Inexorable ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Inexorable ?

Inex-orable. Inox érable ? Oration. AdOration ? Tout semble vocal. Tout demeure oral. Le langage reste quadrillé par sa manducation, son son et l’élocution des circonlocutions - locutions. Le clin de seuil d’accueil ? Paralexème ou syntagme en vrais groupes… de mots !

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Alors, l’oreille demeure à son orée, le loquet de son é-loquence, l’orée de pérorer. Et nous dévorés à l’orée de l’oral. Dévoré orée – dévoré oral ?

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Du latin devorareavaler, dévorer, déglutir, engloutir »). Les flammes ont dévoré ces chefs-d’œuvre. - Le temps dévore tout. 121-35 devurer « avaler, manger gloutonnement ». Dévorer vorace race voration enflammée frugivore.

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La faim restait immense ! La glougloutonnerie rencontrait la confrérie goinfrerie.

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Eh bien ! c’était une erreur. Désirer… déchirer… cela rime. Qui aime d’amour songe à l’un – et fait l’autre.

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Aux extrêmes, extrémités même :

« Je me suis donc fort méprise. Enlacérer, lacérer,
Cela rime et celui qui aime d’un cœur ardent
Peut prendre l’un pour l’autre. »

Dans la fantasmatique de l’oralité (être dévoré, mordu, consumé, mordu de…très amoureux) des pulsions sexuelles à but passif (être pénétré, recevoir, subir), qui renvoient à l’angoisse de castration, le déguisement est peut être plus fréquent lorsque se conserve, intacte, l’angoisse. Angoisse ramenée au danger d’être dévoré. Tout cru d’avoir été…cru ! De ce point de vue, la tentative de Kleist et de ses traducteurs de mettre en représentation Penthésilée donne un éclairage à l’analyste pour l’écoute de l’oralité.

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L’oralité qui s’écoute, se module, est modulée, se saisit, nous saisit, nous empoigne et nous poigne poignante jusqu’aux poignets. Lorsque (…de l’autre côté du message) s’exprime l’oralité si elle semble buccale, buccins de la bouche, c’est tout le corps – en réalité - qui y participe. Comme si l’oralité arrachait des cris, déterrait des racines, nous ramenait la certitude de nos humus humains. Le verbe est haut et la conjugaison basse. Oratoires et laboratoires (toute science prononce à voix haute qu’elle veut concurrencer tout le langage !).

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pOnctuation ponctuelle

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La ponctuation est la part visible de l'oralité. La visualisation des rythmes de ses scansions... Vue ainsi, elle est une graphie du temps, selon sa subjectivation, quand il y a subjectivation, c'est-à-dire quand il y a un acte de littérature, où s'inclut le poème, et même au point d'inverser les termes : qu'il n'y acte de littérature que lorsqu’il y a quelque chose de l'ordre du poème. Le poème tel la plus forte énergie orale jamais vécue. Le feu aux poudres. La flamme dans les mots.

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-écritures et oralités...

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…Oralité de la bouche adorable à l’orée de l’articulation orale orable …L’insoutenable oralité de l’être –

La ponctuation représente alors, au plus près, tout ce qu’il y a de physique dans l'écriture et de charnel dans la lecture. Onctuations des ponctuations. Ponctué. Scandé scandale scandé. Cadencé dansé densément. Rythmé. Marqué. Accentué. Ponctuée ponctuation. Par l'espace, une figuration du temps. Par le visible, une figuration de l'audible. Du son grondant, du son susurré. De la voix. Du grain de la voix. Ponctué onctué onctueux. Ponctué, ponctué…ponctuel. Ponctuel. Pïle poil. Pile à l’heure. Toujours dans le rythme. Dans le tempo du temps. Dans le temps des tempes. Régulier et homogène. Mesuré et…mesureur.

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La ponctuation a jusqu'ici surtout été entre les mains des historiens et des philologues. Il importe d'en reconnaître la charge poétique en la laissant éclater de plénitude. // ! ^¨^)) « « # é – è _ \ + , ;: … ??? \\ _

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Freud-Lacan :- Pour_une_poétique_de_la_ponctuation

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Il faut partir, si on veut comprendre quelque chose à une poétique de la ponctuation, d'une distinction qui n'est pas faite communément entre ponctuation et signes de ponctuation. Distinction, le mot s'impose. En latin médiéval, il désignait justement distinctiones - les termes qui définissaient les pauses et leur importance dans le discours : distinctio media, subdistinctio. Discours plus souvent dit qu’écrit !

