Vulnérables – accepter sa vulnérabilité ?
Et l’erreur de jugement aura été de croire que « jouer un rôle » rende invulnérable. Cette étourderie piteuse est bien en train de se retourner énergiquement contre nous. Sauf les esprits déterminés qui ont toujours refusé l’infantilisation du monde. Et se sont construits une vie à côté des têtes puériles. Et qui, actuellement, sont bien en train de renverser tous les mensonges.
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Les esprits infantiles qui paraissaient les plus nombreux sont effectivement en train de perdre, à une vitesse hallucinante, du terrain. Ils/ elles n’ont plus réponse à rien. Aucun de leurs faux concepts ne tient la route. Et ça se voit toujours plus. C’est ce que nous allons démontrer
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Bien. Nous sommes un minuscule spermatozoïde qui a vaincu et est devenu bien plus grand. Mais pas si grand, en fait. Nous sommes un grain de poussière face à l’infini. Si minuscules encore. Pourtant – cette vulnérabilité est notre force. Cependant, la majorité des pensées ne sont pas vraiment à la taille de ce que nous sommes. Infiniment trop démesurées. Pas vraiment en phase. Cela ne rentre nulle part. Cela ne fonctionne pas du tout. Ceux qui « planent », en fait, sont bien ceux qui calomniés des voyageurs de ne pas être réalistes. Un peu que ces voyageurs sont les nouveaux réalistes. Pourquoi ? Mesurer et semeur sont anagrammes. Le sens des mesures et des proportions sont leur point très fort. Ils ne perdent jamais le nord, chacune de leur émotion, sentiment et réflexion sont adaptées à la dimension précise de l’ensemble vivant. Leurs rêves dominants sont tous pétris de vie. Mais pas la vie sous l’œil scientifique. Non, la vie vue avec le regard joyeux de la…vie.
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Bon, à part un sens exceptionnels des proportions (savoir toujours le pondéreux de l’impondérable) qu’ont-ils de plus que nous ? Toujours l’erreur de vision qu’ils ne veulent pas admettre. Ce n‘est pas plus, mais MOINS qu’ils ont – ce pourquoi leur vulnérabilité est une si grande force. La concurrence avec sa crétinerie de cumuls, de plus, de rajouter, de toujours plus, d’encore, de pas assez, de pas de limites, de bouffer plus que sa faim et d’en faire crever tout le meilleur de soi, etc. - ceci n’est pas une…pensée mais bien une connerie, une escroquerie…oui ces êtres qui s’en sortent (dans la tête et le cœur) mieux que nous actuellement, ils ont quoi « en moins » que nous ? Simple - ils ne jouent aucun rôle. Aucun. Vulnérabilité maximum. Tout nu et pas d’armure ?
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Faux ce n’était pas une armure protectrice mais une « carapace émotionnelle » ennemie qui empêche la vie de se mouvoir et s’émouvoir en nous. Plus ça remue, plus nous sommes bouleversés – donc supposés vulnérables – moins nous le sommes en fait…vulnérables, en fait. Au sens de fragilisés ! La seule vulnérabilité dangereuse c’est ne pas AVOIR ESSAYÉ d’être vulnérable. Comme il est très facile de soûler quelqu’un qui n’a jamais bu une goutte – la vulnérabilité ne vient que d’un puritanisme de l’absurde pensée bourgeoise. Il n’y a que ce grave défaut de l’Évolution (la pensée bourgeoise) pour avoir inventé le « jouer un rôle » - qui rend malade au point de nous durcir notre peau palpitante. Qui était née en demande sans limites de caresses et qui en a si peu eu. En général. Lorsque l’on joue un rôle, le plus difficile c’est d’attirer la caresse ou de le faire ressentir par un-e enRôlé-e et de ne recevoir point. D’ailleurs la preuve en est ? Cinéma. Là il nous est dit que ce ne sont que des rôles. Mais cela ne suffit pas à notre soif de tout capter. Bien, un film est dirigé par un metteur en rôles. Mais rôles dans un espace spécial, sa scène, qu’il invente afin de transmettre sa volonté d’expression. Chaque acteur ne « joue » que son découpage. Incompréhensible sur l’instant. Et c’est au montage que tout prend sa perspective. Le métier d’acteur (sauf si l’instinct chuchote fort le ne fais pas que ça, multiplie tes angles, tes activités !) va se faire enfermer dans le « rôle » de vedette, de star, de hors bord. Triste de vie de paraîtres harassants. Sauf que si nous n’endossons pas cette armure nous ne survivons pas à la gloutonnerie irrespectueuse des autres. L’infantilisme cela se pulvérise en le remplaçant par du bien mieux, du meilleur : l’éducation aurait dû mettre là - respect fort. Ces catalyseurs (acteurs) ne sont pas nos serviteurs thérapeutiques au seul service de nos puérilités égoïstes. Ils reflètent juste ce qui fait que la fiction (devenue chair de réel par leurs multiples observations de la vie concrète) obtienne un impact réel plus fort que de nombreuses parties du…réel. Le but ? Afin de nous décanter purifier, améliorer. Donc le rôle est armure lorsque la société refuse de progresser, de s’éduquer, de se bonifier et de changer sa mentalité merdique. Purée comme la société mérite des engueulades… mais on n’engueule pas les « clients ».
