Vous allez la fermer les chochotes ?
Tout le non perçu de nos vies quotidiennes tellement nous avons le nez dessus ? Le fardeau pour nos santés de pester et râler sans cesse. De s’auto-irriter ! C’est à rebrousse poil que nombres d’études actuelles prennent le danger si sous-estimé du stress. Si la culture occidentale se nourrit, elle, de stress, de manque de sommeil et de burn-out - que nous subissons tous – il y a un second aspect méconnu. Tout le mal que nous nous faisons à nous-mêmes. Contre nous-mêmes. Ainsi, le bilan de se plaindre fait figure de nouveau venu dans les explications. Découvrons ici comment !
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Ceci commence par un paradoxe !...« Il y a un moyen très simple de déterminer votre degré de surmenage (et de vous rendre compte que vous disposez de plus de temps libre que vous ne le croyez).
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OK, j’avoue. Ça peut commencer à ressembler à une idée fixe. L’été 2015, j’avais publié cet article dans lequel je tâchais d’illustrer comment, mathématiquement, les parents étaient, a priori, davantage privés de temps libre que les personnes sans enfants. Ça avait beau me sembler logique, et assez peu sujet à polémique, j’avais constaté, à la lecture des commentaires et des innombrables tweets qui m’ont été adressés, que cela n’allait pas de soi pour tout le monde. De nombreuses personnes m’ont en effet rétorqué qu’on pouvait ne pas avoir d’enfant et être épuisé (ce qui est évidemment vrai) et que je n’avais aucun droit de décréter qui était ou non trop occupé (ce qui est tout aussi vrai).
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J’ai relié ces réactions à l’aspect injonctif du titre («Vous n’avez pas d’enfant? Alors arrêtez de vous plaindre d’être débordé»), à de nombreux malentendus (je n’avais l’intention de nier ni la fatigue ni le surmenage de personne, et à aucun moment je n’écrivais, par exemple, que seuls les parents peuvent faire un burn-out) ainsi qu’à de probables maladresses de ma part, je peux le concéder. Mais j’ai surtout fini par me dire que je n’étais donc pas la seule à être obsédée par cette idée du temps qui file trop et à être l’objet de cette impression tenace que je suis perpétuellement débordée et sûrement toujours un plus que les autres.
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D’ailleurs, c’est la réponse que je fais quasi systématiquement quand on me demande comment je vais, et que j’entends le plus quand je prends des nouvelles d’amis ou de collègues: «je suis dé-bor-dé(e)»; «je m’en sors pas»; «je suis crevé(e), CRE-VÉ(E)». À la machine à café, les small-talks de bureau s’apparentent souvent à un concours de «qui a la vie la plus remplie, la plus dure et la plus éprouvante». Comme si être sursollicité était plus qu’une norme, une obligation. Et que ne pas être au bout du rouleau relevait quasiment de l’anomalie.
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Autre preuve que la suractivité serait excessivement répandue: la pléthore de guides de développement personnel visant à nous aider à mieux nous organiser, de blogs du même acabit ou encore l’existence de coach en organisation.
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Une étude a d’ailleurs déjà révélé que les gens ont souvent tendance à exagérer à quel point ils sont débordés et même qu’on a tendance à admirer les gens qui se disent débordés et à trouver leur vie plus intéressante. […pas nous, en tout cas !] Dans le New York Times, un essai de Tim Kreider tâchait d’expliquer ce phénomène: «Le fait d’être constamment débordé est une façon de se rassurer existentiellement, […c’est se faire un foutu vacarme en soi-même afin de ne pas…s’entendre !] c’est une façon d’éviter le sentiment du vide; bien sûr, votre vie ne peut pas être insignifiante et triviale si vous avez tant de choses à faire et êtes sollicité toute la journée.»
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Mais est-on aussi débordé qu’on le dit? Dispose-t-on vraiment de si peu de temps libre (que l’on soit parent ou non, ça n’est plus le sujet, juré)? Il y aurait un moyen très simple de vérifier cette assertion et de déterminer notre degré de surmenage: évaluer quantitativement le temps que l’on passe à faire telle ou telle chose à l’aide d’un simple tableau Excel (ou d’une appli, si on préfère).
