Mise à mort du profit ?
Profits = qui nuisent gravement à l’environnement ? Il y a quelque chose qui ne colle pas. Les profits devraient apporter la prospérité – ils n’apportent que la ruine. Ruine de la nature, ruine de la vie. Oui il y a vraiment quelque chose qui ne colle pas du tout. La jonction malfaisante profits = nuire gravement ! Pourtant, une très bonne nouvelle ? Il semble que la majorité des esprits soit parvenu à cet acte alchimique : dès qu’il est parlé de profits ne plus penser qu’à…oui mais après combien de dégâts infligés à la vie et à la nature ? Le profit est une catastrophe, un cataclysme : voilà qui décrit mieux cette prédation si illégitime…Le profit comme ennemi du genre humain ? Ceci sonne vrai. La musicalité même de la phrase emporte les adhésions Le profit c’est un…profiteur. Un mot pas du tout reluisant. Donc un parasite, un mac, un proxo, un pillard ou un marchand d’esclaves. Oui un esprit malsain et un cœur gangrené à qui nous ne confierons ni nos enfants ni nos vieux, ni personne d’ailleurs. Puisque dès que le mot profit parait toute confiance disparait !
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N’est-ce pas un aspirateur qui vole sous nos yeux tout l’argent des autres ? Vraiment tout comme le grand banditisme nommé « faire des affaires » et tout le show serait pour le business – perdu ! nous allons mutualiser la musique et toutes les expressions artistiques, les faire s’amplifier par coopératives de production et de diffusion partout et bloquer tous les accès en ce qui concerne l’argent fou et si malade. Pas touche ! Dégage t’as pas fourni les gages ! Oui ce grand banditisme là. Lorsque Alexandre Dumas, le fils a avoué pour eux : « les affaires c’est s’enrichir avec l’argent…des autres ». Donc profiter des autres, être leur pique-assiette, leur écornifleur leur antihygiénique…parasite. Quoi de plus naturel alors de se gratter énergiquement. Afin qu’ils arrêtent de nous gratter !
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A chaque seconde – donc - le mot profit devient plus laid, hideux, monstrueux. C’est bien le contraire d’une civilisation. Une barbarie inacceptable. Une régression de l’espèce humaine. Un poisson qui pourrit par la tête ! A chaque seconde le mot profit prouve qu’il ne peut jamais être du côté du Droit et de la loi – que seuls les effondrés de la délinquance capitaliste peuvent « croire » en cet acte d’antisocialité à répétition qu’est le profit…le profit est toujours contre…le social. Donc contre la société. Contre chacun-e d’entre nous. C’est l’ennemi identifié. Nous devons mettre fin à cette illégalité nocive. Non absolument aucune société durable ne peut se constituer autour du profit du trop petit nombre. Donc aux dépens de l’écrasée majorité des citoyennes et citoyens !
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Il n’y pas de profit « pur ». Tout profit est un coût concret et effectif. Pas de gain autonome tombé du ciel Non, il n’y pas de profit tombé du ciel et qui ne soit pas entaché de sa récolte des plus-values collectives : soit ce sont les autres qui ont produit « votre » prétendu profit. Et vous ne les dédommagez pas pour cette flagrante spoliation en public ? Le profit déclaré ici est un coût reporté plus loin. C’est une charge pour autrui. Le profit empêche toute prospérité collective : il la vampirise que pour une poignée de marginaux détraqués. Dérégulés. La conclusion ? Vous êtes juste un escroc et un criminel économique (qui nuisez à l’économie réelle !) si vous vous affichez comme ayant « réalisé » d’énormes profits. Nous, nous avons « réalisé » que c’est d’énormes braquages collectifs que vous avez commis, en fait. Nous devons mettre fin à ce détournement de toute la société pour la sordidité de votre illégal égoïsme.
