De l’autre côté du miroir (1)

Publié le par imagiter.over-blog.com

De l’autre côté du miroir (1)

C’est une métaphore, en fait. La racine du mot « métaphore » veut dire se porter, (se) transporter. Et, par extension, traverser. Traverser donc le miroir. Cette image permet de faire entrer dans ce miroir tout le sens du toucher. Le toucher de la proximité, de la mitoyenneté. Le miroir – du verre posé sur du tain, le tain du lointain qui le rend si proche, le rapproche (comme à toucher…), oui nous y transporte les expériences, les vécus et les trains de sensations - dont il va s’agir plus loin – jusqu’à…tout le monde. Tous ceux ou celles qui auront la bonne idée de lire ce texte !

Solutions ? Comme de traverser le miroir. De se porter de l’autre côté. De sauter le pas, de tenter de reformuler et de revivre, à sa façon personnelle, les expériences offertes. Et pourquoi ? Parce qu’elles entraînent de profonds changements de mentalités. Par les transformations des points de vue, de façons de regarder, de se sentir infiniment plus près des solutions que de se ressentir ligotés et embrouillés par les problèmes (comme aujourd’hui, encore, pour la majorité). Disons, en très bref, que la réalité c’est d’être, à la fois, des deux côtés du miroir. Ces propos raccourcis seront mieux compris au fur et à mesure que le texte se déroulera.

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La méthode sera de fondre des témoignages comme s’ils n’en formaient qu’un seul. Tout le monde est d’accord : ceci a l’avantage d’économiser tous les contextes. Lourdement nécessaires à chaque fois. Le même « Je » réunit tous les témoignages mais les guillemets seront conservés. Le tout afin de ne se concentrer que sur l’essentiel. Qui est : ces témoignages, pourtant simples, font comme de « traverser le miroir ». C’est qu’ils le font, en fait ! Disons que leurs contenus ardents importent plus que les décors. Ce sont des flèches de lumières qui économisent une certaine part des efforts…de compréhensions (pas de compréhension sans effort de compréhension !).

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Sur le rocher comme dans le volcan de l’univers

Ce sont des minuscules îles de rochers où pullulent les oiseaux. Il faut les escalader et avoir le pied sûr puisqu’elles sont en à pic au-dessus des flots de l’océan. En fait, c’est plutôt un chapelet de presqu’îles rattachées l’une à l’autre. Se faufiler, alors, dans les failles qui les relient l’une à l’autre et aboutir à la plus petite tout au bout. Les pieds dans l’Atlantique. Plus rien que les flots et l’horizon. Ce jour là le soleil donnait à plein. Pas de vent et de l’iode musclée. Bon, l’escalade risquée cela fatigue, je me posai donc bien tranquille sur le roc et sa chevelure d’herbes. Et…la vision m’enveloppa, me capta tout entier, me captiva, me submergea et m’emplit intégralement. J’étais tout-dedans et elle pouvait durer l’éternité. C’était tout la réalité. Un léger courant qui ourle de petites vaguelettes captant chacune un diamant de soleil. Répercutés des millions de fois, ces éclats de lumière encerclant de trois côtés. Toute la vision périphérique prise dedans et bercée. Silence et immensité. Oui comme sur un volcan paisible mais tirerait sa langue gigantesque à perte de vue. Des gemmes de magmas dansant sur les flots. Le soleil vibrant de sa mince vapeur multiple bourdonnant dans l’air pur.

Et le saut de niveau de réalité a eu lieu. I l n’y a plus de plancher des vaches. Plus de terre sous les pieds. Rien de stable. Qu’un espace dansant et mouvant. Qu’un vacillement déroulé et soi, au-dessus, comme un grain d’univers. Le tangage est dans tout le corps et dans le ventre toujours basculé. C’est tout l’univers qui déploie sa démesure sous moi, bulle infime. Balancements infinis. Tout est flots de lumières et de magmas sertis en bijoux. La perte de vue la fait retrouver à fond. Les sensations sont au-delà du déjà vécu. Dedans dehors, plus de frontières et plus de limites. Tout l’univers vous en enlace et vous rocking bouge. Les yeux sont rassasiés jusqu’à l’éternité. Peu de pensées, très peu, et des marées de sensations toujours recommencées. Mais une pensée trône et vous fait boire dans la coupe de toute paix. « C’est ainsi qu’est l’univers infini, un flot de feu qui ne finit jamais». Ce qui dépasse les données scientifiques, ne coïncide pas tout à fait mais devient plus que convaincant lorsque vécu ! Ceci est un tatouage qui vous marque pour la vie. Fermez les yeux et vous retrouvez cet été qui flamboie, cette instabilité qui se déroule sous vous et vous fait perdre tout désir de rester collé à quoi que ce soit. L’univers vous emporte et vous emportez l’univers. Les incertitudes vous rendent à la vraie puissance : trouver la sécurité dans ce que nous ne savons pas, dans ce que nous n’avons pas encore vécu. Dans l’inconnu.

