Comment politiser l’argent (1/3)
Il est des écrits formateurs, qui servent à renforcer nos expériences lorsque nous y retournons. Et d’autres pour l’action. Ainsi ceux-ci ont pu ouvrir de nouveaux concepts que nous nommons « l’argent disciplinaire ». Ce qui répond aussi, symétriquement, à l’incohérence irrationnelle de courir après toujours plus d’argent. Tout ne pouvant s’expliquer par l’appât du gain. Même si la question « pourquoi vouloir toujours plus d’argent, lorsqu’on en a déjà trop ? » n’a toujours pas obtenu de réponse valable… Oui nul besoin vital, corporel, de faim ou de manque ne sévit. Il nous faut creuser dans l’inconnu et le jamais encore dit. Et donc ces documents pour l’action qui durent moins longtemps, dans nos vies, que les livres formateurs nous maintiennent l’esprit très ouvert. En chasse. Prêt à happer tout l’inconnu et le nouveau qui passent.
En effet, trop rabâcher tue la connaissance, en plaquant des slogans, ou bien quelques phrases d’analyses ressassées, oui les mêmes quel que soit le thème qui apparaît. Rendant ces manières de ne plus penser toujours plus inadéquates. Perdant absolument tout de cette saveur du savoir nouvelle ( ceci pour la sensualité), mais, aussi, rendant impossible toute nouvelle réponse inattendue et elle doit...l’être (cela lorsque le but de penser reste de résoudre du complexe et d’accueillir de nouvelle analyses). Et non de jouer au petit…flic mental. Afin de changer les choses…à partir de leurs racines. Et donc en ce qui concerne l’argent disciplinaire ?
Méthode du témoignage qui raccourcit tant de raisonnements, sans en perdre aucune étape pourtant… « En tant qu’artiste- peintre, j’ai été invité par des millionnaires. Les milliardaires vivent dans un monde trop à part – il faut aller sur leur territoire. Ces millionnaire veulent…1) soit présenter spectaculairement à leurs connaissances « leur » peintre. 2) ou, plus banalement, afin de passer une commande, de concocter une demande très personnelle ou de seulement vouloir vous éblouir. Bien. Il y a beaucoup à dire. Je me limiterai à deux observations. Ces millionnaires SEULS peuvent se montrer très sympathiques, cherchant à s’ouvrir, sensibles, attentifs et pourvus d’intuition. Las. Dès que j’ai pu les croiser immergés dans leur milieu, je ne les ai pas reconnus. Afin de vite faire comprendre ce qui s’est passé, il faut se référer au dernier Michel Foucault. Celui, notamment, des biopouvoirs, de l’incrustation dans chaque réflexe, nerf ou muscle, etc. de l’empreinte de son milieu. Avec cette leçon inattendue…plus nous montons vers ce qui est dit le haut de la société (et qui se trouve au même niveau que nous – croire à un haut spatial de la société à des centaines de mètres de hauteur c’est halluciner !) oui plus nous sommes dans ce haut (métaphorique) plus le milieu aliène ses membres. Leur vole leur vraie personnalité. Et j’ai pu vérifier à quel point c’est vrai. Aucune liberté de manœuvre ; complètement cannibalisés par leur entourage. Deux personnes en une, dont la plus intime est écrasée (comme une diskette ou un fichier) par un logiciel étranger (même leur classe leur parait « alien », vaccins d’aliénations !).
La seconde chose c’est la synesthésie, la capacité de posséder une sensibilité développée. Donc très sensible, pouvant capter les petits chocs électriques des réceptions. Et là j’ai un instinct très fort. Rien, en moi, de coupé d’avec la nature ou d’avec les ancêtres. Evidemment gâché, Sali, abîmé par les pollutions de tous ordres. Mais toujours présent. Et mon corps a toujours ressenti une gêne pouvant être très douloureuse avec ces millionnaires. Comme s’il avait des idées de derrière la tête très « envahissantes ». Au sens qui nous laissent de mauvais goûts dans le corps. Comme métallique et écorchant….Je ne me sens jamais à 100 % à l‘aise. En leur présence incertaine. Que je ressens très coupée de la simplicité et du naturel, de la biosphère véridique et de la vie à ras du sol. Voilà, c’est surtout ceci qu’il m’intéressait de vous signaler ».
