Lorsque des villes organisent l’autosuffisance alimentaire ?
2016 – Terre. Impossible d’arrêter une idée dont le temps est venu ! France - Première ville en …permaculture obligatoire ? Vous avez bien lu. Albi en début d’année (51 000 habitants). Seconde ville, cet été - Rennes pour 217 000 habitants. ! Oui les règles sont strictes. Du bio, rien que du bio. Les techniques de permaculture permettent des rendements suffisants. Les clients doivent être locaux, en circuit court: paniers, vente en ligne, écoles...ce qui veut dire que toute la population y participe. Toute. Décoiffons, ici, l’histoire véridique de ces pionniers.
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« Au menu : agriculture urbaine, jardins partagés et circuits courts. Un petit parfum de révolution verte flotte dans l'air. L'équipe municipale d'Albi (Tarn) a officialisé début 2016 un défi ambitieux: parvenir à l'autosuffisance alimentaire à l'horizon 2020. Une première en France pour une ville de cette taille (51.064 habitants). La production agricole dans un rayon de 60 km devra être en capacité de répondre aux besoins de la population. Une utopie qui vise surtout à faire bouger les mentalités et à favoriser les circuits courts.
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** «Je ne veux pas interdire les produits qui viennent de plus loin, rassure Jean-Michel Bouat, l'adjoint au maire en charge du dossier, mais le bilan carbone doit être l'affaire de tous».
** Deuxième objectif: sécuriser les approvisionnements en cas de crise alimentaire. «À Albi, on n'a que 5 jours de stocks de nourriture», déplore-t-il. Surtout, la course aux aliments sains dans les assiettes est lancée. «Quand un agriculteur serre la main de ses clients, il se pose plus facilement la question des produits qu'il met dans ses champs», renchérit l'élu encarté au Parti radical, qui se définit comme un «écolo-centriste». Mode d'emploi ?
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L'installation de néo-maraîchers dans la commune
En bordure du Tarn, une vaste friche verdoyante non constructible de 73 hectares est située à une quinzaine de minutes de vélo du centre-ville. Bienvenue à Canavières, véritable laboratoire municipal de l'installation d'agriculteurs urbains. Ici, la mairie préempte les terrains: elle est prioritaire pour les racheter. Elle loue ensuite de petites parcelles d'environ un hectare à des néomaraîchers volontaires, qui se lancent dans la profession. Le loyer est raisonnable (70 euros par hectare et par an). Mais les règles sont strictes. Du bio, rien que du bio. Les techniques de permaculture permettent des rendements suffisants. Les clients doivent être locaux, en circuit court: paniers, vente en ligne, écoles... «Demain, on espère que notre cuisine centrale (qui prépare les repas des écoliers et des personnes âgées) pourra absorber le surplus», confie Jean-Michel Bouat. Pour l'instant, 8 hectares ont été rachetés. Et «sept emplois ont déjà été créés, jure fièrement l'élu.
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André Morlat est l'un des pionniers. Cet ancien paysagiste de 56 ans s'est lancé dans l'aventure en janvier 2014. «C'était un vieux rêve», murmure-t-il. L'homme cultive une soixantaine d'espèces de légumes différents, produit de l'huile de noix et du jus de pomme. La demande pour sa production, un peu plus chère qu'en supermarchés, ne faiblit pas. Et il parvient à en vivre, même s'il ne compte pas ses heures. «Je n'ai jamais jeté un seul légume», s'enthousiasme-t-il. D'autres zones de ce genre pourraient voir le jour dans la ville.
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Les fruits et légumes dans la ville
Choux, blettes, pois, ail, fèves, fruits rouges, pommiers... Les Incroyables Comestibles partent à la conquête de la ville. Ces jardiniers d'un nouveau genre, œuvrent partout dans le monde, pour que les fruits et les légumes réinvestissent l'espace public et puissent être cueillis librement. Les bénévoles albigeois sont à l'initiative de plantations aux coins des rues, en accord avec la mairie. L'instigatrice du mouvement, la britannique Pam Warhust, s'est d'ailleurs déplacée dans le Tarn en janvier dernier, histoire de constater la mutation en marche. Jardins partagés, urbains, arbres fruitiers, «key hole» (potager hors-sol originaire d'Afrique)... Lentement, les espaces verts entament leur mue. «Nous sommes habitués à une esthétique de fleurs mais pas vraiment de poireaux. Pourtant on peut faire du beau et du bon», s'amuse Jean-Michel Bouat.
