Précariat précaritatif ?
La filiation de cher et chéri, oui de chérir ce qui est cher, d’offrir à la civilisation la si grande valeur de l’amour, ouvre d’autres filiations. La cherté de la charité aussi, celle qui donne toutes les valeurs universelles à l’amour. Au caritas par ce chérir, ce care, oui les attentions et les soins de qui chérit, enchérit et qui désire que plus rien soit hors du care, que plus rien ne soit précaire. Que la précarité disparaisse définitivement de la société. Le lien indissoluble entre précarité et caritas est donc établi. Si nous entendons précarité comme…pré-caritas
Comme ceci : « De carus (« cher, couteux ») avec le suffixe -itas.
Le mot « charité » devient la francisation du latin caritas, -atis, signifiant d'abord cherté, puis amour (et dont le mot anglais care, qui signifie le soin au sens le plus large, est l'un des dérivés). Caritas c'est du latin et désigne une vertu qui veut que l'on ait envie de faire du bien aux autres et l'on veuille secourir les autres. »
http://www.imagiter.fr/article-cherte-cree-charite-65502917.html
Si précarité veut dire pré-caritas et caritas charité – le miséreux devient l'extraordinaire cadeau qui permet, seul, la bonté ou l'altruisme. Il ouvre la porte au potentiel de compassion et de charité des autres par sa précarité préalable même ? Et pour cela la société doit la mettre en première de ses aleurs ! Et remercier sans cesse la…précarité. En la supprimant définitivement. Elle était pré- ce qui arrive avant, qui cause le chérir le cher, le rend chers les soins et le care…sans selle l’Humain ne le serait pas. Que toutes les récompenses aillent à la précarité. Les bonus qui rendent bons c’est pour elle !.
http://précaires.free.fr/étymologies.htm
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Comment le capitalisme peut défigurer toutes les valeurs humaines ? Lui qui inspire toujours plus de répulsions ? Les précarités comme les héritages non assumés de la flexibilité ? Cette monstruosité qui impose aux autres ce que nous ne voudrions pas pour nous. Flexibilité conduit à toujours plus d’incertitudes. Des êtres qui ne prennent aucun risque plongent les autres dans la perte de toutes garanties. Et – pire – renforcent les leurs toujours plus aux détriments des autres. Ces dissymétries cruelles ne pouvaient durer : la colère sociale pointe. Et elle en a des aliments tous issus …
De la grave insécurité sociale ? « La précarité est l'absence d'une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes et aux familles d'assumer leurs responsabilités élémentaires et de jouir de leurs droits fondamentaux. L'insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des conséquences plus ou moins graves et définitives. » (toutes les « citations » entre guillemets précédentes viennent de Wikipédia)
Le mot « précarité » est très utilisé en France (pour ne jamais s’en occuper ?), mais s’est imposé surtout dans le contexte français. Il convient donc d’interroger les conditions économiques, sociales, historiques, idéologiques ou culturelles de la fortune du mot. Faisons l’hypothèse que celles-ci font écho aux transformations récentes des conditions de travail et d’emploi, à la prise de conscience, par les individus exposés aux risques de précarisation de leur situation professionnelle, de la violence des rapports sociaux inégaux. Violences uniquement issus du haut, devenu bête fauve sans limites ni savoir-vivre ! Et que tout citoyen sensé veut faire cesser
>>>>>>>> - En quoi le précariat est-il une «classe»? Quel est le rapport entre les jeunes éduqués des mouvements Occupy ou Nuit debout, les jeunes qui se révoltent en banlieue, et les gens qui, dans les couches populaires, votent en faveur du Brexit ou pour le FN?
/Le-précariat-:-naissance-d'une-nouvelle-classe-sociale?
Guy Standing. Les chercheurs marxistes m'ont critiqué sur l'usage du mot «classe». Pourtant, si l'on y réfléchit, la classe ouvrière, elle aussi, est extrêmement hétérogène. Je définis le précariat par trois dimensions. D'abord, par une relation distinctive à la production: ses membres ont été contraints d'accepter une insécurité dans leur travail. Ils sont même privés d'une identité occupationnelle, ils n'ont pas de «narratif» à donner à leur vie. Sans cesse sous pression, ils consacrent beaucoup de temps à la recherche de travail, un temps pour lequel ils ne sont pas payés et dont ils ne savent jamais quel est le meilleur usage.
A la différence de l'ancien prolétariat, ils ne sont pas seulement exploités dans le travail, mais aussi en dehors.
