Qui nous vole nos libidos ?
Ou plutôt quoi ? Puisqu’il s’agit de la « mégamachine » le résultat de tous nos abandons et lâchetés ordinaires. Sauf pour les instinctifs, toute la vie chevillée en eux, qui ne « sentent pas » toutes ces aliénations et ne s’y sentent donc pas bien. Se faufiler, leurs glisser entre leurs griffes et s’en libérer. Pour les autres moins de libido, moins de guidances, de points de repères, plus les ancêtres en soi, moins d’intuitions fortes. Et donc les obtient, en général, qui aliène le plus. Mais s’y crame totalement, lui-même, dans ces abjections ahumaines !
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Ici – puisque nous répétons que nous sommes des « thérapeutes du social », sans que la majorité n’entende (clair que nous n’entendons « que si » nous écoutons) – oui, nous avons développé nos aptitudes à…pouvoir guérir la société. Nous avons découvert ceci en, nous obligeant à examiner un phénomène qui nous révulsait de dégoût (la télévision chutant dans l’irrespect voyou de l’humanité, de l’honneur, de la beauté et de la grandeur !) et nous avons découvert que nous la voyions comme une sorte de hublot, d’imposte, de sas, de lentille fidèle nous restituant tous les maux de la civilisation. Celles et ceux qui aiment passer à la télé seraient comme des malades, des dérégulés, des déréglés. Bien. La problématique étant que nous avons découvert qu’il y avait leur symétrique, une partie de leurs dits opposants (refusant, eux aussi, toute grandeur, générosité, altruisme désintéressé, sincérité et honneur aux autres, et à tous les autres). Donc ? Écrasant tous les humains comme ceux qu’ils prétendent combattre le font. Cela ferait beaucoup d’affronter les 2 camps.
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Mais ce camp mimétique ? Eh bien celui de ceux qui « n’obéissent à personne »… mais en refusant tous débats sur les fondations, l’essentiel et oui sur la hiérarchie de la réalité. La réalité ne les intéresse que très peu – juste sa représentation éloignée dans l’abstrait et jamais vécue par soi-même. N’obéir à rien rend IMPOSSIBLE toute solution collective qui implique, au minimum, d’obéir à la réalité, aux faits, aux valeurs et aux potentiels accessibles. Ces faux libertaires pullulent – facile à reconnaître pour qui a su protéger le trésor de son instinct sauvage, oui de ses intuitions…naturelles. En effet, ces faux jetons de la fainéantise et de l’inertie comme seule…organisation, sont dépourvus de toute logique et cohérence. Tout est en vrac en chaos, ils ne « dialoguent » que par slogans. Ce qui se dot, plutôt, « monologues ». En conséquence, suites d’affirmations jamais démontrées et qui ne doivent pas être discutées. Inerties et sectarismes. Les grands délinquants capitalistes ont donc « imité » cette anarchie inconsciente d’elle-même. Alors qu’un tout petit peu de jugeote aurait pu NOUS éviter cela. Thérapeutes du social, nous avons bien évité ceci. Comment ? Eh bien…en souffrant « avec » la société. En souffrant cent fois plus que les humains trop conformistes. A nos cœurs, à nos morales, à nos logiques, à nos imaginations, à nos grandeurs, à nos beautés, à nos paix, à nos oui…humanités intégrales. Et – arc-boutés sur les savoirs de l’instinct, nous avons su diriger ces souffrances vers les médicaments et les solutions…
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Comment faire mieux saisir ? Ce jour nous avons mis un texte avec, en illustration, un « Mais que puis-je faire à moi tout seul ? » proféré par 100 gosiers à la fois (ce qui prouve qu’ils ne sont pas tous seuls mais ne « s’entendent » pas les uns les autres – déjà en ne s’écoutant pas du tout en train de parler » !) oui cette aliénation flagrante obtient, immédiatement, la réponse tordue … « Un corps à plusieurs cœurs tend vers sa désintégration ». Soit des mots qui paraissent assez déraisonnables. En fait, c’est la défense fainéante et refusant d’obéir qui parvient au stupide « non nous ne nous organiserons pas » qui aura produit cette phrase. Pas le texte soi-disant commenté. Oubliant, étourdiment, qu’à ne pas obéir ainsi, nous fait tous obéir, d’une manière désastreuse, aux métacadres de la société. Et ces métacadres, actuellement, sont plutôt tournés vers les structures fascisantes ! Donc, un tel texte qui peut permettre de s’organiser mondialement sera rejeté. Double rejet par les fous capitalistes et par certains libertaires qui se sont laissés aliéner.
