Fin du journalisme politique ?
Les lignes éditoriales ont du flou. Tout comme les hommes politiques de droite se disent tous hors système, luttant oui contre le système – ce qui représente une impossibilité logique, ce sont eux les soutiens visibles du système, avec la fausse gauche évidemment. Oui ces journalistes sont emportés par l’impétuosité d’un langage qui n’est pas le leur, qu’ils n’ont pas construit et qu’ils auraient plutôt empêché ne naître, en toutes déloyautés. Emportés, comme malgré eux. C’est que de plus grands esprits que leurs mesquineries intrinsèques les auront…manipulés (dans le bon sens du terme) à distance. Voilà deux catégories d’individus surpayés pour ce qu’ils font, se révélant à l’usage excessivement mesquins – enlevés par le courant. Qui n’est pas le leur. La fin du journalisme qui a chassé de partout les vrais écrivains, les penseurs, interdit les génies et cru remplir ( à leur place) leur fonction ainsi en carence. Pas en carène ? Les fonctions de vrais écrivains et de penseurs n’étaient vraiment pas à la taille de leurs étroitesses d’esprit. Fin de l’illégal putsch ? Comme ils auront déçu ces journalistes ?
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Ce 22 novembre, Frédéric Lordon publie sur son blog, hébergé par Le Monde diplomatique, un long texte titré « Politique post-vérité ou journalisme post-politique ? »…Des extraits joints à des commentaires nous offrent une vraie ligne de futur. Une rupture ontologique du sommet de la société. Et d’avec pour nous… « Le mal est beaucoup plus profond, et les remises en question superficielles ne régleront rien. Et ce n’est pas la nouvelle « grille d’analyse » à la mode chez certains éditorialistes diagnostiquant une entrée dans l’ère de la « post-vérité », qui inversera la tendance :
C’est que pour avoir depuis si longtemps désappris à penser, toute tentative de penser à nouveau, quand elle vient de l’intérieur de la machine, est d’une désespérante nullité, à l’image de la philosophie du fact-checking et de la « post-vérité », radeau de la méduse pour journalisme en perdition. L’invocation d’une nouvelle ère historique (sic) dite de la « post-vérité » est donc l’un de ces sommets que réserve la pensée éditorialiste : une nouvelle race de politiciens, et leurs électeurs, s’asseyent sur la vérité, nous avertit-elle (on n’avait pas vu). Des Brexiteers à Trump, les uns mentent, mais désormais à des degrés inouïs (plus seulement des petits mensonges comme « mon ennemi c’est la finance »), les autres croient leurs énormités, on peut donc dire n’importe quoi à un point nouveau, et la politique est devenue radicalement étrangère aux régulations de la vérité [dérégulations = déRégler tout !]. C’est une nouvelle politique, dont l’idée nous est livrée là par un gigantesque effort conceptuel : la « politique de la post-vérité ». Soutenue par les réseaux sociaux, propagateurs de toutes les affabulations – et à l’évidence les vrais coupables, ça la presse l’a bien vu.
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L’avènement du « fact-checking » et du journalisme post-politique
Cette « grille d’analyse » a pour corollaire l’avènement du « fact-checking », pratique journalistique en vogue [ nous dirions en pirogue ! ] qui consiste à opposer à la « post-vérité » la « vérité des faits », réponse-miracle de ces chefferies éditoriales qui déplorent la crédulité du public et s’émeuvent de la fin du rôle prescripteur des médias traditionnels :
Katharine Viner en vient logiquement à conclure que Trump « est le symptôme de la faiblesse croissante des médias à contrôler [sans jamais d’auto-contrôles] les limites de ce qu’il est acceptable de dire ». Le tutorat moral de la parole publique, spécialement celle du peuple et des « populistes », voilà, sans surprise, le lieu terminal de la philosophie éditorialiste de la « post-vérité ». Comprendre ce qui engendre les errements de cette parole, pour lui opposer autre chose que les postures de la vertu assistée par le fact-checking, par exemple une action sur les causes, ne peut pas un instant entrer dans une tête d’éditorialiste-de-la-vérité, qui comprend confusément que, « les causes » renvoyant à ce monde, et l’hypothèse d’y changer quoi que ce soit de sérieux étant par principe barrée, la question ne devra pas être posée.
