Enfin une politique de protection des vers de terre ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Enfin une politique de protection des vers de terre ?

Pas encore, mais c’est proche. Audit : actuellement, aucune protection au niveau européen, ni aucun plan d’action national, aucune mesure même une petite. De grands oubliés comme tout ce qui est vital, baleines oubliées, abeilles absentes des têtes qui décident. Etc. C’est donc à nous de concevoir cette politique. Ce texte rassemble tous les éléments pour le permettre ! Autant dire que nous sommes à la tête d’arguments extrêmement solides qui permettent, de plus, la survie de l’Humanité. Les prétendus dirigeants sont-ils encore dans la cour des grands ? Nous faisons plus qu’en douter !

Commençons par les labours. Les labours c’est aussi inintelligents que la pêche industrielle. Pour un seul poisson elle détruit des milliers et des milliers de microvies. Les manies irréfléchies de tourner et retourner la terre, de mettre la matière organique en dessous, détruisent, aussi bestialement, tant et tant de microvies. Les vers de terre les reconstruisent. Comment ?

Les vers de terre abattent un labeur colossal (et pas les profiteurs des profits !)… « On a pu estimer qu’un vers de terre ingurgite environ son propre poids de terre par jour, ce qui donne 300 gr par an. Donc sur une surface de 1 hectare qui contiendrait 300 000 vers, ceux-ci brassent 90 tonnes de terre par an. Pas mal pour des ouvriers qui ne nous coûtent rien !  

Ramené à un jardin de 300 m², ça fait tout de même 2.7 tonnes de terre remuée et enrichie d’éléments nutritifs. C’est loin d’être négligeable, non ?  

Alors prenons soin de ces petites bêtes, elles en valent la peine. »  

Leur valeur, tellement supérieure à l’attention sociale qui leur est accordée, vient d’où alors ? De la rencontre essentielle entre l’argile et l’humus, organisée par les vers de terre. Grâce à leurs galeries d’où ils remontent toutes les nuits, pour prendre en surface la matière organique. Puis la redescendre. Ce qui fait qu’ils passent leur temps à remonter de l’argile et descendre de l’humus. Le «  complexe argilo-humide » est composé des 2 ions positifs pour le calcium lorsque argile et humus sont négatifs tous les deux. Ce sont donc les vers de terre qui « fabriquent » de la terre féconde. La ruine humaine c’est de…séparer l’argile de l’humus.

Ainsi, ces humains incultes dévalorisent, à fond, leurs « vraies » richesses en se vantant –(enfants attardés)- de faire d’énoooormes profits. En …ruinant tous les sols. Donc les véridiques richesses. Leurs prétendus profits sont, surtout, une faillite réelle du « trésor est caché dedans » du laboureur à ses enfants ! Rappelons la perte de 90 % des activités biologiques des sols dans l’agriculture dite intensive. Pas intensive dans l’intelligence en tout cas. Résultats ? 2 tonnes de vers à l’hectare en 1950, 200 kg aujourd’hui. Est-ce un progrès ou une stupide régression ? De prétendus profits qui n’accompagnent pas les progrès ne peuvent se nommer « profits » mais bien destructions délinquantes des « biens communs » que constituent des …sols vivants ! Et doivent être traités comme tels.

Claude Bourguignon clarifie qu’il faut poursuivre les multinationales responsables obstinées (elles ne veulent pas le reconnaître !) des désastres de la « révolution verte » et de la destruction active des sols. Ainsi, n’y a-t-il presque plus de champignons (ce que nous verrons dans un futur texte !)… Rappelons que les « fongicides » tuent stupidement les champignons qui sont les donneurs de vie dans les sols. Ce sont donc des « crimes contre la vie ». « Le grand livre c’est la nature. Et la nature ne se connaît pas par ordinateurs mais en étant présents sans cesse sur le terrain », ajoute-t-il. La permaculture c’est, concrètement, changer de civilisation.

L'intérêt-du-non-labour-confirmé scientifiquement

Enfin une politique complète pour les vers de terre ? D’abord, en convainquant toujours plus de l’abandon obligatoire des labours… « Aujourd’hui, le 1/3 des exploitations ne passent plus la charrue dans les champs. Outre les évidentes économies en fuel et en matériel, la technique s’est avérée extrêmement rentable. « Aider le sol à remplir ses fonctions permet de mieux faire pousser les récoltes tout en maintenant une haute qualité remplissant des buts écologiques, assure Stacy Zuber, principale auteure de l’article paru dans Soil biology and biochemistry. Dans l’Illinois, nous avons des sols très fertiles qui sont notre principale richesse. Les fermiers peuvent la protéger en s’assurant que la communauté microbienne est en bonne santé.

