L’Étâtonnement et le «coollectif» ?

La méthode s’affirme donc comme tâtonner, palper, essayer, effleurer oui expérimenter toujours. Donner à fond de soi. Les certitudes ne peuvent précéder les essais elles ne peuvent que se découvrir sous le corps des raisonnements. Que faire et comment le faire ? Un exemple ? Nous avons placé 2 textes sur un réseau dit social. 2 textes bien conçus avec une photo,  un titre et un début d’article en miroirs. Qui se répondent pertinemment  l’un l’autre, qui s’épaulent et qui donc tirent le meilleur des possibilités de transmissions. Qu’est-il advenu ? Avec une déloyauté strictement puérile, les 2 photos ont été supprimées de force. Et remplacées, arbitrairement, pas deux autres qui venaient comme un cheveu sur la soupe, par rapport au titre. J’ai même dû supprimer les ¾ des photos jointes au premier article pour qu’une photo déplacée ne se trouve pas imposée. Pour les replacer après parution. C’est dire. Gâcher  et bâcler, irresponsablement, la maîtrise d’un vrai pro – c’est saboter. Ils se donnent toujours le beau rôle – nous éprouvons qu’ils agissent en endossant, bien trop souvent, de très mauvais rôles.

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Voici les 2 liens en question :

1) - du 1^er novembre 2016

Titre : QUAND C’EST GRATUIT QUI DONNE ?

Photo symétrique prévue (et qui ridiculise la photo dans son propos par simple juxtaposition) puisque « Quand c’est gratuit qui paye ? »

http://img.over-blog-kiwi.com/0/99/63/06/20161031/ob_64cc07_702537.jpg

Photo arbitrairement imposée :

http://img.over-blog-kiwi.com/0/99/63/06/20161031/ob_038651_12774568.jpg

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2) - du 9 novembre 2016

Titre ; QUI NOUS VOLE NOS LIBIDOS ?

Photo qui répond impeccable :

http://img.over-blog-kiwi.com/0/99/63/06/20161109/ob_ebca7d_libidoairbag.jpg

photo arbitrairement imposée :

http://img.over-blog-kiwi.com/0/99/63/06/20161109/ob_58c6d3_mega-machine-7.jpg

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Oui 2 choses essentielles 1) ils sont tombés bien bas pour se vautrer dans de tels avilissements. Et ce n’est pas mesquin de révéler des comportements aussi aberrants

2) nous sommes donc dans les zones de leurs plus grandes frayeurs. Effacer ce qui est dit que je ne veux pas savoir. Déjà juste de juxtaposer (oui justaposer) « Quand c’est gratuit qui paye ? » ET « Quand c’est gratuit qui donne ? » surpasse tout commentaire. Ensuite, de juxtaposer « Libido air bags », aucune pornographie, rien d’insultant, pas de photo avec personnages, etc. (mais pour eux c’est pire – cela dépasse en impact tout ce qui se nomme porno et violence. Hé bé !)… Et le titre « QUI NOUS VOLE NOS LIBIDOS ? » y attire bien l’attention sur le « qui vole ». Maestria donc…éviter toutes les censures…sauf celles des grands perdants, ces maîtres uniquement de la mesquinerie. Qui respectent tant les règles du jeu dans le sens que vous seuls deviez les respecter. Pas eux. Comment dit-on déjà : « mauvais perdants » oui mais « perdants » Et nous avons dus rajouter (parce qu’ils ne savent pas perdre !), en présentation, ceci pour ce deuxième cas « Remarquons que l'image illustrative prévue n'est pas celle-ci (celle ci- dessus) - il vous faut cliquer sur le lien pour découvrir ce dont vous auriez été privés...De quoi privés ? Oui, le texte ne met des liens « que » entre la libido, la mégamachine irresponsable et la «consommation à tout prix». Moins essentiel donc que de parler dans le vide des imposteurs dirigeants.

