Comment les territoires peuvent se défendre ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Comment les territoires peuvent se défendre ?

L’extrême puissance du local ? Le bon sens nous souligne que c’est localement que nous pouvons le plus agir. De nombres forces illégitimes veulent nous décourager de tout et nous déposséder de nos vies. Leurs propagandes seraient plus réelles que nous. Le bon sens revient un coup et dit que cela ne se peut. Malgré la mondialisation, il est possible d’agir sur l’économie au niveau des territoires. Nous allons visiter les documents qui existent afin de tâter de ce réel là. Et nous interroger sur la meilleure façon de gérer les territoires de manière collective et démocratique. Le mal étant ces financiers internationaux devenus inhumains à tout, indifférents à tout le monde. Et complètement fanatisés par ce qui n’est qu’une mesure de la richesse et pas la richesse du tout (grave folie que de prendre un mètre pour la distance). La vraie richesse ce sont les talents humains si piétinés par l’irréalisme aberrant de ces prétendus maîtres du monde. Talents humains oui qui ne peuvent que se multiplier dès que nous nous serons débarrassés de l’emprise mentale malsaine de la propagande des financiers internationaux. Qui n‘ont que le pouvoir que notre absence de volonté de s’organiser contre eux leur laisse. Pas plus

Commençons par vérifier sur l’importance du local sur chacun d’entre nous :

De-l'importance-exercée-par-l'habitat-sur-la-pauvreté

« L’effet du lieu ou du pays de résidence dans la persistance de la pauvreté est bien connu non seulement des chercheurs mais instinctivement de nous tous. Si un Nigérien ou un Haïtien a de bien meilleures chances de réussir économiquement aux États-Unis que dans son pays d’origine, c’est parce que sa réussite dépend non seulement de ses qualités personnelles mais aussi de la culture et de l’infrastructure économique dans lesquelles il se trouve.

Ce constat pourtant banal rend d’autant plus difficile à comprendre la persistance de la pauvreté régionale au sein d’un pays où il n’y a pas d’obstacle formel à la mobilité géographique. Qu’est-ce qui empêche un habitant du Mezzogiorno de bouger s’il est plus productif dans le nord de l’Italie ? Et s’il y a de véritables obstacles, l’action publique peut-elle parvenir à les diminuer ?

Un programme expérimental en Inde visant justement à augmenter la mobilité des habitants pauvres de certains quartiers défavorisés des grandes villes vient d’être évalué par des chercheurs, et les résultats sont à la fois instructifs et décevants (« Moving to Opportunity or Isolation ? Network Effects of a Randomized Housing Lottery in Urban (…).

Rapporté à la France : en gros rien ne sert de prétendre casser les ghettos sociaux dans un pays en exfiltrant vers les quartiers riches des citoyens pauvres Il faut par contre permettre aux pauvres de changer pour s'extirper eux-mêmes de ces quartiers. C'est donc tous les projets d’essences socialistes et étatistes qui sont remis en cause. »… Pourquoi ? Parce qu’ils ne le sont jamais assez. Ils ne prennent pas vraiment en cause les besoins collectifs et sociétaux. Ils pensent toujours plus aux seuls dirigeants qu’aux humains concrets. Les « territoires » restent des abstractions lointaines à usage surtout électoral. Pas en termes d’actions sur le terrain. Nous pouvons donc faire mieux qu’eux, déjà en quittant leurs non-pensées ! La mobilité mentale s’en montre plus en avance que la mobilité géographique !

A qui veut approfondir – ces autres liens :

Territoires-: la-france-en-crise-reste-d'abord-celle-des-villes

Territoires : la France en crise reste d'abord celle des villes

« En matière d'inégalités, les moyennes nationales n'ont qu'un sens limité. A Roubaix, avec 40 % de pauvres (au seuil de 60 % du revenu médian), la vision de la situation sociale n'est pas la même qu'à Neuilly-sur-Seine, où ce taux est de 7 %. Contrairement à ce qu'on entend beaucoup ces derniers temps, la pauvreté n'est pas localisée désormais principalement dans les campagnes, les petites villes et le périurbain. La France qui souffre aujourd'hui le plus des dégâts de la crise vit, pour la plus grande partie d'entre elle, au cœur ou à proximité immédiate des grandes agglomérations. La pauvreté rurale et périurbaine lointaine existe certes, mais elle demeure quantitativement limitée. » Les ploucs ne sont plus à la campagne mais dans la tête de qui croit être mieux qu’eux, en se montrant lourds en tout. Notamment en compréhensions. Oui la bien nommée « plouctocratie » !