La vie microbienne des sols, voilà le secret d’un sol fertile. Un gramme de sol contient un million d’espèces de bactéries, 100 000 espèces de champignons, 1000 espèces d’invertébrés (acariens, collemboles, nématodes, etc.) parmi lesquels les rois de ce milieu, les vers de terre, principaux acteurs de la fertilité des sols. Un sol sain compte une douzaine d’individus par m3. Ce microcosme aère le sol, décompose les résidus des végétaux et les transforme en matière organique de nouveau assimilable par les plantes. C’est ce recyclage qui est perturbé par le labour. Il y a cumul de l’ignorance : ajouter des pesticides, des insecticides et des fongicides à la stupidité des labours c’est réellement rendre la vie…invivable. C’est d’une guerre dont il s’agit ! Où, victorieux, nous perdrions absolument tout !

Oui, tous ces amis inconnus qui peuvent sauver les sols vivants. Comment ? Face aux sols, si détruits par la stupide agriculture chimique, il s’agit de revenir à 5 principes de base :

-  Ne plus travailler le sol et réensemencer des vers de terre.

– Mettre à profit leurs galeries pour remplacer le travail du sol, optimiser l’irrigation et favoriser la prospection des racines.

– Les nourrir au mieux, les vers de terre, en amenant de la cellulose (par exemple : un mulch de foin).

– Mettre à profit leurs déjections pour optimiser la fertilisation naturelle des cultures.

– Toujours ramener au sol, au final, les matières vertes produites.

Les-vers-de-terre-une-population-au-service-du-jardinier !

Vers de terre : des vers qui « font » la terre !

Zoologie-du ver-terre-l'allié des-jardins-

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Oui. Même la science est contre l’agriculture intensive, tueuse de vie. En prouvant la nécessité de la biodiversité. En effet, des chercheurs du laboratoire écologie fonctionnelle et environnement (Ecolab – CNRS/UPS/INPT) et de l’université de Bielefeld (Department of Animal Ecology, Allemagne) ont évalué expérimentalement comment les animaux carnivores influencent le fonctionnement écologique et biogéochimique des écosystèmes aquatiques d’eau douce.

« Il s’avère que certains petits prédateurs, comme les vers plats, accélèrent le recyclage des litières végétales via des effets sur la disponibilité en habitats et en ressources pour les décomposeurs et les détritivores, initiant ainsi un véritable ‘cercle vertueux’. Les résultats de cette étude démontrent que le rôle des prédateurs dans les écosystèmes ne se résume pas qu’à la consommation de proies et aux conséquences directes et indirectes prédites par la théorie des cascades trophiques. » Les sols fertiles font partie de la vie : porter atteinte à la vie en devient de graves délits écologiques. La puérilité des profits n’excuse donc plus rien !

Si petits-mais-si-importants?

Notre tâche n’est plus, dès lors, de nous appesantir sur les aspects juridiques, financiers, etc. L’agriculture chimique à, scientifiquement, tort. Nous devons donc établir une politique de la protection de la fertilité des sols. Tout en diffusant toujours plus les salvateurs savoirs de la permaculture. Ce qui constitue toute la suite de ce texte !

>>> - Concernant la préparation du sol avant d'implanter des vers de terre – « La première chose à faire pour favoriser l’implantation des vers c’est de leur créer un milieu propice à leur multiplication. Et pour cela rien de mieux qu’un tas de compost. En vidant un bac à compost, nous trouvons un nombre impressionnant de vers. Des pelotes de vers entrelacés. Si vous ne voulez pas vous fatiguer à produire du compost, il vous est recommandé d’avoir une zone où vous jetez régulièrement vos épluchures ou déchets verts. Deuxièmement : les vers nous demandent juste de couvrir le sol de débris végétaux. Pas besoin d’en mettre des couches, mais juste de quoi leur assurer le couvert. Par la même occasion on va, en plus, protéger le sol des intempéries et de l’évaporation. Tout en sachant que les vers cherchent la nourriture en surface et pas enfouie dans le sol. Tous les apports pour nourrir la terre doivent se faire « sur » le sol. »… Voilà le genre de transmission de savoirs qui va permettre de remplacer cette civilisation anti vie par celle de sa refertilisation. Par simple observation de la nature. Et, ensuite, …observations de ses lois !.

http://www.imagiter.fr/2016/09/nos-vrais-amis-virus-bacteries-et-champignons.html

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Pourquoi les vers de terre sont devenus une espèce à protéger ? Avec donc une politique de protection très élaborée. Et pourquoi pas le statut « d’éleveurs de vers de terre » ? Ce qui fait que le devoir de l’éleveur est de les nourrir efficacement. Et la double reconnaissance de que les vers de terre garantissent la fertilité des sols. Et que les engins mécaniques les assassinent. Et qu’il ne peut plus être, publiquement, ignoré ces vérités fondamentales.