3) nous ne laissons pas impressionner par de tels procédés dits terrorisants - qui disqualifient qui les emploient uniquement. Pas qui les subissent. Et devons attirer l’attention sur ceci : ce sont donc, là, des textes sans valeur et sans contenu impactant pour qu’ils agissent ainsi si  effrayés ! Mais pourquoi si c’est sans impact ni valeur agir avec autant de moyens ? Pourquoi ? La réponse ne peut qu’être : « ce sont donc des textes avec de la valeur et avec un grand contenu impactant pour qu’ils agissent aussi radicalement. » Qui ne capte pas cela ne doit pas savoir lire !

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Et nous ? Nous (métacadres) avons appris immensément de leurs 2 étourderies. Par exemple,  le vol de nos libidos, du moins leurs parasitages : oui ils vivent sur nos énergies vitales. Sexuelles aussi. Ou bien, si rien ne « doit » être gratuit  parce que le gratuit ne « doit pas » exister (ce qui les voit fuir épouvantés que si quelqu’un donne gratuitement le…gratuit existe ! ) et si ce ne sont pas eux qui paient. Mais en tirent gros profits – qui paient ? C’est qu’ils exploitent carrément le gratuit de nos dons. Nos dons sont nos contenus. Et, là, les « contenus » de ces 2 textes viennent d’avouer (à travers leurs regards portés dessus) avoir atteint une très haute…valeur. Valeur qui leur échappe. Eh oui ! Les perdants le sont…à partir d’un moment précis. Et l’Histoire, la vraie, a toujours signalé que qui CENSURE perd à tous les coups. Démontrer l’inverse de ce avec quoi nous ne sommes pas d’accord est la seule méthode…durable. Censurer rend martyr. Donc « prouve » que si des dirigeants accordent tant de moyens pour empêcher un texte, c’est que ce texte ne peut qu’abréger leur règne. Même en fantasme or leurs fantasmes sont, pour nous, le plus ou moins d’oppressions. Ils ne restent pas fantasmes. De la sorte, « connaître » qui sait provoquer (très consciemment ou moins) de tels …effets bénéfiques, est comme un bain de jouvence. Et les conformistes sont, alors, dénudés, pour et/ comme ce qu’ils sont. Les plus ridicules des cons oui et archi cons ! Une affaire quasiment d’état !

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Oui, oui ils préfèrent que nul ne le sache. Et donc leurs maladresses nous apprennent tant sur eux. Eux ils ne savent toujours rien d’essentiel sur nous. Ils ne savent donc pas réfléchir. Donc pas penser. Ils n’ont rien à voir avec ces incroyables élites, selon certaines extrêmes gauches. Pas de hauts penseurs, juste des lourdauds qui se plantent !

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Autre atout majeur  à la RÉFLEXION ? L’utilisation à fond des raisonnements !

Un exemple ? Un cynique a ricané « le capitaliste c’est le seul anarchiste qui a réussi ». Anar contre l’état (qui donc peut abolir le capitalisme sinon l’entraver très gravement – faut rester logique !), le capitaliste celui qui ne veut que zéro état. Où est la ressemblance ? Alors qu’anarchie veut dire sans hiérarchie (c’est dans les deux mots « justaposés », oui suffit de rapprocher an et hiér- archie) - certains se sont abusés à n’être obsédés que contre l’état. Pas très sérieux en somme. Le capitalisme, lui, peut durer, cela ne les gêne pas du tout. Ce qui nous gêne, nous, c’est cette aide « objective » étourdie de certains libertaires aux capitalistes. La lourdeur de leurs obsessions contre l’état aide un peu trop ces capitalistes. Sans doute très ravis de cette aide…inattendue..

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Non ( tout ce qui pense pour agir se raisonne par contextes ), en 2016 – l’urgence absolue (vitale même) est d’abolir le capitalisme. Le système le plus hiérarchique et centralisé qui soit au monde. La preuve ? En 2008, une seule banque ruinée aux U.S.A et c’est la crise… mondiale- ce qui n’est possible que si le système est très oui très hiérarchisé et centralisé. Plus que les états existants en tout cas. Et si nous nous disons contre la hiérarchie c’est, en tout premier lieu, contre le capitalisme qu’il faut se dresser. Et, secondairement, contre les états noyautés par les illégales oligarchies du…privé. Cette erreur tactique se paie au prix fort. Disons que nous souffrons pour rien !

