Les jeunes adultes massivement prêts à un mouvement de révolte !
Non seulement, ils le pronostiquent mais sont prêts à y participer sur la durée pour 62 % d’entre eux. Cette information en devient tellement plus importante que des élections faussées : c’est une image directe d’un futur non filtré. Face à des élections, elles, faussées, parce que ce sont des politiques carriéristes qui s’imposent et sont imposés et non pas les candidats « naturels » des électeurs/trices qui y émergent d’eux-mêmes. Le background affectif et émotionnel de ces jeunes adultes est qu’ils ne perçoivent plus leur futur dans l’organisation sociale actuelle. Qu’ils en désespèrent et qu’ils ne voient pas d’autres solutions que de se révolter contre cet entêtement à ne pas changer la société. Tout en sachant, que le mot révolte reste, souvent, apposé en euphémisme à ce qui est plutôt révolution.
Quoi qu’il en soit leurs aspirations et leurs attentes sont tournées vers une transformation complète de la civilisation. Et que les rustines des réformettes n’apaiseront jamais leurs soifs. Ce qui, ajouté au fait explosif que les médias mainstream, ne leur font jamais de place : ils parlent d’eux mais ils ne les laissent absolument pas s‘exprimer par eux-mêmes. Ils les mettent en absence d’être eux-mêmes. Oui maintien en minorité prolongée, tutelle sociale renforcée : clair qu’il devient aisé de ressentir qu’ils se sentent comme dépourvus de toutes initiatives, coincés sans marges de manœuvres et démunis d’espérances dans un système si fermé. Tourné vers son seul passé. Pas à l’écoute de quasiment tout le monde : seulement du vacarme des oligarques illégitimes. L’horizon de ces plus jeunes demeure sombre en leurs pensées. Tandis que l’ensemble de leur vécu représente un cinglant échec de tous les dirigeants. Ce sont toujours les mêmes qui tournent en boucle. Et, à l’évidence, ils ne savent absolument pas gérer la société. Ayant lamentablement échoué et se maintenant de force, donc illégitimement, afin de causer encore plus de torts à la civilisation. Lui plaquant les mêmes fausses solutions routinières et trop superficielles. Prétendues solutions qui n’auront fait que créer problèmes sur problèmes. Sans même l’amorce d’un début d’amélioration. Ce qui en déduit qu’il faille quitter les mentalités qui ont abouti à de telles catastrophes, comme de quitter les porteurs de ces mentalités. Au minimum, la soif de ces jeunes adultes c’est celle…de beaucoup de nouvelles têtes ! Vraiment énormément.
Ne se sentant absolument pas à leur place dans cette société, se sentant plutôt n’y avoir aucune place. Ni aucunes prises en comptes concrètes de leurs vrais besoins. Ne se ressentant jamais accueillis, espérés, écoutés, compris. Ne voyant jamais que leurs idées puissent s’insérer dans les monologue au sommet – ils découvrent le pire pour des dirigeants sourds et entêtés. Oui, qu’il n’est plus possible de continuer dans une société si ennemie de la grande majorité des humains. Les abandonnant à eux-mêmes, ne répondant à leurs justes exigences qu’à coups de matraques (ce qui n’est certainement pas du dialogue social !). Et n’aidant que des oligarques qui n’ont absolument aucuns besoins d’aides. Plutôt de freins, de limites, de retours à la raison voire d’énergiques réprobations. Cela fait longtemps qu’ils ont l’impression que la société ne s’occupe plus d’eux puisqu’elles/ ils n’ont pas de gueule de comptes en banques !
