Les paradis ? (1/3)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les paradis ? (1/3)

Ou même le…paradisme ? C’est quoi ce kitsch ? La manie centraliste de coller du « isme » partout – afin de masquer le vide effectif de la pensée que de plaquer des étiquettes accollantes ? Et nous avons même le burlesque « solutionnisme » qui voudrait écorner le franc réalisme de chercher des solutions saines et durables…et faire passer la recherche de  solutions pour…une petite manie bien peu rationnelle ? Oui l’excès despotique de mettre des « ismes » partout peut-il s’effondrer dans le ridicule du… « problémisme » – ce isme qui commence à faire problème ? Isme, juste la routine de chercher des isthmes, des presqu’îles partout et de flotter, insensibles, sur le fluctuat nec mergitur ?

N’empêche que « paradisme » cela ôte beaucoup de goût au paradis tout court. Au paradis dit ! C’est vraiment un manque de goût total. Tout comme le monde « produit » par l’esprit occidental, malheureusement, encore dominant ? Malgré son auniversalisme. Un complet manque de goût ? Nous allons devoir tout reprendre à zéro, revoir tout depuis les origines. Comment ?

Sciencérature ? Les paradis !

La littérature des sciences ? Ce qui nous sort enfin du cadre ? N’est pas de la science-fiction puisque non fictionnelle. Mais n’est pas de la science sèche et dure – celle des mesures et des protocoles asséchés. Alors une science qui s’élargit à s’offrir toutes les prodiges de la littérature comme approche autre des savoirs ? Une science, enfin, qui libère tout et qui dépasse de partout de ces catégories qui sont bien en train de changer. Sous nos yeux…Sciencérature ? En parallèle avec le « Lits et ratures » surréaliste ? Où en serait donc, alors, la sinécure ? Bref, ceci nous interpelle à la pelle. Et mérite bien un long périple où (afin de faire d’une pierre trois coups) nous allons –  à l’aide de cette neuve « sciencérature » - suivre l’usage du mot « paradis » dans de nombreuses situations  humaines très diverses…puisque, en conclusion, si nous voulons rencontrer en vrai ce qui se trouve derrière le mot « paradis » , nous devons abandonner tout ce que nous croyions savoir jusque là. Et commencer une véridique découverte des …découvertes.

Quoi de plus alchimiste que la Nature ? Ah oui, l'amour et les émotions (que nous pouvons distiller, décanter, mêler etc. à l'infini) ? Pendant que des arriérés voulaient être trop riches, d'autres sont devenus très enrichis de tous les goûts rares et de tous les sentiments sensitifs, sensibles, sensuels, sensationnels et...sensés ! Bref, l'inépuisable et le fort durable Trésor ! Quel ?

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Monoscience ethnologique ? Une culture qui se pose comme culture centrale et dominante vers laquelle toutes les autres cultures accrochent leurs développements comparatifs ? Pire, aucune réciprocité n’y est envisagée. Toutes les autres cultures en sont inaperçues puisque juste des sous-cultures de la culture mono-individualiste occidentale centrale. A aucun moment elles ne seront sur le même plan. Tous les concepts sont donc gravement faussés du fait de ne traiter, dès le départ, toutes les cultures inconnues uniquement telles des à-côté-cultures…imitant l’ethnocentrisme occidental. Ethnocentrisme qui « ignore » constitutivement la présence des autres et ne semble pas se bouger du tout afin de s’en préoccuper. L’autre n’est même pas identifié mais catalogué, chosifié dans une nomenclature…à lui étrangère (…si l’on est si abusivement pointilleux sur « l’étranger » pour soi – nous devons l’être autant pour les autres – sinon le concept « de l’étranger » ne peu plus être…valide ! Juste une lubie...), même pas traduite dans sa propre langue. Dans ce non-savoir l’Occident ne parle que de lui, recouvre toute information de sa déformation unique…Ce qui ressemble, en conclusion-occlusion, à de l’automystification. L’Occident se leurre sur lui-même et sur les autres ! Ou bien l’art de ne rien voir et de rien comprendre. Ce qui – par rapport au paradis et aux origines – nous aura fait rater énormément de choses. Ce qui – et ceci ressemble déjà à un paradis – nous contraint à abandonner toutes nos routines, rituels, clichés, préjugés, poncifs, stéréotypes (au nom si mal placé puisque ce sont des monotypes, aucun écoute si nous ne sommes, au moins, à…deux !) et nos tics si tocs. Ce qui veut dire que nous sommes issus d’un savoir qui empêche de savoir, de comprendre, de s’ouvrir, d’envelopper tout entier le problème à résoudre. Bref, un savoir qui tourne vraiment le dos à l’universel pour ne faire que se mirer trop local localisé. Nous sommes issus de cet enfermement – et notre futur doit remettre à l’endroit ce monde si inversé. Nombres de problèmes mondiaux sont bien dus du fait que les occidentaux voient tout à …l’envers !