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Donc actuellement empêcher toute centralisation, toute privatisation, appuyer les services public (voués à devenir autogérés dès la fin du capitalisme), etc. sont des actes adultes. L’état à abattre n’est pas du tout la cible centrale au détriment de tout le reste. La hiérarchie hyper centralisatrice est le plus imminent danger. Et elle n’existe que dans le capitalisme Oublier cela c’est vraiment tirer contre son camp. Le capitaliste va demeurer un anarchiste (qu’il n’est pas) aidé de partout contre l’état. Et va donc se renforcer par bêtises obstinées. Or qu’est-ce que l’Histoire a à nous dire à ce sujet ?

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N’obéir à rien rend IMPOSSIBLE toute solution collective (« coollective ») qui implique, au minimum, d’obéir à la réalité, aux faits et aux potentiels accessibles. Ces faux libertaires pullulent – facile à reconnaître pour qui a su protéger le trésor de son instinct sauvage, oui de ses intuitions…naturelles. En effet, ces faux jetons de la fainéantise et de l’inertie comme seule…organisation sont dépourvus de toute logique et cohérence. Tout est en vrac, en chaos, ils ne « dialoguent » que par slogans…interposés. Donc suite d’affirmations jamais démontrées et qui ne doivent pas être discutés, les grands délinquants capitalistes ont donc « imité » cette anarchie inconsciente d’elle-même. Jamais Marx dans ses rapports loyaux avec l’anarchie, n’a dit que la seule activité libertaire soit de dire (en boucle) à bas l’état. Il a parlé (et certains anarchistes qu’il avait admiré, non plus) de divers stades de luttes. Dont l’ultime (si tous les emboîtements précédents avaient réussi) du…dépérissement naturel de l’état. Pas à lui forcer la main…lorsque la structure atteinte de respect absolu entre les humains, de l’abolition de l’économie en l’économisant,  du désintéressement et de la gratuité comme principaux structurants sociaux – oui l’état (structure alors inutile) est voué à disparaître. Pas AVANT. Mettre la charrue avant les bœufs est une grave faute politique. Une faute contre l’anarchie véridique. Une faute inexcusable. Puisque – afin de parvenir au dépérissement – il ne faut pas abandonner la forme-état (par exemple, les services publics accélèrent la fin de l’économie comme de l’enrichissement du petit nombre par l’appauvrissement du plus grand nombre. Les services publics ne peuvent que progresser vers l’autogestion. Et donc TOUTES les privatisations ont fait régresser la fin naturelle de l’état. L’ont retardé. Puisque les faux-jetons capitalistes, déguisés en faux anarchistes (grâce à quoi ils se sont glissés partout), utilisent en  fait -à fond- la forme-état. Et les faux libertaires absolument pas : leur refus insensé de ne pas obéir (donc s’organiser comme les amérindiens - transitoire et révocable !) a offert pendant plus de 30 ans TOUT LE TERRAIN aux hypocrites capitalistes. Alors qu’un tout petit peu de jugeote aurait pu NOUS éviter cela. Thérapeutes du social,  nous avons su éviter ceci. Comment ? Eh bien…en souffrant « avec » la société. En souffrant cent fois plus que les humains trop conformistes. Dans nos cœurs,  à nos morales, à nos logiques, à nos imaginations, à nos grandeurs, à nos beautés, à nos paix, à nos oui…humanités intégrales, etc. Et – arc-boutés sur les savoirs de l’instinct, nous avons su diriger ces souffrances vers les médicaments et les solutions…L’après-égo !

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L’Étâté ? Oui le fait que les conformismes puissent, aussi, atteindre profondément les libertaires, faute de vigilances de leur part – peut affecter tout le monde. Comment redresser la barre ? Désormais, tous mais tous les conformismes sont encerclés. Repérés, vécus par expérimentations, connus sous toutes les coutures. Et synthétisés dans un « concentré de contradictions ». Le principe ? Vous entrez dans ce concentré, vous savez dénouer toutes leurs contradictions. Déjà en sachant es juxtaposer ( oui justaposer-  juste à poser !).

