L’intérêt général n’est pas celui du privé !
L’intérêt général ne peut être dirigé par le privé ! Le privé ne peut diriger l’intérêt général ! Pourquoi ? Cette problématique n’est jamais abordée. Ce qui, jointe avec d’autres omises, nous donne cette impression de flotter dans l’irréel. Mais il n’est que de reprendre l’immense avantage de penser et tout redevient clair et distinct. Nous traçons des lignes qui, reliées entre elles, nous offrent un territoire cohérent, un champ de savoirs parcourables. Le seul véritable obstacle à la petite semaine c’est la posture de beaucoup de citoyens trônant comme des sages universels sur le toit du monde. Et dégoisant des contres vérités : telles « le système est très fort » (comme cela nul besoin d’agir), que « l’on ne peut rien contre lui » (seul les lâches parlent ainsi) que « rien ne sert à rien » (ceci n’est certainement pas de l’omniscience)…A croire qu’ils se soûlent à l’autodestruction. Toutefois, en faisant le travail de sapes, de propagandes, de découragements, etc., tels que d’inattendus collaborateurs du système le feraient. Ceci est très encombrant mais ne VAUT RIEN. Puisqu‘ils parlent contre leur camp et, par énormes paresses affectives, ne savent, à l’évidence, plus penser Les dominants sont en énormes pertes de vitesse et, actuellement, nous pouvons agir beaucoup. Qui dirait l’inverse prouve qu’il/elle ne connaît rien à la situation actuelle. Pire. Que rien n’autorisent (où sont leurs œuvres de clarifications et d’analyses qui leur font prendre de telles postures de surplombs paternalistes ?) oui à désespérer tout le monde autour d’eux.
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Par exemple, la France, est en immense mauvaise posture par rapport à l’intérêt général.
**1) – sa Constitution contient tout ce qui met hors la loi tous les lobbies. Oui les lobbies, avec leurs lubies loufoques, dehors. En effet, si " la loi est l’expression de la volonté générale " (art. 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 26 août 1789), il ne peut être admis que des groupes d’intérêts puissent tenter d’influencer son auteur, à savoir les parlementaires. La tradition issue de la période révolutionnaire est dès lors marquée par la défiance, la suspicion envers toute tentative de manifestation d’appartenance à un groupe d’intérêts particulier.
** 2) – la France n’a rien à voir avec les pays anglo-saxons et leurs corruptions de l’intérêt général. Aucune oligarchie ne peut s’y installer sous couvert des lois républicaines. Ces lois les interdisent fermement. Si de prétendus dirigeants se vassalisent aux dérives anglo-saxonnes ce n’est que d’eux-mêmes. Ils n’engagent pas le pays. En France, la loi est claire : l’existence et la manifestation des intérêts particuliers ne peuvent que nuire à l’intérêt général qui, dépassant chaque individu, est en quelque sorte l’émanation de la volonté de la collectivité des citoyens en tant que telle. Cette conception, exprimée par Rousseau dans Le Contrat social et, à sa suite, du fait de son influence au moment de la Révolution française, dans une grande partie de l’histoire juridique française, est celle de la "volonté générale ". Enlever la volonté générale c’est rendre caduques toutes les lois...
…..et nous n’aurions pas énormément d’armes en main ?
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Bien. Nous sommes très armés juridiquement et socialement. Et en face ? C’est la corruption du néo-libéralisme si liberticide : pour ce déraisonnement, la liberté c’est que pour moi et les autres en sont tous privés. Ce délire est même inscrit dans leurs non-traités d’échanges non libres où les U.S.A. peuvent, juridiquement, attaquer le monde entier. Et que personne ne peut attaquer. Paraît que ceci va changer : dont acte. Où, oui l’inadmissible putsch du commerce (le commerce fait la loi et aucune loi ne peut restreindre le commerce : aucune mafia ne dirait mieux !) où des pays, tout à fait en règle avec leurs lois, interdisent tous les passe-droits (les privilèges sont toujours illégaux en France). Et que ces très illégales multinationales (devant le vrai Droit) peuvent faire des procès farfelus contre ces pays tout à fait dans « leurs » droits. Et que cela passerait comme une lettre à la poste ? Eh non ! trop de beuveries mentales font perdre toutes crédibilités. Nous sommes dans une multitude de situations (santé, éducation, alimentation, information, écologie, protection de la vie, etc.) où seule LA PRÉDOMINANCE DE L’INTÉRÊT GÉNÉRAL peut tout résoudre.
