Mime éthique mimétique ?
La forme du désir d’imitation vient de l’imitation du désir…de l’autre. Faire pareil, vouloir pareil, et se battre pour les « mêmes » illusions mimétiques, c’est là où le système veut nous enfermer. Que n’aime-t-il donc personne (même pas lui-même) pour vouloir ainsi cela ?. Mais pas de bol pour lui, ses grandes faiblesses c’est de «croire » que la conscience individuelle ne peut rien. Si petite division si imperceptible soit tant mésestimée et puisse beaucoup…initiatives individuelles, combien de divisions ? Une seule à chaque fois, mais une division entièrement… unie ! Une congruence qui s’oppose paisiblement à vos lézardes !
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Vos lézardes ? Oui tout en crevant de trouille à en saboter tous les mouvements collectifs. Mais de si maladroites façons que ces gesticulations inadaptées…renforcent à grande vitesse les prises de consciences individuelles/collectives. Ce qui ne peut qu’aboutir qu’à de vastes transformations de société. Ceci resserre les rangs et les rangs serrés disent « Pull over ! over pull, pull over ! parce que…game over, over »…Oui, pourriez-vous parler plus prés du micro ? De fait, de faaaaaiiiittt, nous menons le jeu, nous le menons de a à z, que nous le voulions ou non. C’est que rien n’a encore été dit d’essentiel dans de très nombreux domaines. Et que nous seuls possédons la clé de ce qui n’est pas encore formulé. Puisque le découvreur est qui…ne copie jamais personne. Mais se montre toujours imité…
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N’imitant pas, il annule le circuit mimétique qui ne peut qu’imiter quelqu’un qui le …précède. Et vouloir précéder quelqu’un qui l’imite imite, ritournellement, qui précède et précède et précède (sur l’air des 3 petits chats). Ce n’est donc pas une ronde définitive mais une illusion qui disparaît comme…une bulle…Et gare aux bulles qui disparaissent, éclatent et s’évaporent. L’attention non portée à l’humble bulle va le bulletin pulvériser. Chaque bulletin bulle après bulle – chaque bulletin va s’évaporer ? C’est résonné dedans – chaque conscience recueillie qui va « déposer » son bulletin, hors de sa bulle, crée la solennité silencieuse du « si tu trahis, je te dépose comme je dépose ma bulle de bulletin ! » Ce qui n’est pas rien !.
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Exactement comme ce texte qui abonde en inédits sur les processus, prises de conscience-enclenchements-mutations effectives de la conscience collective – nous mutons mutuels ! C’est mutuels que nous mutons. Le mutuel est déjà mutation !...il suffirait donc d’y entrer et nous nous en sortons …transformé(e)s !
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http://www.imagiter.fr/2016/02/changements-collectifs-comment-en-singeant-ou-en-s-elevant.html
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Un témoignage qui prend une lecture comme paravent pour dire la transformation de la personne qui s’exprime..« J'avais lu un jour un article qui parlait d'études sociologiques sur le changement. D'après l'étude, les idées novatrices susceptibles de transformer la société passaient par plusieurs phases avant d'être acceptées. Je ne suis pas certain de me souvenir de tout et dans le bon ordre mais c'est l'idée d'ensemble qui me semble intéressante et pleine d'espoir:
la première l'indifférence.
La deuxième le déni,
la troisième la moquerie,
la quatrième la confrontation et le rejet violent,
la cinquième l'acceptation
et la dernière l'intégration de l’idée d’abord niée dans la société. »
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Qui a vécu, intimement, toutes ces étapes. Avec les sucs succulents des émotions et sentiments qui vont avec. Oui qui s’est transformé 6 fois – a réussi sa vie. Pas comme l’homme à la Rollex, qui, avec son roll est tombé sur un Roc ! Tout raté, rien vécu qui ne soit pas…mimétique ! Pour lui, quel chapitre à pitres !
