Les occidentaux savent-ils rêver ?
Ils sont plutôt rêvés et menés qu’ils ne dirigent leur propres rêves La réponse va donc être non : faute d’avoir appris, d’avoir été incité à apprendre, l’occident se trompe, mais totalement, sur le mot rêve. Pour lui ce n’est que chercher à fuir le réel or l’art du rêve c’est vraiment chercher à être toujours plus « dans » la réalité. Nos amis amérindiens avaient pénétré depuis longtemps les secrets de la science actuelle : soit les neurones miroirs et nos possibilités magiques de simuler tous les impacts du réel à l’intérieur de nous. Sans « effectuer » entièrement ce réel. Qu’est-ce que cela signifie ? Disons-le avec leur langage. Leur découverte de très grands rêveurs ? Soit d‘êtres indubitablement très réalistes (ce qui est le contraire d’un paradoxe, vous le verrez). Oui, pour notre corps que ce soit « imaginaire » ou réel nous ressentons, dans notre corps, tangiblement la même chose. Oui le mot imaginaire est alors complètement incompris de ces occidentaux. Un exemple ? Vous activez vos neurones miroirs et…courez dans votre corps (sans courir effectivement sur une piste), vous ressentez les mêmes…effets émotifs, etc…Sans suer, sans fatiguer, etc. Pareil mais pas tout à fait pareil. Comment est-ce possible ? Jean Claude Killy « vivait » ses descentes en ski, mètre par mètre, et ce en rêve éveillé, avant de les effectuer concrètement. Devant tout le monde. Il pré voyait en vrai. Lors des compétitions, il disait ne faire que reproduire sa simulation par rêve et visualisation !
Nous pouvons – ainsi - circuler dans nos ressentis physiques afin de nous vivre mieux, « voyageant » notre conscience dans notre corps et qu’elle renifle là où c’est lourd, en malaise ou en mauvaises sensations. Et y remédie par balayages de visualisations. Suffit d’apprendre et le prétendu rêve (dans son sens complètement erroné) nous permet donc tant d’actions « sur » la réalité. Il n’y a aucune séparation rêve et monde concret. Le rêve ne s’autoenferme pas dans un asile, il demeure une énergie que nous pouvons…diriger ! Plus même : nous pouvons tout « simuler » si l’on peut dire avec ce mot équivoque mais qui reste, toutefois, le plus adapté. Simuler comme ne pas créer de dégâts, essayer avant. Soit, dans un raccourci simple : nous ouvrons nos neurones miroirs et obtenons toutes les sensations, émotions (et sentiments pour les plus expérimentés) de… tout. Nous recevons tout le vécu du réel sans « accomplir » ce réel. Sans le contraindre à s’inscrire à fond dans le concret. N’empêche que les nourritures du rêve et de l’imaginaire existent bien, que simuler le réel ce n’est …pas un rêve (dans le sens erroné du mot rêve qui ne serait pas immanent, ici et maintenant ! donc, sans doute, extraterrestre ?). Cela n’est que…le début du Rêve. Tout le reste est à vivre ardemment. Mais les occidentaux savent-ils rêver ? A l’évidence non.
Le Rêve c’est pour pénétrer de tout notre charnel le réel pas le fuir. Et donc grâce aux synesthésies (avoir des touchers parfumés, des goûts buccaux dans les mots ou voir des musiques colorées, etc.) nous pouvons nous rendre encore plus réalistes. Sculptés et pétris de sensualités flagrantes. Utiliser ces synesthésies comme des apprentissages corporels afin d’amplifier toujours « l’énergie » des rêves (oui, les utiliser comme des lasers, ces énergies, afin d’accroître un « effet de rêve » ! Ou, autres exemples, nous les décanter et nous les boire ces saveurs de savoirs les plus…rares, ou bien, rendre plus présent ce double disponible du réel qu’est la potentialité de « se nourrir » de rêves t !). Le rêve éveillé c’est le rêve dirigé dans le but de charnelliser le réel. Rêves lucides et translucides où nos actions se montrent suivies…d’effets. Bien. Nous avons la démarche, pas à pas, des raisonnements, déductions et inductions, logiques et faits, pensées mise en ordre par rapport au but de comprendre (prendre charnellement avec soi, dans soi que com-prendre – cet acte de mettre les faits, les embrassant, sur son cœur)…oui et nous avons, aussi… le Rêve. Ceci s’ajoute, ne se soustrait pas : la réalité demeure tellement plus grande que nous. Elle se « connaît » par la raison comme par le rêve. Plus 6 autres « circuits de connaissances », suggère un chaman qui parle français. C’est toujours bon à prendre, un tel point de vue.