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« Un corps à plusieurs cœurs tend vers sa désintégration ». Pas très logique que ceci - ce sont plusieurs cœurs qui battent pour la même motivation - s'unir à fond ! que la santé voit. Ce n’est pas du vampirisme mais l’acceptation amérindienne de s’unir. L’unité c’est l’action. L’action c’est s’organiser. Et s’organiser c’est obéir transitoirement et révocablement aux nécessités de l’union. Ceci est la santé… « Un corps à plusieurs cœurs tend vers sa désintégration » fuit, alors, vers la folie afin de ne pas ENTENDRE le son de la thérapie. Si c’était vrai aucune musique ne serait possible. Puisque cette musique unit tous plusieurs cœurs dans le même corps de la chanson ou de la symphonie. Aucun ne se désintègre. L’image est la première pulsion (due au vol de la libido) qui s’égare dans le n’importe quoi. Et nos trajets demeurent purs dans tous ces dérèglements fétides ! Ce sera donc dur de récupérer tout cette libido détournée de nous !
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La logique du tout ? - nous sommes, pourtant, 99 % de l’Humanité, les réseaux disent que nous sommes tous "connectés" dès 4,74 contacts au monde entier...et tout le monde (presque) délire "je ne peux rien faire tout seul"... Alors le blocage? Pareil à ce que nous fait découvrir la dialectique « misérable- miséreux »... la majorité "choisit" les in-humains qui stoppent les cœurs...
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Ce préambule nous permet de, maintenant, nous focaliser sur la consommation aliénée des…textes, des raisonnements, des slogans ou des images. Oui tout ceci est juste un spectacle pour divertir les superficiels…inhumains. Il n’y a aucune connection avec aucune réalité. Les libidos ne réagissent plus ! Ce contexte brossé, concentrons-nous sur une activité locale : le goût exclusif pour les « bonnes nouvelles » !…L’aliénation consommatrice est telle qu’il faut des bonnes nouvelles avec des nœuds roses autour. Du genre qui se paient par la douleur extrême des autres. Tout sous plastique et sans ces créatifs mêmes qui se bougent afin qu’il y ait de réelles…nouvelles positives…ces monstrueux consommateurs vont même jusqu’à les piétiner, leur marcher dessus et les ensevelir. Il leur faut de prétendues bonnes nouvelles HORS SOL, aseptisées (donc expurgées de leurs… créateurs) et carrément mises sous plastique anti vie (cachez ce réel que je refuse de voir) !
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Vous ne croyez pas ?
Le texte est :
http://www.imagiter.fr/2016/11/les-utopistes-resistants-les-vrais-realistes.html
Posé sur un groupe qui se vouerait aux bonnes nouvelles, il reçoit ce courrier du gardien de prison, qui administre, cette sanction outragée… « Désolée Mr…, mais arrêtez de mettre ce genre de publication qui n'est pas une bonne nouvelle en soi tout comme les 3/4 de ce que vous mettez ici, merci de regarder les autres publications pour vous faire une idée... Merci… »
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Aussi la réponse aura été… « Bonjour, bonne nouvelle, nous n’en mettrons plus. Mais vous avez tort. En effet, si (d’après la photo) la réussite de remplacer le nocif plastique par des algues qui en ont toutes les qualités – mais aucunes des nuisances. Algues qui, en même temps, dépolluent l’air – n’est pas une extraordinaire bonne nouvelle ? Mais qui peut être piétinée par trop d’étourdis. D’où ce texte conçu comme il est - qui relie le fait qu’une femme (vidéo dans le texte) qui gagnait de l‘argent préfère, à la place, défendre les prétendus utopistes (en fait ces créateurs…de bonnes nouvelles). Plus, un américain qui a décidé que son entreprise « ne nuirait plus à l’environnement et à la santé des humains », et qui…l’a fait. 3 porteurs de bonnes nouvelles en 1. Ce texte qui montre que les bonnes nouvelles sont, souvent, issues d’un réel très rugueux – ne cherche pas à cacher ce réel d’origine. Afin que les utopistes aient tous les éléments en mains afin de nous inventer, encore, tout ce qui permet les… bonnes nouvelles ! Nous défendons donc tous ceux/celles qui permettent qu’il y ait des nouvelles positives, tels qu’ils sont. Boueux de tous leurs labeurs sur le terrain. »
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Et maintenant nous allons entrevoir le vol de libido qui sévit derrière ce genre d’attitudes incohérentes (nier, renier et dénier ses propres buts !). Vouloir des bonnes nouvelles mais refuser les créatifs qui les permettent et inventent ! Rendus donc inhumains par la folie consom-Matrice.
