruction, du bioéthanol.... » Cette plante à rhizomes émet des tiges atteignant 3 à 4 mètres de hauteur au bout de deux à trois ans, qui peuvent être récupérées. « Les usages sont variés mais la difficulté c’est de trouver des utilisateurs sur le secteur. La profession agricole a bien conscience du problème posé par la contamination des sols et est prête à évoluer dans ses cultures et ses pratiques. Mais il faut un produit qui soit rentable et le prix du miscanthus est trop faible pour le moment ». Cette plante présente également, au moment de la récolte, beaucoup de volume pour un poids faible, ce qui contraint à une utilisation locale. Francis Douay n’imagine pas non plus convertir l’ensemble de cette vaste surface agricole en production de miscanthus, et explore d’autres voies aux côtés de la chambre d’agriculture et de la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt. »

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Le recours aux phytotechnologies est-il moins onéreux que l’excavation ou la mise en décharge ? « C’est sans doute le cas, mais pour le confirmer il faudrait une étude économique sur la filière globale, en intégrant la valorisation de la biomasse », souligne Valérie Bert. Il ne faut toutefois pas prendre en compte seulement les aspects économiques mais aussi tous les bénéfices de ce type de technologies, comme le fait d’avoir de la nature en ville. »

De plus en plus de collectivités sollicitent les instituts de recherche pour expérimenter les phytotechnologies sur des friches industrielles. Un réveil qui semble à première vue tardif par rapport aux États-Unis. « La littérature scientifique américaine donne certes l’impression [… très fausse nous l’avons vu aves les…diffusions d’ignorances !] que tout a été fait sur ces techniques depuis longtemps. Au niveau européen, nous souhaitons confirmer sur la durée les résultats obtenus lors des dernières expérimentations menées en France et en Europe, avant de déployer les phytotechnologies à plus grande échelle, nuance Valérie Bert. Les phytotechnologies connaissent un essor depuis 2010 sur notre territoire par la mise en place d’essais grandeur nature, une étape essentielle pour permettre aux phytotechnologies de se déployer et de remplir toutes leurs promesses », conclut-elle.

La voie rationnelle est : de ne plus jamais prendre en compte seulement les aspects économiques – Mais de se concentrer sur les gains pour l’environnement – puisque nous mangeons de la « nature » - et de gérer tout ce qui est durable (le concept si irrationnel de profit n’en faisant pas partie). Cela se nomme planifier – et la pollution idéologique étasunienne en aura masqué les vertus mais ce n’est plus le cas !

Et que donc, en revanche, si nous établissons un nouveau programme politique qui consiste a reprendre ce que nous avons déjà (recyclage des déchets) par le biais d'un tri sélectif intelligent, bien fait et respecté par les citoyens.
Nous arriverons à traiter suffisamment bien les métaux de base et non métaux pour les réutiliser dans l'avenir (presque indéfiniment - du moins sur un long terme).

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En effet, nous avons actuellement aucun mal à réutiliser 90% de nos déchets, si seulement état, industriels, citoyens avaient une volonté suffisante de changement pour le bien de tous ! L’intérêt très général doit devenir intraitable envers la perdition collective par les intérêts trop particuliers !

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http://www.imagiter.fr/2016/05/terres-toujours-plus-rares.html

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Cet article a reçu (entre autres) ce commentaire précieux…« Article très intéressant et instructif. La faute n'est pas à l'internaute, mais à internet qui diffuse tout et son contraire...Comment cette forme d'ignorance se propage-t-elle dans la société ? Les médias ont leur part de responsabilité. » La didfficulté qu’il y aà faire des compliments se trouvant atténuée par la très bonne formulation qui traverse, en effet, ces deux articles !

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Nous avions vu les terres rates, puis les métaux rares …ce qui n’avait pas encore été perçu comme plus…rare …c’est la vérité.

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L’Agnotologie.", cette ignorance préméditée qui se fait passer pour de la science, commence d’être vaincue…son étourderie désordonnée aura, en effet, fait de la vérité…

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……………… le produit le plus rare – donc enviable – au monde.

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………………..Et nous voici tous férus de …vérités !

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>>>>>>>>>>>>> - ANNEXE I :

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Extraits ..

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Déclaration-de-la-sociéte-civile-au-10eme-forum-sur-les-chaines-dapprovisionnement-responsables-en-minerais !