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Surestimer son temps actif ? Alors qu’elle était persuadée de travailler 45 à 50 heures par semaine, Laura Vanderkam a constaté qu’elle avait travaillé 37,4 heures par semaine en moyenne.
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(…) Surestimer son temps de travail est courant: une étude a démontré que les gens qui estimaient leur semaine de travail à soixante-quinze heures et plus se trompaient de vingt-cinq heures en moyenne. Laura Vanderkam cite même le cas d’un jeune homme qui lui a confié travailler 180 heures par semaine (ce qui est humainement impossible, sans même parler du fait qu’une semaine n’en compte que 168). »
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Bref, à faire non pas ce qu’elle devait faire mais ce qu’elle VOULAIT faire, Laura Vanderkam a mélangé les deux temps, le subjectif pour l’objectif, a pris des vessies pour des lanternes et ses fantasmes pour la réalité. Le résultat ? Elle a pu constater qu’elle ne travaillait pas autant qu’elle aimait à le dire, disposait de beaucoup plus de temps de loisirs qu’elle ne l’imaginait et, plus globalement, que ces journées ne se découpaient pas du tout de la manière qu’elle pensait. »
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Que nous apprend cette expérience en direct ?
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Sinon la très grande PERVERSION dans laquelle sombre la société ? Partout il est « interdit » d’afficher sa joie de vivre, d’habiter son bonheur sans paravents, d’étaler sa bonne humeur , de rire de bon cœur, etc.…oui…interdit D’ÊTRE HEUREUX et les conformistes, flicards existentiels, sont là afin de harceler tout le monde. Ils font tout afin de détruire le moindre bonheur individuel. A ce point ? Même pire. D’où il « faut » afficher une gueule d’enterrement, trainer le poids de la terre et jouer (les hypocrites sont plus que des délinquants lorsqu’ils./elles détruisent sciemment l’ambiance sociale) à qui sera le plus :
épuisé
malade
angoissé
couvert de problèmes
désespéré
sans espoir
surtout pas heureux
jamais joyeux
bourrelé de dettes
super stressé
tellement plus pauvre que la vérité
etc.
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Regardez autour de vous et prouvez que ce diagnostic n’est pas vrai. La propagande des médias mercenaires c’est LE BONHEUR EST INTERDIT. Pour « cela » il y a des émissions « spécialisés » qui ne sont constituées que de rires nerveux, de rictus si laids et de blagues si lourdes. Ils sont là pour rire …à notre place. Et se faire croire heureux…sans nous ! Une fois vues ces émissions nous avons eu notre « dose » de bonheur et nous… oublions tout cela…Donc ?
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Donc ?
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Ces ambiances qui nous font noircir tout ce qui se passe, tout percevoir en pire de ce qui est, qui nous font rater les potentiels qui s’offrent à nous (souris et la vie te sourit) et nous arrachent la confiance que nous mettons dans les autres ; qui nous font chuter dans la spirale négatrice (mauvaise estime de soi, amertumes des circulations corporelles, courses après les biens-êtres !), etc. Bien ceci existe bien : mais nous pouvons…résister. Refuser l’enclenchement de ces spirales automatiques qui dézinguent nos joies de vivre. Et nous créer des espaces intérieurs où fuse l’humour comme une manière bienveillante de nous voir nous-mêmes nous débattre dans ces absurdités kafkaïennes (les prises de consciences vont clore ces ambiances collectives nuisibles à nos santés !). Etc. Comme s’achèvent ces disqualifications perverses de la société de consommation (si tu n’achètes pas cela t’es une merde – eh bien ! justement c’est si je l’achète que je le suis)…toutes ces occasions d’irritations, d’exaspérations et d’inflammations, évitons-les. Nous valons tellement mieux que ces imposteurs qui tiennent illégalement le haut du pavé.
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Donc ?
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Arrêtons de nous PLAINDRE et tout ira tellement mieux. Lorsqu’il n’y aura plus que les sanglots des vrais malheurs nous pourrons tous les résoudre. Mais, avec le cumul scandaleux des chochotes et des fausses pleureuses – harassant de seulement voir clair. Comme est si clair que les « faux » problèmes ne se peuvent résoudre !