Ce ne sont plus nos savoirs qui nous guident mais la redécouverte de tout ce que nous ne connaissions pas parce que nous croyions justement le… connaître. Il nous faudra bien voir ce monde nouveau sous 3 facettes différentes afin de, seulement, approcher…un début de regard réellement éclairant. Et bien accomplissons le premier pas !....« Sans vêtements, sans abris, sans espoir d’être secourus: comment ont-ils survécu au versant obscur du paradis ?

Le Paradis retrouvé : l’utopie linguistique de Jean Gerson

En focalisant sur l’usage que Jean Gerson fait de la langue vulgaire, nous cherchons à ramener la portée de la vision gersonienne des langues à l’histoire de la spiritualité à la fin du Moyen Âge, au-delà de son importance pour l’histoire de la philosophie, déjà signalée par Zénon Kaluza dans son importante contribution sur le célèbre statut parisien de 1340. Entendue dans une perspective rhétorique et casuistique, la question du langage pour Gerson s’inscrit dans une histoire du salut où l’enjeu est de réduire la discorde régnante dans les écoles et dans l’Église à la concorde d’une théologie de type affectif ancrée dans la simplicité du cœur. Dans cette optique, le français ressort comme un langage plutôt adapté à une aspiration aussi universelle que la contemplation mystique. »

Le paradis semble – pour le moment – se montrer tout enclavé dans le langage. C’est l’usage du langage qui produit le paradis. Soit, hors des mots le paradis n’existe, existentiellement, pas ?

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« Toutes ces images retouchent notre point de vue sur l’origine de l’humanité. Une humanité qui se distingue dans le règne animal sans bien savoir en quoi réside son originalité et trouve dans l’expression mythique une façon d’exorciser ses angoisses existentielles. Les chapelets de découvertes scientifiques bousculent la vérité révélée sans pour autant épuiser les questionnements sur le sens de l’évolution. Le mystère reste entier !

    
 

Les robinsonnades relèvent donc bien d’un mythe fondateur universel : celui des origines. Ou du moins, selon Gilles Deleuze, d’un mythe secondaire de re-création. Dans une formule concise Michel Tournier évoquait un mythe de l’évolution, du long chemin parcouru depuis l’aube de l’humanité. On pourrait couronner le tout en affirmant qu’il s’agit aussi d’un mythe de la transmission de cette culture capitalisée depuis des générations. L’homme est un géant aux pieds d’argile. On lui prédit moult occasions de courir à sa ruine et de rebondir néanmoins. Même complètement à poil il mobilise des ressources léguées par ses ancêtres. Si l’on devait refaire l’histoire du moins pourrait-on la refaire à pas de géant. »

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Les-robinsonnades ?

Un an sur une ile déserte ? La méthode qui permet de percer et transpercer l’image, de la déchirer toute entière et de s’avancer bien au-delà et derrière cet empêchement-de-savoir (l’image qui cache tout, en fait !) ?  En tout cas, en y allant de tous nos corps nous saurons si paradis il y a. Corporellement parlant !

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« Les origines de l’Homme et son identité sont au cœur des préoccupations des robinsonnades. L’Autre, fantasmé, à la fois semblable et tellement différent, sert de miroir à notre autocritique. La surprise ici c’est que cet Autre n’est plus le sauvage de l'époque des Grandes Découvertes et de la Colonisation, mais le singe. Robin Baker a déplacé le curseur sur l’échelle de l’évolution en nous renvoyant face au primate. Il nous rappelle que nous entretenons avec lui une grande intimité qui nous laisse souvent indifférent et nous répugne parfois, comme une tare. Et pourtant…

Il est peut être temps de rendre à ces primates la place qui leur revient de droit au sein de notre famille élargie. L’approche anthropologique militait pour une reconnaissance de l’Autre et l’abolition des préjugés raciaux […ici, préjugés raciaux-animaux]. Hé bien la zoologie, qui a brouillé les frontières entre l’humain et l’animal, devait conduire à une reconnaissance de droits fondamentaux à ces primates non-humains".

