Découpler politique et élections ?
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Déjà, en déprofessionnalisant d’urgence la politique. Ensuite, en mettant en place la ou les solutions alternatives ! Et ne faut plus que la carrière des politiciens soit le seul sujet politique. Tout au contraire, il faut que les élus, une fois élus, ne parlent plus et à 100 % que de… politique pure. Soit la gestion de la société comme de tracer ses axes futurs. Et de mettre le tout à l’approbation de tous. Par des moyens que La confédération des 6 nations iroquoises ont inauguré depuis si longtemps l Et qui demeurent la meilleure …démocratie constitutionnelle connue à ce jour. Bien mieux que les Grecs ! Y’a pas photo.
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Ce qui manque le plus est le…débat politique. Entièrement saboté par les médias mercenaires et leurs flagrantes inobjectivités. La seule solution durable ? Découpler politique et élections. Que le débat ne soit plus souillé par les carriérismes, les corporatismes archaïques, les passéismes obsolètes, les rentes de situations injustes et des oligarchies illégales (oui illégales par rapport à la Constitution) d’argent. Il ne faut plus que la politique soit « esclavagisée » par les élections. Élections nouvelles, elles, chapeautées, par l’honnêteté, par l’équité, par la sincérité, par la droiture – cela est la justice incarnée. Cela les politiques professionnels l’ont perdu à 100 %. Leur temps est clos !
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De plus, ce qui corrompt atrocement les votes ce sont les médias qui influent si illégalement sur les…votes ! La politique n’est pas un métier mais un service ( les médias n’ont pas à s’en mêler) ! Ou elle n’est pas ! Et lorsque tout est inversé, nous les voyons « arracher » les votes oui…comme des voleurs. Oui nous les voyons marquer tout ce qui existe d’irrespects envers le droit électoral, envers le droit constitutionnel souverain de s’exprimer. Les électeurs sont bestialement piétinés. Ce pourquoi, tous les abstentionnistes le sont devenus le… soir des élections où nous assistions – avec une répulsion gigantesque – à tous les abus de propriétés, où le sens des votes sont scandaleusement défigurés. Et où tout le monde sent l’irrespect absolu de ces brutes finies, nommées politiques professionnels envers qui a voté pour eux. D’ailleurs, dès le lendemain, ils trahissent à 100 % leurs scandaleux programmes. Le vote n’était qu’une minable « formalité » avant leurs illégaux…abus de pouvoir ! Les promesses sont sacrées et n’engagent que qui les émet. Tout professionnel devrait donc être…promptement démissionné pour rupture unilatérale de sa promesse…qui l’engage. Puisque lors de sa…campagne, il l’affirme que c’est son… « engagement » – ce qui décide justement de voter pour lui…Si ce n’est ainsi – plus jamais nous ne les laisserons salir le droit de vote par leurs insupportables et ricanantes corruptions. En fait, un abstentionniste est un personnage qui respecte infiniment le droit de vote. Et qui refuse la moindre prostitution de celui-ci ! Et le politique professionnel quelqu’un qui ne respecte absolument pas le droit de vote. Clair ?
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« Un certain nombre d’électeurs ressentent un sentiment d’exaspération face au mode de scrutin en vigueur, mais il reste à trouver la bonne alternative », avance Antoinette Baujard, maître de conférences en sciences économiques à l’université Jean-Monnet de Saint-Etienne.
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La-démocratie-autrement-: le-vote-par-notes ?
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Avec une poignée de chercheurs, elle étudie un autre modèle : le vote par notes ou par approbation. Son principe ? « L’électeur note chacun des candidats. Dans le cas du vote par approbation, il met 0 ou 1. Le vote par notes, lui, peut inclure une évaluation négative, ou encore proposer un classement allant de 0 à 2 ou de 0 à 20 », détaille l’universitaire. Plutôt que de se prononcer en faveur d’un candidat unique sans évaluer ses concurrents, il s’agit de classer chaque candidat sur une échelle de valeur prédéfinie.
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…………………….Le gagnant est celui qui obtient le score le plus élevé. »
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Le vote sincère (en toutes connaissances de causes ) y remplace le plus liseré de corruption du…vote stratégique !
DES EXPÉRIENCES SUR LES MODES DE SCRUTIN
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D’autres alternatives sont aussi envisageables. Lorsque le but est de déprofessionnaliser le politique – ce n’est pas perdre du temps avec l’envasement dans des discours sur quelques mots qui compte. Comme les scandaleux éloges sur les revenus d’existence se voient enlisés depuis les années 1970 - parce que certain-e-s se prennent le droit d’oser que leurs formulations sont plus importantes que le but poursuivi. Échecs garanties. Pareil pour l’écologie politique et la trahison que représente de prendre sa propre formulation pour le but…collectif ! Pareil pour…Etc.
