Vices privés, vies viciées ?
L'égoïsme, hélas, est une condition de la prospérité. Il est souhaitable. Plus tout le monde est égoïste, plus les pays sont riches. L’économie est immorale, il ne faut surtout pas aller contre. Non, mais vous n’y penser pas…ce serait…immoral ! Le capitalisme s’égare à nommer ceci un paradoxe. Là, où il n’y a qu’une immense catastrophe sociale. Nous allons voir que ces graves défauts de logiques n’existent que pour que les dominants accumulent tous les méfaits. Mais le fassent avec bonne conscience. C’est pour le bien de tout le monde que l’explosion des inégalités financières, après tout. Il faut en être très contents Or le flot de faits prouve que cette « croyance », jamais démontrée, ne fonctionne pas du tout. Mais pas du tout !
** Déjà son contraire. Que l’intégrité et l’honnêteté empêcheraient les profits devenus nocifs (et ceci devrait, pourtant, être un bienfait). Qu’il y aurait complètes incompatibilités entre la prospérité et de la vertu (nous démontrons que la prospérité c’est pour tous et la richesse pour quelques uns – ce pourquoi les corruptions et fraudes en tous genres des trop riches n’amènent donc aucun « bienfait public » puisqu’ils se… monopolisent tout et empêchent les « bienfaits publics » d’agir ! ). Enfin, que la vertu politique ne conduirait seulement qu’à l’austérité…Tiens donc, ne sommes nous pas en austérité toujours reconduite ? Et ce sont donc les vices privés qui causent visiblement l’austérité. Tout faux l’irrationalité des vices privés ? Oui, et où est donc la prospérité ? Dans le quiproquo – où la prospérité est pour tous et fonctionne par la redistribution des richesses et la propriété publique des moyens de production. Quiproquo ? La prospérité n’est pas la richesse pour quelques uns, oui juste pour une minorité. Qui fonctionne, en plein jour, avec tout l’argent gratuit pour les seuls trop riches. En dernier lieu : de quelle prospérité s’agit-il ? Oui la prospérité des pollutions. Des prospérités d’air irrespirables. Toujours plus de pics de pollutions. C’est bien une prétendue prospérité qui tue qui vit prospèrement. Les vices privés ne deviennent donc jamais des… vertus publiques (un air pur).
Cet effondrement de cette fable plus que stupide semble bien complet. Puisque si « vices privés = vertus publiques » la réversibilité doit bien exister. Et donc «vertus publiques = vices privés ». Où est l’intérêt individuel ? Les résultats « bienfaiteurs » de ces égoïsmes vicieux, s’ils vicient tout ? Et ne nous font vivre que dans les pollutions qui…seules prospèrent ? Et plus nos santés (physiques et mentales)…Ce texte, lui, démontre tout ce qu’il dit. Que le capitalisme repose sur zéro théorie valable. Et que les vices ne connaissent que des vicissitudes ! De toute façon le but de Mandeville était de « prouver » que les vices privés ont pour résultats les…bienfaits publics. Ce qui ne semble plus du tout le cas. Si ce l’a jamais été.
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Les vices sont moralement condamnables mais économiquement utiles : pour être vicieux moralement, ils n'en sont pas moins économiquement souhaitables, et pour être économiquement souhaitables, ils n'en restent pas moins des vices La conséquence la plus nette de ce raisonnement, c'est la séparation de l'économie et de la morale comme deux ordres absolument hétérogènes l'un à l’autre. Cette séparation artificielle, intra-humaine, ne peut absolument pas exister dans la…réalité. Et ses constantes universelles. La réalité ne sépare rien. Et surtout pas les actes de leurs conséquences. Le capitalisme est, moralement et économiquement, hétérogène à toute raison. Et humainement et socialement – il n’est pas du tout souhaitable ! Les vices privés qui seraient de bienfaits publics c’est juste, une… fiction.
Recommençons par : l'égoïsme, hélas, est une condition de la prospérité. Oui la claire prospérité des pollutions. Des prospérités d’air irrespirables. Leurs envahissements amplifiés à ces prospérités. Toujours plus de pics de pollutions. C’est une prétendue prospérité qui tue qui vit si prospèrement. Les vices privés ne deviennent donc jamais des… vertus publiques (un air pur). D’autant plus que Mandeville parlait de « vices privés, bienfaits publics ». Donc de l’anthropologie de l'intérêt. Jamais de la vertu morale. Ce qui change toute la construction idéologique faite autour de sa fable plus que stupide (trop affable la fable pour être honnête !). Et son effondrement qui semble bien complet. Puisque nous n’avons plus qu’une juxtaposition de vices privés, s’ajoutant aux vices privés, s’ajoutant, vices privés, s’ajoutant, etc. Juxtapositions séparées ne se joignant que pour leurs catastrophiques résultats .Et dont la somme finale est que cette prospérité gigantesque nous… tue tous. Merci les vices privés ! Il n’y a eu absolument aucune transmutation. Les deux réalités sont demeurées entièrement hétérogènes. Et ne sont pas rencontrées !
