Remplacer les supermarchés – c’est déjà commencé !
Consommer localement et boycotter les supermarchés peut sembler un slogan abstrait. Ici, nous découvrons tout ce qui est fait de concret dans ce sens. Utopiste ? Réaliste, en fait. Les vrais alpinistes disent toujours « regarde tout le chemin parcouru ! » tellement certaines parois peuvent se montrer trop décourageantes. Donc la permaculture c’était quoi il y a 20 ans ? A peine une graine. Il y a 10 ans ? Une pousse très fragile. Si nous l’avions – tous – traité comme nous voyons certains esprits « réalistes » (sic) se le permettent face aux alternatives-jeunes-pousses à ce monde de cinglés…eh bien, la graine « permaculture » eût été…écrasée, piétinée, oui ensevelie.
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Afin d’éviter ces étourderies, voyons avec des yeux d’avenir comment des projets construits « commencent » à écarter la grande distribution de nos vies. Construisons toute la trajectoire et pigeons comment elle va atterrir dans quelques années ? 50 % - plus ou moins ? – de grande distribution d’évaporée ?
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Adieu hypermarchés et supermarchés ? Oui, le chemin trouvé des micro-fermes urbaines ? C’est possible, oui mais en commençant à examiner « comment cela a déjà réussi »…Sinon, à force de demeurer trop confinés, à brasser des idées trop générales, à oublier que « small is beautiful » - nous ne saurions plus percevoir les détails qui vont tout changer. Ici, des micro-fermes en milieu urbain qui vont « déloger », comme discrètement, la grande distribution. Tout a déjà commencé. Évidemment, il y a un début, ceci démarre peu à peu, lentement. Puis se répand soudain (tiens, comme les grandes surfaces et leurs premiers pauvres hangars à la fin des années 1960 ?). C’est que la télé détraque tellement les ciboulots que la fin y arrive avant le départ. Que les résultats doivent précéder les projets. Et tout ce qui est en gestations, en mûrissements, en gravidités, oui en maturations n’existe plus. Plus de bébés possibles ? Vivre « dans » l’image c’est ne plus être avec la réalité. Trop de cerveaux sont cramés à l’actionnaire : « tu dis une idée, prouve-là en amenant, à la seconde, les résultats d’années après ». Dire (dessiner le futur afin qu’il advienne…) c’est le prouver à la seconde « comme un retour sur investissement de la prétendue attention que je prêterai » à ce que tu dis. Comme quoi l’épidémie des images en plastique, des écrans à crans, des écrans qui font écrans ont fait perdre toute imagination. Imagination ? L’art de faire germer les bonnes images en 5 dimensions. Imagination = « temps » de parole + temps de maturation + temps de récolte ! Ici, des dizaines de projets devenus concrets prouvent que les humains, en grande majorité, préfèrent quitter les grandes surfaces. Oui mais, uniquement, s’ils ont une véritable alternative pour les remplacer. Or ces alternatives prennent solidement pied sur les territoires. N’oublions jamais que la permaculture c’est, aussi, « cultiver sa tête » : nos têtes sont aussi ravagées, polluées, pleines de pesticides idéologiques, etc. que les sols, l’air et l’eau. Les deux sagesses s’accompagnent !
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Bon, alors, reprenons dès le début !
Encourager-les-producteurs-et boycotter-les supermarchés-:65-% de français POUR !
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« Selon une enquête, révélée par Le Figaro, à partir de la question « êtes-vous prêt à payer des produits alimentaires plus cher pour aider les agriculteurs français? », les français ont répondu « oui » à hauteur de 65 % ! » Disons que c’est une majorité ! Mais comment faire pour atteindre ce but ? Et le rendre déjà exaltant ?
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« Les grandes exploitations ont intégré nos paysages et nos modes de production, à un point où nul autre système n’a vraiment été envisagé. En zone urbaine ou dans des milieux où l’espace est restreint, la possibilité d’une agriculture différente s’avère pourtant envisageable. La majorité des français sont prêts à franchir le pas : consommer localement et boycotter les supermarchés est une idée qui plaît de plus en plus. Changer nos méthodes de consommation pour une meilleure qualité et faire vivre des petits producteurs permettraient de renverser la balance. Les français privilégient de plus en plus les circuits courts.