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Toutefois, «les habitants n'osent pas trop cueillir les légumes. Ils ont l'impression que c'est du vol», avoue un bénévole, affairé dans le potager niché en plein cœur de l'université. Reste qu'avec un peu de pédagogie, des miracles arrivent. «Certains étudiants nous disaient ne jamais manger de légumes avant. Alors pourquoi faire pousser de l'herbe?», se félicite l'élu.
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La réhabilitation des jardins ouvriers et des potagers délaissés chez les personnes âgées sera la prochaine étape. Une plate-forme Internet devrait bientôt voir le jour pour mettre en relation des jardiniers volontaires et les propriétaires noyés sous les mauvaises herbes. Une manière de ne laisser aucun carré de terre à l'abandon. «Les gens retrouvent l'essence des choses: la vocation nourricière de la terre. Une partie de la population a de faibles revenus, mais du temps libre», souligne Jean-Michel Bouat.
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Associer les agriculteurs et les distributeurs
Rien ne pourra se faire à grande échelle sans les agriculteurs locaux d'un côté ; la grande distribution de l'autre. «C'est au secteur privé d'y aller. Tout ce que l'on fait là sert à déclencher une prise de conscience», pointe le maire adjoint. Pour arriver à l'autosuffisance alimentaire réelle, il faut une belle force de persuasion. Jean-Michel Bouat l'admet... «Avec les agriculteurs dits «traditionnels», la démarche est parfois mal comprise». Mais en ces temps de crise, il croit en la force de l'exemple ; à l'émulation positive. «Les acteurs du secteur vont se rencontrer. Les politiques doivent parfois savoir se faire discrets».
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Il faudra aussi faire bouger les supermarchés. Pour l'instant, seuls les centres Leclerc peuvent acheter localement. Les autres enseignes doivent passer par des centrales d'achat. Le consommateur a un grand rôle à jouer dans la réussite du défi albigeois. «La grande distribution sera alors obligée de jouer le jeu des producteurs locaux, affirme Jean-Michel Bouat. On n'arrête pas une idée dont le temps est venu.»
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« Cette ville qui emboîte le pas à Albi, c’est Rennes. Pour ne jamais manquer de rien, soutenir la vie économique locale et garantir une nourriture saine et non polluante à ses enfants, la collectivité a voté le 27 juin dernier une délibération qui, mine de rien, pourrait changer la vie de ses 217 309 habitants.
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http://positivr.fr/rennes-autosuffisance-alimentaire-incroyables-comestibles-agroecologie/..
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Pour atteindre l’autonomie alimentaire, la municipalité dispose d’un espace de production agricole de proximité estimé à 30 000 hectares. Mais la surface ne fait pas tout.
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Les élus ont en effet décidé de mettre le paquet sur le bio, sur l’agriculture urbaine, l’agro-écologie, la permaculture, les Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap), les circuits-courts, l’éducation à l’alimentation saine… et sur la collaboration de tous les habitants !
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En effet, l’autosuffisance alimentaire n’est possible qu’avec une participation massive des citoyens. Ceux-ci seront donc invités et encouragés à être des consommateurs éclairés… mais aussi à devenir eux-mêmes des producteurs consciencieux ! »
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L’autosuffisance alimentaire n’est donc pas du tout une utopie. C’est, au contraire, un objectif réaliste et nécessaire ! Après Albi, une deuxième grande ville française en a d’ailleurs pris conscience et s’est lancée dans un ambitieux programme de… transition citoyenne et écologique. C’est l’écologie de terrain qui fait de la politique et non la politique abstraire qui échoue à faire de l’écologie concrète.
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Le programme est d’ailleurs soutenu par les Incroyables comestibles de Rennes dont l’ambition est la reconquête, par les habitants, des zones urbaines. Objectif : que chacun se mette à faire pousser des fruits et légumes bio partout où c’est possible pour une redistribution gratuite et collective de la production !
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Manger bien et ne jamais manquer de rien tout en respectant la planète… Certaines décisions simples et concrètes prises dans l’anonymat des conseils municipaux de Province valent bien certaines conférences [prétendues] internationales ! »
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Et en concret anti-provincial (seul Paris a toujours fait…si province !) cela donne ? Le pré-projet de Rennes qui …« pourrait se nourrir entièrement avec ses terres, passées en agriculture biologique, à condition de créer une couronne de 6,3 km de large autour de l’agglomération et de transformer la manière de produire et de consommer. Il s’agirait de grignoter de la surface cultivable partout où c’est possible : un tiers des forêts pourrait produire des fruits à coque, et le maraîchage devrait occuper 40 % des 52 jardins, la moitié des squares et 60 % des toits. Mais il faudrait également réduire le gaspillage alimentaire, de 30 % aujourd’hui à 20 % demain. Et, enfin, transformer son alimentation, en diminuant la ration de protéines, notamment en divisant par deux la consommation de viande ». Actuellement, Rennes met tout ce programme « réaliste » en œuvre !