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Le fait élémentaire que la ponctuation est un phénomène de l'écrit a masqué l'oralité du langage, comme si l'écrit annulait l'oralité, au lieu d'en être le représentant visuel. Oui comme si l’écrit…dévorait tout l’oral. Tout est là ! Le cri écrit ne remplace pas la voix vivante ! Il appartient à un tout autre registre. Ni l’oral ni l’écrit ne doivent s’annuler, mais bien s’épauler l’un l’autre. Ils œuvrent dans deux directions si différentes mais si complémentaires !

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Corps-violentés--: l'erreur de l'horreur

L’erreur de l’horreur : la mastication même des mots.

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Kleist écrivit toujours ses pièces dans la conscience de leur mise en scène ...à savoir que Penthésilée, parmi sa meute de chiens, a littéralement dévoré Achille. N’est pas restée à l’orée !

………Penthésilée, couchée dans la mêlée des chiens enragés,

………Elle, qu’un sein de femme jadis enfanta, elle arrache,—

………Un à un elle arrache, elle dépèce les membres

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érables inexorables ! - orages oracles ORABLES honorables…horus chorus !

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La-contre-culture-ou l'oralité bien utilisée

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i’m not

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Adorable exorable inséparable favorable durable agréable oracle orateur

En didactique de l’apprentissage des langues, oraliser est souvent confondu avec l’acte de lire. Lire est une activité silencieuse de compréhension d’un écrit. Oraliser désigne l’activité par laquelle on passe de la lecture silencieuse à la lecture à voix haute. Oraliser suppose donc un support écrit qui est d’abord lu silencieusement (= compris) pour pouvoir être "verbalisé" à haute voix. C’est donc une des composantes de l’expression orale qui prend racine dans des compétences de compréhension écrite

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Oralité Oralement Adoration Oration orale

Les prétendus maitres de ce monde ne suscitent absolument aucune admiration. Ils saccagent tout pour vraiment rien ! Ce sont des mécanisés de l’acéphalie (absence de pensées). Des cerveaux reptiliens plus froids que la mort. Ils ne créent rien – et pratiquent juste le mimétisme inertiel. Rien de grand, avec du panache, de l’honneur et de la générosité. Tout demeure desséché petit, sordide et laid. Cette inhumanisme sidère, demeure dans la sidération considérable : ils profitent bassement de ce sentiment d’horreur qui ne sait pas encore se formuler pour voler (…comme des…voleurs – oui si sournoisement, sans envergure et en rampant plus bas que quoi que ce soit ne l’a fait avant eux !). Voler tout ce qui ne leur appartient pas du tout ! Ce pourquoi ils demeurent sans voix, sans présence orale, sans transmissions d’émotions physiques, sans corporalité des désirs et des besoins. S’avisent-ils (quasiment jamais !) de s’exprimer que leurs voix semblent métalliques. Sèches, somnambules, ventriloquées, d’outre-ailleurs. Oui…détimbrées. Absentes oui…absentes ! Ne participant en rien à l’humidité de l’humus, à l’humus de l’humain.

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Le cumul qui s’accumule – toujours plus d’effets systémiques extrêmement négatifs (et qu’au lieu de juguler ils vont, irresponsablement, faire proliférer !) - explique le SANS VOIX de leurs enrichissements ex- ponentiels. Tout en sachant que l’exposant variable avoue que l’étymologie du latin exponere, exponens est bien exposer…S’exposer, se poser, poser là. Enrichissements à la portée de n’importe qui puisque ce sont des effets de système externes à chaque personne. Et qui ne nécessitent aucunes qualités personnelles. Dont nul ne peut se prévaloir. Et surtout pas persister à faire comme si les plus-values collectives leur « revenaient » toutes entières. Faux et archi faux. Ce pourquoi - à part eux - nul ne s’abaisse à des moyens aussi sales et aussi antisociaux. Être trop riches signe bien une déchéance. Celle qui leur aura volé la …voix. Aucun-e d’entre eux n’a une voix audible. Contrairement aux autres humains – ils n’ont pas traversé l’ORALITÉ ! Ce qui veut dire, et bien, qu’aucun ne serait reçu à…l’oral.

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Ex surgi de ponere exposer déposer composer apposer disposer entreposer imposer indisposer juxtaposer interposer opposer préposer proposer reposer transposer,…etc.…

Obstination (obstinatio, persévérance) Obs-tination Ob-stination compulsion obsessionnelle (….ils ne savent pas quoi faire d’autre) tressautés de maniaqueries qui leur échappent. Opiner opiniâtre….Destination, procrastination, agglutination, déglutination pugnace

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SYNONYMIE

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INEXORABLE, INFLEXIBLE, IMPITOYABLE, IMPLACABLE. L'étymologie donne les nuances qui séparent l'emploi de ces quatre mots. L'inexorable est celui qui ne se rend pas aux prières. L'inflexible est celui que rien ne peut faire plier, fléchir. Rendre plus flexible. L'impitoyable est celui qui est sans pitié. L'implacable est celui dont rien ne peut apaiser la colère, la vengeance, le ressentiment.

du latin inexorabilis (« qu’on ne peut fléchir », « inexorable », « inflexible », « implacable ») → voir in-, exoro et -abilis.