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« Lorsqu’on parle de réforme de la vie politique, on part souvent des institutions dont il faudrait repenser les contours, moins souvent des hommes et des femmes qui font la politique de la France, dont il faut réfléchir au moyen d’assurer le renouvellement. Le renouvellement de la classe politique sera pourtant un sujet majeur de la campagne présidentielle de 2017, porté avec mauvaise foi et sans proposition nouvelle par le Front National. C’est un enjeu central dans la lutte contre la montée des populismes en Europe, que seule l’incarnation d’une forme de rupture citoyenne avec les partis traditionnels paraît aujourd’hui susceptible d’endiguer. […emprunter ce langage c’est endosser le côté révolutionnaire de la politique – on ne s’en sort pas comme ça à user d’une rhétorique inhabituelle sous certaines plumes !]
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Déprofessionnaliser-la-politique-ce-n'est-pas-la-rendre-moins-compétente
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Modifier le recrutement du personnel politique, c’est former le projet non seulement d’introduire davantage de diversité dans les instances de décision à tous les échelons mais aussi davantage de représentativité, et donc de crédibilité. Nous proposons d’ouvrir davantage le recrutement non seulement des élus mais aussi des collaborateurs les plus influents à commencer par ceux des cabinets et les hauts fonctionnaires de l’administration, bref tous ceux qui « font la loi » avant de la faire voter par les élus.
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Il ne s’agit pas de céder à la tentation du cliché, d’un « tous pourris » en version édulcorée sur le mode du « tous les mêmes ». Il y a certaines vertus à une indéniable professionnalisation du personnel politique. Que des gens choisissent une forme de cohérence dans des parcours qui les mènent d’un engagement associatif ou syndical à des fonctions politiques, que des fonctionnaires voués aux institutions publiques et formés à leurs arcanes s’engagent en politique, n’est ni à regretter ni à empêcher.
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Le problème démocratique se pose en revanche lorsque les profils de recrutement et les parcours de sélection s’uniformisent au point de participer au divorce des citoyens avec leur personnel politique et, ultimement, avec leurs institutions. A l’inverse, déprofessionnaliser la classe politique ne signifie pas la rendre moins experte ou compétente ; au contraire : une reconnexion avec la société civile est à bien des égards gage d’une meilleure qualité des décisions publiques.
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Nous formulons des propositions qui s’appuient sur quelques axes transversaux : injection de diversité parmi élus et personnel politique, fluidification des échanges entre secteurs privé et public, accompagnement démocratique de formes d’engagement citoyen qui contribuent à façonner la politique en posant notamment les conditions d’une véritable démocratie numérique.
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On pourrait désigner par tirage au sort 15 % des élus des assemblées délibérantes des collectivités locales. [ce chiffre est évidemment insuffisant : dans un autre de nos article nous options pour 2/3 de votes par tirages au sort et 1/3 de politiciens en place – puisque la déprofessionnalisation est gage sûr de plus de qualité politique… ]
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Ces mécanismes s’inscrivent aussi bien dans la tradition de la démocratie athénienne que dans celle des jurys d’assise, que la culture nord-américaine utilise très largement, au bénéfice d’un service citoyen qui fait consensus au sein de la population et des entreprises privées. Le recours au jury de citoyens tirés au sort pourrait également être utilisé de manière ponctuelle pour l’examen de certaines décisions structurantes engageant la collectivité, telles que des grands projets d’aménagement ou d’investissement. [ ce qu’il faut, derrière ces formulations trop imprécises – c’est de garantir à fond la contribution démocratique, volet souvent escamoté du débat : et cela seul le réel tirage au sort pourra y parvenir ! Le politique n’est plus une carrière lucrative mais un service envers les autres !].
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C’est un axe majeur d’innovation pour promouvoir davantage de représentativité du personnel politique et d’efficacité de l’action politique. Il devra avant tout s’appuyer sur des initiatives volontaristes à l’initiative du secteur privé. Bien qu’étrangement méconnus par ceux qui réclament un « statut de l’élu » et autres réformes législatives, de nombreux dispositifs juridiques existent déjà, qui protègent les candidats et élus au sein de l’entreprise et leur apportent des garanties à la fin de leur mandat.
