Les paradis ? Le paradis en économie (3/3)
Si nous souhaitons plus de temps, arrêtons de stocker autant de surplus, de l’inutile oui de l’encombrant. « Less is more » - lorsque moins c’est plus. Moins pour les objets et plus pour nous. Le minimalisme c’est comme stopper le tabac, il n’y a que les premiers jours de sevrages de difficiles. Se guérir de la drogue des consommations impulsives opère pareillement. D’ailleurs, un article, se consacrant à ce nouveau savoir, se nomme « l’Eldorado des gens heureux ». Les vrais efficaces ! Ceux qui n’entreposent pas les trésors pour « plus tard » mais les savourent directement.
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Un commentateur nous à laissé cet éclairage très opérant… « Paradis se dit `Eden` en hébreu, de la racine `Adan`, "vivre dans l'abondance". Or nous vivons dans une société où parfois, il y a trop d'abondance qui en devient nuisible. Dans ces cas-là : ou bien les producteurs détruisent leurs productions, ou bien on paye les consommateurs en espérant qu'ils accepteront de consommer. En économie, le paradis est une dangereuse illusion : "Mieux vaut le peu du juste Que l'abondance de beaucoup de méchants" (Psaumes 37:16). » Ces quelques lignes reprennent à rebrousse poil toute l’Histoire officielle. Il semble bien qu’on nous y ait menti. Que la vérité n’a jamais été ce que les détraqués des dérégulations prétendent : rappelons que tout, dans la Nature, est « régulations ». Et qu’il faut donc être fous pour remettre en cause ces lois qui ont fait tant leur preuves !
Lorsque nous pensons et réfléchissons nous recevons tous les trésors (une vie intérieure d’une abondance illimitée et une vie matérielle qui respecte les limitations de la vie et de la nature). Et si donc le capitalisme est démasqué comme une folie très toxique – les comportements pleins de santé ne peuvent que tourner le dos à ses pratiques malsaines. Ceci est l’autre Histoire. Préférant la consommation du strict nécessaire, il est, alors, retracé…« l'histoire allant du temps des premiers ascètes à l'ère de l'« éco-consommateur » qui pousse la logique de l'économe jusqu'à cultiver le dépouillement. Ce faisant, l'auteur égrène des solutions concrètes pour améliorer la gestion des déchets. On lit l'ensemble avec d'autant plus de bonne volonté que, tant sur le plan de la forme que du contenu, il est à l'image du propos : minimaliste.
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Maman minimaliste- :les-10-étapes-pour-devenir-minimaliste/
Une vie encombrée : maison, bureau, emploi du temps, relations…
Je pense que la plupart d’entre nous l’ont connu : cette impression d’étouffer sous les objets, les obligations, les emplois du temps, sous les ménage/repassage. Il faut réparer une chose, raccommoder une autre, ranger la cuisine, appeler quelqu’un, repasser les vêtements du petit, retrouver des papiers administratifs dans une pile, et j’en passe. On courrait après le temps, et on pensait naïvement qu’on n’était juste pas doué pour l’organisation, et que tout sera réglé, quand on aura mis au point un super système pour gérer notre temps, et vivre comme un robot au rythme des heures qui passent.
2 – Une lecture qui change la vie : découverte d’un livre, d’un blog…
Et puis un beau jour, on tombe sur un livre, un blog ou un article de magazine, qui parle de minimalisme comme art de vivre, de la simplicité comme mode de fonctionnement, de ralentissement en “slow life“, plutôt que de la course après une nouvelle organisation que nous n’avons même pas le temps de mettre en place.
3 – Une prise de conscience sur cette société de consommation
Et si au lieu d’organiser, de réparer, d’entretenir, de ranger… on éliminait, tout simplement ? Tous ces objets que nous avons dans nos maisons ont besoin que l’on s’occupe d’eux. Quand on achète un gadget électroménager, il nous coûte plus que l’argent qu’on dépense pour lui en magasin : il coûte de l’espace à la maison, il coûte le temps qu’il faut pour l’entretenir, le nettoyer, le réparer, il coûte le déchet qu’il générera à la planète quand viendra le moment où on se débarrassera de lui. Alors, posons-nous la question avant d’acheter : vaut-il vraiment tout ça ? Si un gadget nous offre la possibilité de peler une pomme plus vite qu’un couteau normal, mais qu’il prend la place d’une brique de lait, qu’il peut se dévisser et que nous devons prendre le temps de le réparer, et qu’il est fait dans du plastique non recyclable donc un danger pour la planète, les quelques secondes qu’on gagne à peler notre pomme ne seront rien face à ce que l’on va perdre en acquérant cet objet. Le vieux couteau est de loin le meilleur outil pour peler une pomme. En plus, on peut également l’utiliser pour découper les légumes, la viande, le pain et même des fois, servir de tournevis ^^
4 – Des questions existentielles : quel est mon essentiel? et comment trier?
