Ces sacro-saintes habitudes ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Ces sacro-saintes habitudes ?

Qui ne le sont pas ni sacrées ni saintes – qui sont mêmes nos plus insidieuses ennemies qui nous diminuent, amoindrissent, nous empêchent d’avancer. Nous ligotent par surprise dans un passé bien dépassé.

Ces sacro-saintes habitudes ? Pourquoi leur faire cet excès d’honneur qui nuit à toute la société ? nOooooNon…ces sacro-saintes habitudes ne le sont pas – ce sont des pourritures de parasites qui nous ligotent dans des putréfactions sur pieds qui nous empêchent de marcher normalement. Donc, les pas-sacro et encore moins-saintes habitudes représentent des impostures dont nous devons nous débarrasser comme des vêtements moisis. Et qui ne fleurent rien d’agréable. D’ailleurs le langage – qui en sait toujours plus que nous – ne dit-il pas « sales » habitudes. Les habitudes doivent donc être lavées, nettoyées…changées !

Comment tout peut-il s’enclencher ?

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Après ce résumé en image (nous avions tout ce dont avions besoin - des parasites (nommés les « marginaux capitalistes ») viennent nous vendre la même chose, en à peine repeint, nous endettent à vie – au point que le mieux devient ceci : refusons leurs « prêts » ils ne sont plus prêts à êtres près de nous… !…

L'habitude de ne plus voir la...réalité des choses ?

L'idée est donc de passer à L’APRÈS ! L’après parasitisme extérieur ! La fin instantanée du système !

Les résistances au changement ? Facile : elles s’expriment ainsi. « Il faut lutter contre les sacro-saintes habitudes qui ont formaté le cerveau des citoyens ! Il y a du boulot ! Je pense qu'il y a un embryon qui ne demande qu'à grandir ! Continuer à informer. »…Tout y semble tellement déformé : ce n’est pas une vision DIRECTE. Mais un miroir intrus planté devant les yeux non vigilants…déjà informer, informer à vie – nous allons passer la vie à informer. Donc un grave poison anti-action. Anti-action comme non thérapeutique, nous ne soignons pas, guérissons encore moins…Pourquoi ? Surévaluation des merdiques habitudes (après tout ce sont elles qui nous ont conduit dans le merdier !). Donc pas besoin de lutter « contre » - juste les laisser tomber comme des oripeaux vraiment malséants. Qui puent le vieux monde et ne reflètent aucune renaissance ! Autre chose ? Formatage, manipulations, etc. encore des excuses pour ne pas se bouger le cul. Et enfin – cerise sur le gâteau – l’embryon, le petit bébé qui ne grandit pas, l’adulte qui est resté infantile, enfant à vie….fort heureusement il ne demande qu’à grandir. Mais qui s’occupe des demandes des bébés ? C’est donc bien plus d’un adulte puissant dans son désir solaire de faire péter toutes ces chaînes – dont il devrait s’agir !

A force de croupir dans des ressentis aussi néfastes - certain que les inerties abondent Mais la colère de leurs pairs, de leurs paires de pairs peut pulvériser tout ces composts de vautrages…oui comme ceci :

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Hého - le boulot de changement diminue si nous sommes "dans" le but…puisque la prison était le « Il faut lutter contre les sacro-saintes habitudes qui ont formaté le cerveau des citoyens ! Il y a du boulot ! ». Or il n’y pas de…boulot – juste jeter par terre tous les oripeaux des imposteurs ! Abolir le système n'est pas si terrible, si nous le remplaçons déjà partout à l'avance...

Voici que nous avons enlevé 90 % (certains disent 99 %) du poids – Le boulot il n’y en a pas. Les habitudes ne sont que des faux poids…. L’horizon est dégagé ! et puis : n'attendons pas - qui ne fout rien pour aider les autres ne mérite guère d'attention ni de...prévenances. Lorsqu'ils/elles ne supporteront plus cet état - elles/ils se magneront le cul. Point barre...

