Comment politiser à fond l’argent (2/3)
La dette privée est devenue essentielle à la reproduction sociale dans la société néolibérale. Sa dépendance addictive à la dette des autres est devenue complète. C’est ce genre d’observations qui reflète précautionneusement la réalité. Et pas les irréalismes de ce qui est dit Économie. L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ? Sans doute. L’économie n’est absolument pas une science. Au mieux, un savoir pratico-empirique (soit…des corrélations sont repérées, il est tenté de les faire fonctionner et, la plupart du temps, cela ne marche pas du tout). Aucun des « pourquoi » n’a jamais été élucidé. Leurs « rubriques » c’est du vent. Seul un regard…décapant peut donc enlever le vernis des tromperies et voir les choses en face. L’avantage du regard désintéressé c’est qu’il voit, paisiblement, que le roi est nu. Tandis que les faux-contestataires (la majorité ?) radotent des phrases creuses pour se mettre en valeur eux. Pas pour abolir un système inhumain. Et comment le pourraient-ils/elles tout séquestrés par leurs narcissismes ?.
Le moteur du travail de titan de démasquer le système c’est d’aimer les autres laïquement (sans jamais le dire). Et que le narcissisme des phrases qui bouchent toutes compréhensions (genre c’est une mafia – au oui ? que faisons-nous alors ? Ce en quoi les surpasse l’action - qui inclut, silencieusement, ce genre de conclusion et agit pour abolir en vrai cette mafia véridique. Sans plus jamais stationner à la porte de décrire seulement. Et jusqu’à la fin des temps de…décrire. Alors que c’est tellement plus efficace, de se trouver de plein pied dans la maison où les mécanismes sont démontés. Et que donc – renversement de situation – nous, nous voyons tous les points faibles du capitalisme, là où il peut le plus rapidement rompre, le chavirage des mentalités qui peuvent en découler, et donc…etc. Tandis que le blanc bec et ses descriptions voit un système surévalué, immense, puissant, invincible, fantasmé…pur produit de la propagande intense. Irréelles donc que ses « descriptions », à 100 % à côté de la plaque…Pas malin du tout – tant que nous ne sommes pas « dans » les mécanismes et les démontons nous n’avons pas une vue réaliste des…proportions, perspectives, lignes de fuites et points où soulever la montagne. L’autre enfariné, elle ou lui, encombre tout le monde de ses phrases qu’il/elle n’a pas démontré, démonté. Ne comprenant, ainsi, RIEN à la réalité et se trouve content de lui/elle. Son « charabia » (mot que cet imposteur adore pour …décrire le travail de démontage du système…signant par « son charabia » justement qu’il n’y a rien compris ! ) ? Son charabia c’est l’inertie, l’inaction, et la répétition non créative des mêmes rengaines…Oui ces postures ne servent à rien ni à personne. Nous, nous forçons les serrures, ouvrons les coffres faibles et étalons leurs minables secrets. Sûr que cela fait nettement avancer l’abolition du capitalisme. Le vrai. Pas celui de la propagande. C’est-à dire ? Le capitalisme 2017 c’est celui du maximum de faiblesses. Il n’a que des faiblesses, des points faibles. Et nous faisons jouer tous les leviers afin de faire basculer cet archaïsme inadmissible. Le cognitif cogne juste et bien. Cogner cognitif c’est de la vraie destruction créatrice !