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Reprenons le verbiage de la répression « qui se donne a tous les droits parce nous sommes conformistes ! »
*** - le très haut paternalisme d’un « regardez les autres publications pour vous faire une idée »…issu d’une stratosphère d’êtres gonflés à l’auto-gonflage de leur évidente supériorité. Le syndrome scandaleux des prétendus dirigeants sévit à fond : c’est « la pédagogie insultante ». Évidemment, vous n’avez pas regardé (enfin pas avec les lunettes plus que malades qui sont miennes) ! Si vous n’êtes pas d’accord (déviants !) c’est que n’avez pas « compris » « la » vérité. Puisque – fanatisme intégral – « tout le monde ne peut être que d’accord avec qui sème les inégalités, détruit la planète et est incapable de participer à un vrai débat ». Pédagogie = comprendre comme moi. Uniquement. Et pas autrement. Oui selon « mes » ordres et à mon commandement. Votez librement mais exclusivement comme je l’exige. Pas de possibilités de comprendre…autrement. Très épouvantable nouvelle pour les aliénés qui délirent, ainsi, les yeux ouverts !
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*** - philosophie autoritariste ? Vérifions : « la seule bonne nouvelle c’est la bonne nouvelle « en soi » (plutôt en soie) qui ne laisse pénétrer…aucun réel. Hegel n’est vivable que renversé : il marchait sur la tête loin de la société réelle. Son « en soi » doit devenir dialectique. Dans le sens où les autres doivent participer à ses prises de décisions…collectives. Décider pour tout le monde ne peut être « pour soi ». Oui pour son …quant à soi ! Qu’est-ce à dire ? Le sort de certains musiciens en fera l’image très agitée. « Tolérés » à faire des musiques sublimes pour amuser ces esclavagistes soft. Mais interdits de présences concrètes…qu’ils s’écartent donc. Se tiennent au plus loin. Trop rugueux, trop concrets, trop…vrais. Faudrait les costumer, les faire passer à la décontamination…ne sont supportées que des présences plastifiées des…mannequins. Ces « élus » (au sens du ciel ») n’élisent personne à part toujours eux. La musique oui mais personne n’a le droit de la faire tout boueux et suant de l’art difficile. Les bonnes nouvelles oui mais amputées de leurs porteurs. On prend les bonnes nouvelles mais pas grâce à qui elles peuvent exister. Les bonnes nouvelles en soi rendent donc extrêmement cruels ? Tant de maladies affectives de narcissismes pervers et tant d’incohérences intellectuelles – eh oui ! cela frise la très…mauvaise nouvelle !
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** - l’a peu-près hautain. Si méprisant de qui n’a pas à expliquer…ce qui sera… « le ¾ des textes ne sont pas des bonnes nouvelles « en soie », bien expurgées » - mais pas un mot afin de guider sur « ce ¼ qui « obéirait » aux normes contraignantes (au sens vous « devez » obéir – et moi pas, trop occupé à ordonner, infliger des ordres, voyons !)…notons le texte enlevé de force et sans une explication par ce même personnage :
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http://www.imagiter.fr/2016/10/je-suis-un-enfant.html
Le thème ? Simple. Pendant que les adultes font la guerre sans s’occuper d’eux – des enfants, oui des enfants pas des adolescents font des choses extraordinaires. Super bonne nouvelle non, que d’eux-mêmes, des enfants soient mieux que nous ? Et concrétisée à 100 % par une affichette « Je suis un enfant »…Non, là nos bonnes nouvelles leur paraissent de…très mauvaises nouvelles. La guerre, la douleur, la détresse des enfants abandonnés pendant que les prétendus adultes « jouent » à la hideur de la guerre, etc. – rien de cela ne « doit » exister. Bonnes nouvelles, seulement pour adultes en nursery, sous cloche, protégés dans un ventre maternel fantasmé…Faut tout virer pour vivre sur le nuage multi-illégal de la déchéance consommatrice. La guerre dehors - la souffrance des enfants dehors (ne m’envoyez que des enfants sages comme des …images immobiles !)…dehors toute réalité que je refuse de connaître ! La consommation rend réellement folle et inhumaine.
