Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
Qui garde l’esprit ouvert multiplie les chances de recevoir les meilleures surprises. L’esprit libre et ouvert agrandit tout. La curiosité demeure une cure exceptionnelle, une excellente cure qui nous garde sain dans le cœur et dans la tête. Cette cure nous pouvons nous en curieux tout le temps. Cassons donc toutes les routines qui tuent, surtout celles qui traînent en nous. Le capitalisme ne nous mérite absolument pas, raclons le moindre reste de cet échec flagrant de vie. Tout est nul chez eux. Oui et bien les regarder, une fois, avec leurs vies de petits malfrats devient très anti-publicité. Cela nous guérit définitivement de ces bêtes impasses. Toujours mentir, chercher à voler tout le monde (et délirer à appeler ces gestes de vrais minables par le mot « profit » !), tricher, frauder, etc. rien d’intéressant dans ces gigotements larvaires. Nous avons bien regardé en face ce tas répulsif, le cœur bien dans sa tranquillité mature – eh bien, la certitude qu’ils ne peuvent rien contre notre vie intérieure reste, décisivement, bien ancrée
Nous pouvons conserver la plus grande ouverture d’esprit – eux resteront des humains ratés, crispés, rabougris, le cœur rapetissés en tout, incapable de respirer librement, le buste ouvrant sa harpe, oui de se montrer généreux dès son corps. Toujours des postures courbées et malsaines de voleurs sournois, non mais ! Plus grande ouverture ? Aucune en fait – capitalistes ennemis de leurs propres vies ! Et nous ? Aucun souci pour nos avenirs autonomisés. Nous trouvons ce que nous ne cherchions pas. Toutes les chances sont de notre côté. Chercher c’est obligatoirement trouver. Chercher va devenir très recherché (de carus, chéri, oui le cher chercher montre toutes ses valeurs aux obtus qui courent après des ombres, des nombres d’ombres…). Ce système vraiment sans attrait d’être trop mesquin, sans grandeur, sans panache, des grippe-sous, des tous grippés (rien de plus avare qu’un trop riche !), etc. oui ce système pour minus pourrait nous filer la nausée si nous n’avions pas tout quitté de son existence. Et tout c’est tout. Nous n’allons pas aider tout de même ces vils nihilistes qui ne veulent que la destruction de la société, l’assassinat de la vie et le sabotage de la nature. Nous protégeons la civilisation et eux sont des bandits qui devraient se trouver en …prison. Pas dans les télés…. Cela c’est du vrai « factuel » (ce factuel qui couvre de honte les écarts malsains du Monde déshonoré…). Non, ce système est bien trop minuscule pour de grands esprits comme nous. Grands cœurs immenses générosités…Nous pouvons nous envoler puissamment. Eux pas.
Et, pourtant, malgré le fait que nous avons toutes les bonnes cartes en main (toutes !), que nous pouvons tout absolument à partir de nos vies intérieures – il est un nombre bien aigres et aigris d’entre nous (qui ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes) qui collaborent à prolonger cet état piteux des choses. « Lorsque nous sacrifions notre temps et notre argent à ceux qui sont au pouvoir, leur puissance se renforce. Leur emprise sur nos vies se resserre. La destruction du monde s’intensifie. » (Will Falk)…Oui nous devenons complices à fond de ce que nous détestons le plus. Et nous nous retournons contre nos frères et sœurs de galère pour leur pourrir la vie. D’où l’explication prouvée de ces scandaleuses attaques des internautes contre les textes (ou toutes autres activités créatrices) les plus dérangeants – mais carrément constructifs. Les traîtres finissent toujours en matons – d’une façon ou d’une autre !
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Trouver ce qui n’est pas cherché ? Ce qui montre bien une récolte 10 000 supérieure aux espérances de départ ! Tous les jours est prouvé que les capitalistes ne connaissent rien de rien aux affaires. Et que toute direction des affaires doit être, à la seconde, retirée de ces mains incapables. Preuves de l’imbécillité de qui aide miteusement ce système de crétins ?
