Pourquoi tant de crédulités face à l’image ?
Même les intellectuels critiques croient tout ce qu'on leur montre. Et ne parviennent pas spontanément à admettre que l’image n’est pas la réalité. Mais sa construction… « « Nous savons tous que les images sont produites. Je veux dire par là : nous savons bien qu'elles ne sont pas de simples émanations de la réalité, des simulacres ou petites images émises par les choses comme le prétendaient les Épicuriens, des pellicules arrachées à elles, mais des objets construits entretenant avec la réalité des relations compliquées. Nous savons bien que ce que nous voyons dans les magazines ou sur nos écrans de télévision n'est pas la réalité mais des signes humains d'origine technique, qui entretiennent avec le réel une relation problématique.
Et pourtant, nous ne voulons pas y croire et nous nous empressons de prendre pour argent comptant ce que nous apportent les médias. Même les intellectuels critiques croient tout ce qu'on leur montre.
L'expression "vu à la télévision" témoigne non seulement de notre manière de concevoir la notoriété mais aussi de notre manière de concevoir la réalité. Il y a là quelque chose qui touche en profondeur au régime de la croyance dans nos sociétés de médias. Au point que, comme au XVIIIe siècle, c'est d'une théorie et d'une critique du témoignage et de la crédulité que nous aurions avant toute autre chose et constamment besoin. Il nous faut inlassablement reprendre l'analyse et faire de nouveau valoir de salutaires banalités à propos du caractère construit, produit et fabriqué des images, y compris de celles qui se présentent comme les plus vraies et les moins contestables.
Il y a là comme un travail de Sisyphe. Entre parenthèses, cette tâche devrait conduire à s'interroger non seulement sur la malédiction des dieux mais sur les capacités réelles de Sisyphe, sur la nature de son rocher et la crédulité de ceux qui regardent la scène. [p. 111]…[« son » rocher étant, après tout, le fardeau des autres qu’il roule sans cesse . pas le sien.]
...étudesphotographiques.revues.org ( extraits de « Critiques de la crédulité » dans « Études photographiques , n° 12, novembre 2002 »)..
Nous accordons aussi aux images une valeur de véracité particulière : elles sont vraies pour ainsi dire par principe.
Ce qui recouvre des raisons passablement différentes. Parce qu'elles rapportent comment étaient les choses ou comment elles se sont passées. Parce qu'on nous assure qu'elles sont vraies, parce que les canaux de communication par lesquels elles nous viennent sont consacrés à l'information et donc "objectifs". L'historienne de l'art Patricia Fortini Brown a écrit un livre sur la peinture vénitienne du xve siècle où elle montre que les peintures de l'époque étaient investies par les contemporains d'une valeur de véracité particulière : on pouvait dire d'une chose ou d'un événement qu'ils étaient vrais parce que c'était ainsi que les représentaient les peintures peintes dans un esprit de témoignage oculaire. C'était vrai parce que c'était peint ainsi. Pour nous, c'est vrai parce que c'est ainsi sur l'image, parce que ce fut photographié ou pris en vidéo ainsi. […très grave erreur de jugement, comme un dessaisissement de nos responsabilités d’humain et d’abandon de notre libre arbitre, l’autre face de la liberté.].