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De mille éclats, les réponses sortent de tous horizons - c’’est que les conformistes se moquent de tout ce qui est nouveau, considèrent même comme fous les novateurs. Bêlent plus stupidement que leur ombre – mais semblent prédéterminés et imitent imitent encore imitent. Au point de n’être jamais eux/elles-mêmes ! Alors QUI parle lorsqu’ils parlent ? Pas elles/eux- mêmes en tout cas. Donc, suivons leurs bafouillis et, dans le fouillis, nous découvrons qui a la clé de leur libération. Libération, délivrance dont ils ne voudront pas – tellement les conformistes-imitateurs toujours sont comme des chiens enchainés qui hurlent – désespérément – après le loup, après la liberté du loup…Donc qui est critiqué par un conformiste vient de recevoir un immense honneur : nous savons que c’est vraiment un bon, une véritable grande, un grand esprit ou une grande dame.
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Puisque – implacablement – le conformiste suit les 6 phases sans en comprendre aucune. Et parvient à ceci : .le circuit intérieur se fait lentement et… inéluctablement. Donc ils arrivent à la 6ème phase. Et entrent, plus miteux et piteux qu’avant, dans l’acceptation complète. C’est-à-dire (afin de faire image) que les conformistes suivent, « imitent », copient jusqu’à écœurement les anticonformistes d’hier. D’il y a 50 ans ! C’est malin, ils ne savent vraiment pas ce qu’ils veulent, ces mannequins trop manipulés !…Puisque les mêmes psychologies sociales ont repéré que les cycles longs des anticonformismes qui deviennent conformismes sont de 50 ans. Même si, évidemment, il existe beaucoup de cycles d’acceptation plus brefs. Disons que la posture du conformisme se dénude comme la plus… dérisoire qui se puisse trouver. Il insulte l’anticonformiste d’aujourd’hui, se plie à toutes les bassesses de la calomnie, etc. (d’autres textes ont décrit ces effondrements moraux, etc.)…tandis que…le même conformiste suit, imite, copie SERVILEMENT (plus servilement c’est impossible…) l’anticonformiste d’hier, oui le frère ou la sœur de celle ou celui d’aujourd’hui qu’il offense illégitimement. Trop de contradictions font voler en éclats des personnalités si disloquées.
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Ce qui dessine que l’imitation, la compétition par mimétisme, etc. sont des leurres complet : contenant des contre-leurres, des anti-leurres, des hypo-leurres, des pro-leurs, des auto-leurres, oui des leurs-leurres, etc. Qui, pendant que ces illégaux mimétiques égratignent les meilleurs d’entre nous ne voient pas à quel point ils les font rire (mais en rires silencieux que nuls ne détectent, alors que ces rires conservent les mêmes vertus thérapeutiques que les autres…)…une preuve instantanée ? Bien un témoignage encore « Et…...(ça nous est déjà arrivé plusieurs fois..) ils surgissent de leur boite, ces conformistes [après la 6ème étape], brandissant triomphalement ce que vous leur aviez dit 6 mois auparavant. Vous méprisant de ne pas déjà...le savoir !!! Et ne ressentant jamais rien, n’intuitionnant strictement rien…Burlesques au tout dernier degré : le fait est que jamais elles/ils ne se souviennent de qui leur a transmis. Ce pourquoi nul-le ne sait qui influence le plus la société. Et le second fait : c'est que (à cause de cela) le conformisme reste une infirmité grave qui met sa confusion partout. » Effectivement, en sachant tout sur eux avec grande probité, les conformismes ne peuvent que nous procurer encore plus de savoir sur eux. Tandis qu’eux ne savent toujours pas un seul mot sur nous ! Tout tourne en rond autour de leurs échecs de compréhensions…
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Ce long mais nécessaire préambule, celui qui ambule et ambule – nous permet de vérifier de toutes nos vies ceci : la morale existe-t-elle par IMITATION ou par une spontanéité intérieure incompressible ? Mime éthique mimétique ? Ou inimitable morale ?
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Notre récolte procurée par ce texte nous a déjà serti cette certitude « Puisque le découvreur est qui…ne copie jamais personne. Mais se montre toujours imité…N’imitant pas, il annule le circuit mimétique qui ne peut qu’imiter quelqu’un qui le …précède. »…voici qui le son pur et guérisseur de la vérité ! L’imitation trop vantée peut être interrompue, le cercle brisé : non, la société ne fonctionne pas uniquement comme une succession de désirs mimétiques. Cette vision décourageante et défaitiste n’est qu’une sous-catégorie pas un grand ensemble enveloppant. Flagrant, que des postures nous extraient de ces circuits rengainique – et à coup sûr !
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Allons plus loin !