Ce que nous ne VOULONS surtout PAS SAVOIR ?

… « à Roubaix, les personnes faisant partie des 10 % les plus pauvres de la population avaient un revenu annuel (avant prestations sociales, RSA...) de 287 euros au plus en 2008, mais seulement de 2 euros en 2011, soit une baisse de 99 % entre ces deux dates.

Les plus pauvres des communes déjà en difficulté économique décrochent, avec des baisses de niveau de vie parfois sévères. Une grande partie de ces évolutions est liée à la forte progression du chômage depuis 2008. » Comme disait un crétin dépensier « ce sont toujours les petits qui trinquent »…tout en faisant tout pour aider les trop riches illégaux...donc sur le dos des petits ! Les médias mercenaires évitent férocement de nous parler de ces réalités ? Jamais, en direct (kiosque, télévisions ou radios) nous n’avons été si peu informés sur le local – en fait. D’ailleurs leurs organigrammes montrent que 15 % MAXIMUM de leurs activités, à ces trusts ahumains s’occupent…d’informations réelles (pour eux l’information n’est qu’un moyen de faire des publicités, pas un respect républicain !). De plus, des études sur le mainstream ont prouvé que leur « présentation de la prétendue actualité » vise, en cœur de cibles, les plus riches. Les magazines ce n’est pas pour nous. Il n’y est plus écrit que pour les milliardaires qui ont les journaux. Pas pour les …lecteurs. Prenons acte et quittons tous ces graves sectaires. Plus un gramme d’attention vers eux. Localement, déléguons tout de suite à un citoyen ou une citoyenne la fonction de nous regrouper toutes les « vraies » informations et de nous les diffuser. Svp oui Stp !

La-mesure-statistique-des-inégalites-doit-servir-de-boussole-aux-gouvernements

Et donc ne croyons plus à la propagande dite globale qui n’a d’autre but que de nous empêcher d’agir, de nous organiser, de prendre conscience de l’extrême puissance du local. Tous les locaux unis avec facilité peuvent mettre K.O. tous ces prétendus dirigeants qui ne pourront être partout à la fois. Décentralisations complètes de tous les enjeux. Autonomies de décisions locales et stratégies globales. Plateformes sur les grands besoins (santé, alimentation, éducation, transport, énergie…etc.). Avec une mutualisation des moyens et des savoirs. Facile de tout reprendre en main si nous savons POURQUOI !

Certes-la-mondialisation-transforme-la-géographie-des-inégalités-mais-...

Les inégalités existent « dans » ce système – quittons-le, elles existeront beaucoup moins. Et entreront même dans un cycle de résorption !

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« L’atterritoire » commence lorsque nous atterrissons dans la réalité terre à terre. Toutes les localités c’est du local. Sans le local, impossible de localiser quoi que ce soit. Le bilan de la relocalisation (le retour au bon sens) de l’économie crie que les territoires sont extrêmement puissants. Pas les lunatiques en costards-cravates, complètement hors sol ! Qu’est-ce qu’ils pourront bien faire égarés au sommet de leurs tours urbaines coupées du réel – contre tous les territoires transformés ? Théoriquement, ils sont battus à plates coutures. Il nous faut réaliser, désormais, la victoire pratique. Comment ?

http://www.imagiter.fr/2015/05/relocaliser-l-economie-le-bilan.html

D'après Laurent Davezies, économiste spécialiste en développement territorial, il faut tout revoir avec le regard de tout reprendre en main. Et de trouver – et globalement et localement – la (les) meilleure(s) façon(s) de gérer les territoires de manière bien plus collective. Décentralisations complètes de tous les cerveaux. Notre levier d’appui (multiplicateur de forces), notre leverage power c’est de s’appuyer sur les locaux partout unis !

« -- La crise démocratique actuelle se nourrit du sentiment de perte de contrôle sur l’économie, d’où une aspiration à relocaliser l’économie. Quel sens donner à cette notion ?

