Les littéraires savent donc penser ?
Pendant tant d’années, rejetés, les esprits de culture générale sont de plus en plus quémandés. Pourquoi ? C’est ce que nous allons découvrir ! Le fait central saillant surgit comme si notre société, si dissymétrique, manque toujours plus d’humanité. Et à cause de cela, tellement maladroitement, elle balbutie qu’elle a tant soif d’amour.
Déjà. Le fait flagrant de devoir insister sur … « les littéraires sont bienvenus » souligne qu’ils ne l’étaient pas. Qu’ils le deviennent puisque…pendant tant d’années cela n’aura été qu’humiliations, oui que chassés, que dépréciés, que calomniés et autres, qu’ils paraissaient au bas de l’écran. Comme une sous-humanité. Ce n’est donc que récemment que leurs qualités irremplaçables commencent d’être reconnues. Après un grande absence ressentie… Et cet ensemble de rejets, très illégitimes, fait partie de l’explication centrale à pourquoi la société va si mal. Nous payons les prix d’ostracismes si irresponsables.
C’est-à dire ? Depuis une petite dizaine d’années, il a été timidement admis que depuis les années 1950 un million de français-e-s surdoués n’ont jamais été reconnus ni dans leur cursus scolaire, ni dans les lieux de travail et traversées des institutions, ni par leurs entourages. Et donc ? Nous sommes bien en face d’un gigantesque ÉCHEC de la désorganisation de la société complète…par l’argent fou. Il y a, aussi, ce décret d’adolescents attardés : « on ne publie pas les génies » et les millions de conséquences qui découlent du putsch de la bêtise sur l’intelligence. Un monde à l’envers ! Et donc l’éducation de la société ?….Râtée. A 80 % selon Pareto (nous survivons avec un maigre 20 %)…
C’est quoi le désastre social central ? Que l’argent ne doit absolument pas « diriger » la société. Il n’a aucune des qualités…humaines et intellectuelles pour cela. La véritable culture générale oui. Tous les scientifiques ne peuvent, ainsi, que gagner immensément à travailler en équipes avec des littéraires. L’argent doit redevenir un employé – il n’a jamais eu de pensées pour tout le monde à la fois, (que pour des corporations trop restreintes ! Il est sectaire, l’argent – et ne crée donc que des problèmes et n’en résout aucun…tant qu’il n’est pas dompté !), oui jamais de vision, de vision globale, de sens des mesures, de sens des proportions et du pondéré (le juste poids juste). Etc. Comment le prouver très rapidement ?
En disant, par exemple, « il faut les payer pour rêver »…et vous voilà en train de brailler stupidement. A ne rien faire…et les financiers fous…ne s’enrichissant qu’eux-mêmes c’est la température du très en-dessous de zéro. Infiniment pire que le « rien faire…utile ! »…Pourquoi brailler-vous sans temps d’attente ? La pensée permet de vérifier toutes les possibilités existantes. En les formulant, en déployant les conséquences, en les rendant vivantes, tangibles, palpables et acceptables. Avant de les concrétiser. N’est-ce pas, là, toutes les précautions prises ? L’usage très adapté du cerveau ? etc. Ici l’hypothèse surgit afin que nous allions visiter tous les coins d’ombres délaissés; censurés et…diffamés par l’argent fou. Avec lui c’est le on ne laisse pas passer et on ne laisse rien faire. L’inversion scandaleuse de ce qu’il prétendait faire !
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Ainsi, le désastre du décodex (déconneNext) ! Et son simplisme mental qui prouve à quel point il n’y a AUCUNE INTELLIGENCE derrière. Une machine qui fait juste semblant de penser. Une méconnaissance désastreuse de l’inFormation (ce qui donne la forme…qui formule la formule et procure la formation afin de savoir trouver le sens dans…l’informe)….oui l’information ce n’est pas le factuel. Le défaut dramatique de la pensée journalistique c’est son décret immature « cela doit raconter une histoire ». La pensée est non-discursive (ne raconte pas une histoire linéaire mais juxtapose des milliers d’incidences et d’occurrences non-linéaires). Le simplisme du…factuel est, ainsi, seulement digne de…cancres.