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Et encore ? « Des sites comme achetons-local.com en Aquitaine ou maplanetealimentaire.fr en Bretagne visent à faciliter la recherche et l’achat de produits fabriqués localement. Pour aller « de la terre au panier sans se faire carotter !“, un site comme ecopousse.com met en relation producteurs locaux et consommateurs en recherche de produits fermiers cultivés près de chez eux. Et il en existe plein d’autres encore pour favoriser la relocalisation de l’alimentation, telle La Ruche qui dit Oui ! qui compte plus de 200 « ruches » de citoyens opérationnelles maintenant, autant de consommateurs qui arrivent à manger bien, localement et pas cher tout en s’organisant pour faciliter le travail des producteurs. [pas comme l’industrie alimentaire qui perturbe à fond le travail des vrais producteurs !]. »
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Si cela vous intéresse d’ailleurs, je vous conseille la lecture du petit livre de Catherine Choffat, Devenez Locavores, L’auteure revient sur les enjeux de l’alimentation locale mais propose surtout plein d’astuces et de recettes très pratiques pour y arriver sans difficultés. »
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Nous nous pinçons – mais oui ce n’est pas un rêve. Si l’autosuffisance alimentaire ne se décrète pas : elle se construit juste à force de décisions nouvelles et pragmatiques. Préempter les friches et les terrains. Puis, à mesure que la ville en devient propriétaire, les mettre à disposition des nouveaux maraîchers. Ces exploitants doivent juste s’engager à faire du bio (techniques de permaculture) et à réserver leur production au marché local. Assez de délocalisations qui « coûtent » tellement plus collectivement que les maigres profits individuels !
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A côté de cette politique d’acquisition de terres agricoles, donner un coup de pouce aux Incroyables comestibles, ce mouvement révolutionnaire qui encourage la culture et la cueillette de fruits et de légumes bios partout, tout le temps et gratuitement ! Dans cette optique, les espaces verts communaux sont mis à disposition de tous ceux qui ont des graines à semer. Cette partie du bon projet servant à créer les animations d’entraînements nécessaires pour… arracher tout le monde aux néfastes vieilles habitudes !
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Dernière étape pour parvenir à l’autosuffisance ? Convaincre la grande distribution de s’approvisionner auprès des producteurs locaux. Même si, au départ, cette grande distribution traîne les pieds, elle doit suivre le mouvement pour deux raisons. Les clients consommateurs se détournent de plus en plus des produits venus de loin. Et lui préfèrent les circuits courts de la relocalisation. Donc, les grandes surfaces n’ont plus d’autre choix que de… s’adapter ! Et, pour une fois, dans le bon sens.
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« Ne manger que des aliments sains, bons et produits par ses voisins : l’auto-suffisance alimentaire, c’est ça ! Aujourd’hui, l’idée ressemble encore à une utopie. Mais demain, si les consommateurs et les politiques se donnent la main comme à Albi, alors ce sera la norme ! », commente une rennaise.
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« Penser global, agir local » : la célèbre expression de Jacques Ellul prend ici tout son sens. Le changement viendra du bas, ou ne viendra pas. Albi et Rennes montrent l’exemple. Allez, on en parle tous à nos maires ?
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Des points de vue de collectifs de terrain nous ouvrent à d’autres visions que les routines d’inerties !
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L’ #autonomie alimentaire des villes crée des cercles vertueux infinis.
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Alors que les villes d’ #Albi et de #Rennes viennent de s’engager sur la voie de l’autonomie alimentaire pour leurs populations, on découvre que les conditions “douces” de réalisation peuvent être appliquées à toutes les communes désireuses d’en faire l’expérience, sans exception. La réussite récente dans ce domaine pour le village de #Brachoua, au Maroc, démontre que même dans les conditions extrêmes de pauvreté, il est possible d’atteindre l’autonomie alimentaire dans un délai court, conduisant de ce fait à un nouvel art de vivre inédit pour les habitants.