Nous avons ici comme la description charnelle de cet « argent disciplinaire » infra classe. Ce qui aliène tellement fort. Fait perdre une grande partie de sa personnalité et de son libre arbitre. Et les résonances corporelles que cette forme de zombification peut procurer à des êtres hyper sensitifs. Hyper sensitifs oui, mais à ne pas mélanger avec la sensiblerie, le gnangnan, l’eau de rose. L’on peut être hyper sensitif – mais rester maître de soi, dur au mal, ferme et courageux à l’extrême. Cela n’a rien à voir avec le geignard chochote. Non ce sont ceux qui captent, avec une précieuse précision, le maximum du réel que les êtres hyper sensitifs ! De la haute fidélité, en somme. Ainsi prévenu(e)s, nous pouvons donc entrer dans ces neufs concepts cerclant cet « argent disciplinaire »…
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La monnaie exprime un pouvoir disciplinaire de classe qu’il convient de dévoiler afin de concevoir des formes de résistance adaptées. Élucider cette question est décisif pour comprendre d’autres « objets économiques » qui y sont associés — tels que le crédit, la finance ou le système bancaire. La monnaie joue un rôle absolument crucial dans la légitimation, la dépolitisation et la mystification des rapports sociaux capitalistes. Dès lors, la « repolitiser » est, en soi, déjà extrêmement émancipateur. Vous voyez la monnaie comme de la politique (un objet historicisé et une version de la réalité sociale – et pas un dieu supérieur intouchable) vous vous rendez libres à la seconde. Se contenter de peu c’est bien rester esclaves (les pires sont les…illusionnés). Il faut entrer dans tous les raisonnements exigeants - ce chemin est ce qui dénoue les nœuds pervers et nous remet à l’endroit. A l’endroit du droit, par exemple Afin de rester complètement libres, de ne rester qu’à la surface et ne pas LIRE les textes ne…sert à rien. C’est ainsi !
« La monnaie, bien qu’utilisée au quotidien par la plupart d’entre nous, reste un objet mystérieux. Sociologues, anthropologues et économistes hétérodoxes ont proposé différentes théories pour expliquer son origine, sa nature et son rôle au sein des sociétés humaines¹. Beaucoup ont montré son caractère profondément contradictoire en tant qu’institution humaine et ont mis en évidence le pouvoir social qu’elle exprime [tout en le masquant au maximum sans cesse !]. Pourtant, l’immense majorité des dirigeants politiques et des économistes dits « mainstream » continuent de représenter la monnaie comme une catégorie purement technique — un objet « apolitique » dont la gestion doit être assurée par des experts et technocrates. Dans les analyses orthodoxes, la monnaie est conçue comme un simple outil qui « permet » (sic) l’échange de « produits » (marchandises, services, force de travail, etc.) de valeurs équivalentes. En d’autres termes, la monnaie est perçue comme un vecteur neutre qui facilite les échanges entre individus libres et égaux. La monnaie apparaît comme un principe d’égalité abstraite, un dispositif inoffensif en soi. Il semble pourtant tout aussi évident que tout le monde n’a pas accès à la monnaie de la même façon [ce qui est profondément illégal et hideusement…métaphysique !], et que celle-ci confère à celui ou celle qui la possède un certain pouvoir social. Bien loin d’un principe d’égalité abstraite, la monnaie s’avère alors une force profondément inégalitaire. [au point de pouvoir détruire toute la société. Dans ce cas, c’est le ver dans le fruit, l’ennemie à arrêter…et politiser la monnaie réunit les conditions de la victoire sur elle !]. » les références complètes de nos sources seront données en (2)
Comment expliquer ce paradoxe ? Pourquoi et comment le contenu politique de la monnaie est-il systématiquement « mystifié », rendu invisible par les représentations que nous en avons ?
