Alléger les charges ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Alléger les charges ?

Oui les déplacer sur qui ? Ainsi, de mettre en perspective, suffit à pulvériser tout leur langage codé. Ce qui ressemble, comme dans la fraude fiscale, au « ce n’est pas grave, c’est prendre à l’état.» Ce qui ne coûterait rien à personne. Faux, très faux. C’est aux contribuables que revient la charge des fraudes ! Et les fraudeurs dévalisent bien les fraudés. Pas du tout l‘État. Ce sont les fraudés qui paient pour les fraudeurs – ces délinquants très anti-citoyens clairs et nets. Ce que vous ne payez pas,  d’autres le paient à votre place : c’est, concrètement, tout le contraire de l’intelligence !. Le cela ne coûte rien si c’est l’état qui paie - outre que d’être faux, prouve juste une colossale immaturité de qui ne se montre que frivole et inattentif à autrui. Par rapport à l’intérêt général, par exemple. Bref, ce sont des paroles extrêmement antiétatiques, oui liserées d’anarchie. Qui fleurent bon la démagogie de droite. Incroyable, non ?

Quel sera – dans ce contexte recadré - l’inadaptation au réel du alléger les charges ? Oui pour qui ? Pour tout le monde ? Contre qui, alors, si ce n’est pas pour tout le monde ? Contre tout le monde ? N’est-ce pas du seul favoritisme, dans le sens de faire passer l’intérêt très particulier général avant l’intérêt général ! A 100 % antirépublicain ! tous des imposteurs à droite ? Tout porte à le croire !

Et qui est donc inclus dans ce mot « charge »? Qui en est, symétriquement, exclu ? Dès que nous grattons le langage précuit, la pensée prémâchée, des panneaux décrépits en tombent, sans cesse. Ce qu’il y avait en dessous ? Nous allons le  voir.

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La méthode d’élucidation est valable dans absolument tous les domaines. Dès qu’il est tenté de nous embourber dans des généralités, sortir le projecteur précis du "pour qui ? " et du " qui ? ". Ici donc - alléger les charges. Ah pour qui ? Pas pour nous en tout cas – elles augmentent ! 

Offrez vous, partout, le pour qui ? Austérité : pour qui ? Pas pour les riches, ah bon ! Ce sont donc des braquages où les pauvres ne peuvent jamais être des voleurs mais bien des…volés. L’austérité pour les seuls pauvres c’est de l’escroquerie institutionnelle. Les salaires gelés pendant que les grandes entreprises reçoivent (sans aucunes obligations de résultats qui contraindraient au remboursement des sommes avancées) ce que ces salaires gelés auraient dus recevoir.  Salaires gelés : au bénéfice de qui ? Des seules inégalités financières qui explosent dangereusement. Tant ces dispositifs antisociaux se cumulent entre eux. Pour qui ?

Carrément, devant tous les grands mots politiques ou économiques…cela jubile et clarifie tant de choses, le pour qui…oyez-le en "vote utile" ah oui pour qui ? Pas pour nous ! Faut de la croissance, ah bon pour qui ? Oui, 50 % de cette prétendue croissance ne fait qu’enrichir les déjà trop riches : ce n’est donc pas une croissance…générale. Réduire les dépenses, tiens donc, pour qui ? Pas les subventions, exonérations, cadeaux fiscaux, non poursuites des très gros fraudeurs, etc. Ces « dépenses » méritent oui, en toute urgence, d’être réduites. Bouclier fiscal, tsé tsé pour qui ? Les pauvres fraudés de partout en ont un réel besoin. Etc.…à chaque fois cela tombe toujours pile. Vous n'êtes plus vraiment manipulables. Plus même – les joyaux scintillent au soleil de vos yeux pleins de lueurs… Alléger les charges ? Nous ne marchons plus du tout. C’est le pire des mensonges ! Les seules « charges » qui méritent d’être allégées sont celle des…pauvres !

Apprenons à rester simple et l'or des mots nous sourira :
Conjuguons tous les mots, oui vous avez bien lu bu vu tu su "les mots"…pas les verbes…cela offre : qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a…d’abord, des affameurs. S'il y a endettés c'est qu'il y a…d’abord, des endetteurs. Pas de travail au noir sans qu’il soit précédé d’un capital au noir. Pas de clandestins sans argent… clandestin, etc.… Les chaînes de causes et effets rendues de nouveau visibles (les causes précèdent les effets !). Et toute politique qui ne s’attaque pas aux causes (affameurs, endetteurs, capitaux clandestins, etc.) n’est clairement qu’une escroquerie. Pour qui ?