Le plus souvent on a rapporté, et on rapporte encore aujourd'hui, cette véracité particulière de l'image photographique au caractère automatique et mécanique de la prise de vue et de l'enregistrement photographique, à l'objectivité de l'"objectif", à la brûlure du réel sur l'empreinte photographique (Benjamin), au caractère d'index du signe photographique. On sait très bien qu'il n'en est rien. Il reste pourtant beaucoup de cette conception dans notre crédulité envers les images (que l'on songe seulement au culte de la photocopie dans l'administration, bien qu'il n'y ait rien de plus facile à falsifier et que, de toute manière, on ne regarde jamais la copie!), alors que nous savons pertinemment bien que les images sont produites, fabriquées et donc peuvent être aussi bricolées, montées et remontées, pour tout dire trafiquées et falsifiées. »
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Dire qu’un de nos contemporains peut penser, ressentir, écrire ainsi. Et que les médias toujours plus scandaleusement incultes ne savent pas que sa pensée vaut de l’or. Oui ne plus être hypnotisés par les images, nous rend notre « regard personnel ». Et cela n’a pas de prix. Le fait que Mother fermait les yeux et que le flot de ses images colorées intérieures puisse pénétrer dans les têtes enchantées de tant d’humains à distance – demeure un immense mystère qui en supplante tant d’autres. Qu’ils/elles en redemandaient, et en redemandent sans cesse, et sur tous les tons – tout en soutenant à fond le monde et les puissants qui détruisent toute possibilité de ce miracle – voici qui en dit long sur les illusions. Ce qui montre que ces stars ne sont jamais dans le réalisme, qu’elles seules auront empêché la concrétisation de leurs propres désirs. Personne d’autre. Reprochant ce qu’elles ne font pas (ramener à l’état qui permit ces efflorescences) à un être impeccable. Et donc éloignant toujours plus toute possibilité de participations équitables et loyales. Oui, eh bien (dans de tels contextes), de récupérer son « regard personnel » c’est déjà cela. Un réel rapport individuel avec les images du réel…Les images (photographiques et autres) déversés à flots par des médias qui ont perdu toutes…accréditations – ne nous auraient plus contaminé depuis si longtemps. Et donc ? Imagiter. Vous agitez les images et vous voyez ce qui arrive. Oui ? Trop d’humains se montrent infiniment plus perturbés si vous touchez à leurs images, photos, fantasmes slogans, pansements bricolés afin de ne jamais voir la réalité, idéologies, simplismes, etc. que si vous portez atteinte à la réalité. L’indifférence à la réalité est tout à fait aberrante (d’où pollutions, destructions de la biodiversité, océans traités comme des poubelles, etc. – ils ne prêtent aucune attention à la réalité, jute à son image). La croyance dans tout ce qui est artificiel en devient encore plus aberrante.
La solution est ? Imagiter. Agiter les images est le moyen le plus efficace de changer les choses, de transformer les regards. Et donc les documents écrits, iconographiques comme de juxtapositions de liens refusés par les inconscients « imaginophiles » sont bourrés d’images. Mais de celles qui décontaminent, qui désenvoûtent, qui émancipent, qui libèrent. Imagiter c’est de la libération en grand. Et où cela s’avère le plus approprié ?
Et où toutes ces solutions vitales crient le plus ? Sinon dans les guerres. Les couvertures médiatiques occidentales des guerres. Les images justement. C’est devenu toujours plus dangereux d’être sur le terrain, c’est est même impossible dans de nombreux lieux. Et, pourtant, des images illustrent les articles. D’où viennent-elles ? Pas des photographes des médias en tout cas.
Eh bien
** 1) – c’est de la récupération d’anciennes photos retouchées, recontextualisées, anachronisées dont il s’agit. Résultats ? Une partie des photos illustrant la Syrie ou l’Ukraine viennent d’ailleurs et sont datables d’années avant ces conflits. L’image c’est juste pour « rassurer » l’œil devenu hyper débile à force de fainéantises. Sa nounou, son doudou à l’œil qui ne peut, organiquement, s’en passer… Et donc le coup de « l’image me raconte le réel »c’est complet mensonge, un très gros auto-mensonge
** 2) - issus de partisans de terrain. Donc images idéologisées servant à prouver la justesse de telle opinion. Là, non plus l’image ne reflète plus la réalité. La crédulité est à son maximum. C’est la légende qui nous « fait voir », plus l’image directe. Ce sont les mots qui portent l’image : l’image ne parle pas d’elle-même.
Dans cette optique, nous préparons un texte sur la question « qui, en 2017, qui fournit les photos de guerres ? »
...le pouvoir des mots est donc supérieur à celui des images ?