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Les-chasseurs-cueilleurs-bénéficiaient-de-vies-longues-et-saines-

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>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES : PAS à PAS - <<<<<<<<<<<<<<<<<…

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1)

« L'anthropologie et la clef du paradis perdu » – Serge Latouche. 1984. Comme nous le pressentions c’est notre « mauvaise » anthropologie qui nous a masqué tout ce qu’il y avait à savoir. Notre monomanie ethnologique a tout fait pour nous égarer. Et c’est réussi. Au point que si le paradis existe – du moins un concept heuristique  (qui fait connaitre) et congruent du mot – ce paradis « complet » n’existe pas dans les savoirs orthodoxes occidentaux. Pas du tout. Zéro. Peut-être chez les transversaux, les dissidents, les véritables « centraux » (diffamés en … « marginaux »), oui les prétendus  « hérétiques » (ce mot plus que frauduleux puisqu’il évacue toute possible de défense : un hurleur hurluberlu dit un mot, ici hérétique, et son martellement illégitime du mot en devient…vrai. Allons allons pas de ces manières…incontinentes. Elles ne peuvent se faire passer pour… scientifiques. Dans ces conditions, ce qu’ils disent savoir… ne vaut donc rien. Mais rien du tout. Ce pourquoi ils sombrent dans les maniaqueries malsaines de … censurer ? A-t-on jamais vu un hétérodoxe, un dissident ou un penseur transversal censurer qui que ce soit ? Non, cet aveu massif de qui a tort ne se trouve que chez les imposteurs qui se prétendent « propriétaires du savoir » (le désuniversalisant par là)…Cet acte rétrograde ( arrêtons d’admirer le réactionnaire, le conservatisme compulsif, les conformismes immobilistes, les anti- progressismes – toutes ces comportements crispés qui avouent des posture n’appartenant qu’à qui ne veut…rien savoir. Mais - pire – ne veut pas que personne ne le sache non plus.

L’Histoire reste encore trop celle de toutes les exactions de ces insurgés du réel (les vrais fauteurs de troubles qui se déguisent en dominants) et qui n’ont que des démarches – dans toutes les directions – d’obstinés incultes qui ont tort partout et toujours. D’où l’état du monde actuel qui s’explique ainsi : c’est parce que ce sont des ignorants plus qu’arrogants qui veulent (se) faire croire diriger le monde – que ce monde va si mal. Ce n’est sûrement pas imputable aux esprits critiques, aux vrais écrivains et aux génies interdits de publications. Perdants les imposteurs (qui volent des fonctions qu’ils sont incapables d’assumer) alors ? Sans doute ! Ce sont les hystériques caractériels qui « ne supportent aucune critique », qui se démontrent les responsables et coupables des graves problèmes actuels. Absolument pas qui tente de les critiquer constructivement.

Mais dégâts collatéraux ? Tel le concept « paradis » qui demeure très largement « incompris » en Occident. Il y a un trésor inépuisable et ils vont fouiller dans de la vile fausse monnaie uniquement. Et ils se vautrent dans l’arrogance de qui serait tellement omniscient qu’il n’a plus besoin de questionner sans cesse ses savoirs. Alors que – tout au contraire – si omniscience il y a c’est seulement dans l’acte insistant d’interroger sans cesse ce que nous « croyons » savoir que cette omniscience commence. D’ailleurs le langage – cette omniscience si peu visitée – nous sort un merveilleux….remettre EN QUESTION. Un matérialisme très adéquat que de « remettre » en question. Et plus que réaliste et judicieux puisque une telle remise en question obtient, oui reçoit, oui est très récompensée de si nombreuses réponses…nouvelles ! Très probant. Que ceux qui possèdent la saveur de savoir soit ainsi écartés ( très illégalement) de la parole publique nous prive, alors, de tout paradis comme de dessert ?

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2)

Le paradis des concepts

L'anthropologue cherche comme le paradis des concepts, la clef qui ouvre tout, le paradigme qui ne nécessite plus rien d’autre que lui. Un exemple ? La tension entre holisme et individu  ou bien entre individu et holisme. Ce n’est pas assez charnel, pas assez tangible – un réponse « paradisiaque », qui dit si bien à côté, de tous les côtés à la fois, ne peut s’y trouver ! Aucun para-dis là non plus !

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3)

Le pas de côté

Ruskin et Gandhi ?...”La difficulté de réussir ne fait qu’ajouter à la nécessité d’entreprendre. – Pierre-Augustin Caron Beaumarchais. L’occidental reste très peu entrepreneur, en fait il n’y connaît pas grand-chose, voir rien, aux vraies affaires. Celles qui ne font rien perdre à personne, même pas à la Nature et toutes ses omniscientes…régulations. Aussi ce grand benêt braie des absurdités telles « détruire c’est construire ». Qu’il braie même plus fort dans une « destruction créatrice » bonne pour l’asile. La preuve ? Allons détruire la maison du proférateur en collant sur les ruines « maintenant cela va se recréer tout seul »…Non non, ces égarés n’ont jamais parcouru sensuellement les chemins du langage qui, matérialistement, se disent… entre-prises. Prendre entre tout ce qui existe. « Faire prendre » les prises c’est inclure tous les paramètres à la fois. L’externalité prouve à 100 % la falsification de tous les autres concepts. Qui exclut a, en général, tort. Qui inclut tout, en général prouve avoir tant raison. Ce pourquoi dans le monde à l’envers se voit…exclu qui sait si bien tout inclure et conclure.