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Adieu-supermarchés-: les micro-fermes-se-développent-de-plus-plus-en milieu-urbain !
François Léger, chercheur au sein d’une structure dédiée à l’agriculture urbaine, a réalisé une étude à la ferme de Bec Hellouin, dans l’Eure. Pendant quatre ans, il est revenu sur “la performance économique du maraîchage biologique en permaculture”. Une recherche effectuée sur un terrain de 1 000 m2, une surface hâtivement jugée trop petite pour développer une quelconque exploitation, par certains paysans.
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Assurément, les 1 000 m2 exploités ont été isolés du reste de la ferme et des hectares de terrain l’entourent, pour que le test soit axé sur une micro zone. Economiquement, le problème est apparu tel qu’il était prévisible: moins de place, pas de machine, plus de main d’œuvre, plus d’hommes et donc de formations. Cependant l’étude démontre que l’on peut tout de même produire tout ce dont on a besoin, même si cela nécessite une organisation différente et surtout, repensée. Après des années de standardisation des systèmes de production agroalimentaire, François Léger a essentiellement voulu montrer qu’il existe des alternatives, des “justes mesures” qui nous permettraient de renoncer à l’utilisation massive de produits phytosanitaires. Dans un entretien réalisé par Reporterre, le chercheur agronome déclare finalement que “la conclusion de cette étude, c’est qu’il faut savoir faire petit, mais très bien tenu, très bien pensé. Quand on veut en faire trop, on se retrouve souvent à ne plus pouvoir maîtriser son affaire.”
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L’aspect économique quant à lui reste à repenser, car bien que la professionnalisation des agriculteurs coûterait plus cher que dans une exploitation « classique et moderne », les notions d’entraide et d’échange de savoir-faire seraient mises en avant. Ce qui implique une meilleure valorisation des produits, des échanges humains avantageux et surtout une commercialisation en circuits-courts. Une recette quasi assurée d’une société gagnante, à la mentalité renouvelée. »
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>>>>>>>>>>>> - AUTRES INITIATIVES ALLANT DANS LE MÊME SENS - <<<<
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** 1) – Grandes surfaces autogérées.
Le-supermarché-coopératif-détenu-par ses clients
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Un magasin qui propose des produits frais, bio, locaux, à prix bas. Très bas. La coopérative La Louve vient juste d’ouvrir ses portes, ces jours-ci, dans le 18ème arrondissement à Paris, et la condition pour y accéder est simple : consacrer trois heures par mois à la gestion du magasin. Un commerce autogéré qui va faire mal aux grandes enseignes, comme c’est déjà le cas à Brooklyn, où le concept aura connu un succès foudroyant…Rappelons que depuis 40 abs, à New York, tient très bien le coup la coopérative alimentaire de Park Slope Food Coop. Qui fait vivre ses 17 000 membres. Les membres qui sont à la fois clients et employés représentent 75 % du personnel du magasin.
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** 2) - En direction de l’autonomie alimentaire
Agriculture-urbaine-: comment-les-jardins-étudiants-fleurissent-aux-abords-des- villes ?
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Comme Todmorden affiche, déjà, une autonomie alimentaire de plus de 80 %, les projets de jardins partagés, basés sur des démarches solidaires et autogérées, attirent de plus en plus de jeunes gens à mesure qu’ils fleurissent sur le territoire. Inspirées des « Incroyables comestibles », ces initiatives visent l’autosuffisance alimentaire ou, à défaut, à apprendre à leurs usagers à cultiver leurs fruits et légumes bio, si possible en partageant le produit de la récolte. Pour eux, il ne s’agit pas seulement de se détourner des filières de l’agriculture industrielle, mais aussi et surtout de construire un début d’alternative, ici et maintenant. Comme le précise la charte française du mouvement.
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Todmorden ? C’est là qu’est né le mouvement, depuis devenu international, des Incroyables comestibles (en anglais Incredible edible), qui consiste à cultiver des potagers partout où cela est possible, pour mettre les légumes à disposition gratuite de la population.
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** 3) - Des humains offre la gratuité à 100 %
http://lejardindeverrines.ning.com/
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Voici la définition que Gérard Deremetz nous a écrite, il y a 3 jours, de son action :
« J'ai décidé de mettre mes moyens de propriété, financier et intellectuel gratuit,
les ateliers, la terre, le matériel, tout est gratuit.
