Régressions du droit au respect de l’enfant ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Régressions du droit au respect de l’enfant ?

Des adultes bouffis de convoitises, se prétendant, en plus, des classes supérieures, défigurent toute la société. Les enfants sont embarqués dans leurs déviances antisociales. Ainsi, dès le plus jeune âge, de n’être que pesé, mesuré, estimé, calculé, jaugé, considéré comme une valeur seulement matérielle. N’ayant le droit « aux caprices » de ces grands de n’avoir de sentiments et des émotions que le minimum de temps possible. Jusqu’à complète disparition bien avant l’adolescence. Toute leur jeunesse leur est volée par le viol de la consommation imposée ! Oui, toutes ces empreintes des corruptions morales ils le ressentent très fortement. La société doit le respect à l’enfant – pour cela il faut qu’elle se respecte elle-même. Et cesse tout de suite d’élargir les cercles d’illégitimes laxismes autour des prétendus dirigeants. Prétendus dirigeants qui ont entièrement tort. Et doivent changer à 100 % leurs styles de vie – sans style. La société doit de nouveau reconnaître solennellement le droit… de l’enfant au respect !

Nul n'a le droit de dire à un enfant qu'il va rater sa vie

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Le pire crime ? Faire croire à un enfant qu’il va rater sa vie…pour des frivolités matérielles. Vraiment la vraie délinquance c’est les dirigeants :

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Le Droit de l'enfant au respect, 1979 , réédition, 2009

« C’est pour cela qu’en crèche nous veillons à ne pas rentrer dans ce principe mais à considérer chaque enfant comme une personne, à le valoriser , à l’accompagner à l’autonomie afin qu’il puisse devenir un adulte bien dans sa peau , responsable de ses choix . Cela passe par s’adresser à l’enfant en étant à sa hauteur et en croisant son regard, à reconnaître ses émotions et à les verbaliser, à le laisser faire seul et ne pas faire à sa place s il maitrise ce qu’il fait, à avoir un regard d’adulte constant de bienveillance sur tous. Cela s’appelle les pédagogies nouvelles qui sont pourtant développées depuis presque un siècle et ne sont enseignées que dans des écoles privées à la marge. L’Éducation Nationale a toujours voulu ignorer les bienfaits de ce type de pédagogies et pourtant je me souviens que mon fils à l’adolescence m’ayant piqué un bouquin de Janusz Korczac, après l’avoir lu , observait ses profs et me disait que sur l’ensemble de ceux ci , un seul appliquait ce principe de respect de l’enfant en tant qu’individu libre de ses choix. Consternant !… »

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Le premier pas du respect envers l’enfant c’est de faire entrer dans sa conscience qu’il/elle existe dans une présence complète. Présence reconnue et acceptée comme une participation à tout ce qui le concerne. Faire advenir dans les échanges inter- personnels qu’il est bien une personne à part entière. Et non un mineur asservi aux ordres durement indiscutables. S’il doit apprendre et se développer c’est en « coresponsabilité ». La certitude qu’il pourra toujours s’exprimer dans les décisions qui concernent sa vie – est comme un bienfait dont l’investissement, si l’on peut dire, se prouve…exponentiel. C’est le meilleur service à lui rendre. Celui où le fait qu’il/elle doit vivre des « non de frustrations » ne va pas leur créer des blessures intérieures pour la vie. Il y a du jeu et moelleux dans les rouages des relations. Pas d’égratignures suppurantes, juste de légers bleus…C’est que, pour eux, nous avons ouvert un espace où il est devenu possible de ressentir tout ceci en profondeur. Un peu, pour faire image, comme ce qui suit. Le tuteur contenu dans instiTuteur comme la tutrice contenue dans instiTutrice se sont installés dans chaque détail de sa vie. Il va pouvoir grandir « dans » toute sa force non contrariée sans cesse.

Le dessin magnifique suivant en représente le symbole d’envol total !

L’aigle de la roche : éblouissant !

Un aigle qui est dessiné par la pierre mais qui reste lui même !

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Des modèles puissants existent ...