Cette possibilité de « parcourir » physiquement, corporellement, tous les « sens » en éveil… la réalité que nous ne pourrons jamais « connaître » très entièrement. Oui, le rêve comme « sens sensé » qui, ne désire absolument jamais totaliser un sens. Clore son investissement et palper, si superficiellement, sa monnaie…rien à voir : l’économie du rêve fait que nous ne pouvons que gagner et jamais perdre. Et ceci sans nuire ni à la vie et la nature – ni aux autres humains. Une économie supérieure qui attend encore sa théorie ? Le Rêve ne sera jamais une marchandise. Il est devenu bien au-delà. Et, d’ailleurs, pour les femmes et les hommes libres (ceux qui vivent le Rêve) rien n’est Marchandise. Rien. Les si arriérés capitalistes veulent « jouer » à marchandiser, cela ne collera jamais – la moindre volonté individuelle peut barrer le passage à cette déchéance collective. Eux, les libres, qui ressentent comme une présence chaque objet (surtout naturels donc vibrants et vivants, à la différence de l’artificiel mort) comme… nimbés de rêves. Ce qui est rêvé ne peut être « réduit » en marchandise. Ni aujourd’hui ni jamais. C’est ainsi. Cela c’est l’héritage richissime des amérindiens. Les occidentaux savent-ils rêver ? Non, puisqu’ils ne vont laisser que ruines derrière eux. Destructions des sols fertiles, de l’air pur, de l’eau vive, etc. de la nature vibrante, berceau de tous les rêves et réalités. Et ces…égarés braillent, sans cesse, laissez nous rêver alors qu’ils ne savent pas…rêver. Et ne veulent même pas apprendre. Ce qui ne peut aboutir qu’à cette manière toujours policière, de juge impératif et cinglant, de matons aigres, de s’adresser aux autres. Oui, ils sermonnent, réprimandent, condamnent et reprochent à tout le monde de ne pas…accepter ces manières autodestructrices (autant dire que ce qui leur reste de vie intérieure est encore plus maltraitée que la nature – de vrais souillons !).
Ces occidentaux, ils en veulent à tout – faute de savoir « vouloir ». En cela la science du rêve nous apprend comment vouloir. Par exemple, que ce soit un rêve endormi ou éveillé, il nous faut nous surpasser en y introduisant concrètement nos mains « dans » le rêve. Etc. Ce vouloir est naturel. Le vouloir capitaliste n’est qu’artificiel et jamais conscientisé. Tellement il ne connaît rien à la réalité…complète. Et donc à ses propres impacts matériels sur toutes choses. Son savoir n’est que celui d’un handicapé, amputé de l’essentiel ! Ainsi, surdétermine-t-il infiniment trop le « pouvoir » des mots en prétendant, parallèlement, qu’ils n’ont aucune valeur et ne servent à rien. Quel sacré bordel dans leurs têtes si mal faites !. Ils ont carrément peur des mots et des pensées tout en les maltraitant comme hyper négligeables. Ils en arrivent même à se ridiculiser à fond en décrétant « de ne pas publier les génies ». Exhibant, soudain, leurs naïvetés graves et leurs ingénuités de puceaux de la vraie vie. Ils sont réellement inaptes à la …pleine conscience. Toutes leurs activités doivent se passer dans le nébuleux brouillon des limbes…disons-le, oui, dans trop d’inconsciences …irresponsable ! La rationalité, ils ne la connaissent absolument pas faute d’avoir « appris » la nourriture sensuelle extrêmement logique des rêves ! Comme si un écrit génial pouvait, dans le clac d’une seconde, tout changer. Et ne pas suivre, pas à pas, le long chemin de la maturation collective. Et que donc se priver de l’apport des génies c’est surtout se tirer une balle dans le pied. Oui se nuire carrément à soi- même !