POUVOIR des mots oui et encore oui. Moins celui des images : puisque, sans légendes écrites dessous, combien d’images tomberaient à l’eau ? Puisque le pouvoir hypnotique de l’image ne pourra jamais vraiment s’expliquer. Celui des mots oui.
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Etudes-photographiques.revues.org
« Très concrètement et très brutalement, l'accès à l'image dépend en fait de la possibilité d'accéder aux événements compte tenu du danger physique ou des risques courus. On parle régulièrement, avec des trémolos dans la voix, du "lourd tribut que paient les reporters" à la liberté de l'information. On se souvient en effet avec émotion des disparitions de journalistes au Cambodge au début des années 1970 (du point de vue des massacreurs, elles furent très efficaces pour assurer le black-out sur les actions des Khmers rouges), on se souvient aussi des reporters tués ou blessés lors de l'insurrection de Budapest en 1956, des photographies tremblées du débarquement en Normandie par Robert Capa. Les organisations professionnelles tiennent la comptabilité noire de ces risques du métier. Il devrait cependant venir à l'idée que par rapport à [p. 116] tous les reporters qui paient de leur vie leur métier, il y a aussi tous ceux qui vont indemnes d'un théâtre d'opérations à un autre au sein d'une sorte de caravane des médias. Sont-ils plus habiles, plus prudents, plus chanceux ou bien vont-ils là d'où l'on revient indemne ?
Je n'insiste pas plus avant sur l'ensemble de ces conditions, mais elles conduisent à dire sans aucune hésitation que ce qui est photographié, c'est d'abord ce qui peut être photographié, au sens à la fois de possibilité physique et de possibilité morale et d'autorisation. […la réalité n’est donc pas d’accès direct, spontané et libre !]. Compte tenu en effet du rôle considérable de l'information dans les conflits, il faut se résoudre à penser que même l'immunité du reporter est organisée et que ce qui est photographié est en fait ce qui doit être photographié à la suite d'une mise en scène plus ou moins organisée.
Un autre aspect de la prise de vue est la sélectivité inévitable du cadrage et l'élision du photographe. L'image, toute image, est toujours un prélèvement sur la réalité, une partie pour le tout. Elle laisse déjà de côté, par [p. 117] force, les dimensions perceptives non visuelles qui sont pourtant essentielles à la perception et à la compréhension: les bruits, les cris (les hurlements des blessés), les odeurs (l'odeur de la scène d'un attentat), les vibrations et secousses (d'un tremblement de terre ou d'une explosion). Elles laissent aussi en dehors tous les à-côtés visuels et même optiques des scènes qui sont pourtant indispensables pour savoir ce qui se passe vraiment. [le but n’étant pas de nous faire participer mais de nous imposer une limite au-delà de laquelle il n’est pas désiré que nous allions. Cette limite est la photographie. Elle cache, elle ne dévoile pas !]. Un seul exemple ici, les photographies du petit Mohammed Amal Al Durreh tué par balles le 30 septembre 2000 aux côtés de son père en Palestine: elles sont toutes, y compris dans leur série, des prélèvements sur la réalité d'un événement qui doit ensuite être reconstitué hypothétiquement par les croquis des positions des différents acteurs de la scène (tireurs israéliens, tireurs palestiniens, victimes, journalistes). Avec, on s'en doute, plusieurs reconstitutions différentes en conflit.