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Donc des généralités qui anesthésient, endorment, soporifisent toute réflexion. Dire « alléger les charges » cela sidère, hypnotise, enlève toute fonctionnalité de raisonnements. Cela flotte neutralisé dans l’air, dans le vide de l’inaction. Mais cela a l’air si bénéfique, bienfaisant, serviable, cet alléger les charges – sûr que cela va nous aider. Sauf le tragique retour au vrai réel. Qui scande bien qu’il n’est pas possible d’alléger les charges de tout…le monde à la fois. Que ce n’est pas par dénis du réel, et en dealant à ses électeurs de la drogue qui nie et renie – que l’on construit une société unie. Le coup de fouet du retour du réel se dévoile. Alléger les charges n’est, alors, que déplacer ces charges sur d’autres. Jeux de passes-passes. Refus de l’honnêteté. Transparence opaque. Tout ceci alourdit tout. Est un nouveau fardeau. Pas du tout une solution. Et aucune intelligence n’est derrière de telles superficialités indignes…

D’ailleurs, preuves en marche ! Pourquoi tricher sur les mots et falsifier les « charges patronales » (au lieu des cotisations patronales) et cotisations salariales (au lieu de charges salariales). Pourquoi falsifications ? Les prétendues charges des trop riches sont tellement exonérées, dispensées, subventionnées, payées pour eux, que ce ne sont plus des charge mais …des cotisations non payées. Tandis, qu’à l’opposé, les prétendues cotisations salariales ne sont jamais exonérées, soulagée oui allégées de rien…ce sont donc bien des CHARGES salariales. Le travail soutient et « aide » toujours le capital (et non l’inverse !) et toutes les richesses viennent du travail. Une preuve ? Le non paiement des plus-values (au travail qui en est à l’origine !) alors que la TVA (valeur ajoutée donc plus-values) existe. La preuve juridique, recevable en correctionnelle, existe donc que le capital « vole », sans se cacher le travail. Alors, une fois pour toutes… charges salariales et cotisations patronales. Plus jamais l’inverse. Du moins jusqu’à ce que cette immoralité complotée soit abolie. En bonne et « due » forme !

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Et pendant ce temps – sont laissé, maléfiquement, dans l’ombre les vraies et bonnes solutions. Soit un prélèvement de 2 millièmes (2/ 1000 %) sur le patrimoine cumulé des 10,1 millions de millionnaires en 2007 (estimé à 40.700 milliards de dollars)  trouver ces 80 milliards  $ de nécessaires pendant 10 ans pour assurer à la totalité de la population les services sociaux essentiels (éducation primaire, santé, eau) pou tous les pays du Sud. Le refus du partage des richesses c’est juste le fait des trop riches. Qui partagent (sic) déjà, plutôt illégalement, les biens, des pauvres et sans leur demander leur avis. La bêtise complète trône bien du côté des trop riches. Qui ne doivent plus avoir du tout le droit de diriger…l’intérêt général.  Vu, déjà, parce qu’ils ne connaissent absolument pas le sens de ces mots. Intérêt général. Pour qui ? Tiens, pour une fois la réponse sonne très honnête et très républicaine. Le « pour qui » débusque bien toutes les délinquances verbales (et, parfois, concrètes) des prétendus dirigeants ! Plus pour longtemps.

Le CICE serait bien mieux aux mains des pauvres. Ce sont leurs charges qu’il faut alléger. Ainsi la France est le premier grand pays pour la productivité. Ceci nous est bien caché. Puisque le braquage est complet : aucune de plus-values obtenues grâce à cette haute productivité ne revient au travail. Pire ? Les vidéos et les graphiques joints montrent à quel point les charges des trop riches sont, déjà, plus qu’allégées. Et que, dans ce domaine, les mensonges règnent. La France qui travaille coûte moins cher que l’Allemagne. Le coût du travail (y inclus quantités horaires produites, parts de la productivité ou compétitivité qualité (acheter dans le pays)) oui y demeure « compétitif » (mot qui rassemble aussi tant de mensonges !) Pire ? Le rapport coût du travail – taux de chômage n’existe pas.  Baisser le coût du travail ne diminue pas le chômage. Mais ne fait qu’augmenter les gains…illégaux faits en Bourse. Et là, la France, livre trop l’argent public aux intérêts privés. Et ne lutte absolument pas contre les CAUSES réelles du chômage. Jamais…Toutes ces assertions seront mieux développées dans un prochain texte. Ici, nous vouions attirer l’attention sur le « contenu » du alléger les charges. Les charges n’ont absolument pas besoin de se voir allégées. Tous les dispositifs actuels les allégeant déjà beaucoup…trop. En ce qui concerne les grandes entreprises qui ne s’occupent, désastreusement, que de la Bourse. Les Pme- Pmi ne sont pas concernées !

L’Assemblée nationale a rejeté, ce Jeudi 8 décembre 2016, au matin, un amendement socialiste visant au remboursement des aides publiques au titre du CICE « détournées » via l’augmentation des dividendes ou de la rémunération des actionnaires, la fermeture d’entreprises ou sites rentables. Très sensé et adulte donc !