Les tenanciers du débat public ont ainsi une lourde part de responsabilité dans les phénomènes qu’ils prétendent dénoncer, voire même combattre. A fortiori lorsqu’ils entendent réduire le débat public à une confrontation entre les « idéologues » (ceux qui prétendent que les choses pourraient être autrement) et les « réalistes » (eux-mêmes, qui savent ce qu’est le monde et donc ce qu’il ne peut pas être) :
La frénésie du fact-checking est elle-même le produit dérivé tardif, mais au plus haut point représentatif, du journalisme post-politique, qui règne en fait depuis très longtemps, et dans lequel il n’y a plus rien à discuter, hormis des vérités factuelles. La philosophie spontanée du fact-checking [ fast-food pour non-pensées ! ], c’est que le monde n’est qu’une collection de faits indifférents et que, non seulement, comme la terre, les faits ne mentent pas, mais qu’ils épuisent tout ce qu’il y a à dire du monde. […]
Leur hypocrite cri de protestation du qu’« on préfère le mensonge à la vérité » n’est que la posture de pleureuses de l’auto-justification déplacée des médias presque entièrement repliés sur le devoir fact-checkeur accompli. Trump a menti, nous avons vérifié, nous sommes irréprochables. Malheureusement non. C’est qu’un Trump puisse débouler dans le paysage dont vous êtes coupables. Vous êtes coupables de ce qu’un Trump n’advient que lorsque les organes de la post-politique ont cru pouvoir tenir trop longtemps le couvercle sur la marmite politique. [ A force de ne rien dire tout se met à maudire cette inertie criminelle !]. »
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Et nous nous posons, enfin massivement, la question qui traînait depuis tant d’années : y a-t-il responsabilité massive des médias de…masse ? « Oui, mais quand même non »….le « menteurisme » (la glorification du mensonge comme seule vérité) qui s’avère, sur le final, très… amateurisme. Les journalistes du putsch ce sont des amateurs – complètement chahutés dans le mouvement de la machine à laver qui hurle…c’est vrai « mai » c’est faux…c’est faux mais c’est vrai…faux, faux pas faut pas…qui babillent, trop longuement, à se démasquer sans cesse (sans que ce dévoilement voilé voilà voilu ne soit voulu.) Si inclus dans la panoplie de l’histrion journaliste - celui qui ne vit pas une vie ardente mais qui se permet d’attaquer, en toute lâcheté, ceux qui brûlent le meilleur d’eux même afin de changer la société. Toute. Pas que la soute.
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Et ces pleureuses (d’une cruauté inouïe envers les autres) de s’étaler ainsi…Les médias n’ont jamais rien fait. Sniff sniff. Jamais rien provoqué. Ne sont causes de rien. Sniffes pas tes sniffs. Rien n’est de leurs fautes. Moi non plus. Ils ont pourri les têtes avec l’incapacité à penser qui est leur marque. Bref, ce sont des salauds qui sont tout recouverts d’abus de positions dominantes, de dissymétries de traitements des personnes, d’injustices tonitruantes, etc. qui ne fonctionnent que sur le mode du monologue prescripteur (sois muet et tais toi – ce que je dis de toi n’est que pure vérité à…coups de mensonges)…leur déni du vrai vrai se termine par le fait que tout le monde renie de tels comportements. Double piétinement comme peines qui font oui (le réel revient) de la peine ! Et la chute chut chut chuuuuuuuuuut fût terrible. Le cynique canidé au caniveau ! A partir de combien ce n’est plus un pléonasme ?
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« Les grands médias s’arrangent en effet pour formuler eux-mêmes les termes de leur remise en question [ là où il y a faux-jetons, c’est le casino qui perd !], afin de neutraliser toute critique radicale et de circonscrire les problèmes en prétendant qu’ils se réduiraient au fait de ne pas avoir « vu venir » ces événements […alors de grands esprits leur avaient tant ouvert les voies ] :
Comme on veut cependant donner tous les gages de la meilleure volonté réflexive, on concède qu’on doit pouvoir encore mieux faire pour connaître ce qui agite les populations réelles, et l’on promet de l’enquête, [les promesses n’engagent pas qui ne les écoutent pas, oui ceux qui n’y croient pas non plus : ceci se nomme avoir soi-même creusé le trou dans lequel on va tomber ! L’heure de tomber est même advenue…la fausse monnaie de l’esprit ne trouve aucun…respect !], du terrain, de la proximité, de l’immersion, bref de la zoologie. On se demande alors si le contresens est l’effet d’une rouerie de raccroc ou d’une insondable bêtise. Car si l’élection de Trump a révélé « un problème avec les médias », ça n’est que très superficiellement de « ne pas l’avoir vue venir » : c’est plutôt d’avoir contribué à la produire ! [ trop de lâchetés font que tout…lâche !].