« Dès le début du XXe siècle, Janusz Korczak a œuvré à une refonte complète de l’éducation et du statut de l’enfant, sur des bases constitutionnelles entièrement nouvelles, privilégiant la sauvegarde et le respect absolu de l’enfance. Ses multiples écrits pour enfants et pour adultes (Comment aimer un enfant, Le Roi Mathias Ier ), l’exemple de ses deux orphelinats organisés en républiques d’enfants (« Dom Sierot » créée en 1912 et « Nasz Dom » en 1919), ses émissions de radio, son journal national d’enfants (« Mały Przegląd ») ont marqué des générations entières de petits Polonais.

En artiste tout autant qu'en scientifique et clinicien, il a incarné une véritable pédagogie du respect, une école de la démocratie et de la participation qui font aujourd’hui universellement référence.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Janusz_Korczak

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Sur le plan pédagogique, l’œuvre de Korczak s'inscrit dans la lignée de la « pédagogie active » et de « l’École nouvelle »

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Dans le domaine des droits de l'enfant, il est aussi le précurseur de la mise en pratique des droits positifs de l’enfant (droits d’expression, de participation, d’association, etc.) officiellement établis le 20 novembre 1989 par les articles 12 à 17 de la Convention des Nations unies pour les droits de l’enfant, un texte et un acte politique majeur dont il exigeait l’élaboration depuis la fin du XIXe siècle.

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C. Charlet a pu montrer (in H. Lethierry, L'humour outil pédagogique, E.P.U, 2015) que Korczak, par son sens de la dérision, reliait la question des droits de l'enfant à celle de l'humour. »

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Cette vie se retrouve à tous les carrefours des grandes décisions du siècle de sa vie. Mine de rien, elle nous aura accompagnée, inspirée, fait rêver – chacun-e avec une intensité plus une moins intense. Mais jamais avec indifférence !

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Comment faire alors ?

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Témoignage d’une parente qui réfléchit à comment devenir bien dans sa peau afin d’offrir aux enfants une voie qui convienne aux 3 (enfant et parents) et plus (s’il y a fratrie)… « Savoir, dénoncer, boycotter, combattre... Je ne veux pas construire ma vie que sur ça. Je préfère en créer une autre sans eux. Pas facile mais s'il n'y avait que moi qui le fasse... Ne pas alimenter ça en tout cas en leur donnant une légitimité en les reconnaissant comme les maîtres du monde. Mon monde, ma planète n'a pas besoin d'eux... Ce monde à besoin de diversité, nous pouvons être, aux même titres que les autres organismes qui le peuplent, des électrons libres qui savent participer à des formes d'organisations puis repartir faire un bout de chemin seul. Notre force réside dans notre autonomie, nos échanges mais surtout notre chemin. Or ces personnages médiatisés sont de véritables pompes à énergie, soyons vigilant sur ça. Créons plus que nous ne dénonçons, respirons plus que nous luttons... Si nous ne voulons pas être manipulés refusons leur jeu. L'obscurité n'est qu’absence de lumière : alors, allons plutôt la chercher, au lieu de combattre dans le noir. Abandonnons donc leur terrain et vivons notre… chemin.… »

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Cette prise d’autonomie sensée puisque s’expérimentant réellement et sachant se dire autrement que par des imprécations – est une excellente garantie pour les enfants. Avoir des parents solides et non soumis, quelle que soit les conditions matérielles, aide à la sécurité mentale. Qui permet tous les envols et retours qu’est l’enfance. Trop d’enfants doivent devenir les adultes de leurs familles : vivre tranquillement son enfance est un droit sacré ! Toujours moins respecté – mais toujours aussi sacré !

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En fin de compte c’est tout simple – il s’agit de commencer de nous observer adulte en train de nous comporter envers les enfants. Nos travers. Et ce que nous ne les faisons pas traverser. Par exemple, l’oubli de… parler normalement aux enfants. L’enfance n’est pas une maladie : inutile de parler comme si elle était une catastrophe permanente. Il n’y a pas à enfler quoi que ce soit – plutôt dédramatiser par l’humour. Nos peurs les restreignent trop. En fait, des humains de terrain ont les formules justes : « respecter l’adulte qui est déjà dans l’enfant ». Un enfant c’est un adulte qui veut le devenir. Penser sans arrêt au respect qu’il devra répandre autour de lui plus tard. Voici qui entre dans un cercle vertueux. Et qui peut changer…toute la société.