** 1) – en relayant uniquement les médias disqualifiés et en sacrifiant tous les créatifs autour de nous. Se faisant une tête de destructeur, clonée comme ces hideux capitalistes. Des exemples ? On éjecte, si injustement, qui est « inconnu » mais inconnu pour qui et par qui ? Qui n’est pas adoubé (illégalement) par les médias vendus à l’argent sale ne sera pas… relayé. C’est-à dire ? Nous introduisons nos ennemis partout et marchons, barbarement, sur la face de nos amis. Nous ne nous référons qu’au …nombre, comme un humain détraqué, nommé capitaliste. Leur système d’évaluation est faux et archi bidon. Alors que, pas plus tard que quelques jours, il a été prouvé (factuel !) que nombres de magazines font usage de logiciels robots afin de gonfler, si abusivement, le nombre de leurs prétendus lecteurs. Comme des fréquentations. Ils ont donc tout ---à cacher ! Etc. Pareil musiques, etc. Devant tout cela, il faut se méfier du chiffre et non pas devenir ses molles chiffes aux chiffres. Comment vous convaincre ? Nous avons accès à des statistiques. Et donc ? Des textes non likés sont, en fait, très lus. Et des textes très likés pas lus du tout. Laquelle de ces 2 figures triomphe ? Ne voir (donc), comme des salauds, que par l’habillage chiffré c’est se planter sur tout. Il n’est que de vérifier (factuel !) comment l’arriéré capitalisme détruit tout – afin de finir de se convaincre. Toutes les apparences sont là pour mentir – tout le monde le sait mais trop peu vivent en le « sachant ». Seuls LES CONTENUS COMPTENT. Ils sont les leaders. Ces contenus qui empêchent les capitalistes, déjà vaincus dans leurs intimités, de dormir. Gardons l’esprit ouvert : tournons le dos aux médias officiels et aidons les contenus « inconnus ». Cela s’appelle émancipation !
** 2) les réseaux sociaux c’est en fait se trouver dans une fosse injuste, mélangés à d’autres galériens. Les gardes chiourmes instrumentalisent comme ils veulent dans l’irrespect ou non. Ils se prennent pour des juges infaillibles (sic) mais des juges qui refusent d’être jugés du tout. Ils font aux autres ce qu’ils ne voudraient pas qu’on leur fît. Crétins de chochotes ? Ils /elles s’imaginent tout en haut à nous surplomber , nous les voyons tout en bas ayant vraiment chuté. C’est ainsi. Et alors ? En plus de ne relayer que ce qui mérite de ne pas l’être (les mensonges des médias qui se sont vendus à l’argent sale) et donc de ne… pas relayer les dons si précieux des autres galériens – que faisons-nous encore de peu reluisant ? Trahissant, ainsi, le meilleur de nous-mêmes. Si nous ne relayons pas celles et ceux qui peuvent contribuer à nous en sortir, le système si piteux ne peut que continuer. Sans aide, il aurait déjà éteint sa lumière depuis 30 ans au moins. Qu’est-ce qui nous prend à tirer toujours contre notre camp ? Et à apporter les clés à nos ennemis ? Comment digérer des contestataires comme de grands appuis du capitalisme ? Les faits sont là : la parole n’y est pas, mais les comportements soutiennent à fond le système !
** 3) - ces comportements se retrouvent dans un autre fait très embarrassant. Oui qui veut protéger la pratique de dézinguer tout ce qui passe ? Avec la règle plus c’est nouveau, intelligent, dérangeant, demandant des efforts – plus cela va être très injustement critiqué. Frontalement illégitimes que ces commentaires qui dénigrent sans honneur. Oui qui refuse de garder l’esprit ouvert, de casser ses propres routines, de faire la salutaire cure du curieux s’effondre…en juger les autres. Avec des mots si barbelés. En les condamnant toujours. Aucun droit à la défense…Quel effondrement d’amertumes et de rancœurs (dû au fait que nous n’écoutons plus nos cœurs, les rancœurs) ? Aussi des juges arbitraires qui refusent d’être jugés. Que leur soient oui clairement reprochées des brutalités unilatérales (qui n’aident que les pouvoirs)… et ces trahisons banalisées qui s’exhibent dans ces commentaires. Donc – en résumé – collabos des médias vendus et ennemis des esprits libres. Faut plus se la jouer : qui ne relaie pas les pratiques et textes inconnus, méconnus, ignorés, méjugés, négligés, maltraités, etc. ne fait certainement pas partie des cœurs et des têtes qui se puissent admirer.