Débarrassons- nous tout de suite du moins intéressant : le fétichisme. Si le fétichisme est captivant à savoir il n’est d’aucune aide pour l’action. Cela seul importe !
La monnaie qui classe et déclasse ? Qui sème, perversement, de l’artificielle inégalité ? C’est bien le pire des dangers PUBLICS ! Le fétichisme de l’argent ? Et qui reçoit de plein fouet ce fétichisme si ce ne sont les trop riches ? Perdus pour la réalité. Sectorisés donc sectaires. Rétrécis à un si petit espace mental : inadaptés à toute universalité, sauf dans leurs blablas caviardés. Tristes sorts existentiels que le leurs r : l’argent leur aura tout …dévalisé. Et leurs cœurs sonnent si creux ! Ils ne vivent rien de la vraie vie.
Les pauvres, qui ne connaissant que l’usage de l’argent , ne peuvent avoir ce recul pervers qui corrompt tout par la valeur prétendue d’échange de l’argent – où il n’y a plus que des rapports unilatéraux et de vassalités dans les soi-disant échanges. Sans plus d’échanges du tout, au final. Un peu comme les sempiternels traités de libre échange étasuniens : où il n’y a aucun libre échange équitable et horizontal mais que de « l’échange » (sic) forcé et faussé. Ce pourquoi un trop riche vit hors toute rationalité : il se convainc vraiment que de provoquer tant d’inégalités c’est un bien, oui une richesse, que ses extorsions systémiques sont du progrès, alors qu’elles ne sont que le silence de l’intelligence et de l’insensibilité et qu’il soit ainsi riche (phénomène de possessions qui croient « posséder » le place, automatiquement et naturellement (sic) à la tête de la société alors que c’est le plus dépourvu des dépourvus (sans facultés d’écoutes et d’échos en soi, sans passions des comPassions, sans ardeurs ni feux intérieurs, etc.) – juste un corps triste et froid. Qui pue comme un foyer éteint. Cela c’est le côté forcément très négatif du fétichisme. Cette saleté d’artificialisations de tout. Bienheureux qui reste de…plein pied avec la bourdonnante et fervente Nature. Le vrai trésor sur Terre. Terre à terre que la terre fertile – le modèle de toute alchimie…intérieure. Nous sommes sur Terre pas sur l’abstraction d’une monnaie artificielle. Bienheureux qui « n’aime pas du tout » la monnaie. Et pas par idéologie, par sensaaaaatiiiiooon ! Ce piège à ego dès le mot. Le mon de mon-aie est le même que le mon de démon, un mon qui tourne en rond, un mon de solitude…glaciale, la torture par soi-même. Mono –seul, monos…oui la mauvaise conseillère du Non Junon. Mon aie = mon avoir qui « m’a » complètement trompé et mystifié. Monn-aie. Le fétichisme n’est que le reflet qui se fait prendre pour le plus que réel ! L’indiscutable piège d’avoir sans l’être soi-même. C’est comme rester à la porte et ne jamais pouvoir entrer. Com-prendre, qui est prendre avec soi, à l’intérieur de soi, dans ses bras de gratitudes – vaut donc mille milliards de fois le fait trop minable de prendre sans comprendre. Le fétichisme c’est rester à la porte et ne pas VIVRE le trésor de vivre …juste en croyant que sa figure, son image, sa mesure, son équivalent abstrait (à l’argent) « vaut » plus que la réalité. Eu jusqu’à l’os qui croit avoir les autres par ces grotesques postures : sa vie de fantôme ne mérite aucun regard. L’argent ne fait pas jouir, la sensation n’est que du vide sous plastique rébarbatif. RIEN – pas une seule sensation recevable. Où est jouir dans cette …perte de l’essentiel ? Le fétichisme ne SERT à rien : t’as vu la maladie, eh bien tu l'oublies. Seule l’action (changer le monde, par exemple) « compte » ! Et, si bien, sait compter et conter ou raconter….