« J’ai voté le CICE pour améliorer la compétitivité des entreprises, j’ai voté le CICE pour restaurer les marges de nos entreprises, j’ai voté le CICE pour permettre aux entreprises d’investir, d’embaucher, je n’ai pas voté le CICE pour augmenter les dividendes versés », a lancé la socialiste Christine Pirès Beaune. Que d’angélismes immatures chez ces politiques coupés de tout réel ! Avant de « donner » l’argent public, le moindre des réalismes c’est d’exiger des garanties à l’avance. Donc de placer des conditions de remboursement de tout. A quoi pensent-il lorsqu’il leur arrive de …penser ?

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...et donc...les poncifs qui empêchent de capter les fonctionnements réels !

Gouvernement : -Réduction-des-charges-et-de-la-fiscalité-des-entreprises-et-la-relance-de-l'investissement

« Un bol d'air frais, pour les entreprises, en ce printemps 2016. Le pacte de responsabilité se déploie encore un peu plus, avec, à partir du 1er avril, une baisse de cotisations d'allocations familiales, de 1,8 point pour les salaires compris entre 1,6 et 3,5 Smic, soit entre 2.500 euros et 5.100 euros brut. 

Pour 2016, cela représente 3,1 milliards d'euros, selon Bercy, qui souligne que cette baisse doit permettre de "cibler davantage les entreprises industrielles et exportatrices", où les salaires sont plus élevés que dans le secteur des services. 

La première baisse de charges patronales, entrée en vigueur en janvier 2015, concernait les salaires allant jusqu'à 1,6 Smic. Au total, ces deux baisses vont concerner 90% des salariés du privé, selon Bercy. » 

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Cotisations-patronales-: réduction-Fillon

« La réduction dite Fillon est une réduction des cotisations patronales de sécurité sociale calculée sur la rémunération versée à chaque salarié, et portant sur les assurances sociales (maladie, maternité, vieillesse, invalidité, décès), les accidents du travail et maladies professionnelles (les cotisations supplémentaires accidents du travail ne sont pas concernées), et les allocations familiales.
 

Elle est égale au produit de la rémunération brute mensuelle du salarié, multiplié par un coefficient décroissant en fonction de la rémunération : réduction = rémunération brute mensuelle x coefficient.

Plus le salaire augmente, moins la réduction Fillon est avantageuse. »

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« Cet estimateur de cotisations s’adresse aux entreprises du secteur privé qui embauchent un salarié pour la première fois.
Il permet d’estimer le montant des cotisations patronales et salariales pour l’emploi d’un salarié à temps complet, rémunéré au Smic (1 466,62 € brut mensuel au 1er janvier 2016) et jusqu’à 3,5 Smic (5 133,17 € brut mensuel au 1er janvier 2016).

Cette estimation prend en compte l’application :

  • de la réduction générale lorsque la rémunération est inférieure à 1,6 Smic (2 346,59 € brut mensuel au 1er janvier 2016),
  • du taux réduit de la cotisation allocations familiales lorsque la rémunération n’excède pas 3,5 Smic (5 133,17 € brut mensuel au 1er janvier 2016)

(source : URSSAF)

« Les charges patronales ? Quelque soit le type de votre entreprise (industrielles, artisanales, agricoles ou libérales), les charges sociales patronales sont dues sur les salaires versés. Elles servent à couvrir les prestations sociales des salariés » Ce qui veut dire que les escrocs du privé pensent que la privatisation (désastreuse) de la Sécurité Sociale est déjà acquise. Pour qui ?

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Dans notre démarche de « ce sera toujours plus facile de démasquer les grands de ce monde »…puisque c’est grâce aux mots universels. Oui la méthode du « pour qui ? » se montre la plus efficace de toutes. Taux d’élucidations 100 %. A chaque généralité politique user, systématiquement, du « pour qui ? ». L’austérité, pour qui ? Pas pour tout le monde.  Ah, pas pour les riches ? En plus, ils s’enrichissent encore plus sur le dos de cette prétendue austérité. C’est donc très contraire aux lois de la République une et indivisible ! Et pour alléger les charges ? Oui la méthode obtient que c’est juste les…reporter sur d’autres, ces charges. Ce n’est donc que multiplier les problèmes sans rien résoudre. Aussi inintelligent que cela ? Pire même. Tant que nous ne serons pas dans la « politique de l’intérêt général » tout sera aussi minable : appauvrir et surcharger les pauvres juste afin d’enrichir, mais plus que niaisement, les déjà trop riches. Conclusion ? Alléger les charges mais uniquement, aujourd’hui, celles des pauvres. Les prioritaires. Pour les trop riches, les dispositifs d’allégements tournent déjà à fond : plus la peine d’en rajouter. Zéro allègement c’est le réalisme. Dire alléger les charges aura bien juste été de mêler, sournoisement, les généralités indécidables et les généralisations floues. La facette bénéfique de l’expression en est devenue une grave illusion addictive. Eh non, il n’est pas possible d’alléger les charges de tout…le monde à la fois Et dans, ce réalisme, ce sont, pourtant, les moins nécessiteux les exagérément servis. Et tout cela en nous dissimulant les preuves qu’alléger les charges ne diminue jamais le chômage. Mais enrichit illégalement la…Bourse. Les salaires gelés pendant que les grandes entreprises reçoivent (sans aucunes obligations de résultats, qui pourraient contraindre au remboursement des sommes avancées) ce que ces salaires gelés auraient dus recevoir. Sans vision d’ensemble seuls les intérêts particuliers sont servis…au détriment du plus grand nombre. Ces prétendus politiciens sont donc devenus incapables de faire de la vraie politique. Ce pourquoi notre aura permis de savoir tellement plus sur le comment contrer cette infantilisation de la politique !