En effet, c’est tout mettre…en images puériles. L’image ? En Syrie il a été produit une image qui devrait prouver à quel point les enfants « souffrent de la guerre ». Mais uniquement des décrétés rebelles – jamais un enfant ne sera un dégât collatéral d’une troupe officielle. Surtout pas. Allons, comment osez vous penser cela ? Oui eh bien, cette photo de souffrance d’une enfant en guerre avait été prise en…Australie. Australie en paix. Et des années avant. Elle pleurait car elle avait eu un petit incident comme tous les enfants qui s’amusent, emportés par l’ardeur du jeu. D’où des pleurs tristounets. Penser sainement c’est donc surtout pas…« croire aux images ». Le discours journalistique, toujours simpliste (le réel est trop immense pour entrer dans « une » histoire), oui ne…sait pas penser. Son jugement est quasiment tout le temps inadéquat. Juger par le factuel c’est donc faire des cancres les professeurs. Pas très sensé.
Donc l’info ce n’est pas le…factuel. Pourquoi ? Tout dépend de l’angle par lequel vous commencez à rechercher sur l’information. De plus, chaque information a plus de facettes que le plus beau des diamants. Il faut n’en oublier aucune. Le factuel simpliste c’est les abandonner quasiment toutes. Écrasées par une seule ! Juger autrui par le factuel c’est installer les injustices partout. Alors ? Comment faire ?
Très simple, l’information se traite par les…raisonnements. Le factuel n’est qu’un des raisonnements nécessaires. Il est loin de les englober tous. Il n’est qu’une partie non le tout….Le surpasse le contexte. Tout contextualiser c’est, aussi, faire advenir autour du fait tous les textes, toutes les disciplines intellectuelles qui rayonnent à 360 °. Qui l’encerclent et dont le fait représente comme le moyeu immobile…La roue qui tourne, la compréhension la plus globale. Or, vue ainsi, impossible de parvenir à l’intégrale contextualisation ? Solutions ? Citer, en toute fidélité, toutes les pensées, hypothèses, intuitions, théories, etc. qui existent sur la problématique (l’enfantillage d’être d’accord pour en parler disparaît…). Nous rassemblons, de cette manière…tous les faits. Ce que Le Monde partisan et partial ne fait plus…Cela c’est du factuel de haute fidélité. Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper ! Tout le contraire du ridicule décodex du Monde. Ce papier tendancieux, non universel et qui prend sa partie pour le tout.
Pour sûr, que raisonner ainsi demande de l’entrainement. Des reconnaissances rapides des configurations, des agencements et des vérifications. Exactement comme le langage : très vite l’habitué reconnait tout le sens, commence par déduire avant même d’avoir complété la lecture. Ressent les failles et les aubes de solutions. Penser c’est tellement plus grand que…le factuel. Un fait sans ses analyses et sa synthèse ne sert pas à grand-chose. Et donc ? Les humains dotés de la plus grande culture générale possible contournent tout cela. Par multi activités simultanées, par habitudes de tout voir en grand et relié ils se sont construit un esprit scientifique. Pas spécialisé et pas hyper-expert (sauf sur certains thèmes, qui peuvent être nombreux) mais qui reste tellement utile pour l’auto-élucidation de la société par elle-même ! Tandis qu’aux spécialistes manque toujours l’esprit de synthèse. Cet esprit qui joint tous les savoirs et toutes les pratiques. Parfois, ne glissent-ils pas vers un…très savant sur une tête d’épingle et crétin sur tous le reste ? Tellement leur fait défaut une culture générale qui sait tout lier à tout, mettre en perspectives et percevoir les subtiles nuances entre eux !