Disons que cette expérience, si charnellement vécue, restera une oasis où vous pourrez laver toutes vos pensées à la Jouvence de la vie qui vient, encore, de naître et renaître ! C’est le concret de l’autre côté du miroir : le royaume des expériences et des flashes…durables.

Ce qu’aucun pouvoir intéressé ne pourra jamais atteindre, un trésor plus qu’à l’abri. Leur propagande peut vous harceler, vous causer de centaines de petites pîqures, là (de l’autre côté du miroir) elles ne peuvent plus vous atteindre. Vous pouvez vous y gratter en paix de traces des propagandes massives. Vous défaire de ces malsains oripeaux à loisir. Vous laver de tout reste d’imprégnation. Tout, oui. La seule limite c’est que vous ne pouvez forcer quiconque de traverser le miroir. Empêcher les autres de passer à côté de ces trésors pour la vie. De se nuire à eux-mêmes et d’aller contre leur propre intérêt. Sinon de le raconter ce conte nu. Jusqu’à ce que le déclic se fasse clic.

De l’autre côté du miroir : là où s’ingénie le génie ! L’ingénieux génial. Le lieu de toutes les transformations et des transmutations, des changements infinis et toujours recommençables. Ce qui n’a rien à voir avec l’image nébuleuse des souvenirs puisque vous faites entièrement partie de tout l’univers et votre corps en tressaille de joie. Vous êtes éveillé et ces plus que rêves (lorsque vous êtres si conscients et toutes les émotions se meuvent dans la réalité tangible) sont devenus votre vie quotidienne. Celle de votre ardeur. Celle des 3 GGG – dont la signification ne peut se lire que …de l’autre côté du miroir !

S’il y a des flashes mentaux, des satori, des illuminations, des lasers de lumière qui vous changent pour la vie. Ce qui se trouve déjà dans tant de livres. Il y a, aussi, disette des expériences incarnées contées et racontées. Vécues en toute conscience par tout le corps et tous ses sens. Ces expériences, qui demeurent qualifiées de « visions », alors qu’elles vous font retrouver la vue.

 

C’est cela, concrètement, être entré de tout le corps dans l’univers (« dans » l’espace ! Dans sa charnellité sensualisée !). Espace qui ne connaît qu’une seule loi « en moi tout est possible et le reste ». Oui et vous remarquez, aussi, que ces expériences, qui donnent une valeur infinie à votre vie, sont gratuites, ne vous demandent aucun argent. Sinon d’être dans Nature, avec elle et dans son attente si éveillée.

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**- 2) >>>>

Dormir sur la terre - le ciel nous illumine de partout

Des conseils thérapeutiques ouvrent que notre santé aime que nous dormions directement sur la Terre, sur le sol vivant et traversé de milliards d’ondes. Et il y a des périodes enchantées pour cela : l’été aux nuits de velours. Sans froids et sans reproches. L’idéal s’obtient avec un ciel immensément étoilé et gavé de voie lactée. Un peu loin des villes. Vous vous assoupissez au rythme de la terre, vous reposez dans les bras de l’infini. L’expérience réussie ? C’est lorsqu’il n’y plus de différence entre l’intérieur et l’extérieur – ce que vous percevez de votre environnement et de votre vie intime. Lorsque les deux se superposent parfaitement. Que vous fermez les yeux sur votre univers étoilé intérieur et les ouvrez sur la réalité si paisible de l’univers au calme. Vous pouvez apprendre, aussi, à recevoir, percevoir, ressentir, accueillir, vous rendre sensibles aux pulsions telluriques, à la terre qui vibre. Tout votre corps est enveloppé du sommet insurpassable de la sécurité : soit la paix inépuisable qui coule des cieux. Et, enfin, vous vivez le saut de la réalité. Lorsqu’elle nous fait franchir des dizaines d’étages à la fois. Vous dansez la ronde de l’univers, vous êtes bercés par son gigantisme qui parait un écrin où il n’y a plus besoin d’aucune certitude. Puisque tout est sûr, désormais. La vie est une merveille et sa contemplation une des activités principales dont c’est le « devoir impératif » d’un être humain de la …remplir. Si vous n’avez jamais contemplé de votre vie, vous êtes devenus …nuisibles. A vous, aux autres et à la vie !