Après cette prise de conscience, on se met à reconsidérer tous les objets qu’on possède. Lesquels sont vraiment utiles et nécessaires ? Lesquels sont issus d’un achat compulsif et se retrouvent au fond du placard juste après l’achat ? Lesquels sont juste indispensables à notre bien-être? Et de ces questions ressortira la liste de nos essentiels. Cette liste est totalement subjective car chacun de nous est unique. Cette liste dépend de nos activités, de notre métier, de notre situation de famille, et de notre environnement.
5 – Début du changement : désencombrement de la maison
Et on commence alors à trier nos affaires. A réfléchir à l’utilité de chaque objet qu’on possède. A voir s’il ne fait pas double emploi avec un autre. Et si l’autre n’est pas finalement plus pratique. C’est l’étape où on se demande comment on a fait pour amasser autant d’objets en quelques années, à retrouver des objets qu’on avait totalement oubliés. Cette étape peut durer des mois, où même des années. Car même après un tri, il arrive qu’on se rende quand même compte de l’inutilité de certains objets qu’on avait gardés.
6 – Lutte perpétuelle contre les anciennes habitudes de consommations
La prise de conscience ne se limite pas seulement au désencombrement de la maison. Car si celle-ci est encombrée, c’est qu’il y a une raison : on a l’habitude de la remplir. Comment? En achetant des choses inutiles avec pour seul prétexte qu’elles ne sont pas chers par exemple. Ces mêmes choses prendront de la place à la maison, et deviendra le tas de fouillis qu’il faudra ranger tôt ou tard, car elles n’ont pas vraiment de place.
7 – Mise en place de méthodes pour éviter le réencombrement
Quand les habitudes ont été identifiées et remédiées, on avance plus loin en coupant les sources d’encombrement à la source. Les abonnements qui nous envoient des livres que nous ne lisons pas, les catalogues ou les courriers postaux des magasins, les goodies gratuits…
8 – Désencombrement de tous les autres domaines de la vie jusqu’à l’arrivée au vrai essentiel
Et vient le jour où l’on voit l’avantage d’une maison minimaliste, et on voudra faire de même dans tous les autres domaines/lieux de nos vies : au bureau, dans nos ordinateurs, dans nos emplois du temps, dans nos relations, dans nos obligations, dans nos activités…
9 – Plus de liberté, plus d’espace : plus de temps pour ce qui nous tient vraiment à cœur
Quand on prend moins de temps pour le ménage ou quand on se rend compte qu’on a tout un week-end sans rendez-vous obligatoire, alors, on a plus de temps à consacrer à notre famille, à nos activités préférées, celles qui nous font vraiment plaisir (lézarder sur le canapé avec un bon roman, bricoler avec ses enfants, une petite promenade en famille, ou travailler sur un projet perso…).
10 – Mieux-être et paix intérieure
Le fait de se consacrer uniquement à notre essentiel, fait que nous savons plus ce que nous voulons vraiment dans la vie, et nous pouvons donc lâcher-prise sur le reste. Le minimalisme nous enlève le poids de la société sur les épaules, en relativisant les situations, et en ne voulant pas s’encombrer de contraintes. L’aboutissement de tout ce chemin est pour moi un mieux-être et une paix intérieure. »
3-habitudes-de-vie-pour-débuter-la-simplicité-volontaire
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La raison instrumentale se voir, ainsi, entièrement remise en question : ce n’est pas une question d’organisation (et la culpabilisation à l’infini qui traîne avec ce mot) mais bien de retour à l’essentiel. L’essentiel ne s’organise pas et nos cerveaux ne sont pas des entrepôts du tout sur étagères et du tout étiqueté. Nous ne sommes pas un délire de stockages jusqu’à la perte de l’horizon. Nous ne sommes pas les porteurs des objets ! Mais bien à même de joindre les besoins de la planète (nous devons la préserver en travaillant juste le nécessaire) à ce qui nous reste le plus utile (soit la fin du fardeau si pénible de consommer à la chaîne avec un remplacement instantané (sic) – bref, une maladie nocive due au fait de refuser de penser et réfléchir !). Le superflu est remplacé par le super flux du collectif. L’égoïsme n’est surtout pas l’efficacité : nous mangeons la terre et buvons l’eau, de les polluer stupidement à cause des égoïsmes fous qui aveuglent, à l’évidence, n’a jamais été normal. Être bien dans le fondamental d’être sans se faire avoir par l’avoir (qui ne nuit à rien ni à personne), lui, est le plus rationnel des comportements. Moins pour les objets c’est tellement plus pour nous. Avec le minimum de choses qui nous séparent de nous-mêmes !