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Afin de le prouver - d’abord, voyons l’incohérence intellectuelle du néo-libéralisme «Cette notion, apparue au cours du XVIIIe siècle, est fréquemment subdivisée en deux conceptions distinctes. Il est à noter que, pour les positivistes, l'intérêt général détermine la finalité de l'intervention de l'État et fonde sa légitimité.
La notion d'intérêt général admet deux sens :
1---- ) une conception d’inspiration plutôt utilitariste, pour laquelle l'intérêt général est la somme des intérêts individuels. Ces intérêts ne sont pas nécessairement des intérêts égoïstes ou altruistes : cette conception est neutre sur la nature des intérêts ou des aspirations particulières. Elle n'admet pas de volonté autre que celles des individus [anarchie plutôt contradictoire…dans les faits], tant d'un point de vue méthodologique que philosophique.
2--- ) une conception beaucoup plus interventionniste : les défenseurs de cette vision estiment que l'ensemble des hommes ne se caractérise pas par une unité, et que les actions humaines sont aléatoires, chaotiques et ne s'inscrivent pas dans la durée. Cette conception de l'intérêt général induit un « volontarisme », c'est-à-dire une intervention structurante de l'État, qui permettrait de fonder durablement une société. Dans ce cadre, l'homme doit suspendre ses intérêts particuliers pour chercher à discerner l'intérêt général,[parce que discerner une main invisible plus que métaphysique c’est plus aisé ?] dans le but de construire une société politique unie.
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Les libéraux se revendiquent clairement de la première conception de l'intérêt général [qui n’en est plus un – sinon quoi de plus facile que d’accepter les « biens communs » ce choix massif de tous les intérêts particuliers assemblés ?], la seconde conception relevant, pour eux, presque d'une perversion du langage [et pas la première ? Allons donc !]. Les libéraux constatent que les étatistes […plutôt les vrais démocrates qui sont pour la vraie réPublique], par le recours à l'artifice rousseauiste de la volonté et de l'intérêt général, sont incapables de fonder, grâce à des raisonnements économiques ou moraux, la validité de leurs positions. Cette seconde conception conduit au relativisme le plus total […parce que le point de vue où l’intérêt particulier l’emporte sur l’intérêt général n’est pas le plus relativiste qui soit ? Entièrement égaré dans ses marécages !] du point de vue du droit et relève de considérations philosophiques tout à fait contestables. [incroyable, comment leur pensée peut être à l’envers. Aucun raisonnement structuré, que des ajouts de sophismes non reliés entre eux. Ceci est pur artifice qui ne démontre rien et n’a de validité que dans l’aire des délires !]
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Tout d'abord, les individualistes libéraux s'insurgent contre les conceptions holistes [semble que « la main invisible qui dérégule tout » soit un million de fois plus holiste !] des étatistes : l'homme ne s'aliène nullement au corps social lorsqu'il rentre en société; l'homme est un tout incontestable, qui ne peut plus être envisagé comme une partie d'une communauté non homogène. D'autre part, ce processus d'aliénation s'appuie sur l'idée d'un Contrat social, et d'un état de nature préalable : l'homme n'a, cependant, jamais été un être solitaire, comme l'envisage Rousseau ; son essence est, au contraire, toujours sociale. [donc socialiste et/ou communiste ?]. Il nait en société, et n'a donc pas à s'y aliéner par rapport à un état de nature imaginaire - il n'y a aucune souveraineté d'un ensemble d'individus sur un individu unique […donc d’un individu unique sur tous les autres, cela passe mieux ?]. Enfin, les libéraux estiment que ceux qui se revendiquent de cette seconde conception de l'intérêt général ne saisissent pas la complexité du réel [le simplisme gâteux de la main invisible ou de « l’argent sait tout, il est omniscient et dieu sur terre » parait, pourtant, lui, insurpassable !], de l'action humaine, et cherchent inévitablement à compenser cette lacune par l'instauration par la coercition [ parce que la « civilisation du profit » n’est pas la pire des coercition ?] d'une « orientation » visible de la société. En ce sens, ils méconnaissent la réalité et la diversité des comportements humains, cèdent au constructivisme et ouvrent la voie au collectivisme [donc « l’essence de l’individu est « toujours » sociale » mais il lui est interdit de collectiviser cette sociabilité privée de toute liberté de choix ? A part délirer c’est quoi le néolibéralisme ?] :