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Le dommage c’est que le rejet de l’organisation sociale actuelle parait, lui, limpide. Mais que les causes des blocages actuels ne sont pas vraiment comprises par ces jeunes adultes. Pour eux/elles, ce sont les politiciens corrompus. Une étude même avance qu’à 99 % ces jeunes croiraient les politiciens corrompus. Ce qui demeure impossible que ces 99 % dans la réalité. Oui une telle unité. Mais ressemble plus à des réactions épidermiques qu’à une pensée bien réfléchie. Puisque ces politiciens carriéristes ne sont que le symptôme et pas la maladie. Ils représentent des effets non des causes. Ce n’est pas à eux qu’il faut s’en prendre mais à ce qui les a rendu ainsi Les causes, qui les auront corrompu, ce sont, par exemple, de laisser les lobbies à leurs lubies de faire les lois, les écrire et les imposer, ensuite, aux pays. Ce ne sont plus des lois, ce sont des coups d’états. Dans ce cas, où, sauf dans les pays anglo-saxons, les lobbies ne peuvent, constitutionnellement pas participer à la politique directe, il reste facile de dire « Non aux lobbies ». En France par exemple, les politiques pourraient dénoncer les pressions antirépublicaines des lobbies, donner les informations à des médias non vendus à l’argent. Bref, rendre impossible toute intrusion illégale d’un lobby dans les circuits législatifs – le maintenir au niveau de donneur d’informations. « Bien, vous me donnez l‘expression de vos besoins et attentes, je les introduirai dans les débats, mais je ne peux pas faire plus. » Ainsi, s’assécheraient rapidement nombres d’exigences illicites de ces lobbies en peines lubies !
Mais le lobbying, lui aussi, est plus symptôme que cause maîtresse. C’est l’argent illégal qui « achète les élections » (ce qui leur donne un aspect très…truqué et anti-citoyen à ces élections), qui achètent les informations – à travers la prise de possessions illicite des médias - et donc le fait que cet argent, devenu ennemi de la société, censure (dans le concret) tout. Même les jeunes adultes et leur parole. Nous avons, enfin bien là la cause efficiente des corruptions actuelles. Et, de ce fait, le réalisme c’est de ne pas s’en prendre, superficiellement, qu’aux politiques mais d’empêcher la privatisation des institutions, de démasquer l’argent sale qu’il y a derrière de telles opérations et de mettre en prison les initiateurs et commanditaires de cet argent…illégal. Or, il n’est guère compliqué de démontrer que cet argent est salement employé, que ses monopoles sont prohibés (c’est « une concurrence non libre et complètement faussée »). Que les banques sont dans l’illégalité flagrante (leurs fonctions ne sont pas de rançonner les pays – et la politique doit les remettre à leur place qui est de respecter les règles communes non d’imposer leurs délires monopolistiques). Et de nouveau oui…renationaliser les élections. Empêchant les médias de les formater, d’en faire du spectacle inacceptable, de s’en montrer uniques propriétaires qui ne respectent aucun droit des électeurs/trices allant jusqu’à se…privatiser ces élections. Si des politiques sont corrompus, le réalisme est de s’en prendre à qui les corrompt. Ces jeunes adultes ne peuvent que le comprendre et que détrôner, enfin, l’illégalité de l’argent-monopole de tout en République. Débarrassés de cette censure illégitime, toutes les solutions vont, alors, s’unir afin de transformer la civilisation de fonds en combles. Oui même combler tous ses accès à l’argent illégal.
……………Qu’est-ce du fera quand tu seras grand ? Me révolter !
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Contre ce qu’est-ce du fera quand tu seras grand ? Me révolter ! Oui contre ceci, tout dire. Du moins, oui pour qui veut approfondir ces réflexions, divers documents sont, ici, accessibles.
Nos-jeunes-sont-massivement-prêts-à-participer-à-un-mouvement-de-révolte
Les jeunes adultes sont massivement prêts à participer à un mouvement de révolte sur la durée. A 62 %. Comme 71 % sont prêts à quitter le pays et aller ailleurs ! Autre forme de révolte définitive…
« Vous voyez, il y a de l’espoir. Nos jeunes sont loin de l’image que les médias et la télévision nous en donnent, c’est pour cela que je vous avais pointé cette consultation (à laquelle vous pouvez encore participer).
« Nos jeunes sont massivement prêts à... par folamour_dailymotion
Les jeunes Français, comme leurs homologues européens d'ailleurs, sont pessimistes et se sentent une génération sacrifiée. Selon une enquête du centre de recherches politiques de Sciences Po, intitulé Génération What qui vient d'être publiée (et qui a recueilli les avis en ligne d'un million d'européens, dont 20.000 Français), 62 % des Français de 18 à 35 ans se disent même prêts à "participer à un grand mouvement de révolte dans les prochains mois".