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Ce qui dessert tant que le camp adulte et mature de la remise en question définitive du système ce sont les humains immatures qui se contentent de si peu. Tu leur files le mot « fétichisme » et cela leur suffit. Alors que rien à foutre de ce mécanisme miteux – le trésor c’est de trouver à la place de quoi cette foutaise qui se foutait tourne à vide ! Se contenter de peu à côté du tas de l’or du temps ? Se contenter de peu c’est s’auto-rétrécir la pensée à quelques slogans à tout faire. Qu’ils vont rabâcher bruyamment à chaque nouveauté afin de ne pas les entendre ces nouveautés. Ils perdent toujours…tout. Ratent les beautés universelles. Ne goûtent pas aux…nectars. Boissons des dieux…Leur but ? De paraître sans être, de ne pas réfléchir et poser, toujours, ces bonnes questions (comme bonnes clés) qui ouvrent les portes de la liberté. Et dont ils ne semblent pas faire partie – mais subir leurs rapetissements volontaires tels les ennemis de leur propre camp. Prouver que le fétichisme de l’argent n’atteint que les trop riches, que les pauvres ne sont pas touchés par le fétichisme de l’argent – change toute la scène sociale et politique. Au moins. Alors ? Ce n’est pas notre affaire. La corruption commence – surtout – par rompre et corrompre gravement soi-même. C’est comme ça, disent les traits à…elles/ eux-mêmes !
Ce qui nous démontre que les actions collectives de pensées ne sont pas menées là où il faut, dans les lieux du maximum de faiblesses du système. Michel Foucault soulignait tellement que l’aliénation est la plus dense au sommet de la société. Et les rendent enfermés par leur propre classe. Sans liberté de manœuvre, sans indépendance, sans pensée livre et non faussée – ils ne sont voués qu’à vivre toujours plus hors de la réalité. A rester leurs propres ennemis. Et à se nuire tellement qu’ils finissent par nuire à toute la société. Oui le maximum du fétichisme de l’argent et de l’aliénation sévit chez ces capitalistes inattentifs – soit le cœur nucléaire du capitalisme « réel » (pas virtuel) les a irradié tellement plus que les autres êtres humains. Leur classe leur est une prison disciplinaire. L’argent reste un fouet répressif contre tous leurs comportements. Un rappel au…désordre de leur vie intérieure ! Conclusion ? Tout ce qui vient de leurs pensées est…contaminé, irradié, infecté, nucléarisé – pour la santé, pas touche. Et mieux ? S’en éloigner et ne jamais « utiliser » leurs travers mentaux ! Jamais ne penser comme eux…
Nous allons donc découvrir tout ce que le fait de ne pas penser, ce refus petit bourgeois de voir la réalité en face, cette fuite des lâches devant les faits aux faîtes – a produit. De voir ces bourgeois inattentifs comme les premières victimes de la pandémie capitaliste, comme ses grands malades – va permettre très rapidement d’éradiquer ce grave obstacle à la libération de l’Humanité entière.
L’argent n’est pas neutre du tout. Le nucléaire non plus. Il est profondément dénaturé. Ce n’est pas un accord contractuel d’égal à égal. Rien ne s’y passe « entre » deux personnes aux intérêts complémentaires – mais tout hurle de dissymétries ! Celles qui font rompre tous les contrats et même « contrat social » trahi à chaque seconde par les…trop riches ! L’argent dissymétrique et antirépublicain. Le publicain de véritables extorsions forcées, aux prétendues règles qui se modifient sans cesse. Et toujours irrespectées, violées, profanées, souillées, désobéies par celles et ceux qui braillent que nous devrions les « respecter » ces règles…dérégulées (soit « sans » règles !). Ah oui, où cela ? Dérégulons leurs délires. Ne les écoutons plus jamais : tout ce qu’ils ont dit a été retenu contre eux. Verdict ? Ils n’ont plus rien à dire pour leur…défense. Plus rien à dire…Enfin, tout l’environnement verbal qui ne leur aura été que fables fariboliques tombe en muettes miettes. Des suites d’affirmations martelées sans preuves. Deux seules ? La prétendues mondialisation (qui n’existe pas puisque c’est une centralisation hiérarchique du pillage des richesses des autres ) - parce que la mondialisation ne peut être que…décentralisée ! Et puis, la prétention hébétée à avoir supprimée beaucoup de pauvretés en les …augmentant toutes. Ainsi une baisse générale et mondiale des revenus du travail ne peut se faire passer par une diminution de la pauvreté mais bien une…augmentation très palpable de celle-ci. Allons, allons, un peu de bon sens, les détraqués grave »au » capitalisme déréglé...Ceci est le rappel insistant du réel : l’argent fou ne se supporte pas lui-même, ne peut accepter son fonctionnement concret et s’enfuit (terrifié) dans des idéologies complètement droguées ! Ce son leurs maladies pas les nôtres. Surtout ne jamais penser comme eux : cela mène trop directement à la…folie.