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Il est vrai, qu’à cause des pouvoirs exagérés, du poids anormal de l’économie, des non limites sociales aux enrichissements privés et donc du débridement des médias (par exemple, cette observation « plus, ils sont en costards-cravates plus ils abondent en concepts de voyous » !), etc. oui à cause de ces…. échecs sociaux externes – nous devons faire un effort :

1) – pour se centrer sur l’enfant en n’utilisant jamais comme écrans autoritaires les technologies, les institutions ou les médias. Il s’agit de parlementer non autoritairement, sans cesse, les obligations et les conduites des enfants – pas de cracher les ordres du commerce ! Le bon parent sait limiter au maximum les jouets, gadgets et objets qui « terminent tant les relations humaines » !

2) – se centrer sur l’enfant, oui en essayant au maximum de parler hors des tics compulsifs de toutes ces organisations pas si sociales que cela. Mais bien le versant corrupteur de la société. Dont nous devons protéger les enfants. Et pas les leur servir sur un plateau.

3 – et donc en parvenant, en passant des ressentis aux besoins et des besoins aux ressentis, à faire émerger ce qu’il y a d’unique dans chaque enfant. Leurs caractère pourquoi vouloir les changer : où est le droit divin de cela ? Le caractère est entre les ressentis et les besoins. Et nous ne sommes pas là pour les faire rentrer dans le rang. Quel rang ? Ce serait plutôt aux prétendus dirigeants et aux financiers fous de rentrer dans « ce » rang. Donc – au final, sans critiques généralistes du système, nous parvenons à leur montrer et prouver que… d’autres comportements sont possibles. Que ceux corrompus des médias. Que les armes de raisonnements et d’expressions de leurs besoins et ressentis face à ce qu’ils vivent leur « rapportent » bien plus que tout autre comportement. Une fois ceci ancré – le dialogue permanent enfants-parents s’installe. Plus il est utilisé plus l’enfant prend l’habitude et l’aisance de parler de ses ressentis et de ses besoins. Comme une expression nécessaire de la vie, dont il ne faut pas rester empêtrés – mais qui « marchent » d’autant mieux qu’elle est formulée avec précision. Ainsi dans « la seconde mère qu’est le langage » l’enfant se construit unitairement. Avec le même développement de toutes ces facettes. Plus de surdoués intellectuels étant des « crétins émotionnels » (au Q.E. Quotient émotionnel de qui sont inaptes à comprendre les autres et vivent en sous-marins toujours submersibles !). Plus de ces sportifs unidimensionnels qui croient que la compétition (1 seul gagne et 9999 perdent) soit une vraie éducation et non la coopération, l’apprentissage en groupe et l’émulation qui « aide les autres ». Plus de…ces amputés du cœur qui ne sont plus que des porte-manteaux de la mode et du commerce. Transporteurs de plus en plus d’objets inutiles. Ou « prisonniers » de leur mobile qui leur prive de relations. Oui même dans la rue ! Grâce à notre invention du…respect, l’enfant devient donc un(e) « libéré-e » ! C’est que nous devons les protéger en douceur de toutes ces drogues dures sociétales. Drogues qui devraient être rendues illicites, prohibées tant elles ensevelissent leurs cœurs. En justement leur ouvrant maximum l’expression du cœur. Inutile de leur faire une théorie du système – les arracher à ses mains sales (surtout s’ils se les lavent 30 fois par jour) est bien la pratique de cette théorie.