On pourra égailler autant qu’on veut des bataillons de pigistes précarisés dans la nature avec pour feuille de route « le retour au terrain », on ne voit pas trop ce que cette dispersion pourrait produire comme révisions éditoriales sérieuses, [ quels esprits inavisés !] qui auraient dû survenir il y a longtemps déjà, et ne surviendront plus quoi qu’il arrive. On en a plus que l’intuition à cette phénoménale déclaration d’intention du directeur du Monde qui annonce avoir constitué une « task force » (sic) [hahaha !] prête à être lâchée à la rencontre « de la France de la colère et du rejet » [il y a des euphémismes qui tuent ! ] , et l’on mesure d’ici l’ampleur des déplacements de pensée que des enquêtes ainsi missionnées vont pouvoir produire auprès de leur commanditaire.
Commanditaires ? Les tôliers de la critique des médias autorisée, selon laquelle les accusations de manque de pluralisme dans les médias seraient démagogiques, voire mensongères ( le menteur qui se mord la queue quoi de moins…crédible ?]. À l’image de ce « fact-checkeur » qui essaie de tourner en dérision cette accusation en expliquant qu’il n’y a pas « un lémédia » mais « des médias », puissant argument « fact-checké » par Frédéric Lordon :
« Lesjours.fr ou Le Chasseur Français » ne racontent pas la même chose nous apprend le penseur-décodeur [ déjà déconneur !], de même qu’« Arte c’est [pas] pareil que Sud Radio ». Comme c’est profond, comme c’est pertinent. « L’actualité sociale [n’est pas] présentée de manière identique dans L’Humanité et dans Valeurs Actuelles » poursuit-il si bien lancé, et n’est-ce pas tout à fait vrai ? On pense aussitôt à Gilles Deleuze : « on connaît des pensées imbéciles, des discours imbéciles qui sont faits tout entiers de vérités ». Misère de la pensée fact-checkeuse.
Dans le registre qui est pourtant le sien, pour ne pas trop le secouer quand même, on pourrait demander à notre décodeur combien de fois par an il entend citer L’Humanité, Politis ou Le Monde Diplomatique dans la revue de presse de France Inter, ou ailleurs, combien de fois il voit leurs représentants à la télé ou dans les radios. Voudrait-il avoir l’amabilité de se livrer à ce genre de décompte ? (on lui signale qu’Acrimed s’y livre à sa place depuis deux décennies et que, de même, jamais un article d’Acrimed n’est cité dans lémédia bariolés)… Bonnes questions. »
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Ce journalisme putschiste n’a laissé sur le sable qu’une vision politique très limitée : ne faites rien, ne pensez plus, laissez vous faire, laissez nous passer. Mais – pas de bol pour eux, le vrai langage permet, aussi, de voir l’état du corps qui s’exprime à « travers » lui. Yeux vitreux, corps anémié sans passions, tout y reste éteint. Point d’élans ( oui, ils peuvent ouvrir la générosité, par mégarde !) que des pulsions aigres d’envies ( ce qui demeurera à jamais étonnant que, en général, ce sont ceux qui ont trop qui envient le plus et si amèrement…). Bref, des corps qui croupissent dans la mort en écrivant. Au lieu de naître et renaître dans le feu liquide des mots…Alors. Des idées ? Uniquement de derrière la tête. Rien devant. Lire un texte, pour elles/eux, n’est pas le lire de tout le corps. Uniquement de la pointe du regard…d’y rechercher comment faire mal à l’esprit qui l’a permise, permise oui ? Comme cerise, la beauté des mots.
La fin de ce journalisme imposteur se fera par étapes inéluctables. Implacables.
** 1- Ils dégoisent, ils se trompent sur tout.
** 2 - Ils ne s’en prennent qu’à ceux qui ne peuvent se défendre. Et, pour faire la symétrie, font la carpette devant les trop puissants. Ce qui restera impardonnable, leurs positions de paroles rendues très publiques leur permet, justement, de sérieusement tempérer les pulsions agressives de ces dirigeants envers les peuples. Oui, ils avaient les moyens, ils ne l’ont jamais fait. Ils n’ont jamais rien fait pour nous. Que de nous tromper. Pas merci – dehors !