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Le collectivisme signifie la sujétion [ceci n’est qu’une assertion gratuite : jamais de démonstration raisonnée dans cette…non-pensée !] de l'individu au groupe — peu importe qu'il s'agisse d'une race, d'une classe ou d'un état. Le collectivisme affirme que l'homme doit se soumettre à l'action et à la pensée collective dans l'intérêt de ce qu'on appelle le "bien commun". (Ayn Rand). » En fait, c’est une phrase complètement à l’envers. Remise à l’endroit ? « Le néolibéralisme agit de telle façon que l’individu doive, non librement, se soumettre aux banques, aux mensonges flagrants des médias et des politiciens, à la prétendue loi implacable des marchés et à un ensemble d’intérêts particuliers qui se font passer pour un intérêt commun. Eux seuls ont le laisser-passer, laisser-faire mais ils refusent toute réelle concurrence, libre et non faussée ! En gros, des faux jetons.
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Wikibéral.: le néolibéralisme dans tous ses états !
Voilà ! Pas plus difficile que cela. Si – donc – les médias mercenaires laissaient juste passer n’importe quels extraits de cette non-pensée d’histrions – et si sur internet il y avait plus de pensées neuves et de pensées radicales (à la racine des débats) plutôt que le relais illégitime de ces médias par d’absurdes collabos - cette pitrerie néolibérale serait, depuis longtemps, ridiculisée à fond. Derrière une frontière étanche de santé mentale et de sécurité rationnelle pour tous les débats.
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Donc l’intérêt général serait relativiste ? Carrément faux ! Le Conseil Constitutionnel, lui-même, vient, d’ailleurs, de rappeler à l’ordre cette conception si laxiste pour certains et si exagérément cruelle pour d’autre. Non, l’intérêt général ne se trouve pas « sous » les intérêts particuliers. Mais bien « au-dessus », bien très au-dessus, tout au contraire ! Impossible donc de « mélanger » (comme par inadvertance) les intérêts particuliers et l’intérêt général. Qu’a affirmé le Conseil Constitutionnel ? « L'intérêt général est l’instrument efficace de protection des droits fondamentaux », juin 2004. Ce qui déduit que les intérêts particuliers – non, ne protègent aucun des droits fondamentaux. Normal, ils ne sont que…relativistes !
Conseil-constitutionnel - les nouveaux-cahiers-du-Conseil
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Autre nette supériorité rationnelle d’avoir quitté le n’importe quoi néolibéral ? L’intérêt général, au fondement des services publics
« Lorsque l’Europe parle de service public, elle parle de service d’intérêt général [ le privé, à l’évidence, ne pouvant se faire passer pour un service d’intérêt général !]. Selon Pierre Bauby (enseignant chercheur en sciences politiques, université Paris 8), le traité de Rome employait déjà cette expression. L’objectif, c’est l’intérêt général, la convergence d’intérêts nationaux et d’un intérêt commun. Il n’y a pas plus contraire à la libre circulation que le monopole, et en Europe, depuis trente ans, on a progressivement élaboré un droit de la concurrence pour organiser les échanges au sein du marché commun. On utilise progressivement ce droit-là pour faciliter tous les échanges à l’échelle de l’Union européenne. Le protocole 26 annexé au traité de Lisbonne est assez court, mais essentiel : il recense ce qu’est l’intérêt commun en matière de service public sans nier les disparités qui existent en fonction des réalités géographiques, sociales et culturelles. L’intérêt général est le fondement de la conception européenne des services publics. […ces professionnels de l’archivage et de l’érudition méticuleuse (les bibliothécaires) en savent quelque chose !].