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Ce qui est intéressant de découvrir lorsqu’on se met en route dans cette direction, c’est la joie que procure le sentiment de liberté en goûtant à l’abondance rendue possible par le partage et les coopérations bienveillantes. Oui, l’abondance est un état naturel, c’est un absolu dans le fonctionnement du vivant, elle est là, elle a toujours été là, mais on l’a oublié. C’est ce qu’on redécouvre tout au long du processus conduisant à l’autonomie alimentaire des villes. Le #partage crée l’ #abondance
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Quelle sera la troisième ville de France à vouloir faire l’expérience de ce nouvel art de vivre que procure l’autonomie alimentaire ? «
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Un joyeux pied-de-nez à l’industrie agro-alimentaire
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« La ville de Rennes n’est pas la seule à se lancer dans ce genre d’initiative. Avant elle, d’autres centres urbains avaient fait de même : Albi et, aux USA, Detroit la sinistrée et son “urban farming” évoqué dans le film Demain. Au regard du contexte dans lequel elles s’inscrivent, ces démarches n’apparaissent pas seulement comme originales, mais révolutionnaires et subversives. Vous pouvez parier que les lobbies de l’industrie agro-alimentaires vont faire feu de tout bois pour leur mettre des bâtons dans les roues, faire donner les services d’hygiène vendus pour leur chercher des poux dans la tête, ou en appeler à leur putain de service, Bruxelles. Ce week-end, j’ai voulu acheter un pâté forestier à un producteur bio. Dépité, ce dernier m’a avoué qu’il n’avait pas le droit d’utiliser les champignons qui poussaient dans les bois alentours, rien que des machins dessiqués par l’industrie de la bouffe salopée. Un peu comme ces œufs reconstitués qui font désormais l’ordinaire dégueulasse des omelettes dans les restos ou les cantines. »
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Oui cela c’était… hier. Encore aujourd’hui. Mais pas demain ? Ces comportements aberrants qui ont perdu tout bon sens ne vont plus durer très longtemps. Ces réglementations régressives sont, en effet, émises par des populations qui ne montrent certainement pas l’exemple du…raisonnable dans leur propre ville. Paris ? Une ville qui est très loin de l’autonomie alimentaire. Et qui fait plutôt de la prédation alimentaire sur le reste du pays. Comme l’article en lien le dévoile !
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La-région-parisienne-est-tout-juste-autosuffisante-en...salade !
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Quand la France nourrit Paris ? Ce n’est donc jamais Paris qui nourrit la France !
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« Les 12 millions d’habitants de la zone la plus urbanisée de France engloutissent chaque année plus de 900 000 tonnes de fruits et légumes. Les champs qui entourent la capitale, eux, n’en produisent pas même un sixième. (…) Si un jour les réservoirs d’essence étaient vides, les routes désertées, les aéroports bloqués, bref, si la nourriture ne venait plus à lui, le Parigot en serait- il réduit au sandwich laitue ? » Là où cette ville si peu progressiste a une autonomie alimentaire (la salade).
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Paris ? Un exemple à ne surtout pas suivre ! Avec ses gigantesques moyens, sa logistique payée par tout le pays il serait juste autosuffisant en…salades. Et encore. Sinon, hyper dépendant (sans aucune autonomie) l’imprévoyant et le lunatique du plafond !
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Ne pas omettre aussi les nettes réussites individuelles. Comme ici : une vidéo lui a été mitonnée tellement cela valait le coup de voir sa réussite.
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« La belle aventure de Juan Antonio Mora a commencé il y a une trentaine d’années par l’achat d’un lopin de terre planté de quelques orangers. Au départ, notre photographe industriel, qui n’y connaissait rien à la terre, laissait faire le jardinier. Et puis, en s’intéressant de près à la permaculture et à l’agriculture écologique, il a décidé de reprendre les choses en main. Et c’est là que le miracle de la nature a commencé à opérer !
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Le site Sideways a consacré un très beau reportage à cet homme sage. Le voici (pour activer les sous-titrages en français, cliquer sur le bouton « CC » de la vidéo). C’est rafraîchissant, pleine d’optimisme et très inspirant… » Inspirons inspirons pfffff expirons inspirons !
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Sa-forêt-comestible-lui-offre-l'autosuffisance-alimentaire/
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Les enjeux sont clairs ? D’un côté, des modèles périmés et dangereux pour notre survie, et, pourtant, soutenus par des dirigeants qui ne sont plus du tout dans la réalité. Pour le bien du pays entier – vaut-il mieux suivre Paris ou Rennes ?
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Oui le pourquoi des tout ceci ? La réussite des locavores (adeptes du manger local) ? De la permaculture ? Et la révolution « par le bas » de l’autonomie alimentaire pour faire contrepoids à la démente « mondialisation » - qui ne s’occupe, nulle part, de la vraie vie locale (et n’est donc jamais « mondiale » !) – mais n’est que l’hyper centralisation et la verticalisation hiérarchique la plus déphasée qui soit de la seule…finance internationale ? Avec ces déréalisés le concret de nos vies ne sera jamais servi. Nous devons TOUT reprendre en main. Le commencer c’est l’adopter !