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Clients est le rôle le plus inutile. Personne n’est client 24 h/24 , 7 jours sur 7. Mais dans la dissymétrie trompeuse qu’est devenu le commerce – de son côté s’entassent les fumisteries comme les pubs, le marketing, les montages télés, la propagande des riches (ce rôle stupide). Donc un lieu de la plus haute difficulté à montrer sa …vulnérabilité. Faut pas s’inquiéter – nous avons, là, franchi les secteurs brûlants. Là où se trouve le noyau dur de l’idéologie, où elle s’avère la plus pernicieuse et où, évidemment, il n’y a pas assez de combattants : que l’on nous aie construits des rôles (superflus) afin de nous…emprisonner dedans. Rôles carcans !
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Les années 1970 nous ont prouvé que l’arme la plus efficace, la plus irrésistible, celle qui pulvérise toutes les défenses c’est le…sans armes. Oui la spontanéité. Déboulez avec votre spontanéité, votre franchise joyeuse, votre sincérité respectueuse, etc. – il ne restera Rien du « cinéma » (montage prémédité – scènes étudiées pour niquer le client) du commerce. Rien. Qu’est-ce qui fait que cela ait tenu ? La pression sociale à jouer son « rôle »…le client le moins roi de tous les sujets, ses désirs font désordres, on les vire tous par des procédés de déviations si faciles à déjouer. Donc le client en « rôle » c’est du statufié, on se laisse faire, sûr qu’il y a une bande sur le côté de possible critique pour le client mais elle ne sert à rien sur le fond. Jamais n’y est remise en question toute cette…mise en scène des non-échanges nous volant la valeur d’échange…Le seul truc important c’est de ne « pas sortir du rôle »…nous, au contraire, on vous clame (et que clame la réclame ? que réclame la réclame d’ailleurs ? on ne nous dit jamais rien au point que tous les services « accueil et information » devraient répondre de ces questions un jour !) oui nous vous clamons et acclamons : sortez de tous les rôles. Aucun n’existe. Sortez de tous les rôles. C’est une maladie qu’on vous a étalé sur la peau. Laissez respirer votre peau. Vivez la force incroyable d’accepter sa vulnérabilité. Ne jouer plus jamais aucun rôle.
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Une fois que nous avons montré nos prétendues faiblesses, nous sommes débarrassés de ce regard incompréhensif des autres – tandis que qui vit l’idéologie va conserver en soi, sans pouvoir s’épancher, ce nid à amertumes…de devoir aller contre sa nature en jouant des rôles. Faiblesses ? C’est, en fait, de ne pas être assez inhumains. D’insulter qui on nous dit d’insulter, de se fermer absurdement à qui on stigmatise pour nous, de radoter les phrases si illogiques de la propagande, de contraindre les enfants d’entrer dans cette non-liberté », de ne jamais « montrer » ses sentiments ‘(une révolte « par » les sentiments cela les terrifie plus que tout autre revendication, les pouvoirs)…oui de « montrer », visiblement, son amour c’est leur fin. Pour eux les faiblesses c’est juste avoir…des sentiments, il faut n’en avoir jamais aucun. D’où la carapace rigide du…rôle. Le capitalisme ne peut « supporter » la présence de l’amour – c’est donc, au final, l’amour le plus fort. Etc. C’est, de ce fait, faire passer les forces de l’humain pour des faiblesses – le fond de l’idéologie malsaine et perverse des escrocs capitalistes. Jouer un rôle c’est se faire escroquer en grand. Laissons nos sentiments s’épancher, ils sont à nous – et les « circuits libidineux » qui détournent nos libidos sont inadmissibles pour cela. C’est bien un viol de sentiment ! Ce en quoi ce système est à 100 % illégal…
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Nous sommes passé par là, par l’abandon de tout rôle et la découverte émerveillée que d’afficher, sans vergogne, nos prétendues faiblesses ( faiblesses, d’après l’idéologie) nous rend, en fait, PLUS FORTS. Unifiés avec nous-mêmes, plus aucune division à l’intérieur de nous. Nous sommes bien comme ce poing ramassé sur lui-même et où plus rien ne peut se faufiler frauduleusement. Sauf que ce poing unifié reste non-violent. Le rôle c’est la violence symbolique des riches dans toute son horreur. Rien d’autre. Violences des riches qu’il faudra bien mettre un jour en procès – tous les drames de la société viennent de sa perniciosité ! – Oui nous sommes passé par là, par l’abandon de tout rôle et la découverte émerveillée que d’afficher nos prétendues faiblesses nous rend plus forts - et voyez donc où nous en sommes, l’aisance de nos écritures, nos textes construits comme des aphorismes successifs, soit de petits bijoux, soit de la valeur en barre
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Ce pourquoi nos vulnérabilités sont une si grande force ?... la tragédie de Nice aura mis en relief combien nombreux sont les démunis par leurs rôles. Ils voient que ces rôles ne servent à rien, ne protègent pas, empêtrent dans des postures si malcommodes. Bref, sont des encombrants. Pire, des obstacles afin d’écouter leurs cœurs. Sans parasites. Il dirait ce cœur : nous n’y sommes pour rien, nous n’avons pas à nous sentir visés ni culpabilisés, ce ne s’est pas passé dans notre salon ni notre chambre. Mais est dû à 100 % par des rôles politiques absurdes. Et ne pouvant même s’auto-expliquer ces rôles politiques. Et, cependant, ce qu’il y a de très bon dans le fait d’être si affectés par ces morts injustes c’est ce sentiment insistant de ressentir d’avoir perdu « quelqu’un de sa famille » (ce qui est le cas, en fait, puisque nous sommes une seule et même espèce avec les mêmes ancêtres pour tous). Et donc ce qu’il y a de bon - ce sentiment peu verbalisé et formulé – va nous être arraché pour culpabiliser par la recherche inappropriée des coupables. Les coupables sont les rôles : il faut « arrêter » les rôles. Arrêter c’est le mot judicieux du judiciaire – ne plus recommencer, immobiliser, changer les conditions objectives qui ont conduit à ceci. Et non pas s’entêter au toujours plus du même : cela c’est inciter à ce que ceci…recommence ! Oui, si plus personne ne jouait de rôles…rien ne serait arrivé. Aussi clair et limpide que cela : c’est le maintien si…maladif des rôles qui rend la société plus qu’inhumaine, plus que cruelle et plus qu’irresponsable. Retrouvez votre vulnérabilité vous allez voir si 80% des positions de « compositions de rôles » actuelle vont durer encore un jour de plus ?
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Comme le texte « Bile vient de bilan » l’a prouvé – il y une nouvelle sorte d’humains sans rôles qui s’en sortent infiniment mieux que nous dans ce drame effectif. Leur compassion est immense mais ne nuit ni à leur corps ni à leur équilibre mental. Les recettes sont toutes dans cet article :
http://www.imagiter.fr/2016/07/bile-vient-de-bilan.html
Il y a bien une autre civilisation possible, d’autres comportements possibles – cette société n’est pas la seule de vivable – d’ailleurs elle est…invivable. Nous pouvons la réorganiser tout autrement. Per exemple en y acceptant sa vulnérabilité ! Le fait majeur qu’un bon nombre d’entre nous sont sortis du système prouve que ce système est dépassé. Qu’il y a moyen de faire autrement. Qu’en fait, tous celles et ceux qui sont sortis du système font bien mieux que le système. Leurs comportements parlent pour eux. Et lorsqu’ils s’avisent de parler…mama ô mama ?
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Un rôle c’est ne jamais être soi. Toujours une autre personne. Ce n’est pas un grand service à rendre aux autres et à l’organisation sociale que de se déguiser en un personnage que nous ne sommes pas. Jamais. Souvent même le contraire de nous. Soit feindre un rôle ! Mentir, tricher, escroquer la société : tous les papiers d’identités sont faux. Identités trafiquées, trafics de faux en tout…etc.
Le contraire de jouer un rôle ?
…………………………………….. Bien évidemment…être soi-même.
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Rester confiants cela rend fort - effectivement, parfois, nous sommes bernés et nos petits coeurs meurtris - mais, la plupart du temps, non ! Qui s'est replié dans sa méfiance aigre est tout le temps berné, lui !
Une fois que nous avons montré nos prétendues faiblesses nous sommes débarrassés de ce regard incompréhensifs des autres – tandis que qui vit l’idéologie va conserver en soi, sans pouvoir s’épancher, ce nid à amertumes
après l’industrie la Nature est donc très malade ?
Lorsque des exigences démesurées d’adultes viennent empêcher toute expression de soi. Ne pas écouter vraiment mais là juger sans cesse - cela donne cela !