Enfin – dans ce bref récapitulatif de…penser – l’usage de toutes les « chaînes » de raisonnements. Descendre et monter sans cesse : descendre dans toutes ses mémoires et vérifier, reconnaître, se baigner des cadres connus, etc. Et agencer, en faire le montage congruent – oui lisser et poncer les cohérences. Il faut que tout se corresponde et se réponde. Et vous croyez que le décodex peut faire le millième de ce travail complet ? Le factuel est, alors, un aveuglement pour fainéants. Fainéants et usurpateurs : détenant le pouvoir absolu, ces imposteurs font passer des humains avec qui ils ne sont d’accord pour des non…fiables. Ce que j’en dis ? Jamais je ne confierai un enfant à ces juges unilatéraux. Ne pas confier = non fiables. Qui vous prétend pas fiable l’est donc, lui – non fiable. Mais à 100 % !
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Après une longue époque de diffamations sans issues qui faisaient passer les littéraires pour des rêvasseurs hors réel – soudain (il y a eu une transmutation non signalée entre temps ?) ils deviennent des spécialistes du…réel. Balayant très large et ayant un esprit de synthèse qui peut intégrer tous les savoirs existants…même s’ils ne peuvent approfondir, à la seconde, toutes les spécialisations. Le tableau global existe, la boussole, le tableau de bord et des commandes à utiliser. Ce dont aucune autre forme d’esprit n’est, actuellement capable !
« Ce sont des étudiants qui savent se débrouiller, chercher l’information, la synthétiser et se mouvoir dans un environnement complexe. » Pierre-Henri Tavoillot, maître de conférences en philosophie à Paris-Sorbonne (Paris-IV). » Pourquoi n’avions-nous pas su déceler toute cette sagesse, cette maturité, cette humanité ouverte, cet art de l’écoute, cette très grande ouverture d’esprit, oui cette maîtrise de la synthèse (par présence d’une grande débrouillardise et d’un vécu de la « vraie » vie) ?
Sciences-po-écoles-de-commerce-etc . les-littéraires-bienvenus !
Et ensuite ? « Les qualités reconnues des étudiants en lettres, langues, histoire, philosophie et autres « humanités » pourraient-elles leur procurer un avantage par rapport à d’autres candidats ? « Ils séduisent les entreprises, parce qu’ils ont une double culture [triple, quadruple et plus pour certain-e-s], managériale et littéraire. »
Ce qu’il y a de nouveau ? « Les recruteurs nous demandent d’ailleurs d’éviter le clonage…C’est pourquoi nous voulons encourager ces étudiants à nous rejoindre. »…..Enseignants et responsables de business schools multiplient les interventions dans les classes préparatoires littéraires…[Et, malgré tout], encore faut-il que ces étudiants se présentent aux concours. » Ils se méfient de tous ces revirements, ils n’ont pas confiance du tout parce qu’ils et elles…savent penser !
Comment faire semblant d’organiser le désorganisé ? « La raison en est simple [au fait que les littéraires se détournent de cet incompréhensible soudain besoin d’eux !] : les littéraires ont, a priori, envie de poursuivre des études… littéraires, et non de bifurquer vers le management ou la science politique. Même après un autre cursus, « les candidats littéraires ne sont pas très nombreux – à l’exception des titulaires d’une licence « Langues étrangères appliquées ». Ils pensent [on leur a plutôt fait penser] avoir peu de chances de réussir chez nous, ajoute Jean-Guy Bernard. C’est une erreur, car le monde de l’entreprise n’est pas fermé aux littéraires, au contraire. »
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Leur culture générale permet aux littéraires de prendre du recul par rapport à une situation donnée, de s’adapter à un contexte. Cela peut être très utile dans le cadre du monde réel, où la compréhension des règles du jeu est primordiale.