Bref, les parents et les enfants n’ont jamais été si proches de se réconcilier. Et de flanquer par-dessus bord toutes ces organisations parasites qui n’ont pas arrêté de squatter leurs relations, de s’y introduire abusivement, dans le but clair de les séparer (plus les humains sont seuls plus le commerce vend de produits à chacun séparé. Faire la révolution commence par pulvériser les solitudes – eh oui que du…pratique !.) Etc. Suffit de dire « Chez moi, je ne reçois pas les idées reçues ! » et vous allez voir droper tous ces pitres !

Ce qui amène au dernier volet. La société est en tort. Mille fois en tort. Puisque s’octroyer le droit abusif de ne pas permettre des revenus décents au parents c’est condamner l’enfant à la sous-alimentation. Oui même en France des enfants ont faim. Aux angoisses et aux humiliations de trop de pauvretés. Comme le travail est « un droit constitutionnel » les devoirs obligatoires de la société sont d’assurer une… compensation (et sans aucun commentaire, de préférence) s’il n’y pas d’activité ou d’emploi rémunérateur. Cela doit être martelé que tous le parents doivent recevoir « un revenu minimum digne (et pas des 600 €) pour le respect intégral dû à l’enfance ». La société ne peut se donner les droits de briser les vies d’enfants parce qu’elle FUIT la raison suprême de répartir équitablement toutes les richesses collectives. Une redistribution sensée annulerait 80 % des problèmes sociaux. Oui à chaque fois qu’elle subventionne trop les super assistés trop riches elle brise de chagrins des milliers de vies d’enfant. Le fait qu’elle n’interdise pas les paradis fiscaux, l’énorme fraude fiscale des trop riches, les spoliations de patrimoines et qu’elle ne contraigne pas ces riches à payer les impôts qu’ils doivent « en tant que citoyen-ne-s de la République » – c’est la condamnation des millions de parents de ne pas pourvoir élever décemment les enfants. Donc en conclusion ?

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Tout un retour aux lois de la République, dont les privilèges sont prohibées, aucune famille ne peut léguer de richesses collectives, pas d’enrichissement héréditaire, la Constitution interdit implicitement la professionnalisation de la politique puisque « aucune partie de la société ne peut se monopoliser sa direction »…oui la fin des trop riches et donc trop fraudeurs et trop assistés se fera en introduisant dans toutes les lois qui limiteront les inégalités financières (qui ne sont absolument pas naturelles) en étant ainsi libellées….« A cause du respect dû aux enfants, tout enrichissement exagéré se voit ainsi cadré… » « A cause du respect dû aux enfants, les banques privées n’ont plus le droit d’émettre de la monnaie publique ». « A cause du respect dû aux enfants, les prétendues dettes publiques vont être révisées et si des manquements au lois républicaines y étaient décelés les fomentateurs serait très pénalisés. A moins qu’ils ne se désistent avant… ».Etc. oui « A cause du respect dû aux enfants ! »…

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C’est l’exagération des inégalités financières (qui ne sont sûrement pas…naturelles) et les illégitimes laxismes (en République) envers les trop riches (au lieu de les restreindre par un salaire MAXIMUM garanti, par exemple – la société fautive les « aide » pratiquement dans ces enrichissements aux dépens des autres, donc des « enrichissements qui nuisent »…) – oui c’est tout cela le problème central.

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Puisque sur le fond –

- s’accorder le droit divin d’être trop riche c’est cela ne pas respecter les enfants.

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation

….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

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le gris de la vie révèle toutes les couleurs dans un regard

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Régressions du droit au respect de l’enfant ?
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mieux de se mouiller que de mouiller les autres…

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la communauté de la joie enthousiaste ?

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Le droit au respect de l’enfant c'est lui !

parler normalement sans enfler quoi que ce soit – respecter l’adulte qu’il est déjà dans l’enfant – penser sans arrêt au respect qu’il devra répandre autour de lui plus tard.

comment il en est parlé professionnellement ?

les réseaux sociaux transforment en monologues accusateurs l’étalage en public des disputes de cour de récréation.

baisse de subventions – un secteur qui ne fait pas parler de lui. Les subventions ne vont qu’aux médiatisés pas aux vrais utiles ? Cela suffit ces …puérilités !

Publié dans sociéte

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