>>>> Cela a d’abord un sens symbolique. Toutefois, il est possible d’agir dans cette direction, comme le montrent nombre d’initiatives prises par les habitants sur les territoires : circuits courts, coopération territoriale. [les « communes sans pesticides » ont largement précédé la …législation !]. Rien n’interdit de démondialiser ce qui peut l’être ! De là à dire que l’on va remettre en cause la mondialisation et que les difficultés rencontrées dans la négociation du traité transatlantique (Tafta) marquent le moment où, enfin, on va revenir en arrière [expression très inadéquate !], il y a un pas que je ne franchirai pas. Il faut savoir raison garder : toutes ces initiatives portent en effet sur une fraction très limitée [ ah bon ! la jonction de tous les possibles…très limitée ?] des circuits économiques actuels. Enfin, cette demande de relocalisation est ambiguë dans la mesure où elle s’inscrit dans un contexte de montée de la demande d’entre-soi, de mise à distance de l’autre.

Le territoire-reste-un-espace-extrêmement-puissant

-- Justement, face à la tentation du repli que porte l’extrême droite, reconstruire une capacité d’agir sur le plan économique dans les territoires peut être le moyen de la contenir en redonnant du sens à la promesse démocratique, tout en demeurant au final dans une économie et une société ouvertes...

>>>> - Reprendre la main sur l’économie du territoire là où c’est possible [et devancer comme les « communes sans pesticides » !], c’est à la fois bien et légitime. Mais il ne faut pas se raconter d’histoire : on ne va pas s’arrêter de produire des Airbus qu’on vend dans le monde entier [les armes oui…etc.], ni cesser d’importer des téléphones mobiles. On est entré dans un tuyau dans lequel il est impossible de reculer. [mais bien de changer de finalités sociales (partager oui, faire des profits inutiles sur le dos des autres, non !)]…

Il faut donc accepter la mondialisation comme une contrainte ?

>>> - Non. Mais il est illusoire de croire que les problèmes qu’elle engendre, et qui sont bien réels, peuvent être contrés au niveau local. [ Où alors ? Chez les extraterrestres ?]. Face à la production mondialisée, qui instrumentalise le territoire et qui échappe à tout contrôle démocratique, il faut imposer de nouvelles régulations au niveau pertinent. La sanction imposée à Apple par la Commission européenne est sur ce plan tout à fait intéressante, dans la mesure où elle remet en cause les stratégies d’optimisation fiscale [déjà renommer à chaque fois et oser que d’optimisation fiscale c’est une forfaiture de vocabulaire qui veut juste dire « ne pas payer illégalement d’impôts] (développées par les multinationales du numérique. De fait, à continuer sur cette pente, on va finir par enterrer la démocratie.

-- La démocratie, au sens large du terme, commence à reprendre la main, notamment en matière de fiscalité

>>>> Les populations sont en effet désormais bien plus sensibles à ce qu’elles perdent à cause de la mondialisation qu’à ce qu’elles y gagnent, ce qui porte l’émergence de leaders populistes et xénophobes dans de nombreux pays. Mais je suis plutôt optimiste, car la démocratie, au sens large du terme, commence à reprendre la main, notamment en matière de fiscalité. On le voit avec le recul des paradis fiscaux, avec les progrès de l’échange de données entre pays, avec le travail mené au sein de l’OCDE.

-- Face à de tels enjeux, le territoire est-il encore un espace essentiel de la vie démocratique ?

>>>> Le territoire reste un espace extrêmement puissant parce que, pour la grande majorité des gens, c’est l’endroit où l’on vit, où l’on travaille, où l’on a sa famille, l’essentiel de ses amis, de ses pratiques sportives ou culturelles… Il est donc parfaitement pertinent de s’interroger sur la meilleure façon de le gérer de manière collective et démocratique.

Et concrètement ?

>>>>> Pour simplifier à l’extrême, gérer un territoire suppose de prendre en compte deux dimensions. La première concerne les conditions de vie des habitants. [donc là, tous unis contre les multinationales !] Nos représentants sont élus par des habitants, pas par des entreprises [En France, le lobbying est illégal face à la Constitution ! Toute « loi des lobbies » est don scélérate !]. Le premier devoir d’un élu est donc de s’assurer que ses électeurs vivent le mieux possible. La seconde dimension, c’est de piloter la production, d’aider au développement des entreprises présentes sur le territoire, d’en attirer de nouvelles. Ce qui ne correspond pas toujours à une demande directe des électeurs.