C'est pour cela que je suis seul à porter le Jardin de Verrines que je vous invite à parcourir sur le site.
Tous les moyens que vous y verrez partent de la gratuité que j'ai mise en place. Je ne fais pas refaire mes volets en faisant payer des stages ou mieux : faire ma maison en ''dispensant des savoirs ''. La permaculture a dans son sein ce savoir- faire : micro ou entreprise tout court !
Il me semble que le savoir doit être universel, partagé,
La permaculture est l'observation de la nature pour ne pas lui nuire et cette prétention nous oblige à l'accompagner ! Ce que nous entreprenons !
La nature n'a-t-elle pas trois piliers : le don, la solidarité et la gratuité ?
Mais alors qu'est ce donc que la gratuité ? L'échange non marchand sans monnaie. »
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**4) – Contre les inégalités mais par des projets
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« Pendant un an, Basta ! et sept autres médias sont allés à la rencontre de jeunes qui se mobilisent pour inventer d’autres manières de travailler, manger, consommer, habiter, voyager, ou encore étudier. Habitat coopératif, jardins partagés, collocation solidaire, recyclage d’ordinateurs, aide aux migrants ou aux femmes victimes de violence, épicerie participative, café associatif... Autant d’initiatives qui démontrent l’énergie et l’ingéniosité déployées par ces jeunes, dans les espaces ruraux ou les quartiers populaires, dans des territoires relégués et quelque peu oubliés. »
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** 5) - Faire naître des fermes écologiques ?
L'association-qui veut faire naître-des-dizaines-de-fermes-écologiques-partout-en-France
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L’agro-écologie est le fer de lance de l’association Fermes D’Avenir ; c’est surtout un combiné de nouvelles technologies et de techniques agricoles ancestrales qui permet de régénérer les sols tout en les exploitant.
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Son niveau et sa manière (agir, un peu, comme des mères qui couvent ses enfants !) ont pris de plus en plus d’ampleur. La même année, l’association lance un premier concours Fermes d’Avenir. Le but étant d’offrir des fonds à 13 fermes déjà installées – soit une par région – à hauteur de 12 000 euros afin de réaliser un projet d’avenir. 200 candidatures et 7 000 pages plus tard, Maxime de Rostolan et son équipe sont remontés à bloc par le potentiel des agriculteurs. C’est ainsi qu’il décide de développer son deuxième concours Les Fermes d’Avenir 2016 intitulé « Je deviens paysan », afin d’épauler l’installation de nouveaux producteurs et de paysans. Il ajoutera que « Quand on sait que 40 % des agriculteurs vont partir à la retraite d’ici 2020, il est nécessaire d’accompagner les nouvelles installations ».
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6) – Des bombes écologiques pour reverdir les villes et les friches industrielles
Citoyens-armez-vous, -fabriquons-des-bombes-écologiques-pour-reverdir-nos-villes/
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Un seul homme peut tout changer !
Vous n’y croyez pas encore ? Peut être avez-vous déjà entendu parler de Jadav Payeng, un indien qui a planté à lui seul une forêt ! Cette motivation irrésistible doit tous, et tpujours, nous mener de l’avant.
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Très peu connu en France, le seed bombing est un concept vraiment surprenant. Ce concept novateur permet de végétaliser nos villes issues du 100 % béton ! De quoi armer la population de véritables bombes écologiques.
Le concept a été lancé par l’enseigne Naturalia en mars 2015 pour l’arrivée du printemps. La marque bio proposait à ses clients de se lancer dans la confection de bombes végétales. Le mouvement « Green Guerilla » nous vient droit des États-Unis. Son objectif est de réintroduire la nature en ville.
En envoyant ces bombes écologiques de seed bombing, les citoyens peuvent créer par eux-mêmes leurs propres espaces végétaux. De quoi donner sa propre touche dans des villes qui manquent cruellement de note verte ! Ces bombes permettent l’implantation de diverses sortes de végétaux dans des endroits souvent inaccessibles. Une fois lancées, ces petites bombes à retardement ont besoin de la pluie pour germer.
