Y a-t-il de nouvelles formes de résistances ? (1/3)
Nous allons commencer à répondre à cette interrogation si importante – en divisant les investigations en trois volets. La première est obtenue par la méthode matérialiste qu’il faut espérer assez dialectique. Et nous y décrivons 4 sources principales de résistances. Mais c’est un peu comme dépeigner la laine, il s’agit de ne pas disperser tous les fils partout et de brouiller la vision. Le (3) tentera donc la synthèse.
Oui où trouver les vraies résistances ? Organiques. D’aucuns veulent juste paraître résistants mais sans l’être. Ils, elles tonitruent, empiétant sur la place des vrais, et l’ensemble de ces parasitages fait que les résistances ne s’organisent pas aussi bien qu’elles le pourraient. Cette vision de la réalité contredit le sens commun qui voudrait que l’opposition au système soit plus répandue, plus profonde, plus intelligente et résolue qu’elle ne l’est. C’est que trop de résistants…passifs ne font que reproduire les tics et les mentalités des dominants. Avec d’autres mots. Or, la résistance réelle c’est dans chaque muscle, tendon et nerf. Dans les pensées revisitées et jusqu’au moindre recoin de la sensibilité et des rêves. L’engagement est complet et ce n’est pas juste un hobby. Etc.
Ce n’est pas un déguisement que nous pouvons déposer plus tard. C’est à temps plein. Et donc les brouillages de tous ces résistant-e-s déguisé-e-s causent beaucoup de torts. Ne permettent, qu’avec difficultés, de savoir où nous en sommes. Ce qui est le mieux perçu, ce qui l’est le moins ? Où augmenter les efforts ? Etc. Les résistances c’est dans toute la réalité. Unitaires. Pas uniquement où cela arrange. C’est un front uni, pas un pique-nique. Les dilettantes qui exagèrent (pour cela) le poids des convictions réelles font prendre des vessies pour des lanternes. Les résistances ce ne sont pas pour les touristes futiles !
Et donc ? Après notre périple dans la réalité telle qu’elle est, nous risquons de nous apercevoir que le potentiel actif est bien plus puissant que ce que nous imaginions. Qu’il faut peu d’efforts afin d’unir toutes les luttes disparates. Que les prises de consciences peuvent accélérer les choses : le système ne peut être aboli que par l’unité mondiale. Autres conséquences bénéfiques ? Se rendre compte que, théoriquement, le système est déjà vaincu. Que les meilleurs leaders ce sont les idées. Et que l’attitude constructive c’est de se tourner vers ces théoriciens et de bien mieux répandre et diffuser leurs analyses percutantes.
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Quelles nouvelles masses pour résister au désordre capitaliste ?
« Pour être valides d’un point de vue politique, les critiques du capitalisme doivent posséder – ou trouver – une base sociale. Du XIXe au XXe siècle, on nomma « question ouvrière » la critique principale, sa base sociale se situant en effet dans une classe ouvrière en expansion. La question ne concernait pas seulement les organisations syndicales émergentes et leurs occasionnels sympathisants libéraux, mais aussi l’opinion conservatrice ; même les fascistes, pourtant ennemis les plus virulents du mouvement ouvrier, s’en sont inspirés pour modeler leurs organisations. Les travailleurs industriels se sont maintenus au centre des débats jusqu’aux débuts des années 1980. C’est alors qu’une autre base sociale de l’anti-capitalisme a émergé.
Ces trente dernières années cependant, la désindustrialisation des pays du Nord a interrompu et renversé la marche du progrès ouvrier. La « grande dialectique » – c’est-à-dire la contradiction entre le caractère de plus en plus socialisé des moyens de production et leur propriété privée – a été suspendue. Dans le même temps, l’industrialisation de grands pays du Sud a démontré que le développement capitaliste était désormais jugé possible en Asie, en Afrique et en Amérique latine. Peut-on aujourd’hui voir émerger des forces sociales qui rempliraient la même fonction que les syndicats et les mouvements anti-coloniaux du XXe siècle ? De toute évidence, il n’existe pas aujourd’hui d’anti-capitalisme de masse – une situation inédite dans le contexte des cent cinquante dernières années. Cependant, si l’on se penche non sur les mouvements anticapitalistes à proprement parler mais sur les groupes qui peuvent se montrer critiques du développement capitaliste contemporain, d’importantes forces sociales se manifestent. On peut en distinguer quatre types différents.