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Comment rendre la honte encore plus honteuse ? Pas une civilisation, sauf la prétendue notre, n’accepte l’arnaque ahumaine des intérêts composés – la pire des usures, qui peut être considérée comme un réel crime contre l’Humanité. Nous sommes tombé plus bas que la lie de l’Humanité – surtout si nous acceptons que cet immondice continue…Une preuve inattendue ? Oui toujours le zombie qui te dégoise comment c’est structuré des intérêts composés comme seule explication en boucle (comme si de ne pas l’admettre, c’est parce que nous n’aurions pas… compris). Au contraire, nous avons trop bien compris les intérêts composés. C’est une véritable spoliation de l’Humanité que les intérêts composés. Bientôt tous décomposés ! Qui les pratique, dans l’illégalité constitutionnelle la plus totale, devra aller directement en prison. Et n’aura plus à passer par la case départ ! L'argumentation consistant à dire que l’arnaque des intérêts composés, globalement (macroscopiquement ), rend impossible de s'acquitter des intérêts liés aux crédits sans avoir recours à des… crédits supplémentaires – est complétée (en annexes) par une longue démonstration. Afin de liquider toutes les escroqueries que la Constitution interdit formellement. Mais que les indignes politiques professionnels n’ont jamais plus légiféré plus avant. Ce qui rend, d’ailleurs, l’arnaque des intérêts composés encore plus illégale (concussions, etc.)…
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C’est comme si une critique de notre si défectueux système de création monétaire dénonçait un paradoxe sous-jacent au remboursement d'intérêts sur le capital emprunté. Et nous positionnons, dans un tel système fermé, que l'octroi d'un crédit de 100 euros augmente la masse monétaire de cette même somme, mais son remboursement la diminue de son équivalent + l'intérêt remboursé. Cependant, la masse monétaire étant égale à 100 euros, ce premier client ne pourra rembourser l'intégralité de son prêt (capital + intérêt) que lorsqu'un…second client se verra octroyer un second crédit.
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Dit autrement - la critique consiste, alors, à pointer le paradoxe découlant de ce mécanisme : comment rembourser la totalité des prêts octroyés si l'intérêt de chaque prêt ne peut être remboursé qu'à travers l'octroi de nouveaux…crédits ? Cela ressemble à un manège sans fin qui étrangle un peu plus à chaque tour !
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Vu d’un autre point de vue – observons comment la pression maniaque et compulsive du profit (ne plus savoir rien envisager d’autre !) détraque tout le système de l’économie réelle ? Faire des profits, profiter ne fait pas vraiment partie de l’économie réelle. Qui est de rendre des services, de produire de la valeur ajoutée et d’en retirer des bénéfices. Dans ce dispositif, le profit découplé de toute réalité, est un intrus nuisible. Tout simplement, parce que le « profileur » (ce mot si peu reluisant) ne vient toujours qu’après, il suit et dépend complètement de qui le précède. La valeur est créée par qui est avant pas après…Le « profiteur » ne peut générer par lui-même du profit - il vole juste…les bénéfices légaux des autres ! Le profit se fait aux dépens des créations des autres : les véritables producteurs, agricoles, artisanaux, intellectuels, industriels (surtout PME-PMI…), artistiques, inventeurs, etc. Ce qui rend si lumineux l’explication de la folie irrationnelle du « court- terme » qui est comme de brûler la vie par les deux bouts.
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Le vrai créatif, lui, peut faire durer longtemps ses créations. Peut en reproduire souvent leur valeur. Peut oui prouver qu’il détient et maitrise tout le processus. Et il sait qu’il en fera d’autres, de créations valeureuses. Tandis que le profiteur, lui, ne produit rien, ne peut vivre autonomement ! Non, il ne peut reproduire, chaque jour, de la valeur de ses propres créations (vu qu’il ne crée jamais rien que des tropismes de voleurs !). Aussi, le « profiteur » (le minable faiseur de « profit » trop bien nommé !) ne peut faire qu’un seul coup, vite vite, avant que l’on n s’en aperçoive, ou qu’un autre profiteur repère le coup ou que le mécanisme soit étudié et rendu obsolète. Ce pourquoi – la folie des prétendus dirigeants qui ont abandonné le tableau de bord de la société à ces vrais détraqués – nous vivons dans le si contre…productif « court termisme ». Qui n’avantage que les escrocs pressés que nous ne les voyons pas ! Sortir du court-terme insensé c’est assécher les profits.