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Quelle pénible impression générale ? Oui la Consommation est une drogue très dure. Voir les comportements « si anormaux » de qui s’y adonne en abus flagrants. Le langage est utilisé d’une manière très anormale et déviante comme si tous les barrages d’inhibitions et d’annihilations de l’inhumanité étaient levés. Non, la répulsion nous submerge devant une telle déchéance. Faut interdire tout de suite la drogue Consommation – vous avez vu dans quel état ça les rabaisse. Enfin une bonne nouvelle – l’imposture de se déguiser en bonne nouvelle en la torturant sous toutes les coutures – afin qu’elle ne ressemble plus qu’à un papillon planté vif sur la page…est enfin considéré comme des « mauvais traitements infligés aux bonnes nouvelles ».
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…et nous – réhabilités, enfin, de toutes ces comportements extérieurs de drogués livides – que nous n’avions pas à subir !
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Changer vos pensées c’est commencer fermement à changer la vie.
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Second épisode : une fois franchi l’acceptation de « vos bonnes nouvelles »… devoir entrer dans le seul format « recommandé » donc obligatoire. Oui, après la pensée qui doit être formatée – la présentation dans un format unique. Rappelons que ce sont des personnes qui, sur de réseaux sociaux supposés ouverts à tout, imposent « le format unique (expurgé de toute réalité) de la consommation » mais avec une brutalité dont elles ne se rendent pas compte. Et nous y percevons, en background, en fond, le vol flagrant de leurs libidos. Le désir de l’humain violenté par la…consommation, qui devrait être prohibée tout net. Sans libido pas de pitié, d’empathie, de pulsions d’aides, de souffrances pour les autres, etc. Nous ne sommes plus que des statues vides et glaciales ! Revenons donc vote à l’usage, aux rapports d’usage à la valeur d’usage. La valeur d’échange est devenue une telle perversion, que nul ne peut plus la soigner, qu’il vaut mieux l’expulser pour mise en danger extrême de la santé publique. Le vol des libidos doit cesser. Comment faire ? Comprendre d’abord. La phrase, devenue de dégainage automatique pour ne plus « écouter » ce qui peut être dit de nouveau est la grande aberration « si c’est gratuit, vous êtes le produit ». Pure perversion commerciale, pire dénégation malade du réel (si c’est gratuit, c’est parce que quelqu’un gratuitement donne »). Nous ne sommes aucun produit. Pas question. Jamais. Nous préférons la santé affective et mentale.
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1 – Il s’agit bien de « prouver » que nous ne sommes que “produits”. Que nul ne peut créer sa propre gratuité. Que l’Humanité n’existera jamais. Comment ?
** - Nous castrer de toutes insolences – or insolence et insolite aiment le soleil qui insole (sans insolations)
** - Nous instrumentaliser – nous faire accepter que nous n’appartenions qu’à ce qui nous dépasserait ( un réseau supposé social, par exemple)…Ainsi, le Pavlov réflexe automatique dégaine le…produit !