>>>> - Les mouvements indigènes : La première de ces forces sociales potentiellement critiques est constituée par les populations pré-capitalistes qui résistent à l’invasion du capitalisme mondial. Les peuples autochtones, qui se sont quelque peu affirmés récemment, sont ici au cœur des débats. Sur le plan politique, ils sont surtout importants en Amérique andine et en Inde, mais ils sont présents dans la plupart des pays du Sud et ont développé des réseaux internationaux. Ils manquent aussi bien des effectifs que des ressources pour avoir une influence déterminante, si ce n’est localement, mais leurs luttes peuvent s’agglomérer à des mouvements de résistance plus larges. De nos jours, ils représentent une force incontournable en Bolivie, et en Inde, où ils sont au cœur d’une insurrection à grande échelle ; dans les deux cas, ils sont encadrés par des organisateurs issus de la tradition ouvrière – des mineurs socialistes renvoyés et devenus cultivateurs de coca en Bolivie ; des révolutionnaires maoïstes en Inde centrale. Au Mexique, les zapatistes tiennent toujours la région lacandone du Chiapas.
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>>>>>>>>> - Les mouvements de paysans sans terre : La deuxième grande force potentiellement critique, en grande partie extra-capitaliste, est composée des centaines de millions de paysans sans terre, ouvriers temporaires et vendeurs de rue qui constituent la population des bidonvilles de grandes parties de l’Afrique, de l’Asie et de l’Amérique latine (on pourrait voir leurs équivalents au Nord dans le nombre grandissant de jeunes marginalisés, qu’ils soient natifs ou immigrés, relégués hors du marché de l’emploi). Ils peuvent constituer une source de déstabilisation majeure pour le capitalisme. La colère et la violence réprimées de ces couches de la population se sont souvent avérées explosives et se sont parfois déchaînées dans des pogroms ethniques ou du vandalisme. Cependant, ces « damnés de la terre » ont également été impliqués dans des luttes contre les expulsions et pour l’accès à l’eau et à l’électricité ; ils ont joué un rôle notoire dans les révoltes arabes de 2011 et dans les protestations contre l’austérité le long des côtes nord de la Méditerranée et de la mer Noire – Grèce, Espagne, Bulgarie, Roumanie.
Quelles conditions faudrait-il voir réunies pour que ces forces s’amarrent à une alternative socio-économique viable ? Il est clair qu’une telle alternative critique devrait répondre à leurs préoccupations fondamentales – la prise en compte de leur identité collective et de leurs moyens de subsistance. Elle devrait développer des modes de communication qui touchent au plus profond de ces strates populaires, générant des leaders charismatiques pourvus de vastes réseaux, personnels aussi bien qu’électroniques. Comme il est peu probable que la population urbaine, en particulier, s’organise d’elle-même, cette force ne se mettra pas en branle sans un événement déclencheur dont la nature est impossible à prévoir.
nouveaux mouvements nouvelles masses
>>>>>>>> - Anciens et nouveaux ouvriers : Évidemment, la dialectique habituelle du salariat capitaliste – troisième grande force potentiellement critique – est encore bien ancrée, même si elle a été reconfigurée géographiquement. La classe ouvrière industrielle des pays du Nord est aujourd’hui trop faible pour constituer une menace ; mais l’austérité et les offensives capitalistes génèrent des protestations à court terme, particulièrement en France, où les syndicats ont menacé d’interrompre l’approvisionnement de pétrole en 2010. Les nouveaux ouvriers en Chine, au Bangladesh, en Indonésie et dans d’autres pays du Sud sont sans doute plus à même d’avancer des revendications, mais leur position est fragilisée par la profusion de main-d’œuvre, et ils sont déjà submergés par des modèles d’emploi fragmentés, proches de ceux du secteur tertiaire. Du Nigeria à l’Indonésie, les nombreuses tentatives de fonder des partis ouvriers ont échoué ; le PT brésilien représente l’unique succès de ces trente dernières années.
Si les luttes de classes dans le Sud ont permis d’assurer aux ouvriers des augmentations de salaire ou, dans une certaine mesure, des conditions de travail moins accablantes, il semble qu’elles aient peu de chances de constituer un réel défi pour le système. […] Pour qu’un virage anticapitaliste se produise, il faudrait cependant une interruption de la croissance et une réelle mobilisation ouvrière contre les immenses inégalités générées par le système, qui menacent l’« harmonie » ou la cohésion sociale du capitalisme. On peut l’imaginer, mais c’est très improbable, du moins à moyen terme. Le scénario le plus prometteur réside sans doute dans la connexion entre les luttes du travail et celles des communautés autour du logement, de la santé, de l’éducation ou des droits civiques.