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Ne nous plaignons pas comme avant – ce qui ne fait qu’alimenter ces irritations, ces exaspérations et ces inflammations qui sont les sournoises attaques corporelles contre nos-biens-êtres ! La société a tort et nous qui avons raison. Ne l’aidons plus à nous nuire. La joie de vivre est meilleure pour la santé. Être heureux maximise nos corps. Enterrons les gueules d’enterrements. Rayonnons. Comme la société a tort elle ne va nous chercher des noises…sinon, nous accusons ses pratiques : elle se comporte comme l’ennemi des humains. Ou alors qu’elle prouve l’inverse. Symboliquement, c’est comme si le rire était remboursé par la Sécurité Sociale. Partout et en toutes circonstances, prouvons que la société s’est trompée : le bonheur collectif c’est ce qu’il y a de mieux pour tout le monde. Mais nous devons changer de civilisation, celle-ci (…si jalouse du bonheur des gens !) ne le permet pas ? Eh bien changeons de civilisation. Ne nous plaignons plus – agissons !
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Donc ?
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Soudainement, nous prenons conscience de ceci. Ce sont les simagrées conformistes qui plombent tant l’ambiance collective ! D’où tout le monde ment (ou presque puisque les meilleurs d’entre nous œuvrent tellement plus que leurs parts pour tout ce qu’ils ne font pas…tels les déréglés médiatiques !) ment oui ment en se prétendant…débordés ! Overbookés. C’est downbookés oui…Ripostons (face à imposture…riposture !). Ne cachons plus nos joies, ne les planquons plus au plus profond de nous. Extravertissons-les. Cette société dans l’erreur se répare à l’instant. N’attendons plus une seconde…de plus !
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Comment la-culture-occidentale-se-nourrit-de-stress-de-manque-de-sommeil-et-de-burn-out ?
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La culture occidentale se nourrit de stress, de manque de sommeil et de burn-out : ceci a un nom ? Oui la techno-dépendance. Se droguer autant à la technologie, enfin à ses excès, se paie au prix fort ! Ne le faites pas payer aux autres qui maintiennent l’universelle paix intérieure ! Utilité que les chochotes n’ont pas !
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Ne nous laissons plus faire – ne les laissons plus faire. Qui ne répand pas la joie ne peut pas avoir vraiment raison ! Encore des exemples de celles/ceux qui, s’ils /elles ne s’écoutaient pas autant …entendraient tellement mieux les autres ? Si ignorant(e)s de la réalité commune par abus de fausses plaintes – nul ne peut compter sur ces sinistres personnages pour la moindre information « objective », le moindre conseil adulte, ou la plus minuscule aide constructive. Leur vie sociale est une antivie. Oui une antivie antisociale…Ce sont eux les fardeaux geignards que nous devons trainer : nous avons, en conséquence, « tous les droits » de changer toute l’organisation sociale. Non mais, des fois !
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Ici – loin de chez eux ( « syndrome du berceau ») ils ne peuvent pas…dormir. Nous qui ne nous écoutons que dans les limites du strict nécessaire nous ne vivons jamais cela. Mieux : nous vivons les « réveils de dépaysements » si cocassement énergétisant (purée, mais qu’est-ce que fous ici, c’est quoi la galère ?) avant que « l’accommodation » des pensées ne livre la réponse rigolarde ! Tant l’humour est toujours du côté de ceux qui ne se plaignent pas pour ne rien dire ! VDR. Ne leur permettons pas ne de nous enfoncer dans le cloaque. Ce cloaque est inutile. La vie vaut tellement mieux cela, que cette société de méchanceté par l’argent. L’argent augmente toutes les cruautés sociales. Il n’y a que les trop riches qui soient trop violents. Donnons-leurs des cours de joies de vivre ! Occupons le moindre espace public avec le programme être heureux tout de suite ! La rue est à nous.
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Qu'est ce qui, en nous, fait durer les sommeils difficiles ?
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Une nouvelle recherche révèle que se plaindre vous rend littéralement malade et vous tue à petit feu. Oui les plaintes et les pleurs des chochotes ont des effets aussi négatifs que le…tabagisme !
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Se plaindre augmente notablement le niveau du stress – si destructeur de nos corps! D’ailleurs « râler » ne veut-il pas, frauduleusement, imiter l’agonie et …ses râles ? Tel est pris qui triche le plus. En ayant des pensées négatives, on libère dans le corps du cortisol, l’hormone responsable du stress et de pas mal de dérèglements. « Peu de gens le savent mais le stress est l’un des plus grands maux que peut subir l’organisme. Il possède une énorme influence sur ce dernier, et elle est très rarement positive. Pour ne pas dire jamais » explique Parton.”