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Autre mécanisme démonté ? Le « profiteur » (cet hideux parasite) vient toujours après les vrais « actifs » de la société : l’entreprise qu’l va se permettre (à l’aide de procédés financiers plus que sordides) de démanteler et d’en dérober…les justes bénéfices attachés à cette création pure (il n’y avait rien – il y a une entreprise !). Ce qui nuit fortement à toute la société : un manque à gagner gigantesque. La destruction gangstérisée d’une vraie source de vraie création de vraie valeur. Ce qui fait la différence entre profits toujours immérités et bénéfices toujours mérités. Et qui ont le visage de la réalité rationnelle : puisque ses taux toujours pondérateurs, pondérés et résistants aux…impondérables (le poids des imprévisions) – aident vraiment la société. Tandis les profits la RUINENT. Ce qui interpelle suffisamment pour que soit envisagé…l’interdiction solennelle du profiteur, donc des profits de court-terme. Comme des valeurs qui ne viendraient pas de ses propres créations !
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Lorsque – à cause des « profiteurs » et de leurs prétendus profits…« On est donc passé d'une logique de gain à une logique de survie. Au point d'en oublier l'avenir, comme le décrit l'étude de Bain & Company. L'édition 2013 de cette étude révèle que les patrons français ne privilégient plus que 6 outils principaux de management, alors qu'ils en utilisaient jusqu'à 15 avant 2006. Le court terme et l'urgence ont donc bien pris le pas sur la planification et la préparation opérationnelle. Merci la crise !
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Les-patrons-français-négligeraient-le-management-au-profit-du-pilotage-financier..
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Dans le détail, deux outils restent toujours assez bien utilisés par les dirigeants. A savoir les programmes de conduite du changement, ainsi que le tableau de bord général. Deux cartes dans la main des patrons permettant d'avoir une vision d'ensemble, rapidement, de leur entreprise. Sur 13 000 patrons interrogés, respectivement 42 et 41 % d'entre eux admettent utiliser ces systèmes. Viennent ensuite la gestion de la relation client, l'analyse comparative, l'externalisation et les compétences clés.
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Pour le cabinet porteur de l'étude, les outils les plus utilisés ne sont pas forcément les plus satisfaisants en termes de résultats. Et ceux qui promettent le plus de réussite, sont actuellement, les moins utilisés, à savoir l'innovation ouverte, la segmentation de la clientèle et la planification stratégique. Trois moyens d'envisager l'avenir d'une entreprise, ou du moins ses orientations futures, ce dont les PDG sont bien incapables en ce moment. »
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Le même processus va, aussi, gangrèner les banques ?..
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Des banques solides ?
Les banques françaises sont « universelles » : elles sont à la fois banques de détail, tournées vers la distribution du crédit et la collecte des dépôts, mais également banques d’investissement, qui utilisent les dépôts de leurs clients – le plus souvent à leur insu – pour opérer sur les marchés et spéculer [spéculer fait partie de la délinquance]. Ce qui en fait des banques très risquées et gigantesques : le bilan de BNP Paribas fait 2 000 milliards d’euros, soit l’équivalent de la dette totale la France ! A la suite de la crise, les autorités bancaires ont repéré les banques dites « systémiques », jugées les plus dangereuses pour la stabilité du système bancaire international, en raison de leur taille et des relations d’interdépendance existant entre elles. Sur les 29 groupes bancaires systémiques dans le monde, 4 sont français : Crédit Agricole, BNP Paribas, Société générale et le groupe BPCE (Banques populaires – Caisses d’épargne). Ce qui place la France au 1er rang dans le monde… ex æquo avec la Chine ! Ces quatre banques systémiques contrôlent la majeure partie de l’activité bancaire en France et font donc du système bancaire français le plus vulnérable potentiellement, donc le plus dangereux dans le monde !