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Précaire veut dire (dans le contexte dévoyé par la perversité capitaliste – cette monstruosité anti-humaine…) « qui est octroyé » et donc « qui est révocable à tout moment ». C’est cet aspect qui sera accentué. Précaire désigne alors une chose « dont on ne peut garantir la durée, la solidité, la stabilité; qui, à chaque instant, peut être remis trop unilatéralement en cause ». Précaire est alors le contraire de durable. L’incertitude taraudante qui bouffe la vie, la tête et le cœur ?
http://www.imagiter.fr/2016/04/servitudes-aux-incertitudes.html
D’autres civilisations ont su, lors du processus d’éducation, faire internaliser la tolérance aux incertitudes...en permettant d’affronter l’inconnu, le non connu, le non su, l’imprévisible, l’hésitant. Oui de vivre « avec » le manque d’appuis, de solidités, l’absence de garanties. En compagnie de des pensées comme dans la brume, le brouillard, le flottement, l’indécision. De subir - sans perdre sa paix intérieure - les aléas, les fluctuations, les impondérables. Bref, de se sentir en situations de fragilités, d’irrésolutions, d’inconstances ou de précarités. Etc. Tout en conservant d’immenses RESSOURCES de solutions, de répondants, de réactivités, de softs attitudes, de paisibles…certitudes internes (genre j’y arriverai parce que… et…parce que…et que j’ai confiance en moi-même)…Nous verrons bien le moment venu…
Pourquoi tant d’incertitudes ? A cause du rejet, par les conformistes devenant inhumains, de toute existence de la précarité – « Allons, la société fait toujours tout bien les choses, s’occupe de tout le monde. S’ils sont devenus « précaires » c’est de leur faute. C’est des fainéants et des mauvaises têtes »…A part que ce sont les autres qui vous, qui nous rendent précaires. Que l’on ne peut s’auto-précariser…ces discours ne valent rien (sinon par leurs cruautés sans motif), ne correspondent à aucune réalité …mais demeurent les seuls imposés par les médias fous. Ainsi, imposent-ils que, durant « la séquestration illégale qu’ils font des élections », ne soit jamais parlé de fractures sociales, de misères plus qu’injustes, comme de précarités. C’est par leur silence que ces médias vendus qui pratiquent le décodex (pour cela évidemment!), s’avouent eux-mêmes…avoir franchi la ligne de la dignité. Une honte et un nocif danger social !
http://www.imagiter.fr/2014/12/disruptions-sur-des-fractures-sociales-vers-le-grand-clash.html
Non seulement les riches, mais tous ceux d'entre nous qui vivons dans l'aisance et savons parfaitement bien que nous pourrions soulager tant de pauvres si nous nous mettions en tête de le faire " (Morwyn - JC Powys). La Religion de l'égoïsme absolutiste sévit donc : "ces gens qui profitent de ces codes moraux (colère, égoïsme, cupidité, mensonge, des « péchés » qui méritent châtiment) pour en attribuer l'origine unique au créateur" (Morwyn). Ainsi, les grandes découvertes restent encore plus interdites. Occultées.
Très dissimulées. : "Les représentations officielles du fonctionnement de la société s'appliquent à ne pas heurter certains de nos mythes fondateurs, au premier rang desquels le mythe du progrès » (c'est-à-dire plus les riches seront riches plus les pauvres le seront moins - selon toute apparence, ce progrès là ne fonctionne toujours pas…il attend le…progrès !!!). Où donc de tels discours s’entremêlent-ils tous ? Pourquoi la laïcité perdrait-elle du terrain ? L’irrationalisme chasserait la raison…
« Prendre en compte la complexité du monde, c'est abandonner la cohérence du mythe pour affronter une réalité où les formes du mythe ne vont pas de pair (L'exclusion, L'état des savoirs). » Le politique, afin de ne pas déranger les conformistes stériles, anti-créatifs, anti-évolutionnaires, assis et jamais en action...etc. sacrifie donc toutes les forces vives et intelligentes de la Société. Le meilleur est sacrifié pour une totale inefficacité. Le politique refuse, entêté, fuyant le réel, impossible à raisonner, ne connaissant ni la logique ni la structure intime de la pensée...etc. il refuse même de "cesser d'affirmer, jusque contre l'évidence, que rien n'a changé d'essentiel depuis la période où l'économie a pu, sans difficultés majeures, devenir le moteur du social (L'exclusion, L'état des savoirs). " Répéter les mantras du passé comme seul argumentaire prouve que l'Autre ne leur est toujours pas apparu. Que l'Indien n’a toujours pas découvert l'Amérique !