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Se sentir mentalement épuisé. ◗ Se sentir constamment frigorifié. ◗ Avoir une irritabilité croissante. ◗
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Encore ? Et comme disait Jim Rohn : « Nous sommes la moyenne des cinq personnes avec lesquelles nous passons le plus de temps. » Donc, si vous avez des personnes très négatives dans votre entourage, des amis, etc., essayez de les voir le moins possible parce que, comme je viens de vous l’expliquer, elles vont affecter votre humeur et elles vont vous rendre négatif également. […les médias mercenaires cumulent un nombre incommensurable de plaintes eux qui ne font que détruire non bonheur quotidien ! ]
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« Une nouvelle étude de l'université de Northumbrie a permis d'établir que des facteurs psychologiques, comme le stress ou la croyance au paranormal, expliqueraient l'intensité, la fréquence ou la durée du phénomène de "déjà-vu". Ressenti par 6 personnes sur 10, il serait expliqué par la complexité du processus de mémorisation.
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Faites-vous partie-de ceux-que-le cerveau-trompe-plus-que-les autres ?
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Hervé Platel : Cette étude est dans la continuité de ce qui a été fait à propos de ce phénomène de déjà-vu. Elle essaye d’expliquer la manière dont il fonctionne, ainsi que les facteurs de personnalité, psychologiques et sociaux-psychologiques, qui font que certains individus en sont plus sujets que d’autres. Au niveau de la personnalité, on retrouve des schémas assez similaires. Des individus imaginatifs, plus sujets au stress ou très croyants (religion ou surnaturel), sont en effet plus enclins à éprouver ce phénomène. Comment expliquer que ce phénomène est lié à des profils de personnalité ? On va trouver à peu près la même chose concernant les profils de personnalité dans les études sur la mémoire, par rapport aux “faux souvenirs”. C’est en fait un souvenir que les gens croient avoir vécu mais qui est en réalité déformé ou qui n’a pas existé. C’est, comme la sensation de déjà vu : quelque chose de tout à fait normal, à moins d’en être victime tout le temps, et dans ce cas, cela peut résulter d’une pathologie. »
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Et en vous plaignant, forcément, vous vous dites des choses négatives : « Je n’ai pas le temps de travailler et c’est toujours moi qui dois m’occuper des enfants ; je sais, toi, tu dois travailler et ce n’est pas de ta faute mais c’est moi qui dois prendre la relève et du coup, je dois travailler tard le soir, tôt le matin, etc. » En disant tout ça, vous arrivez à vous créer des émotions négatives qui vont vous ruiner votre journée.
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Déjà vu ? J’ai déjà vécu cela – et je vais le revivre. Non mais, il y a de l’abus avec les abus… L’addiction à la négativité n’est plus à détailler !
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Se-plaindre-augmente énormément le-niveau- du stress/
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La tolérance aux tensions sociales ?
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Si nous PESTONS sans cesse cela amplifie et répand la peste des émotions négatives (…tout en nous privant des molécules du bonheur et des émotions de bien- être !).
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« En moyenne, une personne râle entre 15 et 30 fois par jour. Pourquoi râlons-nous autant ?
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Christine Lewicki : La première raison qui nous pousse à râler, c’est que nous voulons tout : une vie conjugale, une vie familiale, une vie sociale, une vie professionnelle, et toutes épanouies. Et nous essayons, dans notre emploi du temps surchargé, de jongler entre toutes ces envies. Alors dès qu’un grain de sable vient bousculer notre organisation, il fait tout exploser. Mais attention : il est illusoire de croire que nous pouvons passer une journée sans être frustré par quelque chose. Nous aurons toujours de nombreuses raisons de râler. Il faut l’accepter. Arrêter de râler, c’est modifier notre réaction par rapport à ces frustrations.
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Un seul défi - nous nous arrêtons de râler
Ne râle-t-on pas aussi pour entrer en lien avec les autres ?