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Morale par imitation ? Dont le sens commun ressent que c’est une éthique bas de gamme, qui ne présente aucune des garanties nécessaires. Paradoxalement, c’est la morale des guerres d’agressions qui se font passer pour des guerres de…défense de son propre territoire. En envahissant un pays lointain, sans respecter aucune des règles internationales, ils veulent nous faire croire que c’est leur pays qui est menacé. Effaçant la réalité par leur doigt agité qui veut que nous l’imitions (disions les mêmes impossibilités factuelles que lui !). Oui en déployant, sans vergogne toutes ses armes de destruction massive pour soi-disant rechercher des ADM inexistantes. Pourquoi par imitation ? Simple ! Parce qu’est accusé ( l’imité agressé) de tout ce que nous faisons en prétendant que c’est lui qui le fait. La perversion est bien une version qui imite (se camoufle) la bonne version. Cette morale par imitation donne la politique « de bas de gamme » qui ose que « la politique ce n’est pas la morale ». Tout comme dérapent dangereusement les prétendus hommes d’affaires qui s’étranglent d’un impossible « la finance ce n’est pas la morale ». Justement si et en plein – de la morale – à fond la morale – sinon comment faire croire que la « vraie » monnaie existe si tout est faux et usage de faux, s’il n’y a plus aucune valeur (dans le cas de non-valeur généralisée pourquoi l‘argent aurait encore de la « valeur » ?), si tout ne s’étale que comme…pacotille sans valeur. Qui prétend imposer sa société de « valeur » doit faire fonctionner un système qui reconnaisse la « valeur ». Qui ne fonctionne donc pas par mimétisme. Mais pas raison démontrant, démontrable et démontrée ! Or – seule la morale parvient à tout cela !
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Alors ? Comme nous le disions, ce sont eux-mêmes qui s prennent les pieds dans le tapis. Et chutent. ..
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Allons donc ces désordonnés des arguments – qui foutent vraiment en l’air tous les fondements d’une civilisation. 1) – en portant costumes-cravates sans la moindre loyauté 2) en se faisant lisses et propres sur eux juste afin de mieux tromper 3) en tamtamant qu’il y a des règles d’habillages (les leurs) et de bon goût (leurs affreux non-goûts d’incultes 4) etc. (trop longue la liste de leurs nihilismes qui scandalisent vraiment). Ce pourquoi ils s’avèrent – pour la société - plus dangereux que tout terrorisme ou contestation ? Une politique qui ne serait pas, aussi, une morale ne pourrait plus faire appliquer aucune loi, légiférer sur aucune autre – puisque « où » serai sa légitimité – ainsi, elle ne pourrait pas « obliger à voter » mais plutôt s’obliger à se retirer de tout vote…etc. En bref, les politiciens professionnels qui débraillent que l’économie c’est le contraire de la morale et que la politique ne peut accepter d’éthique politique sont ceux-là mêmes qui, devant les médias mercenaires (très immoral que le mercenariat des médias, vendre ainsi l’information au plus…offrant - : non mais des fois !)…oui ceux-là sont les plus grands… donneurs de leçons de la Terre. Souvenons-nous que – alors que 90 % de la délinquance en valeur ce sont les riches et que ces riches illégalement ne vont pas en prison – comment s’étalaient-ils sur la barbarie inhumaine des prisons qui, avec la morale publique retrouvée, se retrouvaient à les accueillir afin qu’ils y purgent leurs peines. Comment ils modulaient sur leur haute « valeur » morale ! Mais sans jamais universaliser leur « valeur » aux autres comme argument pour l’inhumanité des prisons (si elles étaient inhumaines pour eux, elles le sont, à l’évidence, pour les autres)…Donc la morale « de pacotille » par…imitation c’est la pire. Le tout bas de gamme. Et comme nous ressentons combien le prétendu haut de la société en est largement…contaminé !
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La morale vient-elle – originellement, fondamentalement – de l’individu ou de la société ? Où se fonde la morale ou l’éthique qui garantissent les lois ? Quelle est la légitimité la plus profonde du Droit ?
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Qu’est-ce qui « oblige » le plus la morale ou la loi ? Pourquoi est-il dit « obligation » morale. C’est que nous montons de plusieurs plans. Le haut de la société – par rapport aux lois et à l’exigence éthique – se trouvant, paradoxalement, tout en bas. Aux niveaux supérieurs nous ne les retrouverons plus du tout. Ni comme modèles, ni comme exemples ni comme garants de rien du tout.C’est de leurs propres volontés qu’ils auront déserté les hauts lieux en se supposant de créer des fondements et fondations par leurs… propres bas fonds !