Ainsi, on apprend que les 18-35 ans sont pessimistes sur leur avenir et ne font pas confiance aux politiques, aux institutions et aux médias. "C'est absolument massif, confirme ce vendredi dans Bourdin Direct Anne Muxel, directrice de recherche au centre de recherches politiques de Sciences Po. C'est huit jeunes sur dix qui n'ont pas confiance dans les politiques et 99% d'entre eux pensent qu'ils sont corrompus".
Mais pourquoi un tel pessimisme ? "Les jeunes sont confrontés au chômage, ont du mal à trouver du travail, quand ils en trouvent ils l'exercent dans des conditions difficiles. Ils ont intériorisé qu'ils sont les enfants de la crise, qu'ils sont une génération sacrifiée". "Les jeunes ne se sentent pas reconnus par rapport à leurs compétences et leur utilité sociale", ajoute-t-elle.
"Ça nourrit un sentiment de frustration et beaucoup de ressentiment. Ils rejoignent ce que l'on mesure sur l'ensemble de la population française : on sent bien qu'il y a un potentiel contestataire important. Six Français sur dix se disent prêts à descendre dans la rue pour un mouvement contestataire." [..les paris au pouvoir en deviennent des groupuscules très minoritaires. Qui insultent la loi anticasseurs !)
Si les jeunes rejettent la politique, ils sont par contre beaucoup plus attentifs aux questions environnementales. "Ce qui est intéressant, c'est qu'en trois ans (date de la précédente étude), on a vu l'écologie passer au premier plan de leurs préoccupations", explique Anne Muxel. » […l’écologie de terrain pas l’écologie politique ]. »
Crashdebug.fr : Generation What ? La grande enquête qui dresse le portrait de toute une génération : la tienne !
Sûr que les oligarques, les lobbies en lubies, l’argent sale et les politiques corrompus sont entièrement coupés d’au moins 7 adultes sur 10 (tout compris) déterminés à vivre tout de suite sans eux. Et, plus partiellement, de 9 sur 10...autant dire qu’ils ne représentent absolument plus personne. Une telle minorité, entêtée dans ses erreurs, ne peut qu’être dessaisie de toutes les décisions collectives. Pour mise en danger de la société !
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http://generation-what.francetv.fr/#
La génération what (18 à 34 ans)..
Le-hold-up-des-pseudos-socialistes/
jusqu’à peuvent aller leurs délinquances ?
99%-des-jeunes-pensent-que-les-politiciens-sont-corrompus.!
et
10-sentiments-des-français-contre-le-système/
«Comment peut-on l'expliquer ? Expliquer quoi ? Cette aspiration à "renverser la table" semble être le résultat de dix sentiments particulièrement répandus au sein de la société française:
1. Le sentiment que les différents gouvernements qui se sont succédé ces dernières années sont dans l'incapacité à pouvoir maîtriser les grandes évolutions récentes (mondialisation, situation économique mondiale, montée en puissance des économies émergentes, exode fiscal, délocalisations, changement climatique, conflits au Moyen-Orient, chômage de masse, montée des inégalités et de la précarité, terrorisme, flux de réfugiés, montée des populismes, etc.), à influencer un certain nombre d'acteurs (marchés financiers, investisseurs, entreprises multinationales, Allemagne, etc.) et à agir pour répondre aux principales préoccupations des Français (chômage, pouvoir d'achat, sécurité, protection sociale, etc.). Cela génère à coup sûr chez les Français un sentiment global d'insécurité et d'impuissance.
2. Le sentiment que la situation, en particulier économique et sociale, s'est globalement dégradée ces dernières décennies et que le pays est en déclin avec la crainte insidieuse de se retrouver à un moment donné dans la situation économique catastrophique d'un pays comme la Grèce. Cela se traduit par un pessimisme généralisé et l'idée de plus en plus répandue selon laquelle les jeunes générations vivront moins bien que celles de leurs parents.
3. Le sentiment que les gouvernants et les politiques sont sourds aux préoccupations d'une large partie des Français et qu'il existe un grand décalage entre, d'une part, la façon dont les institutions officielles (comme l'INSEE) et les médias perçoivent la réalité et, d'autre part, ce que vivent les Français au quotidien. Cela vaut en particulier pour la hausse des prix, l'évolution du chômage, des inégalités ou de l'insécurité physique, le nombre d'immigrés, la situation des quartiers déshérités ou des zones périurbaines, etc.