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La dette privée est devenue essentielle à la reproduction sociale dans la société néolibérale. Sa dépendance addictive à la dette des autres est complète. C’est là que nous devons démasquer toute « leur » vérité. Nous restons universels et eux jamais : les écroulements des intérêts particuliers…particulièrement particules. Ce qui signifie clairement qu’ils sont…à notre merci. Oui sous nos pouces. Plus de dettes, du refus net des crédits, plus de consommation…oui leur « machine à pomper peu légalement l’argent des autres » est…à sec. Nous avons un pouvoir gigantesque : notre compréhension sape toutes les fondations du système. Plus, il y a de cerveaux qui comprennent sa « réalité » plus il vacille sur « nos » bases. Visiblement. En effet, c’est un hors sol et ses « accès » à réalité ce sont …nous. Jamais un capitaliste n’invente, ne précède, ne découvre, ne creuse, n’établit, etc. non il ne sait que suivre, copier, détourner, utiliser le travail des autres. Par lui-même il n’est…rien. Aucune admiration ne surgit de ses sordides manœuvres. Tout est piteux et miteux dans ce système (ce pourquoi il aura été plus difficile de le démantibuler). D’ailleurs, la phrase « le capitalisme c’est l’extorsion du résultat du travail d’autrui » fait plus pour valoriser la puissance du travail que tout autre discours. Surtout si accompagné de… « et le fantasme dément du capitalise c’est que le travail devienne entièrement gratuit ». Irruption donc dans son cerveau si puéril ? Tout le gratuit pour lui, tout le payant pour les autres. Tout pour moi et rien pour les autres (sa maxime selon le clairvoyant Adam Smith) et donc Adam Smith osait un « Prenez garde aux capitalistes ». Récolte ? Lorsque nous sommes au cœur de la « machine » du système nous sommes efficaces. Leur posture « centrale » c’est la dépendance par rapport à nous, ils suivent nous précédons. Leur exploitation qui leur joue le rôle des effets secondaires du dopage dans des délires comme « puisque nous les exploitons nous leurs sommes supérieurs ». Faux, archi faux, la sagesse dessine un « puisqu’ils nous exploitent et que nous le savons, NOUS leur sommes vraiment supérieurs. »
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Donc continuons démontons leur sordide arrière boutique et mettons tout leur « charabia » à bas ! Ne parlons jamais d’économie (puisque nous connaissons cette discipline à fond), mais bien subvertissons-les de…réalités. Bien plus cogneur de cognitif cogné ! « Il est essentiel de souligner que l’endettement des ménages, compris dans une perspective plus large, est bien plus qu’une simple affaire de choix personnel. L’ampleur structurelle du marché de la dette [ dialectisée en dette du seul marché !] est telle que certains y ont vu l’une des caractéristiques principales du capitalisme contemporain (« debt-driven capitalism »). [c’est la dette qui mène le monde…et pas du tout l’argent, hey, stupid !]. Que l’on parle d’un « modèle de croissance anglo-libéral » fondé sur la consommation et financé par la dette privée ou d’un « keynesianisme privé » sous-tendu par la croissance des marchés du crédit pour les classes moyennes et inférieures, le constat est le même : la dette privée est devenue essentielle à la reproduction sociale dans la société néolibérale [celle des parasites de l’argent des autres ! Sans la dette, plus de reproduction, le système si faiblard…crève !], que ce soit pour financer la consommation des ménages ou l’investissement des entreprises. Elle devient donc nécessaire au bon fonctionnement de « nos » économies [dans le sens de ne plus jamais payer les parasites…capitalistes. Grattons-nous de gratuits, les vermines tombent !] — ou, en termes plus critiques, à l’accumulation du capital et donc à la reproduction du capitalisme dans son ensemble. Cette dépendance explique en partie pourquoi les gouvernements des États occidentaux (ainsi que les institutions européennes) accordent une telle importance au maintien de « l’accès au crédit ». Nous ne sommes plus « accessibles » à leurs crédits. Débrouillons sans eux. Le nom ? L’émancipation !