…………….Et de l’empêcher de tomber dans le gâtisme.

 

……………(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS(qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Alléger les charges ?
Ceci représente les « charges salariales » APRÉS les exonérations illégitimes des cotisations patronales A-t-on vu les cotisations salariales se faire alléger ? Ce sont donc des « charges » salariales fortes ! Et rarement l’inverse (sauf pour les Pme-Pmi).

Ceci représente les « charges salariales » APRÉS les exonérations illégitimes des cotisations patronales A-t-on vu les cotisations salariales se faire alléger ? Ce sont donc des « charges » salariales fortes ! Et rarement l’inverse (sauf pour les Pme-Pmi).

Depuis 20 ans la France diminue fortement les charges DONC elle ne les a jamais diminuées. Trop grands sont les allégements, ceci est la vérité. Il faut augmenter la fiscalité des riches, pas l’alléger. Pour les grandes entreprises, exiger des preuves d’utilisations de ces dons d’argent publics !

Depuis 20 ans la France diminue fortement les charges DONC elle ne les a jamais diminuées. Trop grands sont les allégements, ceci est la vérité. Il faut augmenter la fiscalité des riches, pas l’alléger. Pour les grandes entreprises, exiger des preuves d’utilisations de ces dons d’argent publics !

poursuites et projections futures des allégements déjà existants.

poursuites et projections futures des allégements déjà existants.

70 % du total

70 % du total

Alléger les charges ?
Les allégements de charges ne diminuent absolument pas le chômage : s’entêter dans cette grande paresse intellectuelle est le contraire d’une politique !

Les allégements de charges ne diminuent absolument pas le chômage : s’entêter dans cette grande paresse intellectuelle est le contraire d’une politique !

Le CICE ce sont des dépenses, le coût public du chômage aussi – et le privé ramasse le pactole dans les deux sans rien offrir en compensation. La malhonnêteté structurelle est palpable :!

Le CICE ce sont des dépenses, le coût public du chômage aussi – et le privé ramasse le pactole dans les deux sans rien offrir en compensation. La malhonnêteté structurelle est palpable :!

Alléger les charges ?
Alléger les charges ?
courbes jamais bien...légendées !

courbes jamais bien...légendées !

Un rapide historique dans ces vidéos de l’excès en cours (depuis tant d’années) d’alléger les charges…et de tout ce que les médias vendus nous cachent (l’essentiel !).

Le coût du travail est identique à celui de l’Allemagne. Il augmente de 3,2 % en Allemagne entre 2012 et 2014 et, en France, de 1,1 %. Donc il y a moins de charges en Allemagne ? De qui se moquerait-on ? Le coût du travail n’a pas de sens sans la productivité et – ce qui est souvent occulté - la France est, des grand pays, la première pour la productivité. Les comparaisons ne sont en faveur de l’Allemagne !

Nous sommes même moins chers que les Allemands dans l’industrie. Soit 2 € en moins par heure. Le CICE (crédit d’impôt) y a pourvu.

L’annonce avait même stupéfait le Medef. Pour boucler son budget 2016, le gouvernement avait décidé de décaler de trois mois son allègement de charges patronales sur les salaires compris entre 1,6 et 3,5 smic. Au lieu de démarrer le 1er janvier 2016, la mesure n’entrait finalement en vigueur que le 1er avril…Ce que ceci démontre ? Que le coût du travail n’est pas trop élevé. Mais tellement plus les prises illégales des actionnaires et les revenus excessifs des grands patrons. Ceci « pèse » effectivement sur la compétitivité. Allons, un peu de sérieux !

crédit impôt compétitivité emploi CICE

Quantités produites. Coûts horaires = Compétitivité qualité (acheter dans le pays)

Publié dans qui fuit le réel

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