>>>>>> - Les masses en col blanc : Il est possible qu’une quatrième force sociale potentiellement critique soit en train d’émerger au sein de la dialectique polarisante du capitalisme financier. Les classes moyennes, et notamment les étudiants, ont joué un rôle majeur dans les mouvements de 2011 – que ce soit en Espagne, en Grèce, dans le Machrek arabe, au Chili, ou dans les plus faibles protestations Occupy aux États-Unis et dans le Nord de l’Europe – et dans les manifestations turques et brésiliennes de 2013 [et de 2017 pour la Turquie]. Ces éruptions ont fait descendre dans la rue des jeunes issus des classes aussi bien moyennes que populaires, parfois accompagnés de leurs parents, contre des systèmes capitalistes corrompus, générateurs de divisions sociales et d’exclusion. Si elles n’ont pas réussi à entamer le pouvoir du capital, 2011 a tout de même vu la chute de deux régimes politiques. Elles pourraient avoir constitué une répétition pour les événements à venir.
Les discours sur les nouvelles classes moyennes se sont multipliés à l’extrême au cours de la dernière décennie. En ce qui concerne l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine, ils sont essentiellement triomphalistes – souvent plus réservés sur l’Europe de l’Est – et proclament la naissance de vastes marchés de consommateurs solvables. Qu’ils voient juste ou non, les discours de classe sont toujours significatifs sur le plan social ; cette vague de discours sur la classe moyenne est donc un symptôme notable des années 2010. Pour l’essentiel, elle ne comporte pas de dialectique critique ; au contraire, elle semble applaudir le triomphe du consumérisme.
Contrairement à la classe ouvrière, l’agrégat hétéroclite connu sous le nom de « classe moyenne » n’occupe pas de place clairement délimitée dans les rapports de production et ne connaît aucune tendance de développement particulière, si ce n’est la consommation discrétionnaire. Cependant, quelle que soit la façon dont on la définit, la classe moyenne – du moins une part importante de cette dernière – a démontré qu’elle pouvait devenir un acteur politique de poids, dont l’importance grandit avec le déclin ou la désorganisation du prolétariat ouvrier. Les classes moyennes émergentes des pays du Sud méritent une attention particulière car elles peuvent s’avérer cruciales dans la détermination des options politiques.
Du fait de leur indétermination sociale, précisément, les classes moyennes peuvent peser de façons différentes, voire contradictoires. La classe moyenne était favorable au coup d’État de Pinochet au Chili, tandis que son homologue vénézuélienne soutenait la tentative de renversement d’Hugo Chávez en 2002 et que les « Chemises jaunes » nanties de Bangkok renversaient le gouvernement thaïlandais quatre ans plus tard. Comme l’illustre l’histoire de l’Europe au XXe siècle, la classe moyenne n’est pas intrinsèquement une force démocrate. Pourtant, elle a également porté des changements démocratiques et joué un rôle important à Taïwan et en Corée du Sud pendant les années 1980 – aux côtés des ouvriers – ainsi qu’en Europe de l’Est en 1989. Elle a représenté une force essentielle au Caire et à Tunis en 2011, et un soutien aux manifestations populaires en Grèce, en Espagne, au Chili et au Brésil en 2011-2013.
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Pour résumer : Le chiffrage statistique reste assez difficile, il y a trop de sources et la plupart dévient vers d’autres thèmes que le chiffrage exhaustif de tous les indigènes avec sous-partie « indigènes en luttes ». Pour les sans-terres il y a plus d’unité statistique mais pas de chiffres mondiaux globaux. Mais bien par continents et sous-continents. Parfois même pays. Les ouvriers ? En France, n’ont pas vu leur chiffre fortement baisser depuis la fin des années 1970. Toujours autour de 25 % de la population active. Mais les médias officiels, à force de les cacher illégitimement, les en ont fait paraître avec moins de 90 % de présence. Faux. Quant aux cols blancs il n’y pas de statistiques de cols blancs en lutte. Nous devons construire. Avec comme but premier d’établir, surtout, des fourchettes ! Des ordres de grandeurs.
Ensuite, il nous faut préciser les appellations et les buts véridiques (ne surtout pas entrer dans le regard des impérialismes et de l’argent trop illégal). Disons des populations précapitalistes, qui se battent pour conserver leur territoire et leurs moyens de subsistance. Des masses « excédentaires », exclues de la propriété des circuits de productions capitalistes (les sols y compris !) – donc tous les « sans » dont les sans terre. Des ouvriers toujours aussi exploités. Exclus, arbitrairement des informations dominantes : c’est connu ce sont tous des consuméristes qui votent pour le F.N. : pourquoi alors en parler ? Justement si - il y a beaucoup à rectifier. De nouvelles et d’anciennes classes moyennes, de plus en plus grevées par les dettes dues aux groupes financiers. Toutes ces populations citées constituent les bases sociales potentielles d’une critique contemporaine de l’ordre capitaliste au pouvoir.