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http://www.imagiter.fr/article-n-r-v-noir-rouge-vert-73765813.html

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Juste un pourquoi tant de conformistes se disant (sans l’être évidemment)…libertaires ? A cause de l’INERTIE, oui la planque dorée du n’obéir à personne (donc empêcher toute désobéissances efficaces), le refus vraiment suicidaire de S’ORGANISER (les amérindiens ont toujours su s’organiser – et ce n’est pas parce qu’ils ont été soi-disant « vaincus » que ceci ne reste pas véridique. Vaincus oui mais que avec des moyens abusivement déloyaux (qui montrent comme « vaincus civilisationnels », oui vaincus moraux, vaincus de méthodes de pensée, de grandeurs d’esprit, de générosités et de savoir-vivre, etc – cet occident sans parole, à qui nul ne peut faire confiance, sans code d’honneur, toujours avachi dans son matérialisme colonialiste ( envahir des pays qui se débrouillaient bien – ce n’est pas les aider c’est en être les minables parasites, les vils assistés de ces pays illégalement maltraités – la réalité ne transige jamais avec les mots) oui ces « vaincus » ont planté une organisation ( transitoire et révocable sur les leaderships) …imbattable.. Et, enfin, PARESSE qui n’est pas faire du néant de fainéant mais qui «‘sait » que la survie de la Terre c’est travailler toujours moins, mais œuvrer pour les seuls besoins réels des populations – donc l’équilibre besoins de la Nature et besoins humains peut s’avérer tâche…très fatigante. Et pas de la paresse égoïste. Ce trio d’impostures leur ont fait croire que « c’est la planque » un tel mensonge sur ces engagements. L’obsession antiétatique (qui n’est pas adaptée à la hiérarchie de la réalité) aura produit ces …effets secondaires très envahissants. Erreur tactique qu’il faut vite redresser !

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Nous allons en détailler quelques uns et les cheveux vont se dresser sur vos têtes tellement c’est…horrible ! De voir comment toutes « nos » chances sont si stupidement gâchées et sabotés !..

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Le but c’est de trouver la « planque » : cumuler le « bénéfice symbolique » et l’absence complète d’action et d’engagements concrétisés. Brailler et ne rien foutre. Or, le libertaire le permet (pas obéir, ne plus combattre et paresse comme alibi terminal). Ne plus combattre ? A partir du moment où il est « interdit » (sic) de s’organiser il n’y a plus combat. Que des agitations stériles parquées dans…l’individualisme.  Pas de coollectif. Ce qui se cristallise dans le sabotage de toute stratégie (à partir d moment où l’on se cantonne, masochistement, au seul à bas l’état et que l’on envisage même pas, concrètement, d’abolir capitalisme) tout ne sera que verbiage.

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Voilà. Et la planque ? Se prétendre « manipulés » « autorise » toutes les inerties. C’est le billet d’excuse. L’autorisation de sortir. S’amuser à en crever.  Qu’y pouvons-nous, nous sommes manipulés, ils sont plus forts que nous, nous sommes seuls (ah bon pas 99 % - ce qui empêche d’être seul-e-s non ?). Nous sommes impuissants (surtout lorsqu’on ne fait rien contre !). Nous ne pouvons pas agir (avant d’agir il s’agit de comprendre, de construire et de rendre actif chaque segment du réel avec cette « hiérarchie » (ce si bon côté du mot, puisqu’il est surtout manuel) en commençant par le segment qui nous est le plus accessible, empoignable !) alors que nous pouvons immensément agir. La planque ? Faire semblant de dire que tout est contre nous…tout de même 99 %, faut vraiment le vouloir pour affirmer que 1 % puisse être ce « tout  gigantesque» qui serait contre nous…mais là, justement, tout s’embrouille, leur mots se télescopent, il y a tellement de mensonge que les interfaces disjonctent ! …manipulations ? Il est impossible de savoir que nous sommes manipulé-e-s lorsque nous le sommes vraiment. A peine quelques bribes dispersée peuvent cahoter jusqu’à nos consciences.