« Ce sont des étudiants qui savent se débrouiller, chercher et trouver l’information, la synthétiser et se mouvoir dans tous les environnements complexes. Ils ont une grande autonomie de travail… ». De vraies perles : ils/elles se débrouillent tous seuls, et apportent des plus-values toujours supérieures aux attentes. Et donc le secret que la société ne veut pas cracher ?
Très rares les spécialistes qui savent diriger la société. Or, depuis tellement d’années, les technocrates avouent cet immense fiasco. Les élites ne sont sûrement au haut de la société. Diriger comme dire. Dire comme diriger et affirmer la direction, celle du dire. En faire la…synthèse sans oublier personne. Seuls des êtres de culture générale savent écouter et entendre tout le monde. Se construire une mémoire vivante de toutes ces attentes. Avoir une expérience de la vie telle que tout ce qui advient trouve un écho en eux/elles. Et face à la complexité globale ce sont les seuls êtres qui restent pleinement…HUMAINS :! (le secret)
Evitant toutes les guerres, puisque le conflit est un problème qui en ajoute tant d’autres - pas une solution fiable. Pour la paix, y fait des merveilles l’adaptation de la culture générale à toutes les situations – plus le faire de la place à chacune. Oui, nous avons en face de nous les grandes synthèses collectives que sont les personnalités…complètes. Rien de plus complet que la culture générale !
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Nous sommes enfin à la croisée des chemins, tous les grands carrefours de l’Humanité. Là où chaque nouveau texte est multiplié de tous ceux qui le précèdent. Ainsi pour le pourquoi le Monde qui ne peut juger (dans une déloyauté complète d’unilatéralités sans crêtées montrables) ? La réponse est parce qu’il ne sait pas… penser et sentir à la fois il n’a pas de culture générale assez étendue ni assez de vécu. Ses esprits de spécialistes ( égarés dans leur minuscule « local provincialiste » sans synthèses globales) ne « savent pas » que le factuel, tel qu’ils le disent, n’est pas ce qu’ils prétendent. En tout cas, ce n’est pas un critère qui permet de « juger » (sinon comme un exorbitant abus !)…En effet, Il y a des analyses qui transcendent tous les faits et si nous voulions les rétrécir à des faits nous commettrions un crime intellectuel très grave. L’esprit journalistique et sa manie désastreuse du « tout doit raconter une histoire » par la puérilité de cette demande, est bien un « fake ». Le fake qu’ils prétendent pourchasser c’est eux ! Tout doit raconter une histoire est un chemin d’erreurs. Les grands écrivains l’ont assez démontré. Et qui recueillent encore tous ces grands écrivains (y inclus ces scientifiques qui écrivent des…synthèses ou ces spécialistes qui brûlent les frontières absurdes de leurs prétendues…spécialités) ? Eh oui ! pour la première fois, dans ce long paragraphe, vous captez pile poil avec la phrase ? Oui les êtres de culture générale après lesquels languit la société complètement désorganisée ! Pour avoir rejeté tant d’années…le meilleur d’elle-même…
Nous avons besoin de vastes synthèses pas de petites phrases pour les grands lâches de la pensée. Incapables de structurer une démonstration et, pour ce manque qu’ils refusent de reconnaître, saturant l’espace écrit de ces…
……………………… petites phrases sans issues.
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Ce sont les soi-disant élites (autoproclamées) qui ne veulent pas que les autres s’expriment. Agissant donc clairement en… anti-élites !
Pascal-Picq-choisissez-d'étudier-ce-que-vous-aimez >> trop aimable...
….....…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Ne pas soigner l’apprendre à vivre et la nécessité d’expérimenter par soi-même. Mais se soigner de tous les maux que la société détraquée, égarée d’injustices et d’inégalités peut nous causer (ce qui est déjà énorme) !
depuis plus de 40 ans que ce sont toujours les mêmes qui font toujours les mêmes choses qui n’arrêtent pas de rater, sûr qu’il faut les secouer…
faux elle existe ...si l'on sait chercher...