Pour avancer, elles devront, obligatoirement, former des alliances, et donc se communiquer franchement leurs préoccupations. De quel côté – ou côtés – pencheront les classes moyennes en Afrique, en Asie ou en Amérique latine ? Ce sera un déterminant essentiel. La classe moyenne émergente représentait l’avant-garde du développement capitaliste dans l’Euro-Amérique du XIXe siècle. Plus maintenant. Le capitalisme financier et les compagnies multinationales ont depuis longtemps usurpé ce rôle. Aujourd’hui, les classes moyennes doivent choisir leur camp dans des sociétés ultra-polarisées : soit contre les pauvres avec les oligarques, soit avec le peuple contre les oligarques. Ce but demeure incroyablement quasiment présenté ni argumenté…
Toute critique du capitalisme au XXIe siècle, pour être viable, doit…
……………….. englober ces nouvelles données. Nous nous y attelons !
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>>>>>>>>>>>>>>>>> - QUELQUES CHIFFRAGES - <<<<<<<<<<<
1- L’échec, en termes sociaux et environnementaux, de trente ans de néolibéralisme, est patent : la concentration des richesses au sein d’une minorité y est la plus haute de toute la planète, 230 millions de Latino-Américains – 44% de la population totale – vivent sous le seuil de pauvreté, le coefficient Gini qui mesure le degré d’inégalité y atteint le chiffre record de 0,57 (pour 0,29 en Europe et 0,34 aux Etats-Unis). A l’extrême polarisation sociale, dont les indigènes sont les premières victimes, s’ajoutent les frustrations nées d’une démocratisation strictement formelle de la région.
Le Centre tricontinental (CETRI), organisation non gouvernementale fondée en 1976 et basée à Louvain-la-Neuve (Belgique), est un centre d’étude, de publication, de documentation et d’éducation permanente sur le développement et les rapports Nord-Sud.
Mouvements-indigenes-en-Amérique
2) Le Bilan du monde 2017. Géopolitique-Environnement-Economie, Atlas de 198 pays
3) –Sans-terres
viacampesina.org/map/17april/map.html
4) – Obstacles statistiques…
.wikipédia.- /Statistiques_ethniques
La mauvaise foi y préside : difficile de connaître les chiffres précis. Cette attitude est commune à l’Europe, avec des contrastes nets entre les pays. Disons, mondialement, les difficultés s’ajoutent..
5) – Les ouvriers en chiffres
Dans la préface de leur ouvrage, Retour sur la condition ouvrière, Michel Pialoux et Stéphane Beaud rapportaient après avoir interrogé des étudiants en sociologie que ceux-ci estimaient le nombre d’ouvriers en France à 10 % de leur effectif réel. Une estimation largement erronée : leur nombre est encore d’environ 6 millions. Soit un actif sur quatre. Qui plus est, les traits « caractéristiques » de la condition ouvrière perdurent : précarité de l’emploi et de l’existence, travail pénible, faible perspective de promotion, atteintes à la santé, espérance de vie réduite… Pourtant, cette catégorie semble devenue invisible sur les scènes médiatique, politique et culturelle. Pour preuve, elle n’occupe que 2 % seulement de l’espace médiatique, selon l’Observatoire des inégalités.
6) - Ouvriers et cols blancs en lutte : assiette du nombre ayant, potentiellement des motifs de se mettre en lutte. Pour la seule France.
Aujourd’hui, on évalue selon le seuil de pauvreté à 60% du niveau de vie médian, que le taux de pauvreté en France est de 13,5%, c’est-à-dire, 8,2 millions de personnes (La Documentation française), dont inévitablement une large majorité de Français de longue date
A ajouter 7 millions de travailleurs pauvres…soit un total : entre chômage, sous-emploi, incertitude de l’activité et précarité financière des “travailleurs pauvres”, c’est très vraisemblablement entre le quart et le tiers de la population, entre 15 et 20 millions de personnes – 7 millions de pauvres et 8 à 12 millions de précaires – qui ont, de façon durable, des conditions de vie marquées du sceau de l’extrême difficulté.
7) – Cependant la sécheresse des chiffres méconnaît la diversité des situations et, de ce fait, enjolive le tableau. Ainsi, un chroniqueur avance, qu’avant ces élections 2017, 3 français sur 4 a du mal à boucler ses fins de mois. Il ne cite pas ses sources. Mais le vécu correspond bien à ce sentiment de la disparition des classes moyennes et que la pauvreté s’est généralisée. Le plus grand nombre ne peut ignorer que…
……………………………..son intérêt « réel » est d’abolir ce système !
.....……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
N.M.S.
Combien de retraités résistants ?