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** (Pause) – et nous pendant ce temps continuons à trouver ce que nous ne cherchions pas particulièrement. Toujours plus milliardaires de la vie intérieure : trésors qui ne nuisent à personne bien au contraire ! Aller partout, fuguer, surfer sur toutes les vagues, être soulevés par les langues des immensités, défaire les catégories qui séparent, vivre des journées intenses guidées par les plus grandes libertés intérieures qui se puisse imaginer, oui augmenter tous les possibles, inventer les Jeux olympiques de la vraie intelligence, etc.. Nous menons le futur du monde puisque nous seuls nous en sculptons les qualités pour…chaque fois que nous produisons un texte, une pratique (et autres) qui aura nécessité des efforts (qui ne fournit jamais d’efforts n’aime pas les autres !), oui eh bien ? Nous rendons vraiment service aux autres. Il est archi prouvé que rendre service à plein à autrui c’est …le bousculer, le faire sortir de ses routines de mort et d’aliénations (critiquer l’aliénation du système ne prémunit pas d’y chuter soi-même dès que l’on se met à routiniser, à ressasser le passé, à sortir en boucle les mêmes choses qu’hier…). Ce que, miraculeusement, empêche le toujours (cher cher) chercher qui fait – obligatoirement – trouver tout ce que nous ne cherchions pas. Ce qui, aussi, nous fait devenir mine d’or pour autrui. Ils/elles viennent se servir le plus souvent ingratement. Pour le moment (l’extrême salissure capitaliste est encore en eux !). Oui, oui tout s’arrange dès que nous nous engueulons nous-mêmes une bonne fois pour toute. Ce texte va encore obtenir « ah, cela fait du bien, cela soulage, cela met du baume au cœur, etc. »…alors que tout le monde devrait se dire son contenu depuis longtemps à soi-même. Ce sont des banalités de bases dont il reste inadmissible que qui se prétend contestataire, rebelle, désaliéné n’ai pas, déjà, tout ce contenu en lui et elle. Et qu’il faille arrêter de se la jouer devant les esprits libres. Nos corps ont reçu (ce qu’ils ne cherchaient pas) les trucs de « détection ». En gros, les déclics clairs qu’il y a anomalie entre actes et faits. Par exemple, qui n’expose que les tronches des pouvoirs ennemis et pas celles des esprits libres n’est pas du bon côté de l’émancipation pour tous. Ils ne veulent s’émanciper que des esprits forts et libres et surtout pas des pouvoirs. Les esprits libres disent qu’il faut faire des efforts les pouvoirs si démagos crachent « zéro effort (comme cela plus facile de vous dépouiller) ! »…C’est ainsi : impossible d’être des 2 camps à la fois. Sans en trahir un. Pas de bol c’est le bon et le fructueux, le consolant et le généreux qui sera trahi. Faut vraiment être con-ne pour se conduire en ennemi(e)s de soi-même ? Qui ne relaie pas les textes (et autres) méconnus, inconnus, censurés ne peut être pour la libération des autres. Elles/ ils veulent nous garder dans les fers. Tout en se déguisant en blabla contestataire (voir le comportement des stars hyper réacs et répressives dans le social réel !). Doublement traîtres : aucune sincérité+ nuire à nos véritables amis. Et voici tel est pris qui croyait prendre. Sans com-Prendre.
** 4) – nous ayant toujours trop sous-estimé (travers très capitaliste, ces fous complets qui « croient » que l’argent sait tout alors que ce n’est qu’une brute inculte)…leur com Préhension s’enraye sur « comment avec aucun moyen nous avons autant d’impacts ? ». Au point que, enfin, au lieu de dire que ce texte fait du bien, le plus grand nombre se mette à pulluler ( par lui-même) de ces textes qui font du bien, etc.
Un peu comme une justice immanente à plein rendement. Mais encore ? Mieux éclairée par la formule jeter un sort et ramasser une chance. Soit, qui perd son temps à croupir dans l’idée du mal, ne va même pas remarquer le trésor qui siège sous ses pieds. Eh oui le mal fait tout mal…et pour lui tout ne peut que finir mal. Tout le temps il se sera mal débrouillé, aura tout mal compris et mal entendu (il s’auto-ligote même dans les malentendus – quel embrouillé des pinceaux)…Mal appris et malappris trop riches tout ne peut que « tourner » que contre eux…
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Que si le capitalisme aime trop faire du mal…il fait tout mal. Tout lui échappe, le vrai trésor (le paradigme tant cherché) n’est pas en lui.