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Depuis toujours ces occidentaux…n’ont pas laissé le Rêve des amérindiens se déPloyer, sortir des pesanteurs et des contraintes incultes. Ce sont eux qui ne laissent rêver personne. Donc leur « laissez-nous rêver » signifie – piteusement - ne nous faites pas connaître toutes les conséquences désastreuses de notre règne illégitime. Nous n’avons aucune des qualités pour régner sur la Terre. Puisque nous n’avons ni cet amour qui donne sans rien attendre en retour. Ni le Rêve qui marche si conscient dans le réel, transformé, aussi, en gigantesque fête des sensualités. Non nous ne savons absolument pas rêver et nous couvrons de ridicule dès que nous dégoisons un « laissez nous rêver ». NON. Laissez les autres rêver…vous – apprenez ! Et, pour une fois en 500 ans, faites silence.
Non, nous, les occidentaux, ne savons absolument pas rêver. Nous mélangeons tout, ne comprenons pas grand chose nous auto-punissant tout le temps. Nous sommes rarement « dans » le réel (toujours à côté à songer et fantasmer inefficacement). Oui nous prenons, systématiquement, des vessies pour des lanternes, des ombres tristounettes pour des proies rêvées. Non jamais nous ne…rêvons. Nous ne savons que le rêvasser idiot. Ce qui représente, par rapport aux meilleurs nectars du monde, que nous allons « préférer » le goût d’une bière éventée avec de la cendre dedans. Ou le refus puéril d’enfourcher un véhicule avec un moteur sur-ajusté mais au capot rouillé pour entrer dans une carrosserie brillante mais avec un moteur sans nerf du tout. Nous nous trompons toujours de qualités. Prenant les hébétées apparences pour de l’omniscience qui n’a jamais besoin… d’apprendre (oui même l’art du rêve, ce qui aboutit à cet hurluberlu qui ose l’inapproprié le laissez nous rêver aux… maîtres du rêve !). La naïveté affligeante du laissez nous rêver est la preuve juridique de l‘aliénation intégrale : les seules personnes qui ne se laissent pas rêver c’est…vous-mêmes. Et, par extension frénétiques, que c’est encore vous qui ne laissez personne Rêver. Mais, là aussi, le capitalisme d’inconsciences mortelles a perdu. Il est en train de s’évaporer (ainsi que tous les idéalismes) comme…dans un rêve !.
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Nous voici donc devant un fauve qui ne se sait pas fauve, qui veut nommer dangereusement le monde entier (voler les mots mondiaux afin de dire, improprement à chacun-e qui il/elle est), enseigner ses extravagations à la Terre et refuser tout débat de fond, toute… piqure de rappel du réel…seulement en délirant un trop apathique « laissez-nous rêver ». En vrai, psychiatriquement, c’est un laissez nous « ne pas » rêver ! L’occident reste rêvé (il ne rêve jamais) et il ne sait toujours pas par qui ou quoi !
Ni « d’accepter » des leçons. Au niveau social et humain les occidentaux ont TOUT à apprendre. Leur technologie est séparée de la vie concrète, jamais dirigée pour améliorer en vrai la société, partager l’argent, rendre chacun-e milliardaires de la…créativité d’autrui (…donc ce sont les créatifs et non les financiers fous qui doivent, transitoirement, mener le monde)…etc. Désolé, rêvasser c’est le contraire de rêver puisque c’est FUIR le réel et rêver le pénétrer de tout son corps. Rêvasser cela pue le laxisme malsain envers soi-même. Aussi est-ce bien une chute insalubre dans les limbes, le filandreux inavalable de l’absence de conscience Les occidentaux savent-ils rêver ? Non dans leurs rêvasseries si arriérées ils perdent, à la fois, la raison et la réalité. Rêver (après avoir appris) c’est amplifier sa conscience, donc sa raison, et surtout pas tenter de lui échapper (seuls les occidentaux ont-ils « mauvaise » conscience ?).Et la réalité ?