Dans cette expérience d’avoir comme lampe de chevet tout l’univers, il n’affleure aucune pensée. Et, comme toute expérience réussie, elle peut durer éternellement. Le temps n’y compte pas, vous êtes le temps de tout votre corps. Ce qu’il s’agit de garder en mémoire ? Qu’il faille s’orienter dans toutes les expériences qui nous font vivre le cosmos complet. Les multiplier. Celles qui nous incarnent le gigantisme démesuré et pourtant vivable dans un lieu fractal (qui est protégé de tous les autres lieux poupées gigognes !). Et – une fois de mieux – et le mieux est miel et le mieux peut remplacer toutes les puérilités stupides du monde actuel. Avec le mieux c’est toujours mieux. Oui, avec le mieux c’est toujours mieux. Autre oasis de Jouvence dans votre vie. Tatoué pour la vie en vous. Un autre trésor tout aussi inépuisable. Seul le gratuit absolu porte la marque de la plus haute qualité. La gratuit c’est le luxe inouï ! Seuls les véritables élégant-e-s connaissent la valeur insurpassable du gratuit et de ses gratitudes. Ils sont les vrais maîtres du monde. Puisque initiés à tout l’univers !

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**- 3) >>>>

Devenir un morceau du paysage

Nous vous conterons encore d’autres expériences physiques. Une dernière, cependant, pour ce texte afin de dépayser quelque peu. Surtout les pensées intruses et qui n’ont pas à l’être. Elle est, aussi, excessivement intense. Besoin de rien : sinon d’un peu d’herbages et s’y asseoir. Et, un peu de silence (choisir ses heures !). Se ralentir par l’écoute intégrale... C’est que, de nos ancêtres préhistoriques, nous avons hérité de l’oreille du guetteur, celle qui leur permit de survivre. Dans une posture tendue toujours, afin de n’en point perdre une miette. Ici, jusque guetter mais sans rien attendre. Cela n’en arrive que mieux. Détente entière. Et, mieux encore, l’écoute évince les pensées, il n’y a plus de pensée. Que des sensations tous azimuts : les animaux si silencieux qui courent dans l’herbe, les oiseaux, le sol qui frémit, le vent qui module. Quelques étages d’écoutes intenses plus loin – nous pouvons percevoir une taupe qui fouie, un mulot qui gratte, une abeille qui froisse la fleur, un buisson qui crisse et une infinité d’infra-bruits qui aiguisent, d’autant, nos sensibilités. Disons que cet ensemble de perceptions activées nous anesthésie en ce qui concerne notre présence. Désirante. Pas d’activités autres que de vibrer à fond. De ressentir notre infini intérieur. Pas d’attentes. Pas de but. Autre que de vivre éveillé : d’où l’endormissement superficiel de tout ce qui peut perturber. L’ensommeillement des vaines agitations.

Et ? La perte joyeuse de tout besoin d’identité. Nous sommes moins que le socialement exhibé. Mais tellement plus à la bourse des valeurs de l’univers. Tellement. Plus. Nous sommes devenus des morceaux de paysage. Fondus dedans. Quasiment indécelables. Bref - expérience qui vaut son pesant d’or. Et plus même. Ne plus avoir besoin d’identité c’est se ressentir tout : ce vent qui nous caresse, ce vif rayon de soleil, ces parfums floraux qui se diffusent, ce ver de terre qui émet un micro-son, ce goût de terre et d’iode qui nous salivent, ce papillon qui agite l’air immense de ses ailes petites. Nous sommes tout et tout nous est. Sans plus la moindre pensée, aucune, sinon la sensation musclée de faire partie de tout à la fois. De tout accueillir, de tout recueillir : bref, de vivre la plus somptueuse des « réceptions » possibles. Invité(e)s ? L’univers entier et tous les paysages. Oui, nous vivons toutes les richesses du cosmos prodigue au lieu de les dessécher à les foutre dans des coffre faibles. Quelles têtes d’étourdis sans

La première fois, faut s’accrocher, c’est un peu dur. Tout nous distrait et nous perdons le trait. Le trait qui conduit le véhicule d’aller plus haut mais sans rien conduire. N’y inclure aucune volonté. Et le second trait – celui qui atteint toujours le centre de sa cible. Mais, avec un peu d’efforts, nous pouvons redevenir des morceaux de paysage à volonté. Se rajeunir par pertes de tout besoins d’identités à chaque fois que notre santé nous dit « stop avec ces virus ! ». Ce qui surpasse tous les nectars et les excitants de la société humaine ! Adhérer au paysage sans désirer être plus c’est avoir réussi à incarner une identité…sans limites.