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Le-minimalisme-: nouvel-eldorado-des-gens-heureux
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Faut-peu-pour être-heureux-: voici-les-youtubeurs-minimalistes
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Balance des vrais besoins qui contredit la falsification nommée "croissance"..
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Le jour où toute la production d’outils, de services et de ressources pourra être efficace sans qu’aucun humain n’y soit impliqué, alors elle devra être entièrement nationalisée. La nationalisation de toute la production et des outils de service rend l’argent désuet puisque les robots n’ont pas besoin de salaire et donc que tous les produits élaborés et les services rendus par des robots peuvent être gratuits.
Cette nationalisation [socialisation, autogestion, ou tout autre mot convient aussi !] doit concerner également tous les terrains et logements, à l’exception des résidences familiales. Au sein d’un système paradiste, le politicien élu ne travaillera que par dévouement à l’humanité, car il n’en retirera aucun avantage financier, ni aucun pouvoir.
Le paradisme doit d’abord être accepté démocratiquement par une population qui réalise quels sont les avantages d’un monde sans argent, là où tout est disponible pour tous les individus, sans qu’ils aient à payer pour l’obtenir.
Dans ces conditions, au lieu de ne faire que travailler pour amasser de l’argent esclavagiste, les humains peuvent économiser [ le vrai sens du mot…économie – ce qui nous « épargne » tant de peines !] le poids de ce travail qui détruit tant la nature au strict nécessaire. Se vouant à tout ce qui peut aider la nature : créer, faire de la recherche, des études, pratiquer un art ou encore méditer et consacrer du temps à leur développement personnel. C’est alors que le monde deviendra un paradis terrestre. C’est la raison pour laquelle ce système se nomme paradisme. »
(…) « Le Paradisme suggère d’enlever le pouvoir aux gouvernements et les remplacer par des collèges de guidance et des comités connexes au service des citoyens dans leur ensemble.
Les valeurs que les nouvelles générations proposent :
1. Libérer les humains du travail obligatoire.
2. Éliminer l’argent.
3. Donner la priorité aux recherches scientifiques.
4. Distribuer gratuitement aux citoyens une base comme des aliments sains, une eau de qualité et couvrir tous leurs besoins sanitaires ainsi que l’habitation, le transport, etc.
5. Fournir gratuitement les soins de santé, une connexion Internet et une éducation à tous les niveaux.
6. S’assurer que la technologie serve à tous et non juste à quelques uns.
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The FSM is addressing many urgent matters we faced on planet Earth. Our economic system no longer works and a new system: PARADISM must urgently be put in place to replace the current one. Respect for life, resources, human rights, freedom, justice, education, basic living needs met for everyone and future generation, all these and much more are now possible thanks to the exponential development in various science and technologies such as robotics, advanced manufacturing, computers, health science, etc…
Fundamentals of Paradism are:
1. Liberate human beings from work
2. Eliminate money
3. Prioritize scientific development
4. Give every Citizen some free quality food, water, and sanitary conditions
5. Provide health care 24/7 and free internet access to everyone
6. Ensure technology benefits everyone not just a few
«Arrêtons la concurrence, unissons-nous, coopérons, produisons pour tous, répartissons équitablement ».
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Bingo! Le premier "paradiste" c'était Jacques Duboin
L'économie distributive. Aujourd'hui, son rêve ne peut que devenir réalité sinon, nous allons dans le mur. Les licenciements massifs obligent à réfléchir sur la propriété intellectuelle des moyens de production. Ces prouesses technologiques ne sont-elles pas l'héritage de toute l'humanité, et non pas la propriété de quelques financiers? S'il faut garder une incitation financière modérée pour perfectionner encore et toujours ces moyens de production, l'économie distributive ou le paradisme sa forme moderne est une voie à suivre d'urgence. »
Notons, toutefois, que ce « paradisme », à l'origine, est issu du mouvement raëlien – mais que la vidéo mise en première place prouve que ce lien n’est pas nécessaire. C’est la boite à outil d’idées réalisables qui est seule mise avant. Seul ce qui n’est pas mis entre « » guillemets (citations choisies) acquiert notre accord à 100 %. Le raëlien n’en fait pas partie.
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pleindetrucs.fr/devenir-minimaliste/
Un minimaliste possède moins de 100 objets.
À titre d’exemple, j’en ai environ 30 quand je voyage et 70 quand je me pose quelque part.