-- L'activité économique qui ne répond pas aux besoins directs des habitants du ­territoire est très menacée

>>>> Le grand hic, dans le monde d’aujourd’hui, est que l’activité économique non résidentielle, non présentielle, celle qui ne répond pas aux besoins directs des habitants du ­territoire ou de ceux qui y séjournent, est très menacée. Elle perd de l’emploi, à la différence de l’activité résidentielle publique, privée ou associative. Un élu qui veut le bien de sa population n’a pas vraiment besoin de se compliquer la vie à faire du productif : il lui suffit de faire du résidentiel. En outre, la baisse de la fiscalité locale sur les entreprises diminue l’intérêt à attirer des entreprises.

-- Alors que l’intérêt du pays est tout de même de produire de quoi financer nos importations et équilibrer notre balance commerciale !

>>>> Oui, mais la somme des intérêts locaux ne fait pas l’intérêt national ! [où serait donc la main invisible des marchés ah ! elle n’existe pas !] Pour autant, on ne va pas retomber dans le jacobinisme. La question est donc de savoir comment fabriquer du consensus au sein du mille-feuille territorial. Certains pays y parviennent. Au Royaume-Uni, tout plan de développement local doit indiquer quelle sera son incidence sur les territoires voisins et sur le niveau supérieur. En France, ce n’est pas le cas. Or les stratégies de développement sont forcément différentes d’un territoire à l’autre et parfois contradictoires.

Une manière de dire que la notion d’égalité des territoires n’a guère de sens ?

>>> Absolument. Je me suis personnellement beaucoup battu contre cette notion d’égalité des territoires. Seule l’égalité sociale fait sens [surtout avec la fin de la privatisation des moyens de production !] et la question des territoires n’est pertinente que dans la mesure où elle facilite ou contrarie l’égalité sociale. Et quand elle la contrarie de façon injuste, cela justifie l’intervention publique.

-- L’égalité territoriale, c’est un triangle des Bermudes analytique. On ne va pas mettre des bouches de métro dans toutes les cours de ferme !

>>> Mais l’égalité territoriale en tant que telle, c’est un triangle des Bermudes analytique. On ne va pas mettre des bouches de métro dans toutes les cours de ferme ! Si on devait mettre sur l’ensemble du territoire national autant d’argent par kilomètre carré qu’on en dépense en Île-de-France, il faudrait trois produits intérieurs bruts (PIB) de dépenses publiques. [ le centralisme est donc le pire des gaspillages !]. La question démocratique renvoie à l’égalité des citoyens, à l’égalité sociale.

En revanche, la question du pilotage démocratique des territoires dans leur diversité, c’est l’organisation des inégalités dans un monde réel qui produit mécaniquement de la discrimination, comme l’illustrent le fait métropolitain et les effets d’agglomération…

-- Revenons à la relocalisation. Les innovations techniques comme les nouvelles aspirations sociales n’offrent-elles pas de nouvelles ­possibilités ?

>>> Oui. L’impression 3D permet de produire de manière additive des pièces complexes avec moins d’intervention humaine, ce qui ouvre la voie à une relocalisation de certaines productions.

Je pense d’ailleurs qu’en matière de délocalisation de l’activité, nous avons mangé notre pain noir. Du fait des mutations internes aux grands pays émergents – le développement d’une classe moyenne en Chine notamment –, des innovations technologiques, mais également de la part croissante des services dans les dépenses de consommation. Les plus jeunes sont désormais moins soucieux de posséder un bien que de disposer de son usage, [propriété d’usage des outils de production ] par contrainte ou par choix, et cela porte le développement d’une économie de fonctionnalité ancrée localement. »

Un regard très sceptique sur l’avenir du local aboutit à son effet inverse. Déjà, à partir de questions coups de poing qu’il génère : à quoi sert de relocaliser au maximum si le local n’a plus de potentiel ? Toute autre solution qui ne relocalise pas semble vouée à l’échec ? Le local est donc nettement plus puissant que la propagande (bêtement paternaliste) ne l’admet ? N’est-elle pas le socle naturel de toutes les résistances possibles (dont certaines n’ont pas encore de noms !) ? De ces quelques questions (mais il peut y en avoir tant d’autres !) il apparaît clairement que le local est devenu (dans l’indifférence ahumaine et l’irréalisme des prétendus dominants) le fer de lance de tous les changements généralisés. Que qui n’a pris conscience du local n’est plus « dans » la réalité. Grands basculements des mentalités s’il en est. Ne suivons plus les prétendus dirigeants : ils se sont carrément gourés de train !