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« Les organisations nationales et internationales de la société civile qui travaillent à promouvoir la transparence et la responsabilité dans les chaînes d'approvisionnement se félicitent de ce 10ème Forum conjoint sur les chaînes d'approvisionnement en minerais responsables. Le Forum représente un engagement pris par les gouvernements et les entreprises à participer à un approvisionnement ainsi qu’à un commerce plus responsable en conformité avec le droit et les normes applicables, comme les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme (PDEDH).

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Comme il est précisé dans les PDEDH, les États ont une obligation en vertu du droit international de prendre des mesures législatives, des politiques appropriées ainsi que d'autres mesures visant à protéger les personnes contre les violations de droits humains commises par des tiers tels que les entreprises. En outre, les PDEDH exigent que les entreprises « ne causent pas de dommages » et prennent des mesures proactives pour veiller à ce qu'elles ne causent pas de violations des droits humains ni n’y contribuent dans leurs opérations mondiales – et traitent toutes les violations de droits humains si elles le font.

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En tant que norme internationale pour les chaînes d'approvisionnement en minerais, le Guide de l'Organisation de coopération et de développement économiques (« OCDE ») sur le devoir de diligence pour des chaînes d'approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou à haut risque (le « Guide ») traduit le deuxième pilier des PDEDH, qui élabore la responsabilité des entreprises de respecter les droits humains, par un guide opérationnel pour le secteur des minerais. Le Guide précise en termes pratiques les étapes que les entreprises devraient entreprendre pour identifier, prévenir et traiter les risques, tels que les violations des droits humains, dans la chaîne d'approvisionnement en minerais. Les 34 pays de l'OCDE ont approuvé le Guide, ainsi que neuf pays non membres de l'OCDE et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (« CIRGL »). Plus récemment, un organisme de l'industrie chinoise affilié au gouvernement a reconnu le Guide comme étant la norme internationale sur le devoir de diligence et l’a adopté dans ses propres lignes directrices pour les chaînes d'approvisionnement.

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(…) Défis restants :

Les États ne respectent pas leur engagement à s’assurer que les entreprises opérant sur ou depuis leurs territoires mettent en œuvre le Guide de l'OCDE

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De nombreux gouvernements – notamment des États membres de l'Union européenne – sont réticents à exiger légalement des entreprises que celles-ci fassent preuve de diligence raisonnable. Cela signifie s’en remettre à un système entièrement volontaire même si l’adoption de ces régimes par les entreprises a toujours été lente. Par exemple, des entreprises ont déclaré que si elles ne sont pas légalement tenues d'entreprendre une diligence raisonnable en conformité avec le Guide de l'OCDE, elles ne le feront pas.

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(…) Des recherches menées par Amnesty International et Global Witness en 2015 ont révélé que seulement 20 % des 100 entreprises contrôlées sélectionnées au hasard vérifiaient et divulguaient de manière adéquate, en vertu de l'article 1502 de la loi américaine Dodd Frank, si leurs produits contiennent des minéraux provenant de la zone de conflit de la Région des Grands Lacs.

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Les entreprises échouent à démontrer qu'elles évaluent ou traitent de manière suffisante les risques de droits humains et autres risques liés aux chaînes d'approvisionnement, et elles omettent d’émettre des rapports annuels solides.

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(..) Dans un rapport de janvier 2016, Amnesty International et Afrewatch ont constaté que des marques majeures de l'électronique le long de la chaîne d'approvisionnement de cobalt ont échoué à démontrer qu'elles effectuaient un devoir de diligence en matière de droits humains, en conformité avec les normes internationales. Amnesty International a contacté 26 entreprises en relation avec le rapport - surtout, aucune de celles qui ont répondu n’ont fourni suffisamment de détails pour vérifier de manière indépendante d’où provenait le cobalt contenu dans leurs produits.

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Le suivi indépendant est ignoré - et il est régulièrement insuffisamment financé

Les entreprises et les gouvernements négligent ou ignorent bien trop souvent la surveillance de la chaîne d’approvisionnement par la société civile nationale et internationale ainsi que la publication de rapports dans les zones de conflit ou à haut risque. Cela doit être soigneusement et sérieusement pris en considération par les entreprises et les gouvernements et utilisé, le cas échéant, pour améliorer l'intégrité et la transparence de la chaîne d'approvisionnement. La surveillance indépendante est également insuffisamment financée dans de nombreux cas.