** - Le mot gratuit (honni sans raison par le fric acéphale) >>>>> nous faire régurgiter si « c’est gratuit nous sommes le produit » parfaitement insultant – nous bloquer dans l’aliénation grave de double dépossession « si c’est » (conditionnel qui nous place en situation de liberté…conditionnelle) - le gratuit n’est plus qu’une supposition, pas un fait évident. >>>>>> nous pouvons prouver que « si c’est gratuit c’est PARCE QUE quelqu’un donne ». Fin du conditionnel, nous sommes avec du démonstratif, du causal et causatif, la preuve est dans le pré et le gratuit complet est avéré, prouvé et possède une source (quelqu’un qui donne…gratuitement. Fin de l’aliénation. Croyez-vous ? « En attendant [quoi ¿] ce sont bien mes données personnelles qui paient ma présence sur cette page, non ? ». Aucune compréhension, l’abonnement c’est la présence et les données personnelles. Qui dans le monde de Bisounours permettent au réseau de persister. Or c’est le c’est « si c’est gratuit c’est que nous payons tous ». Toutes et tous ? Eh bien non ! Sauf ceux qui tirent profits de nous…Comment paient-ils le nous ? Dès que nous ne sommes plus hypnotisés par l’absurde mensonge du Quand c'est gratuit c'est nous le "produit" ! »…Réponse de la thérapie de groupe ?… »Le texte [donc ces omniscients fraudeurs NE LISENT PAS les textes avant de les commenter)… oui le texte prouve tout le…. contraire...le vrai gratuit c'est quelqu’un qui donne gratuitement. Sans conditions ni restrictions… Sinon c'est le commerce condamné à "se déguiser" toujours en ce qu'il n'est jamais !
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Et qui ne peut en…parler !
Et le regard glacé du fanatique du commerce glisse sur vous – frissons si déplaisants de lire l’aliénation hallucinée dans ses prunelles – nous fait sans états d’âme – il n’y a plus d’âme d’ailleurs !...que « ce n’est pas le « bon » format. Le format formaté « conforme » ne sera jamais celui des formateurs qui ne « formatent » jamais, jamais ne cognent sur les cœurs et les têtes afin de les faire entrer dans le falsifié « bon » format. Et format qui nie toute information. Ce mot (déjà tant traqué par les « médias » traîtres dont aucun ne « reMédia » à tout ce que ce mot contient de thérapeutique. De sain, d’immensément salubre. Et que ce mot au contenu inépuisable nous étend savamment
D’abord – informe (difforme) ce qui informe prend Forme, reçoit forme, ou devient cette forme qui inForme, nous transmet sa forme, se fait virus de sa forme pour nous « informer ». Oui nous offre la formation de l’inFormation.
Chaque inFormation est inFormatrice de tout ce qu’il nous fait apprendre (nous «former ») afin de la comprendre complètement
Ce qui inForme c’est le propre de la vie…chaque information est le programme et le programmateur. L’Adn message et « l’Arn messager ».
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Voici – nous avons assez d’éléments pour que chacun-e se fasse sa propre opinion sur la drogue trop dure de la consommation. Il ne nous reste qu’à effleurer ( le sujet est bien trop vaste) comment empêcher que la consommation « sale » (propulsée par la « mégamachine ») ne puisse plus du tout nous voler, dérober oui subtiliser nos libidos…afin de les « rabattre » (comme ils osent dire)à sur la seule impulsivité de l’acte d’achat aliéné (hors usage sain). Oui toute la beauté et la diversité humaines (ici, la libido) sacrifiées et souillées par leur minable dieu Consommation.
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D’abord qu’entendons-nous par libido ? Ce sera au sens de C.G. Jung. Un mot généraliste comme le « métabolisme » qui englobe tellement de phénomènes supposés séparés. Ici ce seront l’inconscient, les rêves et l’onirisme, comment notre corps construit la mémoire, l’imagination, nos images corporelles, et tant d’autres activités vitales. Dont la sexualité (mais telle que ressentie à l’intérieur de nous). Cette gigantesque interface de nos vies et, à l’évidence, fragile, et des brutes inattentives comme celles de la « consommation à tout prix » ne peuvent que lui nuire gravement. Enfin, sont-ils normaux une seconde : face à la consommation, nous pouvons, dans un état de Droit, dire oui ou…non. Nous ne pouvons pas dire non : la consommation est OBLIGATOIRE. Lui dire non c’est être gravement diffamé en …déviant-e. Pareil que pour le vote de la Constitution européenne : nous n’avions PAS LE DROIT de voter non. Nous serons donc harcelés par la flicaille du marketing (market-ing c’est marché, c’est marchand – c’est le marquage à vif des bêtes que nous serions) – oui la publicité intrusive, faisant tout en douce, « attaquant » les humains sur leurs points de faiblesses, avoue, clairement, qu’un être humain sain, ayant tous ses moyens de défenses ne peut que dire…non à la publicité. Puisqu’elle ose forcer, passer en force de partout. Bref, la consommation a tout du faciès de la grande délinquance. Ce qui nous importe là-dedans c’est de sauver nos libidos. Mises en grand danger par ces irresponsables. Facile de capter que depuis rêves, oniriques, images, affects, émotions, pulsions inconscientes (qui constituent la réelle « vie privée » que le capitalisme a juré de protéger, donc de ne pas assaillir)…oui tout de notre personnalité intérieur peut être durement agressé. Et les libidos sont délicates, très vire déstabilisables si nous n’avons pas l’instinct farouche de barrer la route à toutes les perversions marchandes ! La consommation fanatique (qui n’admet pas que nous puissions ne pas y participer) aura donc sérieusement abîmés nos libidos. Et cela à l’encontre de toutes les lois républicaines.