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La morale comme une imitation des dieux ? Du fait que nous venons de découvrir qu’elle fonctionne à coups de modèles, d’exemples et de garanties. Et quels plus puissants modèles que des dieux ? C’est un poncif qui nous coupe la parole… « Si l’art ne peut égaler la nature » qu’il tente de copier – impossible de concevoir comment la non-morale affichée de la politique et de l’économie le pourraient. Surpasser la nature. Trop clair qu’en logique et mathématique : politique et de l’économie peuvent encore moins égaler la nature l L’insistante interrogation mais d’où tirent-ils, alors, leur « légitimité » tire à fond les sonnettes d’alarme. S’ils veulent que leur boutique tienne encore – il leur faut de la morale, beaucoup plus de morale. Or ils en sont fort dépourvus, hivers bisé comme étés ! Puisque c’est bien l’éthique qui légitimise les légitimités. Voici les prétendus maîtres de ce monde toujours plus vacillants. Ils n’ont plus aucun point où se raccrocher.
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Ainsi si la morale c’est par imitation qui va…précéder ? Précéder comme étant modèles, d’exemples et de garantie. Là, aussi, la réponse ne leur appartient pas. A trop nier et renier la morale – clair qu’elle leur aura échappée. Et qu’ils ne sont plus maîtres du jeu. Ce qu’il y d’humoristique alors – c’est que ce sont ces personnages qui deviennent les plus soucieux et anxieux du retour nécessaire de l’éthique. Les plus impatients de connaitre sur quoi fonder vraiment la morale. Et après cela vous dites que le monde …ne change pas. Alors qu’il change bien plus que ces 3 dernières décennies en ces 3 derniers mois…et leur règne actuellement plus qu’illégal dépend bien, en dernier ressort, de la…morale !
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Alors la morale « se fonde » sur quoi ou bien est fondée sur quoi ? Nous voyons à quel point le choix des mots est formateur (donc déformateur) – et pour cela essentiel. Parce que s’il n’y pas de morale en politique ou en économie ce ne sera pas …possible. L’éthique ne peut se fonder sur des sophismes et de claires intentions de tricher et tromper. A la fin, toujours est pris et repris (même de justice) qui croyait…prendre. Acculé par manque de logique et d’ordre dans ses arguments – voici qui est plus que troublant !
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Oui, une morale comme sympathie propagée
1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+
……voici qui résonne bien tout d’un coup. Etant compris et entendu que sympathie c’est bien par résonances inter-individuelles qu’elle se propage. Ce n’est pas un gaz- bien plutôt une forme d’onde que la sympathie, oui ou non ?
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Dans ce cas - si l’art ne peut égaler la nature – la morale le peut-elle ? Il y aurait une morale naturelle qui, naturellement, coulerait de source? La partie « culturelle » serait sa simple mise en forme, son actualisation à aujourd’hui ? Voici qui sonne bien nouveau – mais conserve une musique venant de si loin derrière, à la fois.
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Reparcourons, alors, ensembles l’Histoire – cet objet de toutes les révisions illicites tant les prétendus pouvoirs tremblent de peur devant la véritable Histoire (de l’Humanité entière c’est encore mieux !). Oui nous n’avons pas loin à cheminer pour nous garantir d’une morale par défaut (nous aurons au moins cela ! plus le savoir indéracinable que l’avantage d’une « vraie » morale c’est que c’est une solide…garantie ! Bingo !)…Quelle est donc cette morale « par défaut » ? La simplicité des droits de la femme et de l’homme est telle que 1) tout le monde comprend 2) tout le monde peut transmettre 3) et les burlesques lourdeurs tels les droitsdel’hommisme, et autres diffamations à côté de la plaque, etc. ne passent pas. Cette morale est : tu nais automatiquement tu as le droit à un toit, de la nourriture, des soins et de la culture suffisante pour participer à la société.