Pourquoi ? « Lorsque nous nous focalisons sur nous-mêmes, nous avons tendance à penser que le problème est résolu quand nous pouvons soulager notre conscience. Cependant, le problème n’est pas uniquement mental. La culture dominante est en train de détruire physiquement la planète. Lorsque nous nous élèverons au-dessus de notre culpabilité et que nous regarderons au-delà de nous-mêmes, nous nous apercevrons que tous ces autres qui nous donnent la vie n’ont que faire de notre culpabilité, qu’ils n’ont que faire du maintien de notre pureté personnelle, qu’ils n’ont que faire de notre tranquillité d’esprit. Ils ont besoin que nous mettions fin à la destruction de la planète.
Lorsque nous mettrons un terme à la destruction de la planète, nous retrouverons notre empathie. Nous serons mus par l’amour et non par la peur de la douleur. Ainsi, la blessure de la culpabilité aura tout le loisir de guérir. (…) Pendant trois décennies, nous avons essayé d’accéder à un avenir soutenable en réduisant, en réutilisant et en recyclant et pourtant la destruction de cet avenir n’a fait que s’intensifier. Il nous faut plus que des changements de mode de vie individuel. [oui des coups pieds au cul pour se bouger !]. Il nous faut plus que des habitudes de consommation individuellement responsables. Il nous faut une action directe militante et organisée.
Une des raisons pour lesquelles le mouvement environnemental est en échec relève du fait que la culture dominante maintient beaucoup d’entre nous dans des cycles de culpabilité. Aveuglés par la culpabilité, beaucoup d’entre nous [fort heureusement pas tous – comment les reconnaître ? Ce sont les plus maltraités par les autres galériens !] se sont laissés gagner par leur propre douleur. Notre monde se réduit au cadre de nos actions individuelles. Nous aspirons à la fausse bonne conscience que nous croyons pouvoir atteindre à partir du moment où nous pouvons clamer que nous ne sommes pas personnellement impliqués dans la destruction. Nous n’agissons que pour nous sentir mieux. [Salopards !]. »
A-propos-des-médias-indépendantsalternatifs-de-l'écologie-d'état-et-de-l'nsoumission-docile !
Et donc ? Comment faire confiance à ces chochotes évaporées pour nous dire la vraie écologie qui commence par… sa propre tête et son cœur ? Ces imposteurs occupent illégitimement 70 % de l’espace d’internet ? Le bon sens et le sens de la vrai lutte devraient les ramener au 30 % de l’espace de leurs apports (enfin en étant indulgents !- pour le moment, ce ne sont que des apports potentiels). Et donc ? Nos 4 000 textes sont la pour l’émancipation complète…il n’y a qu’à les essayer pour voir. Pas un millimètre carré n’y est laissé aux pouvoirs. Factuellement, ils sont tous démasqués, accusés (avec humour) et mis nez à nez avec leurs responsabilités concrètes. Ces prétendus pouvoirs qui ne font que…fuir la réalité ! Oui nous faisons partie de ceux/celles qui ont VAINCU le capitalisme. Nous sommes la libération, tout simplement !
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Tout ce que nous ne cherchions pas ? Euh oui nous aura trouvé… « Alike » est un court-métrage produit par Daniel Martinez Lara et Rafa Cano Méndez. Cette première phrase d’introduction classique me fait rougir de honte face à la beauté à laquelle je viens d’être exposée.
Apprendre-à-apprécier-rend-l"autre-heureux-et-sans-jugement-
Alike c’est l’histoire de deux personnages, d’un père qui s’appelle Copi et de son fils qui se prénomme Paste ; vous ne trouverez ces informations qu’après avoir lu le synopsis car c’est un film muet. Des paroles auraient de toute manière été superflues. Donc, Copi a une routine bien définie et embarque son fils dans la standardisation générale, sans réellement prêter attention à cette morne vie. Paste est un joyeux luron toujours en forme et souriant qui apprécie grandement les petits plaisirs dissimulés sous la large masse du quotidien. Le temps passe, les jours se ressemblent et le chemin semble être tracé d’avance [par qui donc ?] pour le jeune Paste, constamment recadré par son entourage. [De Simone Weill… « le diable c’est la pression sociale »…donc la routine, le conformisme, la répétition. Qui n’a toujours pas compris ?]