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(…) Dans ce flux scanné, les images sont reçues sans autre contexte que celui d'autres images. Ce qui fait passer au premier plan les valeurs affectives des images au détriment de la saisie intellectuelle de leurs significations. On perçoit la peine, la douleur, la joie, le plaisir, l'excitation, pas leurs raisons, leurs conditions, leur naissance ni leur épuisement. La perception, celle de tout un chacun, intellectuels et philosophes compris, devient un curieux mélange d'hyper-émotivité, d'insensibilité due à la banalisation et à la répétition, d'inattention par excès de sollicitation. [plus nous vivons à travers les images plus nous sommes insensibles à leur réalité individuelle, à leur contenu particulier ]. À quoi s'ajoute l'absence de mémoire induite par le renouvellement en continu des stimulations. [A quoi sert de tant voir sans jamais savoir ?] Tout cela contribue à une suspension du jugement critique et même de la pensée qu'un jugement critique serait possible. Les temps de la sémiologie furent ceux de la lecture de l'image. Celle-ci a été presque aussitôt neutralisée et vaincue par le déluge des images: quand il y en a tant, il ne s'agit plus de les lire mais de les regarder défiler. [et nous au garde à vous !] On en a l'illustration dans quasiment tous les magazines qui proposent des reportages dont les images contredisent allègrement les textes: tel escroc mondain dont le reportage photographique montre en cinq ou six photos l'intégrité physique explique longuement dans la page qui livre "le premier (sic) interview sincère d'un menteur professionnel" que sa mère l'abandonna si précipitamment qu'en claquant la portière de la voiture elle lui coupa le doigt. Tel philosophe à la mode explique son avant-gardisme artistique, mais il est photographié dans un salon louis-philippard ou style Louis XV à pleurer. Peu importe: on ne lit plus les images, on les voit passer.
Et pourtant, en dépit de tout cela, refait surface encore et toujours le principe de la véracité de l'image : c'est ainsi parce qu'on vous le montre. On se prend à souhaiter des expositions ou des ouvrages qui démonteraient les mécanismes de trucage, de recadrage, de falsification par omission ou décontextualisation, de propagande mais c'est toujours une Leni Riefenstahl paléolithique quoique ultra-liftée et poudrée qui parade au milieu de Noubas bien huilés comme s'il n'y avait nul génocide ni famine au Sud-Soudan. [p. 123]
La conclusion de ces quelques remarques sera banale comme la plupart des remarques qui l'ont précédée. D'abord, la construction de la réalité visuelle telle que la rapportent en prétendant la refléter les reportages du photojournalisme est aussi artificieuse que la construction de toute réalité sociale. Nous vivons un monde fait de très peu d'expériences directes, de peu de savoir, qui plus est en général assez flou et chaotique, et de beaucoup d'images. [ce en quoi imagiter et freethewords remédient tout de même notablement ].Ce que nous appelons la réalité est un système assez peu satisfaisant d'expériences sensorielles en petit nombre, de croyances mal étayées et d'images reçues à la va-vite: un journal télévisé de TF1 est une assez bonne illustration de cette "réalité". Cela ne signifie nullement que les journalistes qui tentent d'apporter des informations soient tous des faussaires, des menteurs, ou eux-mêmes victimes des mensonges de ceux qui les manipulent encore que les cas de fausses interviews ou de reportages bidonnés n'aient pas manqué, y compris chez certaines grandes consciences. Cela signifie que nous devons appliquer au photojournalisme les mêmes critères d'examen que nous sommes censés appliquer au journalisme écrit sans d'ailleurs le faire non plus. Il en va des constructions sociales de la réalité comme des constructions conceptuelles des sciences: ce sont des architectures qui font tenir ensemble plus ou moins solidement des observations, des concepts explicatifs et des raisonnements déductifs plus ou moins explicités ou présupposés comme allant d'eux-mêmes. La même forme de critique doit être vigilante dans tous les cas. Les images de CNN, pour l'heure, ne valent pas mieux que celles d'Al Jazirah et celles d'Al Jazirah ne valent pas mieux que celles de CNN.
Une seconde conclusion, de nature déontologique, serait qu'il appartient dans ces conditions aussi aux journalistes et reporters d'être les premiers conscients qu'ils sont pris dans un tel système de production des images. Ils sont des rouages de ce système et leur bonne foi candide de voyageurs pressés ne peut leur servir d'excuse. La conscience lucide de leur situation serait déjà un premier pas hors de l'aliénation mais pas hors de la manipulation. C'est pourquoi les principes de l'action collective et de l'organisation de la profession ont tout autant d'importance : la politique des agences les concerne au premier chef, tout comme celle des médias qui publient et diffusent leurs reportages. On ne peut pas dire honnêtement que la guerre du Golfe ait été réellement couverte par les photoreporters. Il importe d'en tenir [p. 124] compte pour des situations futures qui verraient se renouveler des contrôles du même ordre sur l'information.