C’est que, en fait, la commutabilité n’aura jamais agi. Puisque si « vices privés = vertus publiques » la réversibilité aurait dû exister. Et donc «vertus publiques = vices privés ». Nous sombrons, alors, dans la stupidité infinie de la pensée capitaliste, cet assemblage de pulsions bestiales qui ne peuvent rendre raison sur rien ! Et, surtout, pas s’autocontrôler, pas s’autoréguler. Elle n’est « vraie » que dans un sens « orienté ». Pour toutes les autres directions elle devient fausse. Surtout lorsqu’elle refuse d’admettre qu’elle ne parait plus que comme déraisons et croyances archaïques dans toute la réalité. Sauf son petit angle « orienté » !
Et voici que nous dénouons ce qui représente la complète impossibilité intellectuelle du capitalisme. Comment ?
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Mélangeant – frauduleusement - les mœurs, les relations sociales et l’économie, toutes les dérives mentales capitalistes commencent pas décréter que, sans le laxisme économique le plus complet, la vie serait triste et austère. Ensuite, sans un seul pivot argumentaire intermédiaire, il est de nouveau décrété qu’une société riche ne peut venir que de l’acceptation des vices privés. En maintenant toujours le flou peu scrupuleux entre mœurs et économie. La régulation économique n’a rien à voir avec les mœurs. Les mœurs n’ont pas particulièrement à se voir bridés – mais les comportements économiques et sociaux, oui. Jamais n’a été démontré que l’explosion excessive des inégalités financières (qui bloquent toute la société) augmente la douceur de vivre. Elle la diminue très visiblement. Ni que toutes les injustices sociales amplifient les biens-êtres individuels. Elles augmentent plutôt les mal-êtres. Il s’agît bien de séparer mœurs et économie. La malhonnêteté capitaliste tient trop à leur union contre-nature.
En économie, ce qui seront nommé vices privés ne conduisent certainement pas vers un progrès global. La morale en politique et en économie ne sont pas du tout inadéquates. Ni incompatibles. Ne sachant absolument pas s’autocontrôler c’est à la société de les autoréguler…la société ne peut pas accepter les vices privés économiques sans limites. Pour le fait très simple que ces vices privés veulent demeurer irresponsables et inconscients. Ce qui multiple corruptions, fraudes des trop riches, auto-laxismes, refus lâches de leurs parts d’assumer leur rôle social (qui n’est pas que de vivre trop grassement en parasites sur le dos de la société), etc. Bref, en un mot, leurs vices économiques…vicient tout. C’est juste de la corruption à hautes doses ! Aucune démonstration que la monstration de monstres !
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Donc à l’assertion que l'égoïsme, hélas, est une condition OBLIGATOIRE de la prospérité – nous avons vu cingler un retentissant démenti. L'égoïsme est la causalité folle, qui tourne en rond et ne peut sortir d’elle-même, de tant de pollutions. Que, puisque cette prospérité peut inclure toutes les pollutions, tous les déchets et tous les empoisonnements – nous ne pouvons dire que cette prospérité engendre la prospérité pour tous. Elle l’annule et elle l’empêche. De fond en comble. Tue son nid de vie et bloque net son futur. Ce qui n’a plus vraiment le visage de la jouissance et de la douceur de vivre. Le capitalisme n’a jamais eu la moindre séduction. Sauf pour les pervers et les parasites ?
La prospérité qui n’a que le moteur de l’égoïsme fonce toujours dans le mur de sa propre fin brutale. La Nature c’est partout régulations, l’Humanité ne peut que suivre cette règle et affirmer que les vices privés ne font pas les vertus publiques. Cupidités, oublis des autres, incapacités à s’autolimiter (le capitalisme se pisse dessus sans arrêts – le problème de ses « viciations » c’est, justement, qu’il pisse trop à côté de lui !). Notons, alors, que la nature n’a ni vices privés ni vices publics – ce pourquoi elle peut être tant …viciée par les vices humains….