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Sept-ans-après-le-début-de-la crise : les banques restent des dangers publics !
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"Les banques ne coûtent rien à la société ?
Le patronat bancaire affirme que le sauvetage des banques à partir de 2008 n’a rien coûté au contribuable. Autre contre-vérité ! En 2012, la Commission européenne évalue à 4 500 milliards d’euros les fonds publics mis à disposition des banques européennes, principalement sous forme de garanties. Soit 37 % du PIB de l’Union européenne ! Le plus souvent sans conditions. La France ne fait pas exception. En 2008, l’État mobilise 360 milliards d’euros pour aider les banques nationales, dont 320 milliards de garanties. Les prêts seront finalement remboursés par les banques. Mais trois ans plus tard, la Banque centrale européenne (BCE), via la Banque de France, est contrainte de prendre le relais pour prêter à nouveau aux banques françaises en manque de liquidités, à hauteur de 232 milliards d’euros. Ce qui fait de nos banques nationales les principales bénéficiaires du soutien de la BCE, juste derrière les banques espagnoles et italiennes.
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Mais si on veut évaluer le coût des banques pour les contribuables, il faut aussi regarder du côté de la fiscalité. On constate d’abord que les grandes banques françaises ont un taux d’imposition sur les bénéfices de 8 %, très loin du taux officiel de 33,5 %, ce qui représente un manque à gagner pour l’État de 15 milliards d’euros au cours de la dernière décennie. Mais surtout, on découvre que l’une des activités les plus lucratives des banques est « l’optimisation fiscale », pour leur compte et celui de leurs clients. Les banques françaises sont des acteurs majeurs de « l’industrie de l’évasion fiscale » qui fait perdre au minimum 60 milliards d’euros chaque année au budget de la France. Ce n’est pas un hasard si BNP Paribas, championne dans ce sport, détient plus de 300 filiales dans les paradis fiscaux !
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Les banques financent-elles encore l’économie ?
Aujourd’hui en Europe, 10 %, en moyenne, des actifs des banques sont consacrés à des prêts aux entreprises. Et 15 % à des prêts aux ménages. Les 75 % restants se retrouvent surtout en placements sur les marchés financiers. Un quart seulement des actifs des banques sert donc à financer directement les entreprises et les particuliers ! En fait, les banques jouent désormais un simple rôle de « courtier » : elles se contentent de distribuer les crédits (moyennant commissions) qu’elles transfèrent ensuite aux marchés par la titrisation, qui consiste à transformer les crédits en titres négociables. On se dirige ainsi vers le modèle états-unien originate to distribute, qui est encouragé par les autorités françaises et européennes : les banques initient les crédits, prennent des commissions, puis transfèrent les risques aux marchés. Ainsi, les banquiers renoncent progressivement à leur fonction principale, qui est de prêter à l’économie et de gérer les risques. Par contre, ils développent leurs activités spéculatives tous azimuts. Ils se sont ainsi rués sur les produits dérivés, instrument phare de la spéculation. Et c’est à nouveau BNP Paribas qui fait la course en tête : ses activités de marché représentent l’équivalent de 42 % du PIB de la France, contre 2 % pour le groupe Crédit Mutuel. Ses produits dérivés représentent 23 fois la valeur du PIB !
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Mettre les banques au service de la société
Les gouvernements successifs ont renoncé à faire de véritables réformes pour stopper cette dérive inquiétante. La principale mesure doit être la séparation totale des activités de banque de détail et de banque d’investissement. Les économistes sont unanimes : la loi Glass-Steagall, votée par l’administration Roosevelt en 1933, a largement contribué à la disparition des crises bancaires aux États-Unis jusqu’en 1999, année où cette loi a été abrogée. Cette mesure a un triple avantage : réduire la taille – et donc le pouvoir – des banques, limiter la capacité de celles-ci à spéculer avec l’argent des épargnants, et renforcer la stabilité du système bancaire.