Il est cependant crucial pour la reproduction des rapports sociaux capitalistes que ce pouvoir social de la monnaie soit le moins évident possible. L’apparente égalité abstraite selon laquelle « tous les individus sont égaux devant la monnaie » contribue à dépolitiser, naturaliser et donc légitimer les rapports sociaux capitalistes. Ainsi, les rapports d’exploitation et de domination — qui sont l’essence même du capitalisme — sont masqués par l’apparence d’égalité et de liberté de la monnaie. Ces principes d’égalité et de liberté formels devant la monnaie sont aussi nécessaires à la constitution du sujet juridico-politique moderne (le sujet libre et égal défini par le droit) et à la figure de la citoyenneté, puisqu’ils occultent l’inégalité fondamentale des rapports de production capitaliste. Lorsque, dans les livres d’économie [l’inculture à plein !] comme dans les discours politiques, la monnaie est représentée comme une catégorie neutre ;
………………….lorsque l’on affirme que la gestion de la monnaie doit être assurée par des experts et technocrates, comme c’est le cas au sein des banques centrales dites « indépendantes », la monnaie apparaît comme un élément technique plutôt que politique, et se trouve ainsi placée hors de portée des pressions démocratiques. Ce « fétichisme » de la monnaie, activement reproduit par les classes dirigeantes, doit être brisé — et la question de la nature de la monnaie et de son pouvoir de classe mise au cœur de tout projet émancipateur. »
En clair…le fétichisme de la monnaie n’est utilisé que…comme une catégorie ‘technique’ dans le capitalisme. Alors que le fétichisme est pur idéalisme et dérive métaphysique (le grave délire du In god we trust pour qu’il « truste » la seule monnaie (mon- aie) des riches est déjà un symptôme de leurs ébranlements nerveux... En (1) nous avons démasqué, l’impact sur le corps, et les corps si aliénés des capitalistes, du « fétichisme » matérialisé. Cette maladie qui prend le reflet pour la réalité. Et donc la monnaie-double-décimètre pour la…richesse. L’ombre pour la proie. La vessie pour la lanterne. Le possédé pour la possession réelle. Alors que le même Adam Smith clarifiait « la monnaie n’est pas la richesse »…et que ces égarés fous (nommés capitalistes) n’ont jamais suivi le moindre de ses sages conseils. Juste des cancres qui ont falsifiés ses écrits en pensant que nul n’allait les …lire. Pas de bol pour eux…un regard désintéressé à toujours du temps « libre ». Vu qu’il ne « perd pas » une seconde avec les propagandes – dès qu’il les « sent » il les vire vite à la poubelle : gains énormes de temps et sens des réalités qui brille très lumineusement. Plus, une gratitude infinie envers les…mots !
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Monnaie et dette dans le capitalisme financiarisé de type néolibéral
« L’une des caractéristiques centrales du capitalisme contemporain, que l’on peut qualifier de capitalisme financiarisé de type néolibéral, est que le pouvoir social de la monnaie a acquis une forme particulièrement aiguë. [comme une crise médicale qui peut devenir mortelle ]. Les politiques néolibérales et autres reconfigurations à l’œuvre depuis les années 1970 ont donné lieu à une augmentation massive du recours à l’endettement. [sans lequel le système meurt !] Or, si la dette est bien souvent présentée comme un « service financier » utilisé — à bon ou mauvais escient — pour obtenir des biens et services autrement inaccessibles, l’endettement généralisé est aujourd’hui bien plus qu’un choix personnel. […c’est bien imposé par un pouvoir illégal ]. Les dettes privées constituent non seulement un marché lucratif en soi, mais sont aussi devenues indispensables à l’accumulation du capital […juste de l’usure qu’aucune loi ne peut défendre…ce capitalisme usurier, de si hideuses avarices…] L’une des politiques phares de l’arsenal néolibéral est la privatisation accrue des biens et services si bien nommés publics. Ces privatisations, nombreuses depuis les années 1980, sont aussi au cœur des « politiques de rigueur » ou, comme on les appelle aujourd’hui, d’austérité [ donc les nationalisations pourraient mettre fin aux austérités – c’est le privé qui crée des vies non libres, des pouvoirs exsangues d’achat. Le privé c’est l’extension de la pauvreté ! Politiser l’argent c’est rendre VISIBLE ce crime social inacceptable que tout soit pire pour 90 % de la population avec cette imposture barbare. Le capitalisme est tellement délinquant qu’il dit toujours se déguiser en autre chose afin de continuer encore un peu. Tel qu’en lui-même et dans tous les pays le capitalisme est perçu comme une désorganisation inacceptable !]. Les services de santé, l’éducation, les transports, le logement et les retraites, au lieu d’être gérés de façon collective ou par l’État (et donc via la collecte et redistribution des impôts), sont vendus par des entreprises privées [avec les « charges » illégales des dividendes des actionnaires, des émoluments abusifs des patrons et de leurs spéculations extorquées aux biens communs – allégeons les charges…oui nous savons « où » ! ].