Critique d’un système, le nôtre : Tous les matins, père et fils ont un même rituel, ils préparent leur sac pour la journée, déjà bien trop lourd. En début de matinée, ils sont ensemble, ils sont colorés et enthousiastes avant de se fondre dans une ville grise emplie de gens blasés [d’être morts et de ne rien vivbre ?]. Pour seul îlot, seule échappatoire : un petit carré de verdure avec son arbre flamboyant et son violoniste. Le violoniste, par ailleurs, est ignoré de tous [comme beaucoup de grands de l’époque !] sauf du petit garçon ; véritable symbole d’un rêve, d’une sortie de routine et d’un plaisir de vivre qui se perd au fil du temps [coupent tous ces fils de morts…oui les textes textiles et leurs liens…recousus !]. Chaque jour, c’est pareil, le père va travailler et enchaîne des tâches répétitives, ennuyeuses et automatiques [ donc le “diable”] tout en scrutant du coin de l’œil les lourdes aiguilles de l’horloge de son bureau. De son côté, Paste garde ses couleurs, se rend à l’école avec joie malgré le tas de livres qu’il emporte dans son sac et qui le fait vaciller par leur poids insensé.
Evolution économique sans évolution de l’éducation [un crime contre la vie ] : Le jeune garçon dessine sa passion naissante à l’aide de crayons de couleurs, il tente de la partager avec son instituteur et son père qui préféreraient simplement qu’il écrive des lettres noires sur blanc. L’interprétation de l’alphabet pour le petit garçon est un fil rouge qui nous guide à travers le film et l’esprit de Paste : tout commence par des dessins colorés, se transforme en des lettres claires et joyeuses avant de se fondre dans un alphabet standard et sans impétuosité. Ces événements qui teintent la vie de Paste ne sont pas sans nous rappeler l’immobilité terrassante de l’école qui freine [le diable encore !] trop souvent la créativité et l’éveil des enfants qui apprennent pourtant beaucoup mieux avec passion. [et cure de curiosité]…
Cette école qui ne suit pas la société qui évolue chaque jour, qui ne suit pas l’ouverture d’esprit des enfants sur le monde (ayant désormais accès à tout au bout du doigt), qui ne suit pas les nouvelles techniques d’apprentissages plus ludiques et plus efficaces. Notre école, notre institution publique ou privée qui se cantonne [diable toujours !] à apprendre les mêmes choses à tout le monde comme on prescrirait un même remède à des milliers de pathologies différentes. Notre école qui forme les citoyens de demain mais aussi les personnes et donc les sociétés à venir : dans quel monde veut-on vivre ? Un monde lisse, gris comme un coup de crayon qui ne dépasse pas les traits prévus (sic) à cet effet ? Un monde où la vie n’est qu’un enchaînement de journées qui se ressemblent [sans jamais se rassembler ] ? N’a-t-on pas qu’une chance de profiter sur cette terre de la richesse infinie des choses et des gens ? Ne change-t-on pas le monde par nos enfants ? Ne faisons-nous pas la révolution par l’esprit critique, enthousiaste [le contraire du diable ] et aiguisé de la jeunesse ?
Amour avec un grand A : Si le père du jeune garçon souhaite le protéger et le guider vers le « droit chemin » [le tout tordu en fait ] en s’assurant qu’il fasse comme tout le monde [suivre le diable donc], il se rend compte au fur et à mesure du temps que son fils n’est pas comme tout le monde, que personne n’est comme tout le monde. En souhaitant refreiner sa nouvelle passion pour le violon, pour la couleur de cet îlot perdu au milieu d’une ville asphyxiée, il a tué dans l’œuf la joie de vivre de son propre enfant. Ce dernier perdant petit à petit sa couleur, sa joie de vivre, son attachement aux petits plaisirs de la vie, s’habitue à suivre la marche générale. Ressentant la chute libre de la joie de son fils, Paste aura un geste de reconnaissance, d’excuse et de véritable invitation à vivre. Cette morale nous rappelle que l’amour porté à un proche se doit d’être inconditionnel, vide de tout jugement ; si la compréhension d’une passion peut être limitée, l’acceptation se doit d’être totale. [qui ne dit jamais Oui aux autres va se conduire en vrai salaud…donc « recrutable » par le système des corruptions…que ce vil système puisse penser que vous allez le « servir » voilà une insulte que vous devriez considérer comme inexcusable. Quel échec pour vous, oui ou non ? Se faufiler hors de son œil sale – cela brille comme la plus grande joie de vivre !