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Il faut ainsi favoriser les programmes d’accompagnement à l’engagement civique et citoyen pour les travailleurs du secteur privé sur une base volontaire. A l’exemple de Michelin et du « Manifeste pour l’engagement citoyen des entreprises et de leurs salariés », nous préconisons de proposer aux entreprises volontaires des modèles de protocoles qui prévoient non seulement des facilités matérielles allant au-delà du droit existant (exemple : décharges horaires rémunérées pour les salariés élus à un mandat extérieur à l’entreprise) mais qui, surtout, valorisent cet engagement au sein de l’entreprise.
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Rendons également possible l’échange temporaire de personnel entre administration et entreprises privées sur le modèle anglo-saxon (« secondment ») utilisé entre entreprises privées. De tels échanges, conçus pour des postes de gestion de projets par exemple, permettront, non seulement, d’accroître la compréhension mutuelle des secteurs privé et public, mais également la facilitation d’une intégration dans le privé d’anciens élus, contractuels administratifs ou fonctionnaires, qui valorise les compétences acquises, souvent très utiles dans le champ du secteur privé.
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Enfin, mettons fin au fonctionnement en vase clos des cabinets et de la haute administration […c’est là un aspect important de la corruption inerte car structurelle de la politique ] en réduisant fortement les bénéfices […scandale que de « faire pour de l’argent » !] du statut des hauts fonctionnaires. Il s’agirait de développer la diversité socioprofessionnelle et statutaire des membres de cabinets ministériels ou d’élus et au sein des postes d’encadrement supérieur de l’Etat, qui ne seraient plus réservés aux hauts fonctionnaires – dont le statut [trop corporatiste donc contre une concurrence… libre et non faussée] pourrait être supprimé. »
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Maintenant – ayant suffisamment semé pour nourrir un débat de fond – l’explication du pourquoi la majorité ne peut plus SUPPORTER la professionnalisation de la politique. Là, nous entrons dans nos corps, dans nos nerfs, dans nos humeurs et…sensibilités directement vécues. Genre « ce que vous aviez toujours voulu savoir sans jamais oser le demander ». Seulement, ici, c’est grâce à un biais – comme il faut agir lorsque nous avons affaire à des malades qui dénient leurs graves symptômes. Voyez et convainquez- vous !
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"Une petite musique s’est installée insidieusement : le désamour des Britanniques pour le « remain », ou encore la défiance envers la loi El Khomri proviendrait d’une carence d’explications, d’un défaut de pédagogie. [notons que c’est un « marronnier» de la lâcheté de la, politique professionnelle ! Marronnier inadmissible ! ] « « Le démarrage a été raté parce qu’il n’y a pas eu de pédagogie sur la loi » a justifié la ministre du travail interrogée sur les mauvais sondages d’opinion à propos du projet de loi. « La France qui résiste à la loi El Khomri est cette France qui a peur, à qui on n’a pas bien expliqué les changements », analyse de son côté Pierre Gattaz président du Medef, ou encore « nous n’avons pas été de bons pédagogues » …[…radotages écœurants déjà utilisés milles fois et plus…] affirmait encore récemment un responsable britannique après l’échec (sic) [ceci n’est qu’une opinion non un fait d’expert : un résultat n’est ni bon ni mauvais par lui-même. Par contre, si une faction de la société se prétend propriétaire de tout (et ce contre la Constitution) nous comprenons mieux ces verbiages irréfléchis !] du référendum.
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L’emploi de la notion de pédagogie par de nombreux responsables publics n’est pas neutre. Bien au contraire. Il trahit la vision qu’ils peuvent avoir de la communication avec les citoyens et du débat [non]public en général. Qu’il s’agisse de la Loi travail ou du Brexit, l’opinion n’aurait rien compris du tout […et si c’était l’inverse : pourquoi, en hypothèse, de prétendus gouvernants ne se tromperaient jamais – cela ne sonne pas faux ?] et les citoyens mériteraient une mauvaise note […voir les élections…par note, présentées plus haut !] pour n’avoir pas bien suivi les cours qui, eux, daignent-ils à reconnaitre, n’ont pas été assez intensifs. Il suffirait donc de mieux préparer les cours et le programme pédagogique envers l’opinion qui penserait enfin justement, et les citoyens voteraient correctement ! […à part le mépris abyssal, tous ces délires de prétendus gouvernants ne rencontrent jamais la moindre parcelle de réalité !]