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Le fond du débat est bien ceci : face aux carences graves et inexcusables des prétendues dirigeants qui ne s’occupent plus du tout de la réalité vécue par les citoyen-ne-s, oui par le fait que ces prétendus responsables, immaturement, abandonnent les populations à leur sort (voir les scandaleux U.S.A.), oui du fait que ces prétendus gouvernants se soient enfermés dans une bulle d’aliénation maladive – nous contraint à nous occuper nous-mêmes de nos vies quotidiennes. Et à…décider ! Nous pensons et faisons ce que les dirigeants auraient dû penser et faire. Voilà tout !
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Voyons d’encore plus près. Les prétendues élites – en fait des anti-élites font…sécession d’avec la société, vont se cacher dans leurs « villes privées », grilles, hauts murs, électrifiées, barreaux partout, encerclées de barbelées et hérissés de gardiens – comme si ces anti-élites se mettaient elles-mêmes en …prison. Refusant de payer l’impôt commun qu’elles exigent, si illégalement, des infiniment plus pauvres qu’elles. Si ce sont des classes supérieures elles ne le sont que par leurs bassesses. En tout cas, elles abandonnent les populations à leur sort – que faire alors ? Euhhh…Bref, assez parlé de ces échecs de vies non sociables…
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https://www.jamendo.com/track/336709/le-son-de-la-rue
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Parlons d’un « grand Nous »… d’un futur COMMUN. Après l’abandon de leurs responsabilités, de leurs postes, leurs inattendus flux de… quitter le navire, de lâcher la barre et sauter en parachute en lâchant les passagers dans l’avion – il fallait bien réagir. La société de consommation est un tel enfantillage que cela dure une seconde pour abandonner cette connerie. Mais - il ne faut plus rien avoir à faire avec les anti-humains aussi…invivables qui se prétendent « élites » (elles ne le seront jamais) ou dirigeants (même leurs lacets ils ne savent diriger !) – donc l’autosuffisance alimentaire. En impliquant tout le monde ! Par le haut (et non « par le bas »…c’est la dernière utilisation du langage truqué de ces humains indignes. Nous sommes en haut et ce sont eux qui sont en bas !)…oui en grand, très grand, le plus grand possible !
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Voilà. Plus clair ? Cela ne vient que de solides humains démocratiques, les solidaires de la réPublique et de l’an 01, les responsables véritables de toute la société. Au lieu d’exclure qui que soit, trouver les solutions bienveillantes qui englobent tout le monde.
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Surtout ne pas faire sécession comme ces indignes trop riches.
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Mais faire fédération pleinière…déjà en partageant la nourriture !
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……………………….La suite viendra spontanément…
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Officiellement, les Incroyables comestibles ont débarqué en France en 2011, sous la houlette d’un certain François Rouillay de retour d’une visite à Todmoren. Depuis, c’est la contagion ! Des dizaines de communes de toutes les régions ont déjà rejoint le mouvement (voir la carte) installant ici une jardinière de poireaux, là des plants de tomates, sur ce rond point quelques rangées de carottes et dans ce pot de fleurs une poignée de graines de tournesol… !
La charte du mouvement « Incroyable Comestibles » est géniale et courte, simple et claire. En, voici quelques extraits : « planter partout où c’est possible », « Respecter la terre », « accueillir et accepter l’autre », « promouvoir le partage, le don et la gratuité. »
Voici qui change tout - ici ce sont de vrais dirigeants pas des imposteurs comme chez les trop riches
à part être obstinément Bête, c’est quoi le « travail » d’un capitaliste ? Suffit de voir le désastre des résultats, pour s’en faire une idée.
Voir la photo de couverture…Paris pas gêné aspire sa nourriture de tout le pays – non mais, faut pas se gêner…nous vivons ensembles ou vous trop à part ?
Ainsi naissait le mouvement mondial Incredible Edible : en français, les Incroyables comestibles !
Le Conseil Municipal qui innove grandement . Celui du 6 juillet 2016
des pionniers individuels
Sa circulation n'est, malheureusement, pas assez imitée : que de lunatiques chez les conformistes !
Lorsqu’il y a un but commun clair - autonomie alimentaire, par exemple – les progrès sont incroyables. Assez donc des confusions par les anti-élites au pouvoir (plus pour longtemps)
RELOCALISER, décentraliser les enjeux - soit réparer les dégâts des fous de centralistes…
...de chez nous
...à partout sur la Terre !
L'agro-pastoral réparera les dégâts monstrueux du scandale des monocultures imposées par le déraisonnable Occident !