Le système pris en flagrant délit ? Et pas qu’un peu. Afin de « rabattre » la population vers l’endettement (le fix qui coule sans cesse dans ses veines de drogué)…il faut « créer de toutes pièces » l’austérité. La fausse crise sans cesse reconduite. L’épargne étant trop haute faut l’amaigrir, la dégraisser par…l’austérité à sens unique (les riches en sont exclus et pire…s’en enrichissent…énormément) – ce qui démasque, du même coup, que l’austérité n’est pas structurelle mais …une entente illicite. Et alors comploté n’est qu’un mot. La réalité demeure et ententes illicites la décrit. Donc afin « d’affamer » les peuples, faut privatiser. Les services publics permettant au 90 % de vivre HORS DES GRIFFES DE LA BOURSE. Capté ? le privé est un prédateur mais du genre minable. Un charognard. Pourquoi ? Sa posture le montre bébé du papa état. Qui « répare » toutes ses conneries. Lui facilite tellement le boulot qu’il, ce privé, ne peut être perçu que comme…un incapable majeur. Sa prodigalité irresponsable le place en position de tutéllisation. Eh oui ! Il n’a que des points faibles dès que sa sordidité est dénudée ! .
« À la suite de ces privatisations, les prix sont déterminés par ces entreprises en contexte non-concurrentiel ; les individus ne peuvent se procurer ces services qu’en échange d’une certaine somme de monnaie. [ce pourquoi après les privatisations tous les prix augmentent. Les services diminuent et la cherté nous assiège ]. L’accès à la monnaie devient alors « une exigence grandissante pour accéder à la consommation présente et future ». Le pouvoir disciplinaire de la monnaie est donc par là même renforcé. [ soit la monnaie fait « semblant » de te voir en faute et ensuite te…redresse. Tu n’as plus rien à jacter, t’es un détraqué, un traqué quoi…]. Les privatisations massives se conjuguent ensuite à trois autres phénomènes : la concentration des richesses dans les mains d’une frange extrêmement réduite [1 % c’est vraiment pas assez ] de la population ; le processus néolibéral de compression des salaires depuis les années 1970 [donc ce 1% vole directement les salaires légalement dus ! en plus que de contraindre si illégalement à…l’endettement] ; les difficultés, pour la majorité, à trouver un emploi stable [donc tout est fait pour « maintenir » le chômage non l’abolir !] et correctement rémunéré — difficultés qui sont d’ailleurs aussi le résultat de politiques de « flexibilisation » du marché du travail, faisant partie des réformes structurelles voulues par les tenants de l’austérité. Austérité pour qui ? Pas pour eux en tout cas ! [dont le but explicite est d’appauvrir la population – depuis le début de la non-mondialisation (celle des seuls 1 % n’en est pas une) l’appauvrissement général est flagrant]. Il résulte de cette combinaison de facteurs une baisse générale des revenus du travail par rapport à ceux du capital [y voir un enrichissement…des pauvres est donc une fuite insensée devant le réel]. Pour de nombreuses personnes, vendre sa force de travail n’est alors plus suffisant : l’endettement devient inévitable. [comme notre vision globale l’avait expliqué] Les dettes des ménages couvrent les dépenses de la vie quotidienne, permettent l’accès au logement, à l’éducation et servent aussi de « filet de secours » en cas de difficulté soudaine (perte d’emploi, maladie grave, etc.). »
Voici que nous sommes parvenus à posséder un regard simple qui débusque toutes les contradictions. Résultats magiques ? Plus aucune propagande ne peut s’insinuer dans nos regards simples. Peu de surfaces portantes. Victoires ? ... (faut les endetter, sans leurs dettes nous crevons)…rabattages des gibiers (empêchons-les d’épargner par la consommation de…pacotilles, la mise en austérité – sauf pour nous – par le vol des plus values- et les blocages des salaires, sauf les nôtres, c’est sûr qu’on a déconné à admettre aux politiques de gonfler, à contre-courant austère les leurs, bien trop voyant !)… et voilà servis :