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Il y a plus d’une façon d’être radicalement révolutionnaire ? Tout en sachant que d’émanciper les enchaînés sera récompensé surtout par le fait qu’ils vous feront du mal (mal légitimé et encouragé par…la cruauté inexcusable qu’est le vil capitalisme, si incapable de des voir face à face)…mais, qu’à un moment, votre anticonformisme joyeux vous ouvrira les portes. Lorsque que les salauds conformistes les verront claquer au nez !
« Qui lit encore Etienne Souriau ? En apparence, pas grand monde. Ce philosophe français semble tombé dans l’oubli. Né à Lille en 1892, mort à Paris en 1979, à 87 ans, ce normalien promotion 1912 a survécu à la Grande Guerre avant d’être reçu premier à l’agrégation en 1920. Professeur d’université à Aix-en-Provence et à Lyon avant d’enseigner à la Sorbonne, il a déployé, au fil d’une quinzaine d’ouvrages disséminés entre 1925 et 1975, une pensée esthétique d’une richesse et d’une profondeur singulières. Non pas une « philosophie de l’art », comme on le dit trop vite, mais une conception bien plus vaste, où la philosophie se trouve englobée, envisagée comme un art parmi bien d’autres.
L’œuvre est touffue, complexe et sensible, novatrice [donc les parfois arriérés interner vont pas tous liker ?] à plus d’un titre. Elle sort à petits pas du purgatoire. Isabelle Stengers et Bruno Latour avaient présenté en 2009 la réédition de Des différents modes d’existence (PUF), paru en 1943. En 2016, un livre collectif lui a été consacré (Etienne Souriau. Une ontologie de l’instauration, Vrin). Aujourd’hui, David Lapoujade, avec Les Existences moindres, consacre à plusieurs aspects décisifs de cette pensée un essai intéressant.
Il n’y a pas qu’une seule manière d’exister. Une table, Hamlet, un électron, une racine carrée existent, mais différemment. Ce qui importe, dans ces multiples existences dissemblables, ce sont d’abord les manières. On ne les confondra pas avec les regards que portent les observateurs. Souriau se sépare de la phénoménologie en prêtant attention aux phénomènes [tout expérimenter] plutôt qu’à la conscience [en parler sans jamais le vivre]..
Ce qui l’intéresse, selon David Lapoujade : ces « âmes instantanées » qui configurent les choses, des formes d’âme non humaines, marquées par une plus ou moins vive intensité d’existence. Le passage d’un mode d’existence à un autre s’opère par le biais des « virtuels ». Autour de chaque chose réelle se profile en permanence une foule de bribes, de bordures, une nuée de potentialités : l’arche du pont est cassée, mais la courbe se poursuit invisiblement au-dessus du vide, et avec trois phrases Henry James sait d’un coup qu’il tient un roman… Les virtuels ont le pouvoir inouï de redistribuer le monde, d’inverser les perspectives... »
Et toujours trouver et trouver ce que nous ne cherchions pas : la méthode de l’enrichissement la plus puissante à ce jour. Et que donc les crétins capitalistes ne comprendront jamais. Ces fous cramés pour un prétendus profit de 10 vont détruire de la « valeur » pour 1000 . Leurs prétendus profits coûtent trop cher à la société (990).
……….La santé collective c’est de les…démissionner. Tous en bloc !
………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Que nous passionds avec nos passions (à travers tout) devient la preuve que la passion demeure la plus grande force cinétique de l'univers !
...agorisme
Chercher n’est pas trouver...le cas de la schizophrénie des stars, vivre une chose et en présenter une autre absolument différente...
chant de la Terre
chercher même plus loin