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Tout le monde comprend – donc c’est cela la morale qui garantit. Une démarche infiniment sérieuse qui (re)trouve la simplicité d’expression….tout le contraire du simplisme insultant de la propagande. Parce que, justement, à force de se répéter les arguments, ils s’allègent de tous poids superflus ; à force de vouloir convaincre, ils s’affinent et s’effilent ! Qui reste très sociable aura donc trouvé le meilleur côté de la société. Celui où (pour faire image) coule le meilleur lait de la tendresse humaine. Les sociables sont bien ceux et celles qui ont les meilleurs goûts dans la bouche. La morale c’est donc un ensemble de goûts !
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La morale rend plus sociable – l’illégitime système défait les sociabilités, répand les nihilismes antisociaux, fomente les perversions narcissiques, etc. Bref, c’est lui qui doit être énergiquement amendé, révisé, rénové, oui « modernisé » (que d’archaïques corporatismes crispés sur des vieilleries !), en un mot …réformé. Les politiques professionnels semblent ben se tromper systématiquement de réforme. C’est que le capitalisme qu’il faut annihiler (dans sa forme hyper destructrice de la société) et complètement transformé. Et rien d’autre. Cette fois-ci, les politiciens professionnels sont du mauvais côté de la morale. Ils viennent de se faire couper l’herbe sous les pieds de tous les discours. Comment le prendre de si haut, marteler du péremptoire et chercher à culpabiliser le peuple…sans morale ? Oui comment ? Nul ne peut avoir le leurre et l’argent du leurre – dans ce cas c’est le politique professionnel, le leurré ! Au soulagement général.
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Rappelons que ce texte les aura placés dans une moraline de bas de gamme. Ce qui inédit qu’ils sont bien incapables de savoir – puis de comprendre – ce qui se passe AU-DESSUS D’EUX ! Chacun-e est pris là où il croit prendre.
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La certitude c’est que ce ne sont ni l’argent de la finance, ni les politiques professionnels, ni les médias illégaux (ne respectant pas le CNR qui a clarifié que l’information et l’argent sont définitivement incompatibles)…Alors qui, qui ? Le triumvirat précédent (qui a tenté de chasser la morale) c’est le terreau de toutes les corruptions. Comme nous devons stopper les corruptions, terminez le syllogisme…Ce ne sont pas les clairs ennemis de la morale qui peuvent la fonder ! Notez comment de plus en plus de pans de la société…leur échappent. Ce qui signe que la société se réorganise à fond…sans eux. En fait, la société n’avait jamais eu besoin de leurs structures obsolètes (ces doublons qui ne servent qu’à aspirer bien illégitimement l’argent des autres !). La prise de conscience que nous n’avons absolument pas besoin d’eux est en cours. Et qu’ils ne viennent pas la jouer à la morale : ils en sont à la répétition de l’histoire (déjà vécue)…en farce la seconde fois ! C’est eux-seuls qui auront créé toutes les conditions où ils tombent sans que nul-le ne les poussât. Oui tous les arts « sont » martiaux !
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Enfin – puisque tout ce que nous avons abordé jusqu’alors présentait un aspect automatique, une rigidité mécanique, très forte pour la morale de basse intensité, plus fluide et modulée pour le niveau intermédiaire – mais nous n’avons pas rencontré la complète spontanéité. La morale qui jaillit du plus profond de l’être ! Ce qui va maintenant occurire ! C’était donc cela la morae ne peut surgir que d’u grand élan de spontanéité… ! L’avantage d’écrire honnêtement c’est que nous vivons tout en direct. Irremplaçable !l
Krishnamurti/- Quelle-est-l'action-juste ?
La vertu, l’éthique ne consistent pas dans la répétition du bien. Toute vertu cesse d’en être une dès qu’elle devient mécanique.
« L’esprit peut-il s’affranchir de toute autorité, c’est-à-dire être libéré de la peur, afin de ne plus être en mesure de s’y soumettre ? Si tel est le cas, cela met fin à l’imitation qui devient mécanique. Car, en définitive, la vertu, l’éthique ne consistent pas dans la répétition du bien. Toute vertu cesse d’en être une dès qu’elle devient mécanique. La vertu ne peut venir que d’instant en instant. L’humilité ne se cultive pas et un esprit dénué d’humilité est incapable d’apprendre. [..puisqu’il reste omniscient à l’avance !]. Donc la vertu est étrangère à toute autorité qui impose. La morale sociale est au contraire parfaitement immorale, puisqu’elle admet la compétition, la voracité, la corruption : la société encourage donc l’immoralité. La vertu transcende la moralité. Sans vertu, il n’y a pas d’ordre ; et l’ordre n’obéit ni à une formule ni à un modèle préétablis. L’esprit qui se soumet à une formule préétablie, en s’astreignant à une discipline pour accéder à la vertu, se crée ainsi lui-même ses propres problèmes d’immoralité. […les conformismes sont bien des immoralités].