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Le-territoire-fait-il-les-mentalités ?

"Vote-t-on comme on habite ? C'est en tout cas une idée qui fait son chemin depuis quelques années dans le commentaire électoral. On a ainsi entendu de plus en plus souvent parler d'un « vote périurbain » qui se porterait volontiers vers l'extrême droite. Il serait moins déterminé par la position sociale des habitants de ces zones (tout au plus la qualifiera-t-on de « populaire ») que par leur distance à des centres-villes au vote davantage modéré, voire ancré à gauche. « Plus encore que les distinctions socio-économiques ou socioculturelles classiques, c'est la localisation de l'habitat qui apparaît comme l'élément le plus prédictif de l'orientation politique », assurait ainsi le géographe Jacques Lévy au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle de 2012. [ce qui compte ici c’est le rapport localisation et…mentalités !]

"Si on se garde des excès du « spatialisme » (expliquer les phénomènes sociaux par les propriétés de l'espace), l'approche géographique peut en revanche contribuer à affiner l'analyse sociologique « classique » du comportement électoral. Et à comprendre par exemple pourquoi, comme le rappelle le géographe Jean Rivière, « être un ouvrier qualifié qui habite à Paris dans un quartier de cadres n'entraîne ni la même perception de soi, ni les mêmes dispositions politiques et électorales qu'être un ouvrier qualifié vivant parmi d'autres ouvriers à Lens ». [ donc même milieu mais mentalités très divergentes ?].

Pour le comprendre, les chercheurs s'intéressent à des variables secondaires telles que le type de contrat de travail (intérim, CDD, CDI…), le statut d'occupation du logement (locataire du social, du privé, propriétaire accédant ou non), la durée de résidence ou bien encore l'appartenance au secteur public ou privé. »

** - Les pourquoi de ces quelques mots sur le spatialisme ? Les même que sur les causes de l’égoïsme perdant communal, régional ou national. Les structurations par le travail ne peuvent tout expliquer ( travaux de conceptions aux centres et d’exécution aux périphéries. La mondialisation ruine les périphéries parce que les centres…ne veulent pas les protéger). Comme le lien suivant va le dévoiler.

« Cette crise de la solidarité n’est-elle pas aggravée par celle des finances publiques ?

Bien sûr. A partir des années 80, la production se concentre dans les territoires riches. Les mécanismes de redistribution tentent de pallier ces inégalités, ce qui creuse des déficits publics monstrueux. Depuis trente ans, les territoires riches ont subventionné très fortement des régions très peu productives comme le Limousin ou le Languedoc-Roussillon, qui ont bénéficié de revenus sans commune mesure avec leur création de richesse. Sauf qu’au niveau de déficit public où nous sommes arrivés, tout cela c’est fini. Le consentement à l’impôt se réduit, les liens entre régions riches et pauvres se délitent. Même en Allemagne, les trois Länder les plus riches (Bavière, Hesse et Bade-Wurtemberg) disent : «Il faut revoir le système, les Länder pauvres dépensent trop.» La Bavière traite les Länder pauvres comme Merkel traite la Grèce ou l’Espagne ! [vision clairement tellement réductrice qu’elle « are » 80 % du réel !].

Les-régions-riches-ne-veulent-plus-jouer-le-jeu-de-la-solidarité

On n’entend pas ce genre de discours en France…

La France est épargnée car ces phénomènes de redistribution sont très peu étudiés, et restent donc opaques. Mais aussi parce que sa région la plus riche, l’Île-de-France, n’a pas d’identité culturelle. Le désir d’autonomie des régions riches s’appuie toujours peu ou proue sur une identité culturelle réelle ou supposée. » [rappelons que Paris « prend » à lui seul autant que 13 Régions sur 22, d’après l’ancien découpage du moins ]