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la petite économe : - la vraie économie-minimaliste
La petite économe c’est la personne très réaliste et absolument pragmatique qui pratique l’économie. L’économie ne peut être qu’économe sinon ce n’est plus de l’économie (soit juste épargnante et prévoyante). Le grand toxique qui intoxique tout, c’et celui qui dépense sans penser, qui sème des quintaux de déchets et nuit à tellement aux autres humains par ses délits de « profits » (= ce sont les autres qui paient les « coûts » que sont mes profits, en vrai !)…bref, sa minuscule personne est sur-dopée à la gonflette égoïste. Un immense fraudeur aux dopages anti-vie. L’économe c’est bien l’être adapté, serviable et sociable. Le capitalisme ne produisant que des monstres ahumains doit disparaître ! Il est anti économe, donc une non économie !
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Historicisation du minimalisme - vivre avec moins :
Histoire en images de minimalisme
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Prenons du temps à être nous-mêmes ! La « mode lente » (slow fashion) c’est…ne plus perdre du temps à acheter. En transes hystériques. Avec le minimalisme, la simplicité volontaire ou le paradisme, la petite économe devient la reine couronnée de l’économie. En effet, la grande économe c’est la personne très réaliste et absolument pragmatique qui pratique l’économie. L’économie ne peut être qu’économe sinon ce n’est plus de…l’économie. Mais de l’importun gaspillage trop futile et frivole. Par contre, toute épargne nous « épargne » les déprédations sociales nommées capitalistes. Nous n’avons pas à vivre leurs déviances sans issues ! L’économie « économisée » c’est la nouvelle civilisation : les humains libérés du travail obligatoire et l’argent éliminé, au maximum. C’est donc complètement accessible tout de suite. Dès aujourd’hui. Distributions gratuites en circuits courts aux citoyen-ne-s d’aliments sains, d’eau de qualité et d’air pur. Ainsi que l’habitation, le transport, l’énergie mise en autogestion, etc. Soins de santé fournis gratuitement (ce qui est bien une incitation à…économiser que le gratuit !) ; une connexion Internet et une éducation à tous les niveaux. Priorités offertes aux recherches scientifiques désintéressées sur toutes formes de profits. Et cette abolition de l’économie…non économe (donc non économie !)permet que les technologies servent à tous et non juste à quelques uns. N’ayant plus à nous occuper que des besoins réels des humains, nous avons mis à la porte une économie qui… gaspille tant la vie et la nature en les polluant et les humains en les exploitant. Reniant jusqu’à son nom même ! Ceci n’est pas économiser (le vrai sens du mot « l’économie », hé stupide !) mais bien gâcher, sacrifier, dilapider, cumuler tous les crimes économiques et écologiques connus.
L’économie économe de nous, remise à l’endroit, c’est bien
……………………………………………… comme le paradis sur Terre.
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…………………….(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Ce ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu.
Mode lente – nous ralentissons tout, il n’y a aucune urgence à acheter, à enrichir encore plus ce système pour qu’il fasse toujours plus souffrir illégalement les humains. Non, acheter n’est pas dans la mode lente. Prendre tellement de temps qu’il y a pleins d’achats qui se perdent en route…slow attitude oblige. Slow c’est low time
il y a bien d'autres options - dans l'article nous en feuilletons quelques unes.
Il est dit que cette information n’est pas relevée mais nous l’avons fait plusieurs et expliqué 1) que l’argent de toutes les fraudes et exonérations illégale résoudrait tant de problèmes et que le « pourquoi »’ de ce trou de mémoire vient de 2) - l’effondrement moral complet des prétendus dominants. Ils veulent bien voler et frauder sans cesse, pas qu’il leur en soit fait reproche puisqu’ils appartiennent à une espèce de dérivé de classe divine. 3) Et que les reproches c’est pour leurs victimes de leurs braquages institutionnels : les pauvres…devenus toujours plus pauvres à cause d’eux. Les fraudés…à cause de « leurs » fraudes. 4) - Bref, tout le chaos clairement anarchiste (dans leurs délires l’état n’a rien à dire, ils ont tous les droits !). 5) Bref, de clairs ennemis de la société avec juste à réparer tous leurs immenses dégâts. Rendre les fraudes aux…fraudés !
le rêver et le faire
Henri Jacob a une vision globale des dangers qui pèsent sur l'équilibre de nos écosystèmes. Nombreux sont les projets qu'il réalise avec les gouvernements et les entreprises afin de protéger les forêts, la faune et les plans d'eau. Mais il critique aussi les dérives irrationnelles des dirigeants qui s’éloignant toujours plus dans de l’inculture satisfaire d’elle-même. Oubliant, par exemple, que c’est en goûtant et redécouvrant les richesses de la nature que l'humain peut préserver l'harmonie dont il aura toujours besoin.
L’oxymore infernal - faire semblant de s’intéresser à la nature mais contre les intérêts de la Nature, juste pour les abus énormes de ses seuls convoitises – et, surtout, sans rien changer de son style de vie si destructeur.
la nature sauvage sauve - mais de quoi ?
notre planète méconnue....