4. Le sentiment que les disparités au sein de la société française sont de plus en plus grandes et que la situation actuelle ne profite pas à tous, mais seulement à des minorités de trop riches. Un rapport publié en octobre 2016 par France Stratégie mentionnait six formes de disparités aux yeux des Français: entre riches et pauvres, ascension et déclin social, France de l'emploi et France du chômage, les jeunes générations et les autres, territoires prospères et territoires en déshérence et entre Français de différentes origines.
5. Le sentiment que la société française est totalement "bloquée" [par le haut…par ses anti-dirigeants mêmes !] et le pays "irréformable". Pour certains, cela s'explique par le poids d'un certain nombre de corporatismes […voir les politiques carriéristes et les médias vendus], la faiblesse du dialogue social, une culture intrinsèquement conflictuelle excluant toute forme de compromis et de consensus. Pour d'autres, cela correspond au sentiment selon lequel l'"ascenseur social" est totalement bloqué et que l'on ne peut rien obtenir sans relations et passe-droits, etc. Cela aboutit à l'idée de plus en plus partagée selon laquelle la solution la plus raisonnable est de partir s'installer à l'étranger. L'enquête Génération What?, dont les résultats ont été divulgués en décembre, montre ainsi que 71% des 210.000 jeunes interrogés seraient prêts à partir vivre à l'étranger.
6. Le sentiment que la démocratie ne fonctionne pas bien en France.
7. Le sentiment que les politiques ne tiennent jamais leurs promesses.
8. Le sentiment que les élites politiques sont corrompues.
9. Le sentiment que le pays est au bord de l'implosion.
10. Le sentiment que les gouvernements sont incapables d'amener les Français à se projeter dans l'avenir de façon confiante et positive et qu'il n'existe plus de "contrat d'objectifs" commun entre les élites politiques, le monde économique et les Français. Durant la période des Trente Glorieuses, il y avait un accord au moins implicite entre les trois autour de l'objectif de modernisation du pays. Les Français le soutenaient d'autant plus que celui-ci se traduisait par une nette amélioration de leurs conditions de vie. Or, à partir du premier choc pétrolier et surtout des années 1980, les élites politiques et le monde économique ont promu d'autres objectifs, celui de l'accélération de l'intégration européenne (ouverture politique), de la globalisation (ouverture économique) et de la société multiculturelle (ouverture culturelle). Et tout ceci, par crainte des réactions de l'opinion, les dirigeants politiques n'ont pas recherché l'approbation des Français sur ces sujets. Voire l’ont rejeté puérilement –(pensons au non à la Constitution européenne dénié si hystériquement. « Vous faites nos caprices, sinon on hurle », aura été la réponse de ces si peu élites)…C'est ce que Philip Gordon et Sophie Meunier ont appelé la "mondialisation furtive".
Cela a donné aux Français le double sentiment selon lequel ils n'avaient pas été consulté sur ces questions et que ces différentes formes d'ouverture non seulement n'avaient pas vraiment apporté les fruits annoncés (croissance économique, baisse du chômage, amélioration du niveau de vie, etc.), mais qu'elles sont plutôt à l'origine du déclin du pays et ne profitent qu'à quelques…minorités. Dont, surtout, les trop riches qui sont les seuls grands assistés. » […et français(e)s très…punis. Non consultés, imposés de décisions qui ne sont pas les leurs, ces décisions, pour lesquelles ils n’ont pas été consultés, n’apportent que des problèmes. Et – cerise sir le gâteau – c’est à eux de tout réparer. D’où déduction de santé mentale : dans ces conditions, reprenons tout en main ! Passons-nous de ces incapables ! ]. »
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Tout est donc terriblement asymétrique, basé entièrement sur les injustices et visant à les renforcer. Qui peut trouver le moindre intérêt à continuer ainsi ?
Géopolitique-des-guerres-asymétriques/
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……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
ici nous avons les vraies valeur rejetées par une infime minorité d’adultes – le profit n’est, lui, absolument pas une valeur. Mais une insulte au genre humain !
Les jeunes adultes sont massivement prêts à participer à un mouvement de révolte
même en stats
se révolter ici (en anglais) est supposé désigner un rebelle ou un déserteur. Mais ne pas se révolter n’est-ce pas déserter – gravement - le meilleur de l’espèce humaine ?
changer complètement de modèle c’est splitter la résignation !
et le faire durer toute la vie