** 3 - Les mécanismes embrayés vont s’huiler, et, au final, ils ne parlent que pour ne rien dire. S’ils n’étaient plus là, nous ne le saurions même pas. Leurs disparitions ne se verront pas plus que le dernier pli de la vague, bien repassé par le vent.
** 4 – Ils n’ont jamais rien eu à dire ! ... épitaphique.
L’enfer du décor ? Ils se seront toujours pris, avec une déloyauté insurpassable à tout ce qui libère de leurs jougs illégitimes. Se braillant, si délicatement, fossoyeurs des talents tués dans l’œuf, nous les voyons, vitesse vire, dépérir sur pied. L’œil glisse, désormais, sur le vide de leurs écrits usurpés. Avant, si cher payés. Maintenant, même payés bien peu se les coltineraient…leur insistance malsaine à hurler contre la vraie gauche (ou autre appellations qui ne servent qu’à ne jamais parler vite du cœur des sujets) les aura démasqués…style épitaphe « ils l’auront bien cherché ! »…
Vous vouliez entrer dans leurs vraies vies ? Voici le document central :
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………………..(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS(qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Le parti unique existe ? Oui c’est celui de la presse et de l’argent, uni afin de faire durer encore et encore le système si injuste actuel. Devant ce parti unique toute élection NE SERT A RIEN. Réalisme ? Commencer par annihiler cette entente illicite absolument antirépublicaine. Et fondamentalement ennemi de l’Humanité. Avec eux il n’y aura jamais d’alternance concrète
clonages…un, c’est les autres sont tous pareils. Nous entendons un, inutile d’écouter le autres. Toujours niqués les cyniques tressautés de mépris : ici, ils nous économisent un temps fou…
…le gang putschiste qui fait que, dans les médias mercenaires, il n’y pas un seul grand penseur(se), un seul vrai écrivain(e), un(e) immense scientifique, une seule femme irréductible, un seul esprit vraiment critique, un seul(e) synthésiste, un seul humain de grande culture, oui un seul membre de la société réelle. L’avantage c’est l’échec de « leur » société leur est imputable à 100 %. Pas de tri à faire !.
comment ils rognent la dignité de chaque être humain. Rogne grogne : la prochaine fois que ces corporatistes archaïques, crispés sur leurs mesquins droits acquis (les médiatiques) dégainent grogne, mettez-vous en rogne. Ils rognent, retranchent, soustraient tout sur le besoins vitaux – le prix de leurs trahisons ? Leurs taux seuls grimpent…Comment, à leur regard, l’être humain serait un pantin si désaccordé capable juste de 2 ou 3 mimiques acheter sans regarder, être béat ou en grogne. Grogne qui renfrogne tout – insulte particulièrement complotée…Cependant - leur étourderie c’est que chacun-e n’en fait plus qu’à sa trogne ! Et ne grognez pas désormais que le système va être aboli !
objectivité et pluralisme : pas un qui se soit élevé un peu au-dessus du mensonge. Corporatisme archaïque et crispé oblige !
les entreprises du Cac 40 paient 8 % d’impôt. Le bouclier fiscal n’a jamais protégé les pauvres qui, avec la Tva, pleins pots sur toutes les factures dites de « méfiances abusives à leur égard » peuvent filtrer avec le 50 % de taxes…l’injustice structurelle est donc plus de 600 %, 6 fois plus. Aucun mérite – bien au contraire – à être trop riche !
L'économie rend la destinée humaine débile – cette imposture (l’économie n’est rien que ce fossile énorme qui nous empêche de…partager) nous permet de capter que le mieux – pour nos vies – c’est d’économiser l’économie. De s’en passer totalement.
les riches ne produisent rien, n’inventent rien, ne fabriquent rien – contrairement à la Nature ou au travail ! et le laxisme abusif envers ces trop riches est devenu inadmissible…
Un parcours...
Les faux-jetons des élites qui critiquent les élites – posture qui veut flatter mensongèrement le peuple. Ou voler les bénéfices de tous les travaux antisystème ? Parades ? Leur dénoncer leurs milieux de façon très précise – en général, ils ne peuvent pas aller jusque là. Ils ne voulaient que se cantonner, douillettement, dans les généralités