Nous nous faisons passer pour les experts neutres du système. Les connaisseurs techniques de ses rouages. Et les garants de la rationalité (nous créons de fausses crises et donc ce n’est pas dur de les stopper)…pas de bol : des cerveaux désintéressés les battent à plates coutures dans ces 3 domaines. D’une main. Et de l’autre, démontent tous les rouages sordides de leur « posture unique » de…parasites de la vie des autres. Récolte ? La maîtrise et le génie sont à 100 % contre eux. Et si un génie veut, cela advient avec le temps. Le capitalisme est foutu, l’intelligence est dans la rue l
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Et rend même visible ce miracle en (3) et en avant-goût….« La réalité est cependant tout autre — et les bénéfices proclamés ou attendus de l’extension du crédit rarement constatés. Par exemple, on peut se demander en quoi l’industrie des prêts sur salaire, qui affiche des taux d’intérêt dépassant régulièrement les 300 %, constitue réellement un service pour ses clients. En matière de stabilité financière, il est intéressant de rappeler que c’est la politique du « crédit pour tous » qui, couplée aux innovations financières les plus élaborées, a été l’un des éléments déclencheurs de la crise des subprimes aux États-Unis, avec les conséquences que l’on connaît. Quant aux promesses d’éradication de la pauvreté par la micro-finance et l’inclusion financière, si on attend encore de les voir se matérialiser dans les pays du Sud, leurs effets néfastes (surendettement, violence conjugale, suicides, etc.) ont été bien documentés par un certain nombre d’académiques et de professionnels. En somme, le rôle de plus en plus envahissant et permanent de la dette dans la vie quotidienne des populations semble loin du projet démocratique annoncé. Comment, alors, comprendre la continuelle reproduction des relations de dette ? Notre interprétation s’inscrit dans une démarche historique et matérialiste. D’une part, repolitiser la dette implique de mettre en évidence son aspect inégalitaire. D’autre part, il faut comprendre l’explosion des dettes comme un phénomène politico-économique qui ne doit rien au hasard : l’État capitaliste a joué un rôle clé dans la reproduction des relations de dettes,
…….elles-mêmes devenues nécessaires à l’accumulation du capital.
La dette, moyen de subsistance pour les uns, est un marché lucratif pour d’autres, une véritable industrie de la pauvreté aux mains du secteur bancaire et financier privés. »
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Et rendus visibles ces miracles advenus par ce texte….et poursuivi.. en (3) et en avant-goût…
Rappelons tout d’abord que ce sont les banques commerciales qui, en émettant des prêts par un jeu d’écriture électronique, sont responsables de la monnaie dématérialisée …oui celle de la…dette, soit de la …fausse…monnaie. Les banques centrales, elles, étant responsables de l’émission de pièces et de billets, c’est-à-dire moins de 5 % de la masse monétaire existante). Les ménages et les particuliers sont devenus une source importante de revenus pour les banques …grâce à l’argent dette. Je crée une ligne sur du papier et vous me …remboursez en vrai. En plus vous payez des intérêts sur ce qui ne m’aura absolument rien coûté. Eh non, ce ne serait pas une escroquerie. C’est tout l’argent est gratuit pour les seuls capitalistes !