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Reprenons un peu notre C.G. Jung. « Une pulsion, semblable à celle qui fait circuler le sang à travers le corps, à partir du cœur, propulse un "courant psychique" issu de la poussée du monde instinctuel. A cette énergie Freud avait donné le nom de "libido ", terme que Jung à repris en supprimant sa signification purement sexuelle pour se rapprocher de la notion primitive de mana et des têjas du sanscrit. Cette différence, considérée comme une dissidence, fut à l'origine de la brouille entre Jung et Freud. En effet, tout en conservant l'importance de l'énergie sexuelle dans la libido, Jung a déterminé deux pôles entre lesquels il existe une différence de potentiel : le pôle sexuel, ou, plus exactement le pôle instinctuel, et le pôle de l'"esprit". La libido est donc vie, énergie, intensité de la nature en nous, mais aussi puissance et force spirituelle et créatrice de notre esprit. C'est la tension entre ces pôles qui est à l'origine d'intensités, ou de valeurs d'ordre psychologique, ce que Jung appelle l'énergie psychique. »
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La difficulté, afin d’éviter des kilomètres de textes, est de trouver les fenêtres de compréhensions qui « économisait » tous ces kilomètres. La caricature aide : Freud c’est nos têtes sont, plutôt, sales à l’intérieur, C.G. Jung c’est nos têtes sont saines. D’où sa révolte contre Freud ? Le refus instinctif que « l’esprit ne peut être un refoulement sexuel »- ce réductionnisme si dévalorisant qui fait du cerveau un unique obsédé sexuel n’est pas vrai du tout. Il est tellement d’autres choses. Le réductionnisme de Freud correspond tant aux simplismes acéphales de la société de consommation. Elle n’aura gardé que lui, lui le complice des braquages de nos libidos par « l’argent qui sait tout » (alors qu’il se révèle qu’il ne…sait rien !
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C.G. Jung. c’est tout de même l’inconscient collectif, les archétypes, la phylogenèse des ancêtres en nous qui alimentent nos ontogenèses, etc. bref une immensité cosmique que l’on voudrait rétrécir au guichet unique, d’où tout langage a disparu…plus que des ordres du retour limité aux cavernes…tels « Paie et tais-toi :! »…non, trop de déchéances nuisent à leurs acceptations. Nos libidos guéries (enfin, elles ne le seront plus entièrement – la barbarie inhumaine de la « consommation mégamachinique » nous aura trop démantibulés !) oui peuvent nous aider à rejeter, expulser la grave régression capitaliste.
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Voyons. « Selon Jung, l’énergie psychique (expression qu’il emploie comme un équivalent de "libido") est fondamentalement un dynamisme d’origine inconsciente qui pousse à l’établissement d’une relation entre la personnalité consciente et les contenus montant de l’inconscient, et qui vise ainsi à la réalisation de la totalité individuelle. Jung désigne ce dynamisme comme l’archétype de la totalité ou archétype du Soi et il appelle processus d’individuation l’établissement et l’entretien de la relation entre le moi et le Soi…[…oui oui plus de Sur-moi, illégalement répressif, de Freud…l'énergie de la pulsion et la dynamique des processus libidinaux, la libido même se voyant conférer l'énergie d'une tension vouée globalement à l'épanouissement du sujet en ce « monde ». Ici et maintenant, vivants !].