Oui la réalité est le rêve qui contient tous les autres rêves. Et jamais de jamais aucun rêve ne contiendra toute la réalité. Et donc selon l’impolitesse si vulgaire des occidentaux qui crachent toujours d’aigres ordres (comme si le monde n’existerait que pour se mettre à son service, et la vie pour combler leurs trop minables caprices !)…oui osant laissez-nous rêver…prouve qu’ils empêchent le monde entier
……d’entrer dans le Rêve !
Et qu’il suffira, par les puissances oniriques, de l’écarter du char du monde – pour faire le rêve s’amplifie…empoigne « les épices du vrai pouvoir » - celui qui peut sans avoir à bouger de chaque lieu en chaque lieu à chaque lieu. Uniquement par concentration mentale et expansion affective.
Comme de pouvoir ( uniquement par la propulsion de ses jambes énergétisées par la danse) de voler « naturellement » dans l’air. Et sans machines, sans rien. Juste en faisant … « partie intégrale de la Nature ». Nager sous l’eau naturellement c’est aussi faire partie des forces de la nature. Et autres...merveilles qui veillent, font donc partie de la vigilance qui triomphe…l’âge de veilleurs est clos, voici le feu du nouveau (absolument encore inconnu) qui va faire de la société une entité chaleureuse !
Et qui trouveront à se dire dans un autre texte…
….ou dans des recherches personnelles. L’un des buts de nos textes reste…1) que le maximum se décollent de leurs rochers où tout le monde semble coincé depuis presque 40 ans…2) et se remettre dans la…course nommée « la fin c’est très fin ! ».
La maîtrise demeure d’avoir préparé autour de soi les gestes de l’émancipation. Le magistral se quitte – pour commencer le sien propre.
……………….........………le Rêve est là pour ça !
………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
même si la présence de l'image est impressionnante ce n'est pas le rêve...il reste encore à le vivre !
http://compilhistoire.pagesperso-orange.fr/images/Amerindiens.jpg
une vidéo....reste à inventer !
ainsi font les sauts périlleux à l’intérieur de soi. Yeux ouverts ou fermés, cela fonctionne…en ce qui concerne les résultats corporels – pareil !
Le rêve du rêve – l’image apparente qui cache la réalité de ce qui se passe n’appartient pas au rêve…elle ne le voit que de l’extérieur !
en toute simplicité
LES HUIT CIRCUITS DE CONSCIENCE -
le rêve est dans la rue...
Le spectacle masque aussi toute la genèse corporelle de ce qui nous filtre le rêve…trop d’humains croit que rêver c’est dérouler des images. Comme si nous étions dans une pièce séparée, des spectateurs non concernés. Or, c’est tout l’inverse, le corps vit charnellement ce rêve, en ressent les impacts corporels. Le vit à 100 % pour une fois, oui comme acteur complet et « engagé » de sa…vie. Le rêve c’est les 5 sens, ou plus – pas que le regard aliéné !
et lorsque le Rêve est empêché, voici ce qui arrive à la bonne santé...
Comment rattraper le retard ? Commencer par rêver d’avoir des... rêves – fantastique libération intérieure. Tous ces rêves émancipés, ils vont couler comme des rivières, rouler, se rendre muscles, me submerger, me soulever plus haut. Plus haut et plus haut, comme un tapis où je vais tout embrasser le gigantisme de haut, de très haut, de très très haut, de trèeèèèèeeeee….ô…
Le rêve en balbutie la gémellisation du monde. L'harmonie créée par la présence de son double cosmique.