« Si je ne me trompe, la procédure relative aux bills [projets de loi] d’intérêt privé vise à protéger le public contre l’octroi sans discrimination de pouvoirs spéciaux aux intérêts privés. À mon avis, cette interprétation est incontestable. Président Lucien Lamoureux (Débats, 22 février 1971, p. 3628)
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« La distinction entre loi publique et loi privée nous vient de l’usage britannique. Les projets de loi d’intérêt privé diffèrent des projets de loi d’intérêt public [clair que c’est vérité !] par leur objet, leur teneur et la procédure d’adoption. Par définition, l’objet ou le but d’un projet de loi privé est de conférer à une ou plusieurs personnes, ou à un groupe de personnes, des pouvoirs ou avantages spéciaux, ou d’exclure de telles personnes de l’application générale d’un texte de loi.[ ce qui est exonération et dérogation : mais place ce procédé en infériorité dans l’architecture de la loi. Jamais le privé ne peut dicter au public. Merci du renseignement !] Habituellement, un projet de loi public porte sur une question d’intérêt public, est à l’avantage de la communauté dans son ensemble et est présenté directement par un député [ce pourquoi tout lobby doit en être exclu : une loi « publique » de source lobbyiste devient caduque sur le champ…inutile de jouer aux pleureuses « c’est la loi implacable de la Loi » devant laquelle les prétendus marchés la ferment !]. Quant au projet de loi privé, il se rapportera directement aux affaires d’un particulier ou d’un groupe, notamment d’une société, qui est nommé dans le projet de loi; il visera un but qui ne saurait être atteint au moyen d’une loi générale et il sera fondé sur une pétition présentée par un particulier ou un groupe » […L’excellence de cet argumentaire anglo-saxon est qu’il place, sans l’ombre d’une équivoque, les intérêts particuliers, hiérarchiquement, sous, dessous l’intérêt général. Partout l’intérêt général prédomine. Et s’il n’y avait pas tous les illégaux médias mercenaires (les mierdas) et…leurs collabos abusifs sur internet – tout cela se saurait. Limpidement. Intellectuellement, en 2016, le néolibéralisme c’est la Bérézina. Il n’en reste rien que la sensation d’avoir eu affaire à des mauvais élèves qui n’auront fait que copier l’original (en inversant juste les formules). Mais sans y…rien comprendre !
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"On ne saurait déduire des principes de l'économie politique que l'intérêt personnel dûment éclairé œuvre toujours au service de l'intérêt général. Il n'est même pas vrai que l'intérêt personnel soit généralement éclairé."
John Meynard Keynes - 1883-1946 - La fin du laissez-faire, 1924
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« Il peut être à la fois la somme des intérêts particuliers et un intérêt spécifique à la collectivité qui transcende les intérêts des individus. Pour les partisans de l'utilitarisme, la recherche de l'intérêt général consiste à maximiser le bonheur individuel du plus grand nombre des membres d'une société.
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En France, l'intérêt général n'a pas de réelle valeur constitutionnelle. C'est une notion floue et mal définie. Il est néanmoins le fondement du droit public qui en définit le cadre et notamment ses corollaires comme l'utilité publique, l'ordre public, le domaine public, les services publics... L'action administrative trouve sa justification et sa finalité dans la recherche de l'intérêt général et s'exerce dans le respect de celui-ci et sous le contrôle de la justice. »…. Même lorsque la formulation bafouille – pas un défaut non, prédominent toujours…l’intérêt général, les biens communs, la socialisation des bénéfices et la privatisation…de « leurs » pertes !
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L’intérêt général et moi ?