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4)

Le Calculin

Illustration du 3/3 les paradis…afin d’inclure de savoir vers où nous allons !

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Enfin, au bout de ce (1) texte - nous ressentons à quel point il nous aura apporté bien plus, en si peu de temps, que tant d’années d’incultures occidentales par les sommets nous auront désappris à vivre simplement. Pour seulement vivre à 100 %. Et cela si vite et en si peu de lignes ?

Les paradis ? La Terre charnelle (2/3)

……………………..Les paradis ? Le paradisme économique (3/3)

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....(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Les paradis ? (1/3)
Les paradis ? (1/3)
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lits et ratures

lits et ratures

Les paradis ? (1/3)
Les paradis ? (1/3)
Lis tes ratures !

Lis tes ratures !

Les paradis ? (1/3)
Les paradis ? (1/3)
Les paradis ? (1/3)

le paradis ne peut qu’être sur Terre – construisons-le

construisons ce qui sera pas que pour des vacances mais toute l’année...rendue à sa grandeur.

rareté = qualité

que la vue n’occulte plus les autres sens…

et près de chez nous...

Publié dans Victoires**

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T
« Clairement » et « aisément », voyons et convoyons cette maitrise es Nicolas dont vous<br /> soustrayez ces termes et nous extrayez du sens du chant I dont ils proviennent, pour accuser l'auteur votre mal de tête. <br /> Ce qui se conçoit difficilement est le fruit d’une réflexion complexe. Il est d’abord penser (« Avant donc que d’écrire, apprenez à penser - de l’Art poétique » chant I - Boileau !) et, toujours, suivant la hiérarchie de la chaîne des raisonnements, plus la réflexion sera complexe (qui n’est pas comme vous y aboutissez, vous, inaboutie - peut-être pour vous compliquée, puisque vous n’aboutissez à finir la flexion de lire, il en est donc terminé, pour vous alors de l’inflexion de réfléchir...pour comprendre) plus la transmettre, l’écrire, la dire... etc, demandera de la densité. Soit, façon... Nicolas Boileau :<br /> « Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. »<br /> <br /> Mais aussi ce bémol-ci, quant au but :<br /> « Il n’est point de serpent ni de monstre odieux,<br /> Qui par “l’art imité” ne puisse plaire aux yeux,<br /> D’un pinceau délicat l’artifice agréable<br /> Du plus affreux objet fait un objet aimable. »<br /> <br /> Les publicistes ont profitablement appliqué ce la là : faire de phrases simples pour des gens simples...fi de la complexité, diversification naturelle<br /> <br /> NB : Apparemment il n’est pas crié dans le vide ici, il est écrit et il est lu aussi<br /> . Il est même répondu et idées partagées, correspondances échangées et entretenues etc, etc, etc... - c’est dire !<br /> <br /> Bien à vous :)
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B
Bref ! Si elle continue dans votre style votre scienterature laissera à désirer et manquera de lecteurs ...
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B
Je regrette que vous ne sachiez pas écrire simplement et correctement . Vous lire donne mal à la tête ; pourtant il se peut que vous ayiez de bonnes idées . Suffirait que vous cherchiez à sortir de ce style ampoulé , anamorphique , avec le souci d'exposer clairement des idées claires . "Ce que l'on conçoit bien s"énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément" N'oubliez pas cette phrase de Boileau et oubliez votre style d'intellectuel de bazar . Pour vous le prouvez je vous montre la traduction que j'ai dû faire de l'entrée en matière de votre page (que je n'arrive pas à lire jusqu'au bout par fatigue d'essayer de vous comprendre) :<br /> <br /> Sciencérature ? Les paradis !<br /> Peut-on parler d'une littérature des sciences ? D'une littérature qui nous sorte enfin du cadre ? Nous ne l'appellerons pas  science-fiction puisque elle ne produit pas de fiction . Ce sera une littérature qui ne s'affichera pas comme une science exposant sèchement ses mesures et ses protocoles .mais comme une une science s’offrant tous les prodiges de la littérature pour approcher différemment les savoirs . Une science s'affranchissant de toutes  les catégories  en constante mutation. Sous nos yeux ne nait-il pas une « sciencérature » analogue aux « Lits et ratures » surréaliste ? Quelles en seraient les limites  ? Bref, ceci nous interroge de mille façons et mérite un long périple au long duquel nous allons , grâce à elle , pouvoir suivre l’usage du mot « paradis » dans l'innombrable diversité des situations  humaines … Pour conclure : si nous voulons rencontrer en vrai ce qui se trouve derrière le mot « paradis » , nous devons abandonner tout ce que nous croyions savoir jusque là. Et commencer une véridique découverte des …découvertes.<br /> …
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