Le simplisme inexcusable du « soyez égoïstes, cela enrichit tout le monde » se trouve entièrement inclus dans l’illogisme dangereux capitaliste. Disons que, pour les idées, ni capitalisme ni néolibéralisme ne semblent très regardant. Ni bien exigeant. Le principal étant de continuer à faire des profits même si plus aucun argument solide ne permet de le faire. C’est fait, il ne leur reste plus aucun argument ! Nous verrons si la « fiction » des profits (ces coûts bien réels mais…reportés ailleurs !) pourra rester crédible longtemps !
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Et sa fable plus que stupide qui délire « vices privés = vertus publiques » de tomber en lambeaux. Donc «vertus publiques = vices privés ». Et les vertus publiques pourront ainsi tourner un milliard d’années…en rond. Tous les cas de figures dénoncent des vices privés qui restent vices privés. Pour eux aucune transformation – leurs inerties alliées à leur arrogances démones empêchent la survenue de la plus…petite vertu publique. Les vices privés prenant toute la place où une seule vertu publique pourrait se faufiler. La matrice démontre un blocage structurel vices privés = 2. Vertu publique = 0. Soit pour le choix impossible : 4 pour 0. Et ce quelle que soit la giration, les vices privés occupent tout l’espace où « il y a du jeu afin que les rouages fonctionnent et que les mécanismes tournent bien huilés. » Vices privés c’est sécheresse partout, rouages grippés, plus d’huile, mécanismes gelés, machines toutes immobilisées. Tout est vicié dans le vice : même la possibilité de se transformer en vertu ! Sinon ce ne serait pas un…vice !
Et le tout vicié…air eau cœur langage politique justice, etc. Seul un tiers public peut, alors, mettre fin à cette catastrophe. Le privé c’est la mort parce que la vie entière est régulée. Et que de la déréguler c’est carrément du vice. Du vice viciant. Du vice plein de vices. Le privé hurlant sans cesse sa démence nihiliste n’a aucune solution : c’est le problème majeur. Celui qui ne se résoudra jamais en dressant un doigt. Posture, somme toute, très…infantile. Le « Fort da » de Freud. Exactement juste le fort da…
Ce privé malade de sa propre mégalomanie (il peut faire mieux que le public – par exemple en délirant « privatiser les bénéfices et nationaliser les pertes » ? Ce qui avoue, en rampant même, sa dépendance complète envers le public. Son nourricier, son réparateur, son aplanisseur et son…point fixe, que ce public si paternel. Ce privé complètement désaxé, déséquilibré, détraqué…en un mot dérégulé (ce qui contredit toutes les « constantes universelles » qui martèlent toutes un « nul ne peut déréguler »). Le capitalisme une mauvaise tête, un cancre, un tricheur sournois, un voyou entêté qui nie, renie et dénie tout savoir ? On le dirait bien…le dernier des barbares ? Qu’il va falloir d’urgence…réguler !
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L’égoïsme pousse à agir, tandis que la morale invite à la léthargie. C’est donc la dynamique des intérêts particuliers qui stimule la prospérité d’une société, selon le théoricien néerlandais qui a inspiré Adam Smith. Or que voyons-nous ? Face aux pollutions la plus immense des inerties. Les léthargies à 100 %. La prospérité de la destruction des sols fertiles, de la biodiversité et de toujours plus de vie abîmée ! Pas terrible que d’étaler sur soi ce que l’on prétendait que seuls d’autres sabotaient. La vague s’en va. Résultats ? Soit seul est très répréhensible et les autres n’ont jamais été ni n’ont fonctionné comme il avait été décrété. L’égoïsme empêche complètement d’agir. Le capitalisme est un cauchemar qui ne veut pas sortir de sa…léthargie !
POLLUTIONS
Flagrants mensonges plus bêtes que la bêtise ? …Ce seraient les conditions anticycloniques qui « créeraient » les pics de pollutions (dites aux particules) dans les grandes villes. Et non les particules fines issues de la tabagie automobile… Question ? A quoi sert de tant mesurer les pollutions de l’air si ce n’est pour ne strictement rien en faire ? Sinon augmenter toujours plus la circulation… polluante… ? Seconde irruption de la bêtise ?. Toujours n’accuser que qui ne peut se défendre ? Imaginons les conditions anticycloniques qui doivent dire… « mais nous n’y sommes pour rien ! » !…en gros, nous sommes en époustouflante fuite dans la « pensée magique » préhistorique. Agrémentée des tartufferies du « cachez ce réel que je ne saurais voir »…Qu’est-ce que ce serait si ce n’étaient pas des gens « sérieux », hein ?