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Assainir le monde des banquiers est une autre priorité. En imposant d’abord le plafonnement des revenus des traders et des dirigeants bancaires, dont les niveaux indécents sont une provocation pour le reste de la société. La gouvernance des banques doit également être réformée. Ces dernières sont exclusivement gouvernées par leurs actionnaires et des dirigeants cupides dont le seul mobile est le rendement financier. Les banques doivent être pilotées de manière démocratique par tous les acteurs concernés par leurs activités – usagers, salariés, représentants de la société civile, actionnaires. Ceux-ci doivent participer à parts égales aux instances de direction des banques. Ce contrôle social des banques est le meilleur moyen de les mettre au service de l’intérêt général. Il est également essentiel que se développent les banques coopératives, éthiques et publiques dont l’objectif n’est pas le pur profit.
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Les banques doivent aussi contribuer au budget de l’État, au même titre que toutes les entreprises. Un système de taxation progressif selon la taille des banques, et ciblé en particulier sur les activités spéculatives, est nécessaire. La fiscalité, outil de justice sociale, est aussi un instrument efficace de lutte contre la spéculation, en taxant notamment les transactions à haute fréquence, inutiles et dangereuses. Enfin, il faut, sans délai, mettre fin aux pratiques d’incitation et de soutien à l’évasion fiscale. Obliger les banques à rendre publiques des informations sur leur activité dans les paradis fiscaux et judiciaires, comme le prévoit la loi bancaire de 2013, est insuffisant : il faut interdire toute activité dans ces zones de non-droit qui sont le cancer du système financier international. »
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Si, une telle analyse ne suffit pas pour comprendre que toutes les prétendues « crises » bancaires qui nécessitent de…voler l’argent du contribuable…sont, de fait, des excès d’alcoolismes. Alcoolismes à l’argent fou. Incitations droguées et irresponsables à l’illusion des profits démesurées. Et donc faux profits qui clairement ne font que…coûter très cher à la société. Si votre prétendu profit est remboursé, payé par un autre pouvez-vous rationnellement nommer cet acte de parasitisme de…profit ? La spéculation (faire tourner par ordinateur sans cesse les mêmes ordres d’achats et de ventes des mêmes produits – qui semblent bien représenter un acte psychiatrisable puisque ne pouvant nous montrer aucune explication rationnelle !) – est bien une délinquance. Qu’il s’agit de sanctionner .en l’interdisant. Puisqu’elle nuit visiblement à autrui !
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Récapitulons… Si le titre ne paraissait pas compréhensible à première lecture c’est que le mot « profit » reste aussi vague que tous les vocables addictifs. Il correspond surtout à une illusion cupide que le but aisé peut être atteint – sans s’occuper jamais de la réalité. Or, la réalité est que le profit « pur » n’existe pas. Qu’il reste entaché de milliers d’interactions sociales que le « profiteur » (si bien nommé !) fait semblant d’oublier : soit que le prétendu profit d’un est mérité par tous. Tout simplement parce que le profit ne produit aucune valeur nouvelle, n’ajoute rien lorsque cet ajout serait comme extraterrestre, ne suscite aucun miracle de faire de 100, par exemple, 120. Mais un 120 jamais connu auparavant – une vrai nouveau né de la valeur !
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Non, le profit, ramené à la réalité concrète, c’est un…coût comme un autre. Mais un coût déplacé plus loin. Qui « se leurre » d’un soi-disant profit, refuse, en fait, surtout de voir, qu’il coûte, lui, entièrement aux autres. Comme un assistanat déguisé ! Et le texte, outre d’avoir montré les dégâts monstrueux causés par …l’illusion du profit. Cette drogue dure qui ne peut, en aucun cas, diriger une civilisation. Oui le texte aura bien démonté le mécanisme occulté du profit –
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………………………afin de le rendre définitivement inutilisable !
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Monopole
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Le profit va avec monopole – malhonnêteté partout !