http://www.imagiter.fr/2016/11/le-plastique-enfin-vaincu.html
Ici (dans le lien au-dessus), face à face, la nuisance extrême du plastique et un remplacement salutaire possible par une algue qui a toutes les qualités du plastique-pétrole mais aucun de ses défauts graves. Dans l’argumentaire – nous sommes après la fumisterie du prix, le combien ça coûte qui, mensongèrement, veut, en général, annuler tout…progrès social, oui collectif. Pas de bol, ici c’est… similaire avec l’existant, le prix. Mais – vu que l’algue dépollue l’air, est biodégradable, devient fertilisant des sols et autres… avantages, c’est même moins cher ! (nous avons assez vu de dossiers présentés aux financiers faux-jetons, pour savoir qu’ils omettent déloyalement, toute la partie « avantages induits » dans leur très inadéquat « combien ça coûte ». Vu, par eux, en « combien ça me rapporte à moi moi ?» - vu que ces avantages « décoûtent », diminuent les coûts réels globaux, donc n’intéressent pas leurs tête de linottes ! Très anti intérêt général !). Donc, après les coûts (étape franchie) – la question est « pourquoi ne pas remplacer le plastique-pétrole par ce bioplastique à cycle si vertueux ?». Voici l’argumentaire de la fin du texte retranscrit ici. :
Ce qui pointe lourdement du doigt ceci : en cas de grave danger, d’urgence planétaire le privé ne peut absolument pas remplir une fonction d’union. Il est trop dispersé, trop « ailleurs », trop loin des problèmes communs, trop lent de réaction ou, si assez rapide, il ne prend en considération que les aspects qui l’intéressent. Ce qui n’est pas le sérieux « complet » dont nous avons besoin. Donc le plastique va encore faire souffrir parce que nous sommes trop PRIVATISÉS. Trop empaquetés, trop emmêlés, trop ligotés. Sans libertés de mouvements. Dans l’inertie que crée l’absence d’esprits…déliés ! Trop émiettés et égarés dans les intérêts particuliers. Inopérants et inefficaces.
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Ensuite si tout n’existe que pour que trop peu y arrache des profits – le champ du possible se montre aussi mortellement restreint. Trop de privé aveugle et ne libère plus la vision. Cela chute même dans l’impossibilité DE RIEN CHANGER – à partir du haut. Uniquement par la base. La solution de mise en bien commun accélérée de tout ce qui peut répondre aux besoins essentiels de la vie de l’Humanité – devient la seule accessible. Et qui sinon l’O.N.U. et tout ce qui en représente divers satellites peut accélérer le mouvement ? Déjà en impliquant que les guerres soient définitivement interdites. Nous avons bien d’autres choses infiniment plus sérieuses et constructives à accomplir. Et nous devons bien cela aux enfants du futur : plus de guerres ! Fermées définitivement.
Et juste avec ces 2 grands mouvements : 1) - mutualisation des biens communs.
**2) - et reconnaissance mondiale des limites restreignantes du privé : en aucun cas, il ne peut s’occuper de ce qui est commun, urgent et immédiat. Seules des structures entièrement publiques le peuvent. Le politique doit soumettre d’urgence le financier – l’incompétence de celui-ci hors de son petit monde n’est plus à décrire !
………………………….…Juste à plus que fermement contrer !
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Un boss n'est pas un leader et inversement ?
Les différences entre boss et leader ?
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>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
Le communalisme de Murray Bookchin
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L’intérêt général et moi ? Leur constat est amer quand ils filment ce qui a déjà été réalisé, comme l’A65. Mais devant le travail de fourmi des associations, qui contestent point par point les conclusions des enquêtes publiques et mobilisent des habitants du cru sur l’aberration des projets et l’opacité des choix, en particulier pour ce trompe-l’œil qu’est le « partenariat public-privé », souvent concédé à des multinationales, ils sont enclins à plus d’optimisme. Interrogeant, à Notre-Dame-des-Landes, un couple d’éleveurs qui ont refusé de partir et qui soulignent le rôle des « zadistes » dans leur détermination, les réalisateurs montrent que ces combats ont de l’avenir parce qu’ils agrègent désormais des populations très différentes.
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Privé loin de l'intérêt général ?
Le privé ne peut diriger l’intérêt général !
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La crise refuse la pensée systémique
La crise et la pensée Systémique ?
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Omettre juste de penser la crise ?
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La sortie du « système-crise » semble thérapeutique : oui épargner la vie, la mettre en épargne. Épargner l’économie, l’économiser, qu’il n’y ait plus d’inutile économie, c’est guérir en vrai !
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…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation
….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
ces lapalissades prouvent, en tout cas, que jamais le privé ne pourra mutualiser avec …équité, quoi que ce soit.
l’intérêt avide prouve, lui, qu’il ne sera jamais heureux – à nous de lui mettre de fermes limites. L’intérêt avide nuit gravement à l’intérêt de chacun et chacun !