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La monnaie n’est pas du tout un élément technique mais carrément de la politique…déréglée. C’est sans arrêt une oppression illégale qui ne peut plus se cacher. S’il n’y a rien de scientifique ou de divin derrière la monnaie « d’où » viennent ses comportements de mégère dingue ? Rien de neutre, rien d’expert dans cette anomalie pré-démocratique. C’est réellement une survivance comme préhistorique : rien n’est civilisé dans cette aberration. Qui ne sème qu’injustices injusticiables et ne dépend, de ce fait, que de la patience des citoyens. D’ailleurs, les journalistes, sans le savoir, vendent la mèche parlant toujours des financiers comme de sauvages incorrigibles toujours au bord de la…crise de nerf. Incontrôlables. Oui dangereusement fous, en gros. C’est ce que disent les journalistes…Crises de nerf ? Oui, à cause de la peur que tout le monde voit que leur règne est à 100 % illégal les…ronge. Des malades. « Ce pouvoir social est abstrait mais bien réel, précise David Harvey : les abstractions monétaires — telles que salaires, prix, taux d’intérêt, taux de change, notes de crédit, etc. — ont une emprise tangible sur la vie sociale et leurs fluctuations ont un impact direct sur notre existence. La monnaie capitaliste représente un pouvoir foncièrement inégalitaire, un pouvoir social de classe ; elle « représente, sanctionne et désorganise » les rapports sociaux capitalistes. [ Qui sont tous vécus sous la forme sensible de PUNITIONS. Le capitalisme c’est donc de la CRUAUTÉ non nécessaire. Et rien n’y est rationnel – surtout pas. C’est la survivance absolument illégale de la pré-démocratie. La véritable démocratie doit balayer cette vieillerie obscène du capitalisme ! Ce bouffon acariâtre !]. Le capitalisme doit donc cacher son origine quasi préhistorique. Politiser l’argent nous rapproche de son abolition.
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Pourquoi bouffon ? Parce que de raisonner pied à pied, en utilisant chacune de ses affirmations pour le détricoter complètement, est désormais accessible…à tout le monde. Ne pas demeurer à la surface, mais foncer dedans : la dette est l’aveu indiscutable de l’APPAUVRISSEMENT général des individus. Si la non–mondialisation (celle des seuls 1 % n’en est pas une) faisait reculer la pauvreté, l’usage des dettes aurait…fortement diminué ! Or, cet usage explose parce que le capitalisme rend 90 % de la population plus pauvre. Sinon ce serait quoi…l’explication ? Le cognitif cogne toujours bel et bien…
Le capitalisme est tellement délinquant qu’il doit toujours se déguiser en autre chose afin de continuer encore un peu. C’est ce qui est nommé, avec une grave erreur, « récupération ». Récupération qui est l’aveu clair de ses défaites. Et pas de ses victoires : récupérer c’est faire les fonds de poubelles…des autres ! Pas une vraie réussite, non ? Tel qu’en lui-même et dans tous les pays le capitalisme est une désorganisation inacceptée…
Regardons toujours à planquer, cacher, se déguiser, escamoter, dissimuler, etc. – sa posture dominante. Oui ou non ? Crucial, en effet, pour la reproduction des rapports sociaux capitalistes que ce pouvoir social de la monnaie soit le moins évident possible. L’apparente égalité abstraite selon laquelle « tous les individus sont égaux devant la monnaie » contribue à dépolitiser, naturaliser et donc légitimer les incivilisés rapports asociaux capitalistes. Ainsi, les rapports d’exploitation et de domination — qui sont l’essence même du capitalisme — sont masqués par l’apparence d’égalité et de liberté de la monnaie. Sauf que sa folie actuelle lui fait faire tomber, par cupidités complètement absurdes, toue sa …façade. Le capitalisme c’est l’arrière boutique qui doit être cachée (comme la salle de montage pour …l’information prétendue objective et neutre. Salle de montage que montre cette information vendue et absolument corrompue !).