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Où est le respect des lois dans diverses banques ? - vidéos
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Les banques sont-elles encore légales ?
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Erreurs de la banque en votre défaveur : de celles-là vous n’aurez jamais le moindre retour…
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L'extrême nocivité de-l'intérêt-composé/
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Pas un raisonnement qui ne vante la « magie » ou le « désastre » des délinquants intérêts composés. C’est à la société d’interdire cette magie (côté truands passifs) comme la spoliation trop injuste (comme victimes de ces intérêts vraiment…illégaux). Aucun tribunal, aucune loi ne pourra les soutenir en débat…public !
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Transpercer la-structure-sociale ?
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Le regard si pervers du profiteur sur la société
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Le mécanisme des intérêts composés n'a rien de paradoxal, mais je suis bien d'accord avec vous : l'argumentation consistant à dire que, globalement (macroscopiquement ) , il rend impossible de s'acquitter des intérêts liés aux crédits sans avoir recours à des crédits supplémentaires est trop simple ... Je suis parmi les personnes qui se sont posés la question. J'ai donc une opinion et cela depuis deux ans environ. Vous jugerez si c'est aussi une explication.
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http://jegu.jean.pagesperso-orange.fr/
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La raison de ma prudence est double : d'une part, je n'ai trouvé personne jusqu'ici pour partager très explicitement mon opinion, d'autre part l'aspect mathématique de mon analyse n'a jamais été directement critiqué par qui que ce soit ( du moins, je n'en ai eu aucun écho ) et une erreur est toujours possible. D'ailleurs, j'en ai fait une moi-même qui m' a conduit à revoir un premier texte intitulé « Analyse de M1(t) » et à commenter cette correction dans un second intitulé « Explications analyse de M1(t) ».
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A mon avis, la faille logique tient dans le fait que le mécanisme bancaire ne se résume en aucun cas à accorder des crédits et à encaisser les intérêts. Il y a aussi l'utilisation des intérêts perçus, c'est à dire la monétisation de l'acquisition d'actifs et du paiement des dépenses. Sans cette monétisation le métier de banquier n'aurait aucun intérêt. Cette monétisation-démonétisation pour actvité propre des banques se fait quotidiennement mais « dans un silence de cimetière » comme l'écrit Jean Bayard.
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La masse monétaire M1 est augmentée par :
- l'attribution de crédits par les banques
- l'achat d'actifs réels ou financiers par les banques
- l'acquittement des dettes des banques par les banques.
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La masse monétaire M1 est diminuée par :
- le remboursement des crédits par les agents économiques
- la vente d'actifs réels ou financiers par les banques
- la perception de recettes par les banques dont celle des intérêts des emprunts.
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La variation finale de M1 dépend évidemment de l'importance relative de ces opérations. Il n'est nullement obligatoire que M1 croisse au final malgré l'existence du terme perception des intérêts. Par contre le privilège bancaire de monétisation-démonétisation n'est-il pas lui-même problématique, puisqu'il correspond à une captation d'une part de l'économie réelle qui dépasse le plus souvent de beaucoup, vu les sommes en jeu, le service rendu à l'économie réelle. Ne serait-ce pas la collectivité en tant que telle qui seule devrait bénéficier du privilège de monétiser-démonétiser son activité propre ?
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Au cas où mon formalisme mathématique vous rebute ( ce que je comprendrais ) je vous suggère de ne retenir que mes conclusions dans les textes évoqués ci-dessus soit :
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Analyse de M1(t) : http://jegu.jean.pagesperso-orange.fr/pdf/analys.pdf
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Explications de l »analyses de M1(t) : http://jegu.jean.pagesperso-orange.fr/navitrav.html
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
une vraie fortune n’a pas besoin de profits…ce que les capitalistes ne supportent pas dans la civilisation arabe (le refus des taux d’intérêts et des profits)…de là à chercher illégalement à la diffamer…Une histoire tirée du Coran très intéressante pour les enfants et pour une utilisation au sein de la Madressa (en ourdou sous-titré en français)