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inexorable \i.nɛɡ.zɔ.ʁabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui ne peut être fléchi, apaisé.
    • Il y avait, dans le son même de ce mot, quelque chose de définitif, d’inexorable et de fatal. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)

  • Pendant la Terreur, les hommes qui versèrent le plus de sang furent ceux qui avaient le plus vif désir de faire jouir leurs semblables de l’âge d’or qu’ils avaient rêvé, et qui avaient le plus de sympathies pour les misères humaines : optimistes, idéalistes et sensibles, ils se montraient d’autant plus inexorables qu’ils avaient une plus grande soif du bonheur universel. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908, p. 12)

Exorable ???

Du latin exorabilis (« qu’on peut fléchir (par les prières) », « qui se laisse gagner », « qui se laisse séduire », « qu’on peut corrompre ») de exorare (« solliciter, implorer »).

EXORABLE. - HIST. XVIe s. Ajoutez : Car plus il [l'Amour] est prié, moins il est exorable, [Desportes, Imit. de la compl. de Bradamant.]

Voilà quel est le peuple ; violent, mais exorable ; excessif, mais généreux.... [Mirabeau, Collection, t. IV, p. 314]

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...exoration \Prononciation ?\ féminin

  1. (Rare) Demande de pardon ou de clémence.
    • La vue de ces gens suggérait à Durtal que leurs suppliques différaient de ces prières qui sanglotent dans l’ombre des soirs, de ces exorations des femmes éprouvées, consternées par les heures vécues du jour. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
    • ..

inexorable, que l'on ne peut fléchir par des…exorations

exoro, infinitif : exorāre, parfait : exorāvi, supin : exorātum

De oro (« prier, plaider, parler ») avec le préfixe ex-

 Marque la sortie, la séparation, le point de départ. Écrit sans trait d’union, et aujourd’hui improductif.

  • Exprimer.

 Av. 1520 « auquel on ne peut se soustraire »

qui résiste aux prières » (Ronsard, Hymne de la mort, éd. P. Laumonier, t. 8, p. 175, 276 :

... et pour être a leur triste prière Toujours sourde, arrogante, inexorable et fière).

ex, et orare, prier, oral orare, parler, dénominatif de os, oris, bouche. La même oris que dans ORIGINE oris et gyne de femme comme dans gynécologue.

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Le mystère reste donc entier – le début original parle et exsude de ...parole…

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L’inexorable ? Que le plus beau ne pourra plus être plus longtemps caché…Le décacher ? Comme le décacheter ? Enlever la lettre de cachet (celle qui ne se reçoit que cachetée !). Inexorable – l’enveloppe ouverte, décachetée ? = (égale) = SE SEPARER DE PARLER. Un acte fortement anti-oral. Une suppression de la voix. Une sortie de l’écoute. Qui semble inexorable ne l’est que parce qu’il /elle n’écoutent plus rien !

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Le contraire d’inexorable est donc…Arrangeant doux clément indulgent !

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Quand on a emprunté au latin l’adjectif inexorable, il aurait fallu adopter aussi un verbe exorer (obtenir par la prière – puisque exorable existait !). – De même pour inéluctable, qui aurait bien besoin d’un verbe élucter (éliminer par la lutte).

Des grands vides dans nos... "étymologies" ? C’est que le langage n’est pas assez…parlé, oralisé. Expérimenté en bouche. La plupart de l’Humanité demeure …inexpérimentée du langage. Elle ne sait pas de quoi…elle parle !

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Le contraire d’inexorable est donc…arrangeant doux clément indulgent, etc. ! Rien de ceci, mais rien même pas dans les etc. n’existe dans le capitalisme. Qui ne sait qu’afficher des immenses pans de carences, de manques, d’incapacités, de dépossessions, de failles, de faillites de failles, d’insuffisances, d’incompétences, d’inaptitudes, oui de très graves faiblesses, etc. Il ferait bien mieux de s’occuper d lui-même plutôt que de s’imposer sauvagement aux autres !

Mais lui se cavernait dans l’inexorable cloître du mutisme.

C’est l’amour, l’inexorable amour, qui l’avait mise au sein des guerriers.