« Pour Sigmund Freud, la libido rend compte de la présence et de la manifestation du sexuel dans la vie psychique. En revanche, Carl Jung, conçoit la libido comme une énergie psychique non spécifiée, se manifestant dans toutes tendances, sexuelles ou non, ce que réfute Freud. En effet, lui, maintient la référence [exclusive] au sexuel. Aussi, en rapprochant ses conceptions de la libido, comme énergie de tout ce qu'on peut englober sous le nom d'amour, de l'Éros de Platon, Freud en vient à appeler libido l'énergie de l'Éros. De son côté, Jacques Lacan propose de concevoir la libido non pas tant comme un champ d'énergie que comme un organe irréel, qui a rapport avec la part de lui-même que perd l'être vivant sexué dans la sexualité. [plutôt malsain de ne pas aller dans le sens de C.G. Jung, non ?].
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En effet, au lieu que ce soit l’exubérance de la vie qui coule en nous ce seront les portes de prisons. Tout ce qui ressemble à la vie sera considéré comme un...Cas clinique donc. Tout est maladie, les rêves, l’imagination, le désir sexuel, la beauté intérieure, l’impulsion à améliorer le monde et à ne pas nuire à autrui (bientôt considéré comme un délit ce « désir de ne pas nuire à autrui » ? Alors que ce devrait être l’inverse). Bref, tout ce que l’extrême sensibilité de nos libidos « investit » en toute chose.
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Et que la si illégale anesthésie de la consommation malsaine empêche…(impossible d’insérer le comment le commerce dévalise nos libidos, ici – bien trop longs développements)…
Auxquels nous avons pallié par des exemples concrets - Tout de même vous avez vu à quoi elle
.....rabaisse les humains (la consommation n’a jamais élevé personne, fait se surpasser qui que ce soit – seulement s’effondrer !) !!!
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>- ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<
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La dialectique misérable qui crée le miséreux ?
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Clair, ce sont les trop riches misérables qui « font » les miséreux. Et jamais l’inverse. Un sondage, datant d’une dizaine d’années, dit que plus de 90 % sont d’accord pour « abolir » la pauvreté. Cette abolition donc définitive (la société institutionnellement s’obligera à respecter les droits de l’homme qui sont « à manger, un toit, des soins et de la culture » – ce pourquoi les honteux « droitsdelhommisme » ont voulu égarer le tout dans des…abstractions). Bon 90 % + cela ne coûte rien de supprimer la misère : le 1/ 4 du budget annuel de la publicité mondiale des jouets pour enfants ou le 1/ 20 du remplacement annuel de l’armement mondial. Une minuscule goutte d’eau. Alors pourquoi n’est-ce pas fait ? La réponse est dans chacun-e de nous. « Floutons » les visages, les mots et les comportements de prétendus dirigeants – et ,nous ne soutiendrons plus les misérables ! Seulement les miséreux ! Oui arrêtons à 100 % de parler des misérables – ne parlons plus que des miséreux. En très peu de jours – hop, plus de misères.
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Comment retrouver nos libidos ? Flouter, ombrer les connus et masquer leurs voix…autant que possible, les images de ces « violeurs de conscience » doivent disparaître de nos appareils psychiques et de son composant le plus fragile : la libido !
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L'image-du-jour-: et-si-l'on-anonymisait-les-responsables-comme-les-terroristes ?
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
….les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
l’alimentation est désormais Politique
s'approcher avec attention....
Art et science, des sèves différentes ?
Pas uniquement le lieu de la pulsion sexuelle (Freud) mais le lieu du sens qui accueille l’inconscient (libido = lieu de dialogue avec le conscient) (Jung)…champ plus élargi que celui de Freud :-…sa propre expérience et non celle des autres uniquement.
biopouvoir c’est aussi l‘alimentation…
à l’aube de l’inhumanité Est-ce le début de l'inhumanité? En tout cas, vue, les abominations qui enflamment Facebook, de toutes ces horreurs..........on n'y va tout droit.......La gloire à la bêtise humaine, aux frics, et à l'égoisme.......