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CB : Râler est une conversation très facile. Elle n’appelle personne à réfléchir, à s’investir […fainéants du cœur, va : !]. Quelque part, cela nous met en sécurité car nous savons que cela ne va pas être difficile pour l’autre de nous rejoindre. Du coup, nous allons réussir à entrer en lien avec lui. De là naissent ce que j’appelle des « festins de râleries ». Sur la météo, sur les transports, la politique…
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Pourquoi avons-nous si peu conscience du fait que nous pestons et nous plaignons autant ?
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CB : Râler est une habitude […mauvaise !]. Dès qu’une frustration se présente dans notre quotidien, nous bougonnons. C’est automatique. En plus, râler est très ancré dans notre anti-culture. Ceux qui ont relevé le défi de ne plus ronchonner pendant 21 jours consécutifs se sont rendus compte qu’ils râlaient d’ailleurs beaucoup plus qu’ils ne le pensaient. […intellectuels, va]. Moi la première. Ce sont souvent des petites râleries certes, pas bien méchantes (sic), mais qui, additionnées à d’autres, vont polluer notre journée. »
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Grogner c’est rogner sur son bonheur. Bougonner c’est bourgeonner les irritations. Rager – cela écume et fait de la mousse désagréable. Geindre le contraire de peindre ? Se lamenter nous rend lamentable. Comme le polochon qui ronchonne. Rouspéter ne peut cache sa tendance gazeuse à péter…de la bouche. Puisque récriminer reste un crime contre soi-même qui réCrimine ou vitupère…Oui réclamer ressemble aux…réclames, ces blâmes irrecevables. Qui réclame donc des réclames ? Jérémiades ressemblent à ces olympiades des doléances. Et maugréer c’est aller contre son gré, contre ce qui agrée et devient ainsi ce qui… malgrée !
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Toutes ces problématiques dopées, utilisant illégalement la gonflette, illégalement droguées aux mensonges contaminants, etc. ne représentent que les piteux aveux que la société de consommation indigne a tout fait afin de détruire la réelle joie de vivre, le bonheur spontané, la gaité d’être ensemble toujours, la puissance colossale d’être …simplement heureux – par ses perversions. Perversions dont, dans ce texte, nous avons pu isoler quelques stases si malsaines….donc la victoire incontestable du BONHEUR ? En fait, oui – rien ne peut le remplacer car il reste gratuit, partageable par absolument tout le monde et nul (…sauf les pervers capitalistes) ne se sent amoindri du bonheur des autres (au contraire) et personne ne sent diminué de notre bonheur…et …et…où SE PLAINDRE devant la joie de vivre collective ? Et qu’est-ce qui « empêche » la joie ? Rien ! Aucune domination ne peut « se mesurer » face à la jubilation de tous ! Tous les pouvoirs ne peuvent qu’en perdre tous…leurs moyens !
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En cas de récidive du système -
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…………….plaignons-nous…en étant ENCORE PLUS HEUREUX !
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Comment être heureux s'apprend ?
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Pourquoi toujours les pseudos solutions-béquilles ? Pourquoi ne pas changer complètement de société ?
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Ces quarts de mesures qui repoussent les vraies solutions à toujours plus tard ?
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Les chochotes des non pas des quarts de mesures mais des...dixièmes de dixièmes de mesures. Pourquoi ne pas changer entièrement de civilisation ?
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Les classes moyennes ont perdu 40 % de leur patrimoine durant ces 20 années (1988 – 2008) en rémunération de leur appui inconditionnel à la propagande de ce système qui les spolie donc en grand – le 1 % des plus riches semblent ceux qui ont reçu la plus grande part de ce trop inconscient « cadeau » - c’est pour cela qu’il est sûr que, structurellement, les classes moyennes ne savent pas penser du tout !!!
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Pourquoi ne pas alors changer entièrement de civilisation ?
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide d’eux à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
ne nous plaignons pas - faisons leur l'affront d'être plus qu'heureux !
…être heureux est la priorité des priorités qui entraine toutes les bonnes choses ! Pas d’autres processus plus efficaces…
et nous nous...auto-arnaquons - Gavés d'amertumes c'est pas si gai !
mais se plaindre à bon escient ? oui puisque la meilleure plainte c'est...la joie de vivre !
plein de plaint ...
...et toute la vie - ? Suffit de changer de civilisation !
la meilleure plainte c'est le bonheur...irrésistible !
notre anticivilisation nous a désappris à demander....alors demander...de l'aide !