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Les systèmes de l'industrie ne devraient pas, dans la pratique, se substituer à la responsabilité individuelle de l'entreprise pour vérifier les chaînes d'approvisionnement

Les systèmes de l'industrie peuvent être un outil important pour aider les entreprises à améliorer leur gestion de la chaîne d'approvisionnement et à appliquer des normes à tout un secteur. Mais il est essentiel qu'ils ne remplacent pas la responsabilité individuelle de chaque entreprise pour sa propre chaîne d'approvisionnement ni son devoir de diligence. Dans la pratique, de nombreuses entreprises ont externalisé cette responsabilité à ces initiatives de telle sorte que leurs pratiques et les conclusions sont souvent acceptées sans remise en question par les entreprises membres et au détriment des entreprises engagées dans l'approvisionnement responsable. La vision originale de ce Forum était que les chaînes d'approvisionnement deviennent de plus en plus résistantes aux risques tandis que chaque entreprise adopte une responsabilité individuelle, en utilisant les systèmes de l'industrie comme un outil utile, le cas échéant dans le cadre de leurs propres efforts liés au devoir de diligence – et non pour une nouvelle croissance de l'industrie dans la sous-traitance de la gestion des risques.

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Le Secrétariat de l’OCDE devrait :

· Continuer d’indiquer publiquement que le Guide s’adresse aux entreprises s’approvisionnant pour tous les minerais dans des zones affectées par les conflits et à haut risque.

· S’assurer que les rapports des États en lien avec la mise en œuvre du Guide reflètent les meilleures pratiques en matière de rapports et qu’ils sont sincères, rigoureux et efficaces. Il devrait également être exigé des États membres qu’ils considèrent au sein de ces rapports le degré auquel les entreprises opérant sur ou depuis leur juridiction se conforment au Guide et sont transparentes quant à leurs pratiques d’approvisionnement. Les rapports des États membres et leur évaluation par l’OCDE devraient être mis à la disposition du public. »

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Comme, par exemple, pour la loi Travail nous voyons, ici, la très même mauvaise volonté des entreprises. Sur tous les sujets. Après tout la nature a le droit de faire des gains (sa protection), il n’y a pas que les gains néolibéraux (effaçant les externalités de leurs coûts pour les autres) qui soient permis. Donc, mis dans la balance, les gains de la nature nous conviennent tout à fait. Et, pour cela, toute la société se doit d’être…réorganisée !

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES II - <<<<<<<<<<<<<<<<<

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Pour aller plus loin :
Les phytotechnologies appliquées aux sites et sols pollués – État de l’art et guide de mise en œuvre, EDP Sciences, 2012, ADEME – INERIS.
Lire l’enquête sur Ces sites pollués abandonnés par les industriels

La-grande-déprime-des-matières-premieres

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L'encyclopédie écolo

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

… Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Métaux rares stratégiques ?
Métaux rares stratégiques ?
Métaux rares stratégiques ?
Métaux rares stratégiques ?
données factuelles qui, e fait, sont loin de faire...toute la réalité.

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sel de lithium ….un antidépresseur pour bipolaires très puissant...

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Métaux rares stratégiques ?
Métaux rares stratégiques ?
Métaux rares stratégiques ?

Nos déchets électroniques valent de l'or ! Mais isoler les métaux précieux si intimement imbriqués les uns dans les autres n'est pas simple. Le défi a été relevé par une équipe de chercheurs qui utilise les propriétés étonnantes de l'eau dans un état extrême dit supercritique

dont le nitrure de gallium

Zinc et Indium : voici deux exemples de métaux devenus stratégiques pour les secteurs des équipements électriques et électroniques pour l'énergie et les NTIC. En effet d'ici quelques décennies, les gisements naturels se seront taris. Alors à l'instar des terres rares qui font figure d'enjeu industriel majeur, l'activité de récupération de ces matières dans les déchets offre de belles perspectives. .. C'est fort d'une culture métallurgique historique et avec l'aide du pôle de compétivité Team2 spécialisé sur les technologies de recyclage, que la région Nord Pas de Calais entend se positionner d'ici 2015 comme le principal producteur en Europe de métaux stratégiques et terres rares de récupération.

un exemple...le thorium.

Publié dans gouvernance mondiale

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V
Bravo pour ton blog!! Et surtout, merci pour ce contenu qui me fait toujours plaisir!!<br /> Amicalement
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