S’il y a trop de privatisation la république n’est plus publique (oui réPublique) donc elle se montre ennemi de l’intérêt général. La fin des privatisations fait revenir l’intérêt général…
ce qui veut dire que si l’intérêt général ne peut plus exister la « reconnaissance » des intérêts privés NE PEUT PLUS EXISTER. Par qui ? Un match sans arbitre ressemble à un pugilat dont nul ne contera les points. La main invisible c’est des coups partout et complètement aveugles…
QUI s’occupe de l’intérêt général ? Ne pas même chercher la réponse ne peut que disqualifier qui est sans cesse en train d’agiter bruyamment son « moi moi moi ». Qui va donc s’occuper d’elle/lui ? Si vous ne voulez rien savoir de l’intérêt général en quel nom devrions-nous nous intéressé à votre intérêt trop particulier dans son blockhaus ?
c’est tout de même écrit finances PUBLIQUES. L’intérêt général semble y gagner haut la main devant les intérêts trop particuliers
Où est le nous du capitalisme ? Tous à brailler, terrorisés « c’est pas moi c’est pas moi c’est pas moi c’est pas moi ». Le nous social semble bien les rétrécir à une hauteur de…chaussettes !
L’oligarchie est illégale. Car, si " la loi est l’expression de la volonté générale " (art. 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 26 août 1789 ), il ne peut être admis que des groupes d’intérêts puissent tenter d’influencer son auteur, à savoir les parlementaires. Pris en flagrant délit de lobbyisme direct la prison. Pour la Commission européenne tellement flagrant qu’il n’est guère difficile d’identifier les délinquants factieux.
La convergence des luttes contre les projets inutiles passe par des rencontres, des partages d’expériences des luttes –voir le reportage « Démocratie participative : le recul »- mais aussi par la déconstruction du discours galvaudé sur l’intérêt général pratiqué par l’oligarchie politique et financière qui sert souvent à justifier le passage en force des projets inutiles et imposés.
en aucun cas, les profits déloyaux qui se font sur l’écosystème commun ne peuvent obtenir le moindre respect !
Mettre la finance au service de l'intérêt général : Nicolas Bouleau
Si la finance n’alimente pas l’économie réelle il complètement impossible d’affirmer qu’elle défende l’intérêt général. C’est au contraire son ennemi réellement démasqué !
La corruption ? C’est de cracher sur l’intérêt général. Pas besoin d’aller chercher plus loin. Vous voyez un corrompu, vite sachez que c’est un voyou qui ne vous représentera jamais nulle part. Sur l’échelle de la corruption, les Français jugent les personnes ayant du pouvoir comme plus ou moins corrompus. Ce chiffre monte à 77% pour les parlementaires et 58% pour les journalistes. Ils auront récolté leurs agitations trop personnelles à brasser trop de mensonges.
lorsque l’intérêt général s’arrête – pile - à la porte des banquiers, des évadés fiscaux, des corrompus off shore, des gros fraudeurs, des trop riches qui ne paient pas d’impôts ou des patrons qui s’occupent de la Bourse pas de leurs entreprises, etc. ? Ces personnages ont tous en commun de BAFOUER largement l’intérêt général. Pourquoi de telles amnésies amnistiques ?
la culture rayonne partout en général – ne pas penser que pour soi-même
SON début, en fait...C'est avec l'affaire Dreyfus que le mot "intellectuel" naît officiellement en France. Depuis, l’intellectuel est assimilé à une sorte de héraut de la République. Guerre d'Espagne, fascisme, communisme, indépendance des colonies, on n'a cessé d'entendre sa voix. L’intellectuel est-il une singularité française indispensable à notre vie culturelle ? Ce spectateur engagé qui "se mêle de ce qui ne le regarde pas", selon Sartre, tend-il aujourd'hui à disparaître ? L'arrivée de la gauche au pouvoir a mis à mal la culture d'opposition. Le débat médiatique organisé par des journalistes a-t-il sonné le glas des intellectuels ? Les journaux et la télévision orchestrent des combats de coqs commentés sans fin par leurs protagonistes. Et Internet prend le relais via des discussions à l’échelle planétaire en moquant son prestige local.