Encore de la résistance aux changements (ne jamais voir la réalité en face la transforme en un poids qui semble nous écraser) … « Si seulement chacun faisait son petit bout de chemin ....Quand les multinationales s'apercevront que leur bénéfice diminuent ce sera bon signe ! »…nous sommes le nombre, nous sommes nombreux, nous avons les idées bien en place – alors pourquoi voir toujours petit, très petit, trop petit ? C’est mesurer la progression des épreuves difficiles en ne regardant que qui a déjà abandonné la course. Le réalisme n’est sûrement pas là. L’inertie c’est le contraire de l’action : tous les vecteurs inertiels n’aident donc personne à se remuer. Soit, littéralement, à se reMuer, muer et remuer, muer de nouveau.

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Faut secouer tout ceci, secouer les puces …la réalité en a marre que ceux qui ne foutent rien commandent aux autres. Et basta.

De nouveau le prurit – le détail qui prend toute la place. L’obstacle de 1 mètre qui en fait, soudain, 1 kilomètre par l’insistance à ne pas voir le reste… « Et pourtant ce sont eux qui se plaignent du système mais ancrés dans leurs habitudes ! La peur du changement ? de l'inconnu ? Que vais-je devenir si ....... ? C'est bien la dernière goutte qui pourrait faire déborder le vase ! »…plus de vase – plus de goutte qui déborde. Toutes débordent - donc inutile d’attendre la dernière ! Même la première est la dernière : l’affaire est…entendue. Le capitalisme est déjà aboli. Son livre se referme. C’est une tout neuve civilisation qui commence ! Qui ne fait que suivre ne peut informer sur rien - mieux de s'intéresser à qui précède, non ? C’est clairement compris. A bas les suivistes ! Les habitudes ce n’est clairement pas… sain ! Ainsi, de tels drus dialogues, multilogues tressautent actuellement tout la société…

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Ces sacro-saintes habitudes sont toujours infiniment SURÉVALUÉES ?

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Comme si elles représentaient un obstacle insurmontable. Or le sens du mot offre le comment s’en débarrasser de cet obstacle ? Habitude vient d’habiter et habiter vient d’habit – habitude peut donc être quittée comme un habit sans dommages planétaires. L’habit d’ habitude ne colle pas du tout à la peau. Nous ne risquons rien à arracher cette fringue et à la flanquer direct à la poubelle. C’est ainsi – la réalité montre ce qui est – si nous fantasmons, ce n’est plus la réalité. La « réalité » concrète des habitudes est donc très fine, légère, sans poids réels – en aucun cas, elle ne présente un obstacle d’impossibilités. Les tricheurs qui la transforment en sacro-saintes habitudes, ne sont que des…tricheurs. Elles/ ils ne connaissent strictement à la réalité des habits d’habitudes ! Nous ne sommes pas prédéterminés, prédisposés aux habitudes – nous ne sommes pas préformatés pour. Si l’hypnose illégitime du formatage s’inscrit en nous – se guérir c’est chasser ce parasitage. Donc, l’habitude (ce vieil habit vraiment plus décent du tout !) n’a RIEN pour elle, rien de son côté, rien en sa faveur, rien qui ne la soutienne…que des laxismes de mauvais aloi envers soi-mêmes ! Se passer d’une habitude c’est vraiment à la portée du premier venu !

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Qui a besoin de prétextes n’est pas vraiment déterminé aux changements – de toutes façons, si nous pouvons « changer d’habitudes » c’est qu’elles ne sont pas vraiment INDISPENSABLES !

Et puis, perdre ses …habitudes c’est tellement plus fun que de les conserver !