C’était bien vrai ; au-dedans, la tendresse, l’union, l’erreur pardonnée ; au-dehors, l’inexorable.

L’inexorable immutabilité de la loi rend donc souvent certaines fautes irrémédiables, ou, comme dans ce cas, ne permet de les effacer que par un nouveau crime.

Maintenant elle allait et venait, faisait du bruit dans la pièce unique, en regardant à tous moments l’inexorable aiguille qui glissait lentement, lentement sur l’émail du cadran.

À quoi me décider, quel parti prendre ? Cette malheureuse passion de la tante, l’inexorable superstition des parents d’Agnès, offraient des obstacles à notre union presque insurmontables.

Et, autour de ces grands enfants, le monde, c’était toujours et toujours le cercle bleu, l’inexorable cercle bleu, la solitude resplendissante, profonde, qui ne finissait pas, où rien ne changeait et où rien ne passait.

Elle disait cela, mais avec la certitude affreuse que l’inexorable échéance était arrivée, elle se sentait glacée d’horreur jusque dans les moelles, comme si elle eût vu le bourreau entrer dans sa chambre pour lui signifier son arrêt de mort.

J’étais oppressé par l’idée que les Sélénites allaient bientôt refermer leur couvercle et leur valve et nous laisser dehors, exposés à l’inexorable nuit lunaire, il me parut être grand temps d’abandonner les recherches et de nous concerter.

À peine reformé, au prix d’un effort inouï, dans sa pauvre cervelle confuse, le silence était aussitôt brisé, mis en pièces, émietté, par l’inexorable cadence dont l’imagination affolée répercutait l’écho à travers le réseau douloureux des nerfs.

Dans le lent tourbillon qui vous entraîne, je vois passer mes ivresses et mes fureurs, les flèches brisées de mes désirs et les fleurs souillées de vos trahisons, tout ce qui fut mon âme et votre jouet éparpillé en fugitives étincelles, balayé par l’inexorable vent des destinées.

Cependant la souffrance mortelle est entrée dans son âme, et tapie bien au fond, elle ronge toutes les forces vives : confiance, espoir, amour, courage, tout s’effrite, tout s’en va, le cœur se crispe, se tord, voudrait crier sa détresse, mais la loi, l’inexorable loi du silence qui clôt tant de lèvres de femmes, lui ordonne de ne rien laisser voir de ses déceptions, de ses regrets, de ses amertumes, de son infinie lassitude.

Cette forêt-là faisait songer aux capricieux paysages de l’Arioste, à l’Atlantide, à la Floride, à tous les pays de rêve où, de tout temps, s’est réfugiée l’imagination des poètes blessés par l’inexorable dureté des hommes et des choses ; elle avait un air de légèreté irréelle ; ses couleurs étaient trop adoucies et, à la fois, trop éclatantes, ses bosquets trop noblement disposés pour que tout cela ne fût pas une illusion qui, d’un moment à l’autre, allait s’évanouir.

Est-ce le grand attendrissement qui me venait de tous les déclins, et que subissent tous les êtres ayant un semblant d’âme, qui me faisait le cœur prêt à recevoir une plus durable empreinte, comme une cire amollie où les sceaux s’impriment plus profondément ? Toujours est-il que c’est sous un ciel embrumé, devant un paysage s’effritant en poussière d’or, à la lumière des couchants rayés de cuivre et de topaze, que mes rêves obscurs sont devenus de puissants désirs, que j’ai senti ma chair mordue par l’inexorable, despotique et exclusif besoin d’une autre chair.

Tant que le regard d’une femme pourra être un bouleversement, tant qu’Alceste frémira devant Célimène, tant que cette réponse glaciale sera faite à l’angoisse poignante de la passion : Dois-je prendre un bâton pour les mettre dehors ? tant qu’Othello sera possible, tant que la toute-puissance sera impuissante à faire aimer un empereur par une gardeuse de moutons, tant qu’il suffira d’un sourire accordé ou refusé pour allumer le taureau de Phalaris dans une âme humaine, tant que les cheveux blancs d’Arnolphe supplieront risiblement et lamentablement l’inexorable enfance d’Agnès, tant qu’on sera ou qu’on pourra être laid, bête, difforme, infirme, envieux, jaloux, inégal en intelligence, ou en jeunesse, ou en beauté, dédaigné, rebuté, moindre, l’homme sera terrible.

Mais lui se cavernait dans l’inexorable cloître du mutisme.