http://www.imagiter.fr/2014/06/que-coûte-le-système-financier-à-la-societe-1.html
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Tout comme George Orwell l'avait pressenti, principalement dans la sphère maudite des dirigeants, les mots sont employés pour formuler le contraire de leur réelle signification. La "modernisation" d'un service public sera son démantèlement pur et simple. La "revalorisation" de l'enseignant c'est son franc appauvrissement et sa destruction désirée. La formation signifie "déqualification…Et si vous avanciez "honneur" c'est bien qu'il n'y ait que tricherie, "morale" là où abondent les mensonges, "égalité" là où quelques illégaux privilégiés volent le pain de la bouche du plus grand nombre, oui aussi des électeurs du F.N. volés par qui ils voteraient pour, « fraternité" pour voler l'argent des contribuables et subventionner la Bourse si "fonctionnarisée" (à quand la suppression de postes de traders subventionnés par les Etats ?)…c'est que "neutralité et efficacité" du service public clarifie qu'une faction illégale l'a entièrement réduit, domestiqué et utilisé que pour ses injustes intérêts privés. "L'insécurité" est brandie par les gangsters au pouvoir qui, par leurs délinquances financières au sommet, créent, seuls, toute l'insécurité qui nous entoure. C'est eux qu'il faut surtout filmer ! Et l'ordre alors ? Alors que les émeutiers boursiers, les insurgés de la finance, les casseurs des banques provoquent des désordres planétaires, les forces de répression sont éloignées des lieux de leurs méfaits pour aller (à 10 000 contre 1 !) surveiller un "dangereux" voleur de poules !
C'est que "l'efficacité" c'est lorsqu'un clan illégal de rentiers s'octroie toutes les dividendes des plus-values collectives (à partager entre toutes et tous !). Pas du tout lorsque TOUTE la société se montre prospère : prospère AVANT la pandémie financière c'est " avec 1 franc que peut-on avoir ?" ( par rapport à la propagande piteuse "avec 1 € que peut-on avoir ?" Eh bien RIEN !) …tout le monde sait, par contre, à quel point "avec 1 franc nous pouvions avoir 6 à 7 fois plus de choses qu'aujourd'hui !!!". Qui a donc volé notre prospérité qui n'existait que lorsque la prédation et la spéculation délinquante de la finance étaient tenues hors du centre de la société…en 2017, il paraît que c'est "rentable" la rente des trop riches : alors que son coût social global explose tous les plafonds de verre. La finance ne sait, à l'évidence, pas penser, encore moins calculer : enfermant les concepts dans des sous-paragraphes et les affublant de signes mathématiques jetés en vrac. Un "+" y veut dire moins. Un "x" plutôt ":"…il n'y a que chaos à attendre de l'irrationalité suintante: aligner des chiffres qui ne participent d'aucune scientificité mais de la maladroite dissimulation de "mon avidité me donne tous les droits". Maudite sphère des dirigeants ? C'est qu'ils sont en train de concentrer, sur eux, toutes les répulsions, les dégoûts, les aversions, les exécrations, les répugnances et les écœurements…cette masse critique de la plus haute toxicité.
Dont le basculement ne tient plus qu'à quelques grammes de prises de consciences. Genre piger qu'ils ont toujours été nos pires ennemis, qu'ils n'ont fait que escroquer, abuser, mystifier, trahir, falsifier, tricher, truquer, déposséder, tromper…etc.
………….Et que plus personne ne voudra être à leur place lorsque…
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Rappel de la brutalité contente d’elle ? "il serait temps que les Français acceptent la précarité" prêchait (pour lui) un Fillon qui, lui, ne l’accepte pas...
la précarité est bien due à la...corruption du capitalisme ! Et à elle seule. Qu'il porte tout le poids de cette responsabilité qui commande son abolition pure et simple !
Insécurité économique, colère sociale...paru le 23 Février 2017
"The corruption of capitalism",du même Guy Standing
les actuelles élections ne sont que déshonorantes. Par exemple, pas un mot sur les fractures sociales trop voulues par les trop riches
L'économiste britannique Guy Standing, dont l'ouvrage "Le précariat, les dangers d'une nouvelle classe", explique à l'AFP comment le développement des travailleurs précaires à travers le monde représente une aubaine pour les "populismes de droite". En clair, qui ne met pas fin au précariat est un allié direct, oui un vil complice du F.N. Qui ne plus faire comme si ce n’était pas un fait entièrement vérifié (sauf par la déchéance nommé décodex…cette stupidité « anti-factuelle »…)
Rappels des urgences qui sont de s’unir à n’importe quel prix afin d’abattre toute les misères. Et surtout pas de se gonfler l’ego qui ne mènera nulle part et ne servira à rien…sauf aux pouvoirs indignes.
oubliés par qui donc s'avoue indigne de diriger autrui...
En général qui critique n'est pas sur le terrain. Un planqué qui omet, salement, que la critique DOIT être constructive. Et non l'inverse...