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La pensée journalistique (obligation du « récit » à tout prix alors que la pensée n’est jamais un… récit, discursive – et donc décrire, juste décrire de l’extérieur et jamais …expliquer). Nous avons vu que les riches sont bien plus « aliénés » que les autres classes. Oui esclavagisés par leur pensées, possédés par les entités, le bouillon de culture de leurs entourages : pauvres êtres toujours dévalisés du meilleur d’eux-mêmes. Et donc ? Commencer par détruite « l’entité » propagande est bien plus efficace que toute autre posture. Notamment celles de ceux qui veulent « passer dans les médias » et donc acceptent d’être dégradés à l’extrême, déculturalisés. Et salement enfoui derrière la pensée journalistique inutilisable sur le terrain. Nous avons déjà veillé à cela – nulle part nous n’avons parlé des techniques qui nous permettent de « lire à travers les murs ». De rendre complètement physiques chaque écrits, paroles, photographies, etc.…oui de décrypter l’habitus même de l’émetteur ou l’émettrice. Et donc – même si l’intention est peu reluisante oui de reconquérir ce qu’il y a d’actif dans leurs simili-réflexions. Nets avantages. Le global par concentrations mentales (toutes techniques mondiales plutôt inconnues en occident). Et le terre à terre local par esprit hyper pratique très attachée aux solutions (rien n’est jamais trop petit pour lui). Notons que la jonction des deux c’est ce qui est nommé « génie » - concept devenu inaccessible aux prétendus dirigeants. Quoi de plus compréhensible : ces égarés croient que l’argent « existe » plus que la réalité. Alors que - 1) ce n’est qu’une convention - 2) ce n’est qu’une unité de mesure (comme le kilo ou le mètre). Et qu’il n’est pas la richesse qui lui reste extérieure. Et qu’il ne fait, lui, que mesurer…abstraitement ! Etc.

 

Reprendre en main la culture, la fabrication des concepts et la suprématie de tous les contenus sur les contenants ne permettra plus de centralismes aussi extrémistes que ceux du si arriéré Paris. En fait, les trop riches sont attachés à une idéologie en pleine chute. La fin de cette idéologie sera, aussi, celle du pouvoir abusif et très antirépublicain de ces illégaux trop riches. Ils se sont trompés sur la direction du sens de la progression collective : en fait, ils n’auront fait que reculer !

 

………………………….Localement rien ne se perd !!!

 

 

……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

 

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Comment les territoires peuvent se défendre ?
excès de centralisme...

excès de centralisme...

Paris est TROP centraliste et nuit au pays

Paris est TROP centraliste et nuit au pays

Comment les territoires peuvent se défendre ?
le local précède-t-il toujours le central ? Au 1er Janvier 2017, est entrée en vigueur la loi interdisant l’utilisation de produits phytosanitaires pour les communes. Plus de pesticides pour les communes. Des communes, très en avance, n'avaient pas demandé l'autorisation !

le local précède-t-il toujours le central ? Au 1er Janvier 2017, est entrée en vigueur la loi interdisant l’utilisation de produits phytosanitaires pour les communes. Plus de pesticides pour les communes. Des communes, très en avance, n'avaient pas demandé l'autorisation !

Comment les territoires peuvent se défendre ?
Comment les territoires peuvent se défendre ?
Comment les territoires peuvent se défendre ?
La Terre vue de nuit (montage photographique) : les territoires riches et intégrés à la mondialisation sont lumineux, les territoires en marge sont relégués ...que petit est (alors) l’orbe de la mondialisation !

La Terre vue de nuit (montage photographique) : les territoires riches et intégrés à la mondialisation sont lumineux, les territoires en marge sont relégués ...que petit est (alors) l’orbe de la mondialisation !

Le nouvel égoïsme territorial ?

Le 24 mars, Laurent Davezies, professeur au CNAM, titulaire de la chaire "Économie et développement des territoires", était l'invité du Grand Journal, présenté par Hedwige Chevrillon, sur BFM Business.

Entre local et global : les territoires dans la mondialisation

il n'ya pas que là que nos inactions nous...nuisent !

La santé mentale crie "la décentralisation des enjeux c'est le vrai réalisme". Et nous ?

RELOCALISER L’ ÉCONOMIE

Acheter Français OUI Mais lorsque les produits ne sont plus fabriqués, il faut relocaliser, créer des zones de relocalisations, taxer les produits importés et utiliser la taxe d'importation pour financer des aides aux relocalisations

et surtout pour les citoyen-ne-s !

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