La troisième conclusion est plus générale: il est plus que jamais indispensable et urgent d'analyser la crédulité de l'homme contemporain prétendument hyper- ou sur-informé. Les analyses que Jean Baudrillard a données de nos croyances sont pour la plupart très convaincantes. Reste, pour le philosophe, à se demander comment il se fait que nous croyions aussi volontiers des choses aussi incroyables ou que, si nous ne les croyons pas vraiment, comme il semble plus probable, nous soyons si bien disposés à faire comme si nous les croyions » [p. 125]
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Qui-fournit-l'information-en-temps-de-guerre ?
« Toutes les guerres produisent toujours de fausses histoires d’atrocités - ainsi que de véritables atrocités. Mais dans le cas syrien, les nouvelles fabriquées et les reportages unilatéraux ont dominé les informations à un degré probablement jamais vu depuis la Première Guerre mondiale. La facilité avec laquelle la propagande peut désormais être diffusée est souvent attribuée à la technologie de l’information moderne : YouTube, smartphones, Facebook, Twitter. Mais il ne faut pas s’étonner que dans une guerre civile, chaque partie utilise tous les moyens possibles pour faire connaître et exagérer les crimes de l’ennemi, tout en niant ou dissimulant des actions similaires dans son propre camp. La véritable raison pour laquelle les reportages sur le conflit syrien ont été si mauvais est que les médias occidentaux se sont presque entièrement fiés aux rebelles. » Et ceci pourquoi ?
« Depuis au moins 2013, il est trop dangereux pour les journalistes de visiter les zones tenues par les rebelles en raison de craintes bien fondées d’êtres enlevés et détenus pour un rançon, ou assassinés, habituellement par décapitation. Les journalistes qui ont pris le risque ont payé un lourd tribut : James Foley a été enlevé en novembre 2012 et exécuté par l’Etat islamique en août 2014. Steven Sotloff a été enlevé à Alep en août 2013 et décapité peu de temps après Foley. Mais il y a une forte demande du public pour savoir ce qui se passe là-bas, et les médias, presque sans exception, ont répondu en déléguant leurs reportages aux médias locaux et aux militants politiques, qui apparaissent régulièrement sur les écrans de télévision à travers le monde. Dans les régions contrôlées par des gens si dangereux qu’aucun journaliste étranger n’ose y mettre les pieds, l’idée que des citoyens locaux non affiliés puissent s’exprimer librement n’a jamais été crédible.
Même les intellectuels critiques croient tout ce qu'on leur montre. ...Au point que comme au XVIIIe siècle, c'est d'une théorie et d'une critique du témoignage et de la crédulité »…
……..C’est ce que nous préciserons au mieux dans le prochain texte.
.................……..…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
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Le passé n' apas été ainsi - il peut correspondre sur certains points mais manquent odeurs, touchers, airs, respirations, goûts dans la bouche, lumières, etc.
la réalité nous résiste – et il est sain de le voir concrètement.
Cet artiste retranscrit ses rêves dans des compositions photographiques bien à lui.
la photo qui reproduit les mouvements de l’œil qui s’ouvre et se ferme
toujours la scène d’une mise en scène
un cliché qui vire les clichés et autres préjugés ?
Pourquoi se méfie-t-on toujours des hommes de sciences ? Comment, d’une façon générale, des faits imaginaires ou inventés, voire franchement mensongers, arrivent-ils à se diffuser, à emporter l’adhésion des publics, à infléchir les décisions des politiques, en bref, à façonner une partie du monde dans lequel nous vivons ? N’était-il pourtant pas raisonnable d’espérer qu’avec la libre circulation de l’information et l’augmentation du niveau d’étude, les sociétés démocratiques tendraient vers une forme de sagesse collective ?