A quoi ça sert un ver de terre pour qu’il devienne une espèce si utile  à protéger ?

 « Le premier service que cette population nous rend c’est de travailler le sol à notre place. Les vers sont d’infatigable travailleur, ils creusent des galeries bénéfiques, au sol, aux plantes et au jardinier. On trouve jusqu’à 900m de galerie par m3 de terre. Galeries des vers endogés et surtout anéciques.

Ces galeries permettent à l’eau de pouvoir bien mieux s’infiltrer dans le sol. A l’eau mais aussi à l’air. Les galeries sont aussi des voies toutes tracées pour le cheminement des racines. Imaginez un peu ! La racine en plus de trouver son chemin, trouve à sa disposition des déjections de vers et de l’eau. Autant vous dire que l’on est bien incapable de faire ça avec notre bêche !

Les vers permettre, aussi, la décomposition et l’incorporation de la matière organique dans le sol, ils sont capable de traiter une demi tonne de déchets par an sur 100m2 de jardin. C’est-à-dire que la poubelle d’épluchure que je disperse toute les semaines sera intégralement mangée et transformé par les vers. Et pour me remercier, ils m’offriront quasiment le même poids en déjection. Les fameux turricules sont un concentré d’éléments nutritifs pour les plantes. [il y a donc toujours eu assez d’engrais naturels …].

Le-ver-de-terre-une-espèce-à-protéger/

Les vers sont aussi comparables à des transporteurs de marchandises. Ils ont besoin de matière minérale qu’ils prélèvent en sous-sol pour les remonter en surface mélangé à la matière organique dans les turricules. Ils aident aussi au développement et au déplacement des bactéries et micro-organismes.

La présence des vers est capitale dans la recherche d’un potager sain et équilibré, cette auxiliaire de premier ordre doit être choyée !

Comment favoriser la survie des vers ?

Ranger vos bèches et motoculteurs ! Retourner la terre avec des engins mécaniques déciment les vers en masse ! Un véritable génocide ! En plus d’éliminer les vers vous déstructurez votre sol. Si vraiment vous ne pouvez pas faire autrement, alors choisissez au moins une période favorable. C’est-à-dire par temps sec ou froid. Un moment ou les vers sont enfouis plus profondément.

Les-vers-de-terre-travaillent-pour-nous/

Nourrissez les vers. Dans tous les élevages, l’alimentation est un facteur important. Les vers vous demandent juste de couvrir le sol de débits végétaux. Pas besoin d’en mettre des couches, mais juste de quoi leur assurer le couvert. Par la même occasion on va en plus protéger le sol des intempéries et de l’évaporation. Retenez aussi une chose ! Les vers vont chercher la nourriture en surface et pas enfouie dans le sol. Tous les apports que vous faites dans le but de nourrir la terre doivent se faire SUR le sol. »

Et dire que les prétendues élites « ignorent » tout cela (au deux sens du terme : de ne pas connaître et de ne pas vouloir le savoir, de regarder avec morgue ailleurs ). Tout, dans leurs comportements et décisions, l’avoue à leur place, du moins. Dans la nouvelle civilisation c’est eux qui vont devoir retourner à l’école. Depuis trop longtemps hors sol, ils se sont, en effet, complètement coupés de la…réalité

Pour comprendre pourquoi on ne protège pas, très concrètement,  les espèces qu’on veut préserver ? Parce que les prétendues élites sont devenues plus qu’incompétentes. On ne parle pas « d’alléger les charges » (fait déjà des centaines de fois, sans aucuns effets probants !) lorsque la survie de la Terre croule sous les cumuls de décisions plus que stupides !

érudit.org/revue/réseaux de la vie...

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Enfin, n’oublions que l’écologie est une science. Et que l’économie n’est pas du tout une science. Entrons dans la compréhension aisée et partagée des « réseaux trophiques ». Ou du fait que les « réseaux écologiques » c’est des milliers de fois plus vastes que…Facebook. C’est dire !

Réseau-trophique/

Mais alors un réseau écologique c’est quoi ? 