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** 7) - Le concept du tout autonome
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ReGen Village ? Comme pour beaucoup de « villes-concept », celle-ci verra le jour aux Pays-Bas, terre d’innovation ; située tout près d’Almere, elle sera à moins de 20 mn d’Amsterdam. ReGen Village, d’ailleurs plus un quartier qu’une ville, se donne pour but ultime d’être complètement autonome : de l’agriculture, aux énergies, en passant par le recyclage des déchets, tout se passera sur place. Et sera entièrement écologique, évidemment.
L’entreprise californienne ReGen Villages s’est pour l’occasion associée avec le cabinet d’architectes danois Effekt. Leur projet repose sur cinq piliers bien définis : la production à haut rendement de nourriture bio sur place, la production d’énergies uniquement renouvelables, la construction de maisons à énergie positive – c’est à dire qui produisent plus qu’elles ne consomment –, le recyclage des déchets et le filtrage de l’eau.
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** 8) – Le financement communautaire des projets
Pour-que-vive-la-Déclaration-européenne-de-l-Agriculture-soutenue-par-les-communautés
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Mais l’un des modes d’engagement les plus aboutis et les plus exigeants est l’Agriculture soutenue par la communauté (ASC).
Ce terme recouvre aussi bien les Amap, Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne en France, que leurs précurseurs historiques, les Teikei au Japon ou encore les CSA (Community Supported Agriculture) en Amérique du Nord. Il s’agit d’un modèle de vente directe contractualisée, s’appuyant sur une relation directe entre le producteur et ses consommateurs. Les partenaires fondent leurs échanges sur la relation humaine, en partageant les risques, les responsabilités et les fruits de l’activité agricole, à travers un engagement mutuel de long terme.
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Le mouvement croît dans des contextes aussi différents que l’Angleterre, où les systèmes alimentaires sont fortement mondialisés depuis des siècles, et la Roumanie, où les paysans en agriculture de semi-subsistance sont encore des millions. Il faut dire que les mêmes questions s’y posent pourtant, à des degrés divers : la question environnementale, avec l’agriculture conventionnelle, source importante de gaz à effets de serre, qui carbure aux énergies fossiles ; la question sanitaire, avec la révélation récurrente de scandales alimentaires ; enfin, la disparition des paysans, dont la moyenne d’âge est partout proche de 60 ans, et dont le corollaire est l’exode rural.
D’après le recensement mené en 2015 dans 22 pays européens, il y aurait entre 600 000 et un million de personnes engagées dans un partenariat de ce type en Europe.
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Et voilà 8 directions très différentes, prises juste dans l’actualité, qui montrent à quel point les graines ont déjà prises. Qu’elles ont, maintenant, besoin d’accompagnements (et que les critiques non constructives ne sont pas des accompagnements attentifs !). Ce que nous disions dans l’introduction (de faire attention à ne pas piétiner les jeunes pousses – et à ne pas dégainer de jugements plus vite que son ombre) aura été, pour un temps, contredit par tous ces projets. Mais lorsque les infatigables de l’enthousiasme ne sont plus là – les découragements irréalistes reviennent-ils en nuages sombres ?
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Nous, citoyens, qui nous nous disons trop souvent que le monde va mal, que les politiques ont les poings liés, que la terre nourricière ne le sera plus pour longtemps. Nous, qui sommes inquiets, qui sommes contre les conflits et la haine mais qui ne savons pas comment la contrôler. Nous, qui à part de ne plus manger de Nutella, ne savons pas comment sauver notre planète. Inspirons-nous à fond de tels projets, puisons la force des initiatives pleines d’espoirs.
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Nous avons la capacité de participer à une évolution positive de la société, nous avons le choix de consommer différemment, nous avons la force de nous organiser afin de lancer des mouvements et des démarches positives. Nous ne sommes pas impuissants comme nous pensions l’être, nous représentons…
…….. un potentiel gigantesque et c’est à nous de l’exploiter
……… selon nos moyens, nos compétences et nos capacités d’apprentissage !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation
….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
….les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
le futur ce sont les circuits courts
vers l'autonomie alimentaire
c’est déjà mondial
et dans toutes les langues
cultiver aussi...les projets et les installations...
et la permaculture y participe
penser à tout
aliments = nous partageons - cela devient toujours plus lié !
sous-titres en français
le potager citoyen pour apprendre à…partager !
les bases scientifiques