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Quelles que soit la littérature empruntée - nul-le ne peut donner raison au capitalisme sans voix, sans incarnation orale. Sans parole : et, en effet, n’en tient-il aucune de parole ! Le parjure absolu. Il demeure un monologue solitaire, ne peut sortir de son monologue : et s’égare toujours plus dans sa solitude antisociale ! Sa flagrante marginalité ! Son monologue? C’est d’une sordidité repoussante : « tout est à moi et vous devez l’admettre avec gratitude. Vous devez me remercier de vous piller. Vous devez rester immobiles ET MUETS vous laisser dépouiller de tout. Je suis absolument hystérique et plus fou que la folie : si vous ne me laissez pas continuer…je crie partout (comme l’on dit…je pisse partout)….etc. » Ses marqueurs sont tous de la vulgarité…insurpassable. Et rien d’autre. C’est un malade par débilité et faiblesse anémiée de la…voix. Sa grave maladie carencielle c’est celle de la voix ! Et sa …réponse …de nuire de nuire et de nuire. Ce qu’il y a à retenir ? Sa demande démente que nous devons NOUS TAIRE lorsqu’il poursuit ses illégalités d’enrichissements minables (paradis fiscaux, non paiements d’impôts dus, fraudes fiscales au niveau de…cancres, monopoles anticonstitutionnels des médias afin qu’il soit difficile de…dire quoi que ce soit contre eux - bref, que du minable, trop à la portée de tout le monde !). Leur maladie est orale et…leur terreur est que les autres (qui que ce soit !) PARLE…puisque leur préscience c’est qu’à un moment ou l’autre de la parole – leur effondrement complet se rendra complètement visible !

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Donc fin de la trajectoire des déductions, la flèche de la solution sonne triomphalement : les capitalistes savent que c’est par les mots qu’ils seront abolis. Comme ils ne peuvent …dissoudre le langage. Et qu’ils n’ont montré qu’une absence de lâches véritables sur tous les fronts du réel…une mollesse plus qu’anormale dès que nous nous trouvons à proximité physique, corporelle et charnelle d’eux. Qu’ils de survivent que dans la désincarnation (l’oralité incarnée venant foutre en l’air tout leur jeu… maniaque de quilles ). L’inhumaine désincarnation incarnat

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Que tout le monde se mette à parler. Ceci se nomme conversation ! Cela se nomme verser dans converser. Et converser pour quoi ? Pour les conversions ?

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Et comment les conversions aboutissent ?

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Nul-le ne le sait sinon que le prodige prodigieux commence toujours par nous…

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…………………..conversions de nos conversions !

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

La louve

La louve

...évolution des statues

...évolution des statues

Ubacs Penthésilée

Ubacs Penthésilée

Inexorable ?
Inexorable ?
Inexorable ?
l’oration slam

l’oration slam

Inexorable ?
les décors aux goûts pâtissiers…aux enduits de crème et aux craquants des meringues et des biscuits…

les décors aux goûts pâtissiers…aux enduits de crème et aux craquants des meringues et des biscuits…

sorties où ?

sorties où ?

Un philosophe aujourd’hui oublié, Herbert Marcuse, nous mettait en garde : nous ne pourrions bientôt plus critiquer efficacement le capitalisme, parce que nous n’aurions bientôt plus de mots pour le désigner négativement. 30 ans plus tard, le capitalisme s’appelle développement, la domination s’appelle partenariat, l’exploitation s’appelle gestion des ressources humaines et l’aliénation s’appelle projet... .. Des mots qui ne permettent plus de penser la réalité mais simplement de nous y adapter en l’approuvant à l’infini. Fort heureusement, il a eu…tort. Ce texte « inexorable ? » en est un des multiples reflets !

Pour avoir des idées neuves, il ne faut pas être prisonnier des autres

Nous ne sommes pas issus d'un "big bang" aléatoire mais causés par un BUT inexorable dont l'impossibilité engendre l'énergie créatrice à chaque instant. Nous faire croire que nous sommes dépendants d'un hasard passé est une manipulation nous retirant notre liberté. Pour la retrouver, il faut reconnaître que c'est à chaque instant que l'esprit engendre l'effet de matière. Ce retournement de connaissance est la révolution scientifique qui ouvre à la Cinquième Dimension.

Ils osent penser le monde en avance -- les tendances de la création et ce qu'elles disent de la société.

Dévorée par la passion, rongée par le devoir, affamée par le désir. C’est donc la reine des Amazones qui rencontre son Achille. Son talon d’Achille même

Lorsqu’il ne s’agit que de parole, de parler, d’oralité – l’idée d’une mise en scène sans mots. Oralité c’est aussi manger croquer dévorabilité, dévorer. La bouche mange et parle. .

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V
J’adore vraiment ce que vous faites, bravo !!! Merci bien de partager avec nous cet article.
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