La-pollution-aux-particules-s'intensifie-en-ile-de-france
Pollution-de-l'air-une-vidéo-pour-changer-les-regards
Pollutions de l’air – toujours les fuites ahuries devant la réalité. Ici « changer les regards » oui pour ne RIEN changer des pratiques. Et ces références qui ne l’auront jamais été… nous aurons tant empêchés de penser ? Et de ressentir toute l’horreur de leurs délires !
/L'hémisphère-nord-étouffé-par-l'air-vicié
Même le journal l’Humanité admet que l’air est vicié. Vicié grâce uniquement et à 100 % aux vices privés
Pékin-purificateurs-d'air-et-portes-closes-contre-une-pollution-catastrophique !
179 jours sur 365 en 2016...
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« Là où l’Histoire offre l'exemple de sociétés vertueuses, de "ruches honnêtes", il s'agit de petites sociétés, peu développées, pauvres, aux mœurs austères et où on ne jouit guère des "commodités du monde". A l'inverse, une "grande société", c'est-à-dire une société peuplée, riche, dans laquelle la division du travail et le volume des échanges ont augmenté de concert, ne saurait, elle, être vertueuse. "Le dessein général de la Fable, c'est de montrer qu'il est impossible d'avoir toutes les douceurs les plus raffinées de l'existence qui se trouvent dans une nation industrieuse, riche et puissante, et de connaître en même temps toute la vertu et toute l'innocence qu'on peut souhaiter dans un âge d'or". Dans ces conditions, choisir la vertu, c'est choisir l'austérité et le dénuement, et choisir de profiter des bienfaits de la civilisation, c'est choisir une société où s'épanouissent les vices et les passions »
Bernard Mandeville: Hayek et Mandeville
« Les douceurs les plus raffinées de l'existence » de Mandeville sont identifiées…ce sont la destruction de la vie dans les sols fertiles, l’air si asphyxiant, l’eau souillée, nos santés dégradées, la perte des biens-êtres, etc. ! Nous pourrions très bien nous passer de ces "commodités du monde" qui sont devenues les pires des… incommodités. Cela semble même tout le contraire d’un âge d’or que toutes ces incommodes commodités. Non un âge d’or, mais bien celui de la fausse monnaie généralisée ! Sa prétendue grande théorie n’est qu’une suite d’assertions qui nous font même régresser vers le pire. Puisque…
……………Les vices ne connaissent que des vicissitudes !
Et qu’il reste souhaitable de…
……………………. ne surtout pas suivre ces impasses si nuisibles !
>>> - Vous sauriez tout cela si vous aviez réellement quitté ce système ! - <<<<<
........……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Tout privilège est illicite en réPublique. Les trop riches féodaux doivent, en somme, aller en prison.
la vertu et plus un site social qu’une astreinte morale – ce site permet de ne nuire à personne tout en vivant au maximum ses biens- êtres !
"L'individu qui vient ... après le libéralisme". Selon Dany-Robert Dufour, nos sociétés ne sont pas individualistes, mais seulement égoïstes. Les individus, sous l'influence des innombrables injonctions de la publicité, cèdent égoïstement à leurs envies et à leurs pulsions. Dany-Robert Dufour pointe du doigt la philosophie libérale: celle-ci trouve son origine au XVII ème siècle dans les idées de Bernard de Mandeville, reprises par Adam Smith, et résumées par l'aphorisme les vices privés concourent au bien public.
Pour Raphaël Enthoven, toutes les abeilles sont tombées sous le charme d'une autre abeille égoïste. L'égoïsme, hélas, est une condition de la prospérité. Oui la prospérité des pollutions. De prospérités d’air irrespirables. Toujours plus de pics de pollutions. C’est une prétendue prospérité qui tue le prospère. Les vices privés ne deviennent donc jamais des vertus publiques (un air pur). Ces effondrement de cette fable plus que stupide (trop affable la fable pour être honnête !). Puisque nous n’avons qu’une juxtaposition de vices privés, s’ajoutant aux vices privés, s’ajoutant, etc. Et dont la somme finale est que cette prospérité nous tue tous. L’égoïsme, ainsi, n’a un compte de résultats que…catastrophique ! Et la commuabilité n’agit jamais. Puisque si « vices privés = vertus publiques » la réversibilité doit exister. Et donc «vertus publiques = vices privés ».
pourquoi n'êtes-vous pas devenues athées du capitalisme ? Ce n'est qu'un idéalisme métaphysique, vous savez !
notons que la nature n’a ni vices privés ni vices publiques – ce pourquoi elle peut être …viciée par les vices humains….
le capitalisme de la séduction : échec total pour lui. Il ne séduit absolument pas (ou plus).