Sans sa façade sa nudité ne pourra survivre ! C’était sa carapace de crustacé. Et son rapport ANORMAL à la monnaie
………………….. la faille qui va – mécaniquement – le faire s’effondrer !
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…………………….comme nous le verrons mieux en (2) !
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Comment-sortir-la démocratie de son-ornière ?
Menteurs ? Le peuple est mort DONC la parole est entièrement libérée. Puisque, lui seul, l’aurait empêchée ? Or c’est cent fois pire sans lui. Cela aura été si peu rationnel que ces accusations – sauf, qu’effectivement, avec les bourgeois c’est toujours tellement pire (voir les hideux prétendus « démocrates » USA, les fauteurs de tant de malheurs) ! Leur réputation est bien établie ! Ils ne pourront plus rétablir l’inverse. La gauche c’est surtout RIEN D’EUX !
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Barbarie n'est pas un barbarisme
L’argent disciplinaire ?
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
L’acceptation corrompue que l’argent ne serait qu’un jeu que nous devons toujours perdre – puisque ce n’est pas nous qui imposons ce jeu (aux règles plus que truquée). D’ailleurs, tout est simple – un cerveau sain visite les délires capitalistes. Il y fait son compte rendu avec son regard honnête : pas une mesure de ce système plus que truqué (et qui dépense beaucoup d’argent et d’énergie afin d’empêcher que le plus grand nombre comprenne que TOUT y est truqué). Rien de plus farfelus que ces cerveaux qui persistent à diffuser un système aussi…imbécile ! Rien n’y est sérieux – un de ses « arguments » (sic) (n’importe lequel) dit à haute voix dans une écoute silencieuse s’écroule de niaiserie. Comment eux-mêmes peuvent « croire » à ces…puérilités irrationnelles ?
« L'argent sait tout pour moi c'est l'abandon du politique pour l'économique qui s'érige en un récit fictif qui se fait passer pour la réalité dogmatique et incontournable. Elle est présentée sous forme plus ou moins mathématique ce qui l'incite à être perçue, en même temps, comme vraie et objective...et se traite uniquement par ordinateur. De peu terrifiée des débats »…réponse ? … « Notez qu'en bas de l'article existe une suite "d'acquis" du blog dont le..."Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie". Qui existe depuis plusieurs années : le fait que de plus en plus comprennent que l'économie est irresponsable et si inconsciente de ses méfaits - et que la politique doit la contraindre à abandonner les prises de décisions collectives est donc une avancée ! » Bingo !
Monnaie apolitique ?
Classes sociales.Où cela donc ?
Les patrimoines dont la vue fait vraiment comprendre notre société actuelle !
Actuellement il y a comme un gel des projets individuels par l’ Agenda 21
Faire taire le peuple – pourquoi ont-ils si PEUR de sa vision des choses ?
FAUT ARRËTER DE TOMBER DANS TOUS LES PIEGES "QU'ILS" NOUS TENDENT...se méfier de tout ce qui vient d'eux - c'est contaminé...
Les pensées des transversaux sont souvent les plus fécondes. Stop avec les conformismes hébétés des anticonformismes 'labelisés" (avec des fléches pour nous déguider!)... !!!