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Lorsque l’esprit s’efforce de comprendre ce qu’est la vraie vertu, toute autorité extérieure - exception faite de la loi loyale - que l’esprit objective, par exemple sous la forme de Dieu ou d’une morale, devient destructrice. Nous avons aussi notre propre autorité intérieure - celle de l’expérience, du savoir, à laquelle nous nous efforçons d’obéir [clair que sans expérience ni savoir incarné – nulle morale n’est possible !]. Et il y a cette perpétuelle répétition, cette imitation constante qui nous sont familières. L’autorité psychologique - pas celle de la loi, pas celle des policiers chargés du maintien de l’ordre [ou du… désordre si la société est…immorale !], mais celle qui en chacun de nous - finit par détruire la vertu, car la vertu est une chose qui vit, qui bouge. Et, de même que l’humilité, - pas plus que l’amour - ne peut se cultiver, de même il est impossible de cultiver la vertu, et il y a en cela une grande beauté. La vertu est tout sauf mécanique, et sans vertu, il n’est pas de fondement solide pour une pensée claire et lucide". (Krishnamurti - Le Livre de la Méditation et de la vie, poche, p. 33-34.).
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Ce texte ne ramasse–t-il pas, en quelques phrases, ce que nous avons précédemment démonté abondamment ? Mais et ce texte et ce qui le précéda nous laisse seuls – devant une immensité neuve et assainie -
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…………Oui pour fonder la morale de notre futur commun !
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…la suite au prochain épisode
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>>>>>>>>>>>>>>>>> -ANNEXES (pour approfondir !) - <<<<<
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« Selon Schopenhauer, Kant a eu l'indéniable mérite de "purifier" la morale de l’eudémonisme des Anciens pour la majorité desquels la vertu s’identifie presque toujours à la félicité.
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Cependant, pour Schopenhauer, la philosophie morale de Platon était déjà une exception notable à cette "morale des anciens" car son éthique est "désintéressée" et "ascétique" ; c'est d'ailleurs aussi pourquoi, elle tourne, quelquefois, au "mysticisme".
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Mais, en général, la vertu est, pour "les anciens" - comme d'ailleurs aussi pour "les modernes"- très et surtout trop souvent appréhendée comme étant davantage un "moyen" qu'une "fin" (et il en est de la "vertu" chez les anciens comme il en est souvent du "salut" pour les modernes) et c'est pourquoi, selon Schopenhauer, cette "morale" demeure encore relativement "insuffisante".
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Les fondements de la métaphysique des mœurs constituent la "base" de la philosophie morale d'Emmanuel Kant et la Critique de la raison pratique n’y ajoute que la conception du rapport entre la liberté et la nécessité. Selon Schopenhauer, la forme impérative et surtout, "a priori" de la morale kantienne est encore très clairement trop inspirée du décalogue et, plus précisément, encore bien trop dépendante de la croyance en une "divinité transcendante".
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Et Schopenhauer conteste aussi le "légalisme" que prend la réflexion kantienne sur la morale. Selon Schopenhauer, Kant admet sans démonstration mais surtout, par pur "préjugé", l’existence immanente de "lois morales" a priori. Ainsi, l'"impératif catégorique", en apparence si inconditionné, finit en réalité par reposer sur une "redéfinition" du "souverain bien" (une forme laïcisée de "salut moral") où celui-ci n'est en réalité envisagé que comme une hypothétique "récompense" (dans la Critique de la raison pratique) et ce "souverain bien" est appuyé surtout sur le postulat qu'il doit y avoir une "nécessité morale" compatible avec la "nécessité physique". Plus généralement, selon Schopenhauer, toute morale, basée sur le devoir, envisagé comme principe, en arrive inévitablement à présupposer un "principe" transcendant non fondé (au sens de non justifié et, peut-être même, inévitablement "injustifiable"), car une telle morale "déontologique" ne peut rien "faire" d'autre que de déplacer (indéfiniment ?) la question du fondement.