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Manipulations – hypocrites mensonges ! Donc si nous ne sommes pas manipulés.- c’est que c’est nous qui manipulons. Sur les réseaux sociaux des tombereaux de récits de dirigeants, leurs visage omniprésents, la moindre de leurs paroles sans le moindre intérêt, etc. PRENNENT TOUTE LA PLACE. Il s’agit d’une « occupation » illégitime. Et ce sont les conformistes qui amplifient cette « occupation » ennemie. Oui tout cela submerge celles et ceux qui ont quelque chose à dire. Qui résistent vraiment. Qui ont de vraies solutions. Balayé tout cela. Plus un centimètre carré pour un NOUS. Et c’est le détournement malsain du « nous » libertaire qui aura abouti à ceci ?  A qui révulse ces insalubres « manipulations », oui, mais du vrai libertaire – sera sacrément restreint de parole. Tout est « désorganisé » (organisé) pour que toute la place sur internet, le maximum tout du moins, soit « occupée » par ces prétendus dirigeants. Alors qu’il est sous-entendu qu’ils y soient combattus. Non – combattus uniquement qui sont efficaces contre eux. Pas pareil. Non, qui dit (avec ce certain air) être manipulé nous manipule vraiment. Est un gardien de prison. Un chien de gade. Un flic de l’esprit. Une aide au système. Ce pourquoi il reste facile de tromper les humains – mais plus difficile de leur faire comprendre comment ils sont trompés et par qui. Ici, parce que les conformismes ne sont pas combattus comme nos réels pernicieux ennemis. Au point que nous en devenions collabos de nos propres limitations si inutiles. Nous pouvons tout et dans tous les domaines, en face pas grand-chose et dans peu de domaines !

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Et tous les concepts vont s’aligner dans cette « langue » (déconstruite une bonne fois par ces fausses manips). Vous aurez le revenu d’existence pour le prochain millénaire - qui attend le bon vouloir des…capitalistes. Comme si historiquement il n’a pas fallu tout leur arracher Oui tant que des étourdis brouillons s’en prendront au seul état (ne voulant pas savoir l’hyper centralisation très hiérarchisée du capitalisme) nous ne verrons pas ceci. En 2016 qu’es-ce que la politique ? La privatisation de celle-ci. Des lobbies en lubies imposent leurs lois aux politiques qui « ont besoin de leur argent » afin d’être réélus. La logique veut alors : lutter contre les lobbies et la privatisation du politique c’est rester efficace contre l’enfumage du capitalisme. Lui se marre de voir que soient détruits  (ou congelés) les outils « disponibles » pour les citoyens. L’état est « une coquille vide et neutre » avec de nombreux travailleurs publics pouvant détourner, retourner, contourner les maigres obstacles (alors) des tactiques capitalistes. L’état où il n’y plus les doubles jeux des politiques professionnels (se faire élire pour se montrer les mécanisés ennemis de leurs électeurs. Et pas leurs « pires ennemis », ces pires ennemis ce sont les capitalistes qui sont derrière tout cela !) Donc l’état reste la structure la mieux adaptée, actuellement, pour autogèrer la société. Les Départements sont en fait des Répartements. Rassemblant tous les impôts – il n’est plus utile de les laisser aspirer par le centralisme ennemi, mais de les répartir directement pour les besoins réels des vrais gens. Vivant tous…décentralisés.

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Détruire cette aubaine c’est, vraiment, se conduire en ennemi de l’Humanité. Ce n’est pas du même état dont il s’agit. Dire à bas l’état – et rester inertes comme Gramsci le décrivait dans sa « guerre de position » - celle qui empêche toute avancées. Non c’est l’état est public et réPublique, le privé oligarchique fait « une occupation illégale du domaine public » – la politique (celle des non professionnels) reprend sers droits et les chasse de ces invasions indues (bien plus nocives à la collectivité que celle prétendue des…migrants !). La forme-état était congelée par les avidités des capitalistes et les trop importuns à bas l’état – elle se révèle, en fait,  forme-état conscient, volontaire et indépendant. Pourquoi aider à la démolition de ce qu’il en reste. A qui profite ce crime ? Pas au peuple en, tout cas, pas aux pauvres, pas aux citoyens, à personne même pas aux faux libertaires – oui juste aux seuls capitalistes qui veulent juste imposer LEUR MONOPOLE UNIQUE. Celui du « libre marché » sans marché et sans liberté. G.K. Galbraith a patiemment expliqué que « le capitaliste est le pire ennemi de la concurrence ; il veut imposer ses prix, ses normes et toutes ses lubies. Il ne veut rien de libre dans le commerce. » C’est un monstre centralisateur et hyper hiérarchisé, il ne fonctionne que comme cela - qu’il n’y ait plus aucune concurrence libre. Tout sera donc faussé ! Oui monopole unique sans aucune concurrence donc – un humoriste a même souri avec un « le capitalisme c’est bien un communisme…privé » ! Mais où se concrétise déjà son « zéro concurrence » ?  Oui elle est déjà réalisée à 100 % dans la culture qui ne semble pas être la marchandise qui fasse vendre toutes les autres mais bien « l’activité humaine qui peut empêcher que tout le reste soit vendu comme des marchandises » – des fautes de frappe, en fait. Rappelons que l’usage de cette phrase était purement universitaire – et non transposable ailleurs ! ).