…………Que du gagnant- gagnant, les loosers de la haute !

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…………………(à suivre)

 

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Plus-les-médias-sont-tapageurs-, plus-notre-vie-intellectuelle-se-dégrade

Expliquer-l'énigmatique-par-l'inconnu

Faire-des-erreurs-c'est-apprendre-encore-plus-vite

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

De l’autre côté du miroir (1)
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tout ce que l’argent ne peut pas ? L’essentiel de la vie en société

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De l’autre côté du miroir (1)
ce pourquoi écarter les vrais écrivains et les penseurs du centre de la société est un très grand crime.

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à force de ne plus raisonner et de discuter de problèmes de fond l’intelligence des prochaines générations est en péril…

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De l’autre côté du miroir (1)
De l’autre côté du miroir (1)

….en prétendant combattre l’ignorance les fausses élites ne font-elles pas tout pour la propager ?

Être au monde c’est vivre sans miroir…puisque nous l’avons…traversé. S’il y a un « il voyage en solitaire » lui/elle seuls peuvent en parler. Or tout le monde se permet de parler à sa place pour ne rien dire. Où est l’anomalie ? Dire une info bénéfique et la recouvrir encore plus vite de falsifications, mensonges et impossibilités logiques. Et – pendant ce temps – nous sommes tous privés de ce message irremplaçable, unique qu’elle/lui seul peut dire ! Il n’y a donc qu’anomalies de « ce » côté du miroir ?

De l’autre côté du miroir

C.G Jung L’imago et l’ombre archétype

Quoi que vous puissiez faire, Quoi que vous rêviez de faire, entreprenez-le ! L’audace donne du génie, de la puissance et de la magie. Mais commencez maintenant ! Un texte essentiel de Goethe, qui insiste sur la notion fondamentale de l’engagement personnel afin que joue la magie de la vie. Tant que nous ne nous sommes pas engagés, persistent l’hésitation, la possibilité de se retirer et toujours aussi dès qu’il s’agit de prendre des initiatives ou de créer. Cela nous maintient dans une certaine inefficacité. Il y a une vérité élémentaire dont l’ignorance tue quantité d’idées et de projets magnifiques : dès l’instant où l’on s’engage totalement, la Providence bouge aussi. Toutes sortes de choses se produisent qui viennent à l’aide de celui qui s’est mis sur sa voie, alors qu’elles ne se seraient jamais révélées autrement. Toute une série d’événements découlant de cette décision se mettent au service de l’individu, aplanissant les incidents imprévus, favorisant des rencontres et l’assistance matérielle que l’on n’aurait jamais osé rêver d’obtenir.! Aucun bénéfice ne découle d’être lâches et fainéants et de le rester !

À la croisée du théâtre, de la magie et du conte, Belkheïr nous invite à traverser le miroir. De l'autre côté, les cartes parlent, dansent, jouent, se confient en toute liberté, telles des acteurs de papier.

Il faut quitter, s’échapper, sortir des routines qui nous avaient encerclées dès la naissance – pour passer de… l’autre côté du miroir. Le non – celui translucide de la lucidité ! Purifiée de toutes les scories de son imago. Et de l’umbra qui l’accompagne. Que du diamant pur. Qui – bien évidemment – ne peut être « crazy ». Seulement qui en parle si mal…et qui prouve qu’il ne connait rien à Mother.

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A
« Comment passer de l’autre côté du miroir ? »<br /> Il n'y a pas de méthode.<br /> Par contre, ceux qui ont pu passer de « l'autre côté du miroir », qui sont descendus au fond du gouffre avec le lapin blanc, et pris ensuite le chemin du retour, peuvent conter leur aventure et, éventuellement, permettre d'apporter quelque chose de positif à leurs prochains, et ainsi améliorer le monde.<br /> Cordialement.
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I
Bonjour, d’accord avec vous<br /> Le « comment » du titre ajoute que c’est du concret dont il s’agit : comment faire pour que le maximum sache transmettre ? Merci du commentaire….<br />