Une habitude chasse l’autre – pouvons-nous imaginer un bras nouveau qui chasserait l’autre ? L’habitude n’est donc pas un membre, organiquement rattaché à nous. Tout cela est très malhonnêtement exagéré…changer d’habitude en la remplaçant par tout autre chose est vraiment plus facile que la fainéantise, le laxisme abusif, l’inertie sans cesse auto-excusé - le laissaient croire. Tout ceci appartient à l’humour cosmique : oui celui qui mire des personnages qui fournissent un millier de fois de plus d’efforts pour ne pas faire ce qui leur demande…un millier de fois moins d’efforts s’ils le …faisaient tout simplement. Ceci se nomme se couronner soi-même de ridicule ! Et ces personnages veulent que nous les prenions, devant leur air si épuisé, comme des qui ne foutent jamais rien, des glandeurs qui rejettent tout effort, des ne travaillez jamais, etc. La souriante preuve que non ! VDR.

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Mais encore ? De préférence jamais d’habitude dans la perte de toutes les habitudes. Si nous quittons ces habitudes - ce n’est pas pour les remplacer par d’autres…

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Le bout du tunnel ? Toujours trouver des excuses pour demeurer dans une situation dont nous nous plaignons sans cesse ! Alors que la solution qui soulage est si…facile !

** - s’auto-saboter oui c’est possible…trouvons, par conséquence, les moyens de ne plus être bottés à se saboter ! A ne plus être l’ennemi de soi-même

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Si nous n’aimons pas les pouvoirs la mauvaise habitude de les laisser pénétrer en nous est bien le comble du ridicule. Nous n’aimons pas les pouvoirs, donc nous nous en foutons de leurs gesticulations. Nous les regardons du coin de l’œil comme des maladies contagieuses. Mais ne participons jamais à rien des délires des pouvoirs. Surtout pas aux sales habitudes qu’ils tentent de nous tatouer, de nous inséminer, de nous inoculer ces pouvoirs…si dépendants de nous. La preuve ? Nous leur tournons le dos, terminé ! nous n’en parlons plus, ne les citons guère – eh oui nous vérifions que le pouvoir peut peu. Que ce pou (le) voir n’est guère reluisant. Rien à voir sinon le « misérable petit tas de secrets » planqué sous son petit pou… ! Qui serait derrière chaque pouvoir, selon Georges Bataille.

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Conclure de tout... inclure ? L’habitude c’est l’alibi à tout faire pour ne…rien faire. Donc une force colossale très méconnue et si sous-utilisée ? Devant ce phénomène, peu visité, nous venons d’ouvrir la porte ? Qu’y avons-nous trouvé derrière ? Effectivement, l’habitude est complètement surévaluée. Sa prétendue viscosité est bien complètement mentie. Comment pouvons-nous le savoir ? Des accidents de la vie ont fait que d’aucuns ont dus changer toutes leurs habitudes. Ils n’en ont pas été malades. Ni n’ont connus d’effets secondaires. Rien : aucune habitude n’est nécessaire ! Pourquoi ? C’est que l’habitude vient d’habiter. Et habiter vient d’habit. Un habit ça se change facilement. Cela ne colle pas à la peau. Ce n’est pas indispensable. Les habitudes non plus. Alors pourquoi l’adhérence si collante de l’habitude ? Cela vient de notre cerveau - que nous commençons à mieux cerner… 1) – pour la plupart d’entre nous, c’est le même fonctionnement qu’à la préhistoire. Il y a donc des fonctionnalités qui étaient adaptées et qui le sont beaucoup moins - 2) justement la procrastination c’est du tout cerveau. Il n’aime guère les bouleversements, aussi crée-t-il des…habitudes dont nous ne voulons pas. Mais qui s’accrochent. La procrastination, par exemple, crée une sensation de bien être à ne rien faire pendant que nous devrions résister, inventer ou répondre. Au fil du temps les sédiments d’inerties déposés peuvent faire paraître un effort au-dessus de nos forces. Ce qui ne serait pas arrivé si nous avions réagi à chaque fois. L’habitude n’est que le piteux résultat de nos lamentables laxismes envers nous même…Sans efforts de notre part ces si nuisibles habitudes triomphent.