Comme je suis vraiment fou j’ai inventé contre vous tous…la titrisation, une technique qui s’est développée de façon exponentielle dans les années 2000, et qui permet de transformer les prêts de fausse monnaie du dessus (ou tout autre actif donnant lieu à des flux monétaires réguliers comme les paiements mensuels de factures médicales, de téléphone, d’électricité, etc.) en des produits structurés vendus à des banques d’investissement, des compagnies d’assurance, des fonds de pension, mais aussi des hedge funds et autres fonds mutuels. En clair ? Vous vous payez des intérêts pour ce qui ne m’a rien coûté. Et les bandits financiers récupèrent, tout ce qu’il y a de lucratif sur « votre » dette. Eh oui ! ce n’est « que ça » la sordide titrisation…Les produits ainsi titrisés sont, ensuite, échangeables à l’envie (ce pourquoi ces escrocs pitoyables ne veulent pas que leurs crimes soient pénalisés… et pour cela ils ont besoin des politiciens carriéristes et corporatistes archaïques ! Sans eux plus de…capitalisme non plus. Abolir les politiciens professionnels c’est mettre le capitalisme sur la paille…et le grain avec !) …à l’envie oui sur les marchés financiers.
La dette des ménages alimente donc les marchés financiers titrisés (les vrais assistés sont les marchés !).
......................Et voilà les exploiteurs minables mis à nus
…………………………… par les tous mariés à la vie et à la nature !
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Poverty-industry/:-l'industrie-de-la-pauvreté
Faire de l’argent sur le dos des pauvres oui c’est possible…
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les trop riches ne le sont que "parce" qu'il y a des trop pauvres. Oui tout milliardaire abusif piétine un miséreux, le misérable.
Le prétendu inventeur du capitalisme osant attirer l’attention sur les voyous que sont, d’après lui, les…capitalistes. Prenez garde à eux, insiste-t-il……
Remarquable la similarité avec la courbe d’augmentation de la pauvreté que celle de l’augmentation illégale des dividendes. Corrélation ou cause directe ?
Debtfare States and the Poverty Industry suggests that the structural violence inherent to neoliberalism and credit-led accumulation have created and normalized a reality in which the working poor can no longer afford to live without expensive credit. Contrairement aux apparences, c’est la violence du néolibéralisme qui aura construit un cadre si peu légal où le pauvre est contraint de recourir à la dette. Un de ses points faibles c’est que ce système est entièrement dépendant de l’endettement des humains. Dès qu’ils refuseront de s’endetter – ce système disparaitra !
Si « la pauvreté a doublé depuis les années 1970 » – comment la prétendue mondialisation peut avoir « arraché tant d’humains à la pauvreté » ? Pourquoi n’ont-ils que cette fantaisie à se mettre devant les yeux afin de ne jamais voir la réalité en face ? La mondialisation n’existe pas – uniquement une centralisation très hiérarchisée autour de 1 % d’humains. Les 99 % autres n’ont qu’à se débrouiller entre eux. L’argent complètement dénudé – pourquoi ne le font-ils pas ?
1,5 million sans couverture médicale – difficulté de monter les dossiers de CMU… « ça va coûter de l’argent » pour que les pauvres récupèrent l’argent - entre 5 milliards et 6. Pour bénéficier de ses droits il est « économisé » sur son dos entre 100 et 200 millions d’euros. Soit plus de 60 % d’économisé sur ses droits légaux…Mais pour rembourser – illégalement - les dettes des riches cela ne coûte rien ?
La fraude c’est le corollaire de l’incitation permanente à l‘endettement - Les 724 premiers dossiers de fraude fiscale traités par les impôts depuis les Panama Papers ont déjà rapporté plus de 1,2 milliards d'euros en rattrapages d'impôt. 47 000 autres déserteurs fiscaux ont contacté le fisc depuis le scandale révélé en avril dernier pour régulariser leur situation. De quoi financer écoles, hôpitaux, police et sécurité sociale... Partagez pour informer !
La pauvreté a progressé de près de 3% entre 2014 et 2015. Neuf millions de personnes vivent ainsi en dessous du seuil de pauvreté, dont 3 millions d’enfants…
L’industrie de la pauvreté – la pauvreté exploitée par une industrie qui fait des bénéfices sur elle