Un réseau écologique repose sur les relations écologiques. Les relations écologiques sont toutes les interactions positives, négatives ou neutres qui existent entre les espèces d’une communauté au sein d’un environnement donné. Les interactions positives peuvent être, par exemple, des symbioses ou du mutualisme et les interactions négatives sont la plupart du temps de la prédation, du parasitisme et de la compétition. Ainsi trois types de réseaux font plus particulièrement l’objet de recherche : les réseaux mutualistes (1% des recherches), les réseaux parasites (4% des recherches) et les réseaux trophiques (94% des recherches).

 

Illustration proposée par Elisa Thébault, Alix Sauve et Collin Fontaine pour la Chaire Modélisation mathématique et Biodiversité

De très récents travaux mêlent les deux types d’interactions positive et négative que sont respectivement le mutualisme et la prédation. Elisa Thébault et Colin Fontaine ont initié des travaux dans ce domaine en montrant, dès 2010, que le type d’interaction avait un impact sur la stabilité de la communauté.  (Pour en savoir plus, le blog Naked Science nous fait un point sur l’article publié dans Science).

Réseau-écologique/

Mais comme je l’ai précédemment mentionné, la plupart des réseaux écologiques étudiés sont des réseaux trophiques. Mais pourquoi ? Un réseau trophique est ce que le commun des mortels appelle une chaine alimentaire. Sauf que la notion de chaine suppose un schéma linéaire : une ressource (une plante ou de la matière morte) mangé par un consommateur primaire, lui-même chassé et mangé par un prédateur plus gros. C’est ce que pensaient aussi les scientifiques au début des recherches dans ce domaine avant de se rendre compte de la complexité multidirectionnelle des communautés biologiques.

Un réseau trophique constitue un schéma plus complexe où chaque élément du réseau peut manger, être mangé par, et être en compétition avec plusieurs autres éléments. D’autre part les réseaux trophiques sont présents dans tous les types de milieux, dans tous les environnements possible et imaginable, à partir du moment où il y a de la vie. Ils concernent tous les organismes donc peuvent être observés à différentes échelles d’observation,...

 

…………………………….. de l’échelle microscopique à l’échelle macroscopique.»

 

………………………Puisque le plus grand a tant besoin du plus petit !

 

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

Biodiversité-: tous-les-indicateurs-sont-au-rouge !

Nous avons encore sacrément du pain sur la planche !

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Dernière-chance-pour-la-biodiversité-:6-6-les-pommes-d'antan !

Le moindre détail compte, du plus petit au plus grand…

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……………(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS(qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

les mignonnes larves des lombrics...

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Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Litière de feuilles de platanes, Nord de la France. Le jardinier pourra en faire un lombricompost !

Litière de feuilles de platanes, Nord de la France. Le jardinier pourra en faire un lombricompost !

une vraie nursery pour vers de terre

une vraie nursery pour vers de terre

Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Pourquoi la biodiversité est vitale ? Diagramme de causalité permettant d’établir l’importance et la trajectoire des effets directs et indirects du prédateur (Polycelis felina) sur la décomposition des litières végétales. Les flèches montrent le sens des interactions, et leur couleur indique un effet positif (vert) ou négatif (rouge) sur les composantes cibles. Les pointillés soulignent les effets ‘non-trophiques’. La barre d’échelle (1 mm) montre les différences de taille des communautés d’invertébrés considérées.

Pourquoi la biodiversité est vitale ? Diagramme de causalité permettant d’établir l’importance et la trajectoire des effets directs et indirects du prédateur (Polycelis felina) sur la décomposition des litières végétales. Les flèches montrent le sens des interactions, et leur couleur indique un effet positif (vert) ou négatif (rouge) sur les composantes cibles. Les pointillés soulignent les effets ‘non-trophiques’. La barre d’échelle (1 mm) montre les différences de taille des communautés d’invertébrés considérées.

Enfin une politique de protection des vers de terre ?
Enfin une politique de protection des vers de terre ?

Observer la nature

Rôle essentiel des vers de terre dans la fertilité des sols

Le non-labour est le futur La biodiversité, les sols et la nature sont contre le labour.

Technique qui consiste à semer les céréales dans un paillage issu d'une culture intercalaire, le semis direct sous couvert enrichit les sols et les protège de l'érosion. Abandon du labour et de l'apport d'intrants, les bénéfices écologiques sont nombreux.

idées de base…

Microbiologie des sols. La nature s’occupe à la perfection des sols et l’homme n’arrive pas à s’empêcher de les détruire…les labours mettent la matière organique sous le sol : peut-on faire pire ?

Diversité fonctionnelle des réseaux trophiques

Agroécologie

Publié dans gouvernance mondiale

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