Donc - la prochaine fois que nous verrons un changement arriver – nous saurons dompter nos habitudes. Que c’est même par là qu’il faut commencer.

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…….Et ne plus leur permettre d’être alibi (l’alibibi !) de quoi que ce soit !

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation

….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

escalader  les routines

escalader les routines

La procrastination nous vole « tout » notre temps - en réalité !

La procrastination nous vole « tout » notre temps - en réalité !

Ces sacro-saintes habitudes ?
dire non n'est pas toujours une bonne idée...à la vie c'est Oui que nous disons !

dire non n'est pas toujours une bonne idée...à la vie c'est Oui que nous disons !

Ces sacro-saintes habitudes ?
les habits des attitudes............

les habits des attitudes............

c’est de l’auto-service. Tous ces verbes avouent que nous pouvons nous rendre esclaves de nos pires pensées. L’autre côté de la médaille – est que nous pouvons nous libérer de tout aussi…vite !

c’est de l’auto-service. Tous ces verbes avouent que nous pouvons nous rendre esclaves de nos pires pensées. L’autre côté de la médaille – est que nous pouvons nous libérer de tout aussi…vite !

Ces sacro-saintes habitudes ?

sauf pour qui ne "rentrera" jamais...

qui a besoin toujours de prétextes n’est pas vraiment déterminé – de toutes façons, si nous pouvons « changer d’habitudes » c’est qu’elle ne sont pas INDISPENSABLES !

perdre ses …habitude c’est tellement plus fun que de les conserver !

Une habitude chasse l’autre – pouvons-nous imaginer un bras qui chasserait l’autre. L’habitude n’est donc pas un membre, organiquement rattachée à nous. Tout cela est très malhonnêtement exagéré…changer d’habitude en la remplaçant par tout autre chose est vraiment plus facile que la fainéantise, le laxisme, l’inertie sans cesse auto-excusée le laissaient croire. Tout ceci appartient à l’humour cosmique : oui celui qui mire des personnages qui fournissent un millier de fois de plus d’efforts pour ne pas faire ce qui leur demande un millier de fois moins de lourds labeurs. Et ces personnages veulent que nus les prenions, devant leur air épuisé, comme des qui ne foutent jamais rien, des glandeurs qui rejettent tout effort, des ne travaillez jamais, etc. La preuve que non ! VDR.

de préférence jamais d’habitude dans la perte de toutes les habitudes. Ce n’est pas pour les remplacer par d’autres…

toujours trouver des excuses pour demeurer dans une situation dont nous nous plaignons sans cesse ! Alors que la solution qui soulage est si…facile !

s’auto-saboter oui c’est possible…trouver donc les moyens de ne plus être botté à se saboter ! Ne plus être l’ennemi de soi-même

Les 7 habitudes - Happy habitudes - des gens heureux. Je me suis posé cette question : Quelles sont les habitudes des personnes heureuses ? Et je l'ai tourné lors de mes déplacements à côté de Hyères, - donc c’est pour… aujourd’hui ! La perte des habitudes....

Si nous n’aimons pas les pouvoirs la sale habitude de les laisser pénétrer en nous est bien le comble du ridicule. Nous n’aimons pas les pouvoirs, donc nous nous en foutons de leurs gesticulations. Nous les regardons du coin de l’œil comme des malades. Mais ne participons à rien des délires des pouvoirs. Surtout pas aux sales habitudes qu’ils tentent de nous tatouer, de nous inséminer, ces pouvoirs…si dépendants de nous. La preuve ? Nous leur tournons le dos – eh oui nous vérifions que le pouvoir peut peu. Que ce pou (le) voir n’est guère reluisant. Rien à voir que le « misérable petit tas de secrets » planqué sous son petit pou… !

Publié dans qui fuit le réel

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