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Aucun risque d’erreur possible – les faux libertaires sont complètement égarés dans leurs contradictions. Il n’est que de survoler internet pour savoir qu’ils iront jusqu’au bout des…effets pervers ! Mais que – d’un autre côté - l’anarchie (en tant que défense des valeurs fondamentales, insurpassable hospitalité, générosités incessantes et refus de hiérarchies mêmes capitalistes cela allait de soi et sans obsession antiétatique unique) oui ce libertaire là va y perdre beaucoup. Désormais, c’est visiblement qu’il/elle tournent en rond.

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Alors tout sans issue ? Pas du tout. Nous sommes du mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert). Mouvement déjà remarquable puisque sans créateurs. Et si nous les connaissions nous ne le dirons jamais. Usant de la bonne stratégie du sans chef…identifiable. Ce pourquoi le conformiste nigaud n’a voulu garder que le « sans chef » de l’inertie totale et totalitaire. Alors que c’est des leaders mais sans nécessité d’être connus. Ils sont transitoires et révocables. Et donc dès qu’un journaliste-flic voulait savoir… il y avait une ronde sans issue. Baladé, sans cesse, par des « c’est lui ! c’est elle non non c’est… mais c’est lui ! c’est elle non non c’est… alors ça doit être lui ! c’est elle non non c’est… on vous dit que c’est lui ! c’est elle non non c’est… allez le voir, c’est lui ! c’est elle non non c’est… ben, c’est lui ! c’est elle non non c’est… ah oui, c’est lui ! c’est elle non non c’est… ». Qui ne finissait jamais. Nul ne rencontrait de leaders dans le sens où tout le monde l’était aussi. Qu’il n’y a donc aucun besoin pratique de les rencontrer.  Or que voyons-nous ? Bien enterré tout cela sous les truands conformistes (qui ne se conforment plus à rien, dalleurs, sinon à l’illusion de se planquer…ce qui va leur devenir toujours plus difficile). Oui N.R.V. (Noir Rouge Vert) – le mouvement le plus MONDIAL et unitaire qui puisse exister. Le coollective en marche.