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Les-français-méritent-des-démocrates-enfin-intéressants
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Défaut de légitimité : Laissons la pédagogie aux pédagogues, professeurs, enseignants, instituteurs, éducateurs, précepteurs, voire aux médias et aux factcheckeurs (vérificateurs de faits) même. Elle sera bien gardée. La pédagogie ne s’improvise pas et ne se décrète pas. Un contrat pédagogique lie l’enseignant et l’enseigné. L’enseignement ne peut produire ses fruits que s’il y a accord et reconnaissance réciproque entre l’enseigné et l’enseignant sur les objectifs mêmes de la formation. En clair, si l’enseigné reconnaît légitime l’enseignant. Et c’est là que le bât blesse. Il n’y a pas défaut de pédagogie, mais bien défaut de légitimité. Ce n’est pas nouveau, tant le constat du fossé entre les élites et les citoyens est criant. […en clair nous espérons une « expertise politique » d’un politique – or, s’il n’est plus jamais dans la réalité, son in expertise est flagrante. Son usage de la pédagogie le disqualifie donc à fond. C’est du hors sujet. Il n’a pas fait son travail. En est-il seulement capable ?].
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Pour Émile Durkheim, « La pédagogie, l’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale ». Sûrs d’avoir raison, d’avoir tout compris, vivant dans un « splendide isolement » les apprentis pédagogues en mal d’éducation des citoyens-enfants sont illisibles et inaudibles tant ils sont suspects d’être intéressés à prodiguer leurs enseignements. En voulant enseigner « leurs vérités » à des citoyens en réalité adultes qui ne leur reconnaissent pas légitime ce rôle, ces apprentis pédagogues abandonnent sans s’en rendre compte le champ de bataille du débat public aux démagogues [la corruption vénale de l’ex-pédagogie !].
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C’est en réalité une véritable désertion à laquelle nous assistons à travers cette posture. Les citoyens dans nos démocraties matures nous le disent, alors entendons-les : ils n’attendent pas de leçons de la part des acteurs du débat public, ni qu’on leur enseigne une vérité révélée, mais attendent d’être à la fois écoutés et convaincus, voire enthousiasmés. Ils méritent des acteurs du débat public engagés […voir plus haut comment un engagement ne « tient » que par le respect de ses propres promesses !] qui leur donne envie de s’engager à leur tour. Ils méritent des responsables publics qui se rendent audibles en intégrant leurs préoccupations et qui n’ont pas l’air de défendre tel ou tel corporatisme ou rente de situation en les prenant de haut. [dans ce cas prendre de haut…c’est agir très bassement !] Ils méritent bien mieux que de corrompus « pédagogues » intéressés :
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………………..des démocrates enfin intéressants ! »
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Les-élections-n'ont-jamais-été-conçues-pour-être-démocratiques.
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Aveu de corruption – élections actuelles : armes de corruptions massives ?
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De l'économie du bien-être à la théorie de l'équité : Ce document vise à présenter l'évolution de l'économie du bien-être, en particulier la nouvelle économie du bien-être des critères de compensation ou celle de Bergson-Samuelson ainsi que les champs émergents de l'économie du bonheur, de l'approche comparatiste d'A. Sen et de la théorie de l'équité de Marc Fleurbaey.
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Un commentaire scientifique sur le votre par notes : “We answer here to François Allisson’s and Nicolas Brisset’s comment on our article « Approval Voting, Evaluation Voting : An Experiment during the 2012 French Presidential Election » published in 2013 in the Revue économique (n˚64). We develop five arguments which enable to qualify their main claim that the informational context in which these voting experiments were conducted cannot not lead to the conclusion that the dilemma between sincere voting and strategic voting has been vanished.
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation
….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
lorsque la corruption illégale des médias a souillé le droit de s’exprimer librement, nommé vote libre et non faussé !
la politique c’est le contraire d’être les courtiers serviles des financiers, des financiers plus qu’irresponsables ! La politique c’est ce qui leur impose une feuille de route et jamais l’inverse !
les politiques professionnels sont LE problème politique majeur : ils font tous de …l’antipolitique
L’antipolitique des professionnels c’est partout la… médiocrité – absolument plus aucune grandeur de vue. Qu’ils ne se préoccupent plus que de leurs intérêts égoïstes le pays n‘en a rien à foutre. Ils ne sont pas sérieux ? Il faut qu’ils démissionnent ou que nous nous passions d’eux !
politiquement oui…le pays s’en sortira mieux !
exceptionnel - pas un mot en trop...
80 % à 90 % de la population qui n’est que spectatrice – ne le sera plus dès les élections par tirages au sort de citoyens volontaires ! Avec pas plus de 2 mandats révocables sur sa vie…