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Selon Schopenhauer, l’hypothèse d’une volonté extérieure et étrangère et surtout, "transcendant" toute détermination sensible et empirique (par exemple: "une volonté divine" ou "une volonté autonome") dictant les devoirs ne devrait pas du tout avoir sa place dans une "philosophie morale". De plus, les notions de "devoir inconditionnel" ou de "devoir absolu" sont des "contradictions in adjecto".
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Des prétendus devoirs envers nous-mêmes
"Ce que je fais est toujours ce à quoi je consens" : de cette affirmation, Schopenhauer conclut qu'il n’y a pas véritablement d’injustice envers soi-même, ni aussi de devoir ou d'obligation morale de charité envers soi-même parce que celle-ci est "naturelle" au sens de "spontanée" et même d'"instinctive" ou elle n'est pas. Il n’y a donc pas de devoirs envers nous-mêmes. La morale est donc une conception et surtout, une pratique variable qui découle de la culture particulière (et surtout de l'éducation) d'un individu. »
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Wikipedia//Fondement_de_la_morale_(Schopenhauer)
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Faux_et_usage_de_faux (législation)
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La morale comme une imitation des dieux ?
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Art-objet-pensée-philosophique/art-pensée-rationnelle-Hegel/critique-imitation
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Comme sympathie propagée
1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1+1
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Fondements-de-l'éthique-: l'éducation-de-la-pensée-et-le-respect-des-droits/
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La justice c’est la justesse avec soi-même. Mais pour la société comment se vivrait la justesse ?
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Aucune morale concrète n'apparaît comme particulière aussi longtemps qu'elle est simplement vécue et n'a pas besoin d'être défendue contre d'autres morales qui existent à côté d'elle et mettent, par leur existence même, en doute sa validité. Le problème naît, dans les situations caractérisées plus haut, là où aucun système ne réussit à s'isoler ou à éliminer tous les autres au moyen de la lutte violente contre ceux qu'on appelle les barbares, les infidèles, les sauvages, les dégénérés, etc. C'est dans de telles situations que prennent naissance une observation plus ou moins systématique des phénomènes de cet ordre et une science des morales. Ce sont des situations de crise, dans lesquelles l'individu ne sait plus ce qu'il faut faire, quelle décision prendre, à quel dieu se vouer. Il se peut (et le cas sera statistiquement normal) que l'individu choisisse arbitrairement, parce qu'il ne peut pas éviter tout choix. Mais la réflexion sur la pluralité des morales peut aussi se saisir elle-même, se retourner comme réflexion sur elle-même et demander si le choix est nécessairement arbitraire ou si une justification est possible qui ne serait pas du type de celles qu'offrent les morales de fait, toutes suspectes parce que toutes mises en doute ou non reconnues par d'autres, également humaines. En d'autres termes, on renonce à opter pour tel bien fondamental contre tel autre regardé comme mal ou comme faux bien, on ne se contente pas d'étudier les multiples biens (fondamentaux) sur lesquels les hommes s'orientent pour régler leurs conduites et prendre leurs décisions :
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on veut savoir ce qui est bien en soi, le bien qu'il faut poursuivre, encore que l'humanité tout entière l'ignore ou le méconnaisse. Telle serait la question si la poser ne participait plus à…s’opposer ! S’imposer et toute la clique des posément dits !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
A éviter les 5mn du début – rien n’y est dit mais, après 5mn, nous comprenons que les apports méritent le détour…les neurones-miroirs : qui ne sont pas mimétiques mais nous relient au monde en respectant nos singularités ! Essentiel à comprendre !
influent c’est qui ouvre les flux pour les autres. Donc n’a pas eu peur. N’a pas pensé à lui. Et n’a pas essayé d’obstruer le passage de son important ego. Et de ces faits accumulés – son influence devient 100 fois plus forte !
ne pas tenir pour vrai tout ce qui nous a été appris…c’est le début de la morale
vers une morale naturelle ?
rien n’est résolu 1) parce que bien peu posent les bonnes questions 2) encore moins savent écouter les réponses 3) et l’oubli du problème poursuivi à l’aide d’interrogations qui devait mieux cadrer ce problème est bien plus complet 4) et – grave- plus personne ne se pose de question sur cet échec à répétition