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Sans créateurs pas de temps à perdre à se disputer sur eux, sur leur non-succession, sur leur image, etc. tout le monde est ce mouvement à condition de le mouvementer. Et il ne sert qu’à s’organiser, à se trouver des buts communs à concrétiser avant tout prochain long discours. Le reste du temps tout le monde vaque où bon lui semble. Sauf pour s’organiser. Quoi de plus léger et de plus simple ? De moins contraignant et de plus efficace ? N.R.V. rassemble sans possibilités de préséance, de chochote image,  de…pas de hiérarchie véridique, oui faut pas se leurrer (faut carrément arrêter de se contredire – le libertaire spectaculaire établit une hiérarchie de l’image où il veut…être le premier ! Pas terrible sur la hiérarchie…) et avec la même importance pour chaque couleur. Une pour toute et toute pour une. N.R.V. (Noir Rouge Vert)… Noir comme libertaire dont l’absence est toujours dangereuse pour la communauté humaine alors que, depuis longtemps, il n’avait connu aucun engagement (ici, juste abolir le capitalisme – cela ne va pas leur prendre trop de temps). Il a bien plus de futur que de passé (il aura trop bâclé ses dernières décennies). Ceci va bien changer !.... Rouge parce que ni le vrai socialisme ni le vrai communisme n’ont réellement existé, que les idées de Communs, biens communs, autogestions, décentralisations des enjeux, intelligences collectives, etc. restent plus qu’intéressantes. Fertiles. Et que le Rouge comme le Vert ne peuvent appartenir à personne. Avec son union trialle dialectique le monde va changer de base. L’Internationale va concrétiser tout ce qui sera international… Le Vert parce que tour le monde est écologiste sauf les Verts. Leur écologie politique est un fiasco puisque l’écologie se prouve en se concrétisant sur le terrain, avec la terre, l’eau et l’air. La permaculture ne fait pas de politique politicienne mais rassemble plus que tous les partis existants, etc. Il y a des milliards d’arguments pour N.R.V. (Noir Rouge Vert). Mais, bref, ces 3 couleurs ensembles. Rien ne sera plus fort. Même, en mot, l’exubérance de l’acronyme. Ces 3 vastes sensibilités, lorsque ré-unies, résolvent tout :

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>>> -- **…déjà le piège où peut s‘enliser mortellement l’anarchie. Là, avec N.R.V. (Noir Ruge Vert) les faux libertaires tomberont comme des fruits blettes. Le rouge avec le noir sera comme l’URSS des années 1917 à 1920 une passion libertaire dans tous les secteurs de la vie. Lénine y a mis fin par la N.E.P. Mais la mémoire de la puissance de ces plus que 4 années est inscrite partout. Le Vert apprendra beaucoup à se métisser avec les 2 autres. La majorité mondiale aspire à l’écologie, le problème n’est pas dans le nombre mais dans le…courage politique. De sauter le pas : ce que noir et rouge (toujours l’ordre alphabétique du sans préférence sinon celle de l’union) l’aideront à fond. Bref, les 3 couleurs se complètent à la perfection ! Le coollective !

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Notons que l’union insurpassable de ces 3 sensibilités majeures peut aller jusqu’à unir et réunir..

……………………. les 2/3 de l’humanité oui 67 %. C’est dire.

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….D’ailleurs tout est dit ! Et nul-le ne dit mieux !

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - Annexe - <<<<<<<<<<<<<<<<<

« Situés en haut de l’échelle sociale [ et c’est une imposture !], les journalistes vivent la plupart du temps dans une bulle politique et sondagière. Après l’élection de Donald Trump, il est temps, collectivement, d’en sortir.

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Mieux que l'humour ? -- La-responsabilité-de-l'entre-soi-médiatique-est-immense-dans-l'avènement-du-populisme

Pourquoi les médias n’ont-ils pas vu venir la victoire de Trump ? En partie parce qu’ils n’en voulaient pas. Les médias nous donnent à lire chaque jour la vision du monde qui est la leur ; l’information n’est pas la représentation exacte de la réalité, mais la construction de la réalité par ceux qui la font. [donc responsables « et » coupables]. Or, les journalistes voient le monde de là où ils se trouvent, c’est-à-dire beaucoup plus haut socialement et économiquement que l’électeur américain blanc médian qui a voté pour Trump. [plus jamais dans la réalité et ils ont la mégalomanie « d’informer » ! Effectivement, faut stopper leurs graves nuisances.]

Il est loin le temps – les années 1960 aux Etats-Unis – où les journalistes ne décrivaient pas la vie des « vraies gens » mais la vivaient ; où ils se considéraient partie prenante de la classe ouvrière. ». En clair c’est leur acharnement à être bêtes qui aura permis le succès de Trump, la carte maîtresse. Ce sont eux les réels responsables ! Quoi qu’il arrive, ils resteront « imputables » !

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Ils ont tout trahi. Le meilleur d’eux-mêmes n’existe plus. Leurs plus-values et un coût, ils sont un fardeau pour la société. Ils ont volé, vilement, des fonctions qu’ils s’avèrent incapables de remplir...

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...Oui c’est leur caste sans vision qui a censuré tous  les grands écrivains.

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 (à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

..……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation

….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu