Systématiquement antisystème – les élections donc déchiffrées ?
Le voile de notre démocratie « représentative » est entièrement déchiré. Elle ne peut plus durer, se faire passer pour ce qu’elle n’est pas. Représentative et seulement par…élections. Pourquoi ?… « Or, le peuple n’est pas une donnée déjà préconstituée qui préexiste donc au processus politique : il en est le résultat. Tel système politique crée tel peuple, et non le contraire. Par ailleurs, le système représentatif est fondé sur l'idée qu'il y a une classe de la société qui représente les intérêts généraux de la société.
Jacques Rancière : "L'élection, ce n'est pas la démocratie"
Dans l'esprit des pères fondateurs américains, c'était la classe des propriétaires fonciers éclairés. Ce système crée un peuple qui se reconnaît dans cette classe de représentants légitimes et le reconfirme périodiquement par les élections » (…) Et donc ? Ce système si signifiant s’est durci et perverti dans une oligarchie … « Et cette oligarchie a perdu sa légitimité quand il est apparu que les propriétaires éclairés ne représentent qu’eux-mêmes. » Et pire ? « Détiennent tous les pouvoirs, ce qui renforce encore l’oligarchie dans la professionnalisation aberrante de la politique qui trahit sans cesse le peuple supposé être…représenté ! » Le système représentatif détruit par ses représentants même. Puisque ces oligarques n’en ont rien à faire des autres. Et qu’ils ne représentent plus du tout « les intérêts généraux de la société ». Que les leurs : ils ne sont plus légitimés du tout pour représenter l’intérêt général, n’ont plus d’ordre à donner à personne, n’ont plus la stature morale pour le faire. Le trahissant et le piétinant chaque jour – face à cet intérêt général, ils devraient même s’auto-mettre chaque jour en prison.
Enfin - étant donné que « le parti majoritaire ( ?) ne représente, en fait, qu’un cinquième du corps électoral – ( soit 20 % - et 15 % de la population adulte totale si nous comptons les non-inscrits, 6 millions en 2017) – et crée l’évidence que le vrai peuple MAJORITAIRE n’est jamais représenté. » Voici que tout est dit…Sauf ? « Aujourd’hui, le « vrai peuple » est une figure forgée par le système lui-même. On arrive à un point où on ne sait plus qui va tenir les rôles ; désormais, un milliardaire peut représenter un peuple méprisé par les milliardaires ». Et un politique professionnel qui méprise-t-il ? D’où – incroyables retours des trop refoulés - la seule posture possible devient d’enfiler le costume du grotesque : « Je suis le candidat du peuple non représenté » (je suis le minoritaire qui se fait croire…majoritaire !) et je fais semblant (oui semblant !) d’être antisystème alors que je le suis complètement pro-système. Sinon je ne présenterai pas pour ne jamais vous…représenter ensuite. Je ne représente juste que les intérêts de ma maigre caste : soit, avec les votants, 15 % de la population adulte. 15 % (ou 20 % - ce qui ne change rien sur le fond) CONTRE 85 % ou 80 %...est-ce encore représentatif de quoi que ce soi ? La Majorité concrète est expulsée de partout, maltraitée et évincée illégitimement par des groupusculaires… Fin du système représentatif à cause de ses représentants mêmes ! Tous leurs comportements depuis des années ne pouvaient conduire qu’à cette fin piteuse !.
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Parvenus ici, notre devoir devient d’aller encore plus loin : de diriger le maximum d’esprits libres vers une compréhension plus globale du comment la convoitise illimitée des prétendus dirigeants les fait…imploser ? Les superstructures sont masquées par les infrastructures. Et si peu ont écouté le Gramsci du prédomine la guerre culturelle « de mouvement » donc anti-inertielle et anti-immobiliste – contrairement à la guerre « de positions » sans issue. Et, pourtant, suivie par la majorité des têtes…ce fait de tirer contre son camp déclaré… Ce qui, par contrecoups, les contraint à ne voir que les apparences, donc à les gober, donc à se taper une indigestion des regards engraissés. Et à ne rien apercevoir. C’est lorsque les dominants se croient les plus forts, les plus invulnérables, les plus insidieux et prégnants…qu’ils tombent. C’est que les cœurs et les têtes se sont vidés d’eux et que leur pouvoir n’est (soudain) plus que de papier. D’où perte soudaine et trop criante de crédibilité. Sûr, de toutes les façons, que le contenu des superstructures ne sont plus du tout les leurs. Tout s’est, patiemment, passé sous leurs regards trop narcissiques pour s’occuper du bétail des détails ! Comment le vérifier ? L’expérience est un texte…inclassable (donc les meilleurs puisqu’ils peuvent convenir à tout le monde ….le préJugé, qui juge tout à l’avance et sans rien savoir, n’a pas posé « son » étiquette, celle qui empêche d’apprendre et de savoir quoi que ce soit. Plus crétin qu’un conformiste, n’est-ce pas ?). Un texte inclassable et notre contrepoint qui rendent la classe à tout !
Par Slobodan Despot | N° 67 | 12.3.2017 | Lettre ANTIPRESSE
>>>>> - ENVOI – « Nous évoluons désormais dans des systèmes sédévacantistes: des systèmes fondés sur la souveraineté populaire, mais où le siège du souverain est vide.
Après la perte du Tao vient la bonté.
Après la perte de la bonté vient la vertu.
Après la perte de la vertu vient la justice.
Après la perte de la justice vient le rite.
Le rite est l’écorce de la droiture et de la sincérité et le commencement du désordre.
(Livre du Tao, ch. XXXVIII)
La France ne respire plus en cette veille de présidentielle. La sidération est universelle [[et pas la considération !]]: comment en est-on arrivé là? D’où sort ce Rastignac de synthèse dont on parle partout? Où sont passés les partis qui régnaient hier encore?
La comète Macron® a troué [[l’apparence]] du firmament politique français et entraîné dans son sillage les décombres de tout ce qu’on pouvait appeler le «centre». Ne restent à leur place que le FN et son miroir, Mélenchon. Et tous contemplent l’improbable fuite en avant de Fillon, qui impose l’admiration par son entêtement même [[pas de filons, filons avec le filon !]].
Les formes sont respectées, et d’autant plus qu’elles sont totalement creuses. La traque au Fillon est certes légale, mais son calendrier compromet sa légitimité. On a oublié les leçons du XXe siècle, où rien ne fut plus légaliste que les régimes totalitaires. C’est l’une de ces évidences qu’on n’ose même plus rappeler publiquement, tant elles sont… évidentes. Du point de vue de l’intérêt public, il est ainsi infiniment moins grave de surpayer sa femme et ses enfants que de déposséder la nation du fleuron de son économie comme l’a fait Macron® entre autres en vendant Alsthom à General Electric [[ce double comportement est, pourtant, obligatoire dans la professionnalisation de la politique « oligarchique » qui aboutit à ce que les ex-représentants ne représentent plus qu’eux-mêmes et…15 % d’autres !]]. A moins de quarante ans, le joli Emmanuel s’est déjà illustré comme l’un des plus redoutables prédateurs du patrimoine industriel français, mais nul ne le lui reprochera. Qu’a-t-on à lui reprocher si tout est légal? [[ sa trop assourdissante…illégitimité !]]. Ne vivons-nous [[vivions, plutôt ]] pas sous un état de droit ? L’intérêt public n’est codifié ni par un article de loi, ni par un impératif moral. On lui reprochera peut-être, mollement, ses cachotteries fiscales ou sa promotion payée sur la caisse de l’État. Mais ces licences restent peu de chose auprès des conséquences de son action ministérielle.
Ce qu’il a CHANGE….Le phénomène Macron® est incompréhensible dans le cadre de la culture politique dans laquelle nous avons été élevés. Il relève pourtant d’une réalité qui ne date pas d’hier: la réalité de ces pouvoirs de l’ombre que dénonçait dès 1958 le Président de Simenon dans son prophétique discours à l’Assemblée. Une Assemblée «où les partis ne sont plus que des syndicats d’intérêts».
Rien de nouveau sous le soleil, alors? Si, justement: le fait que tout se joue en plein soleil et non plus en coulisses. Plus besoin de longues ascensions, d’«entrisme», de double jeu ni de double langage. Plus besoin même de l’ébauche d’un programme. Bien au contraire. Les spin-doctors vous le diront: dans une campagne de pure «com’» politique [[ là où seule la publicité se mange – et plus les aliments, où l’ombre n’est que la creuse proie]], mettre en avant un contenu est «clivant» et donc dangereux. M. Hollande avait promis des choses qu’il n’a pas tenues ni ne pouvait tenir : il n’a fait que décevoir. Un candidat qui ne promet rien ne déçoit personne. [[il ne dans que dans le vide ! Sans impact ! ]]. Son argument n’est pas de l’ordre de la promesse, mais du charme. Il suffit d’être «dans le vent»: s’assurer de toujours tenir le couteau par le manche. Et puis, bien entendu, bénéficier de la bienveillance [[celle qui ne veille plus sur rien ?]] fidèle d’un nombre prépondérant de médias, ce dont le candidat s’est assuré tant par ses relations personnelles que par ses services rendus à leurs patrons.
Là encore, ce ne sont que truismes. Macron® exploite à l’extrême la stratégie du look [[ donc des apparences qui trompent surtout sur Tout !]] et les complaisances du système. Ce n’est même pas de sa faute. Il incarne la fin de vie d’une Ve république aussi adaptée à ce temps que le télégraphe ou la machine à écrire. Il a émergé à la faveur d’une innovation venue on ne sait d’où. Ou plutôt non: venue on sait d’où: d’Amérique. Les soudaines primaires qui, à droite comme à gauche, ont propulsé des candidats extrêmes, ouvrant un boulevard pour l’extrême… centre ! [[ la recentration préfaciste ou post-capitaliste ?]]. Mais cela encore — les primaires — fait partie de la révolution [[n’en sont qu’une partie d’en faire partie…mais trop voyante ]] dont nous sommes témoins.
Ce qui est nouveau en 2017, c’est la carte blanche laissée à cette hypnose collective déguisée en changement politique. Les règles du jeu sont rebattues du jour au lendemain. Des figures apparaissent et disparaissent comme par enchantement. Les mensonges sont sans conséquences. Le ludion peut bien se prétendre «antisystème» bien qu’il en soit un pur produit, soutenir que le libéralisme est «une valeur de gauche», et même déclarer ringard le processus électoral en soi: nul ne lui en tient rigueur sinon ses adversaires politiques — dont la position est par définition suspecte de parti pris [[parti pris pris de parti, en l’occurrence !]]. L’arbitrage de la décence n’existe plus. Au milieu du balancier, là où les intérêts s’annulent et où il ne reste que le jugement mûr et impartial, il n’y a plus personne. [[si, il y a le grand inconnu !]].
Ce n’est pas que le poste en question ait jadis été occupé par des personnes en particulier. C’est tout simplement que la décence commune, l’objectivité et la logique ne guident plus le débat public. Pas plus que la raison d’État, la raison politique tout court. Le jeu des institutions est devenu mobile, tournoyant, comme une scène de théâtre. Comme s’il se jouait dans des couloirs déserts. Comme si le navire de l’Etat était devenu une coquille vide. Exit les institutions et les partis. Voici venu le temps des manieurs d’opinion. [[ sauf que, dans cette description méticuleuse il n’y a plus…d’opinions, que des réactivités impensées !]].
Le petit Macron® est un péril avéré pour l’intérêt national, mais il est «propre sur lui» (en comparaison d’autres, en tout cas). Il est l’antipode exact du prince de Talleyrand, qui était une crapule cynique, «de la merde dans un bas de soie» (selon Bonaparte), mais dont l’expérience et le sens de l’État ont sauvé la France lors du Congrès de Vienne en 1815. Il s’enrichit certes au passage, mais la mémoire de la nation a su faire la part des choses."
>>>> 30-des-pires-déclarations-d'emmanuel-macron-la-politique-cest-mystique/
*** Plus de raison, en effet... « Bien souvent, la vie d’un entrepreneur est bien plus dure que celle d’un salarié, il ne faut pas l’oublier. Il peut tout perdre, lui, et il a moins de garanties. » ??? , plus hors sol, n’est-ce pas ?
"De Talleyrand à Macron®, un paramètre de la vie publique a fondamentalement changé. La raison et le bon sens ont fait place à une alliance mortelle, l’alliance entre les clercs et les magistrats, entre la morale et le droit. [[Dans, ce cas – sauf des esprits libres, NUL n’a plus un jugement sûr. Nul-le qui juge et jauge au gramme prés, qui plante sa flèche impersonnelle dans le centre du futur. Nul qui sache vraiment, à la fois de la tête et du coeur ! Nul-le sauf les esprits libres. Les non cyniques qui semblent les plus aptes à sauver la civilisation…rien ne surgit jamais de rien. Il y a des livres qui ont prévu tout cela (même pré-Vu), des scènes sont clairement décrites, etc.) ]].
La morale et le droit sont le marteau et l’enclume entre lesquels tout ce qui nous a définis au cours des siècles se fait tailler en pièces au jour le jour. Raison d’État, coutumes et mœurs innées, modes de gouvernement public et privé, expressions d’identité : tout y passe. Une caste s’est cristallisée, possédant à la fois une idéologie rigide et les moyens de la traduire rapidement en articles de loi. Et le bon peuple observe médusé, la bouche ouverte et les bras ballants, comment des bizarreries dont il se gaussait la veille encore deviennent les nouvelles normes au petit matin. «Mariage pour tous! Non mais quoi encore? Pourquoi pas les noces de la carpe et du lapin!» Et hop! Essayez aujourd’hui de vous moquer de cet acquis définitif de l’humanisme…
L’avantage de la stratégie du choc juridique, c’est qu’elle est une crémaillère. Une fois qu’une loi a fait «clic», grâce au lobbying des minorités, des «représentants de la société civile» (nouvel avatar des pouvoirs illégitimes) ou des corporations archaïques et nécrosées, propulsée au besoin par la vague émotionnelle des tsunamis médiatiques, elle est verrouillée pour de bon. Revenir en arrière? Impossible. Il y faudrait des majorités parlementaires, impossibles à réunir dès lors qu’il s’agit de contrer les intérêts de la suprasociété [[ de la population MAJORITAIRE, en fait et au final ]]. Les «élus», une fois élus, ne rêvent que d’être recrutés. Le suffrage de la masse ne leur sert que de strapontin pour accéder au monde de quelques-uns. A-t-on vu des chiens pisser dans leur gamelle?
Même les Suisses, avec leur système unique au monde de démocratie directe, peinent à détricoter la camisole que leur impose un establishment apatride. De plus en plus souvent l’on voit les décisions les plus souveraines, celles obtenues par référendum, rester lettre morte. Incompatibilité avec la législation européenne, les fatwas de la CEDH ou on ne sait quel décret de quelle institution sans mandat populaire : les juristes trient et censurent, déplaçant la souveraineté du peuple vers la primauté du droit. [[…sauf, que là ce n’est réussi du tout…oui dans une monologue…mais surtout pas dans des débats…en plein soleil. Débattre à haute voix de leurs magouilles à qui ne conviennent que le très feutré des monologues – non cela ne le fait plus…les « tourbillons » ne s’arrêtent pas comme cela. Au tour de ces juristes (si traitres au Droit) d’être emportés…]].
C’est bien le problème: nous évoluons désormais dans des systèmes sédévacantistes: des systèmes fondés sur la souveraineté populaire, mais où le siège du souverain est vide. [[La vacance rend disponible, donc rendu aux dispos…en clair ? C’est une repos d’immenses fatigues…celles de qui ont porté la responsabilité du monde pendant que les puérils financiers font mumuse et que la com’ plus qu’arriérée croit qu’elle touche les esprits et les cœurs par ses ridicules qui sonnent creux ! Raté…et que – nous n’allions pas oublier – ces maitres de ce monde…d’apparences se voient (eux aussi) sidérés par ce qu’ils croient être leur…invention ! Pas du tout, ce temps de repos était nécessaire pour que les vrais porteurs du futur reviennent dispos et …complètement disponibles. Et que les imposteurs continuent à se poster de travers !]].
En France, la souveraineté du peuple n’est qu’une pétition révocable par le pouvoir législatif (comme l’a montré l’annulation du référendum sur la Constitution européenne), et le pouvoir législatif n’est qu’un consultant de l’exécutif (art. 49.3). On le sait, la patrie de la Révolution n’a jamais cessé d’être une monarchie. Mais il y a un fait nouveau. Les monarchies éprouvent de temps à autre le besoin de recourir au peuple, ce recours que la France ne connaît ni ne comprend plus. Le Front national est devenu, pour ainsi dire, l’interprète exclusif de l’entité «peuple», son ventriloque. Mais de quel peuple parle-t-on ? [[ un imaginé ou un clairement connu et reconnu ?]].
Dans son livre Fin de partie — Requiem pour l’élection présidentielle, Vincent Coussedière semble considérer cette question comme le seul et unique enjeu de cet étrange printemps. Le défi lancé au pays, écrit-il, ne se résume pas à choisir l’homme (ou la femme) le plus capable de gouverner. «Le défi est un défi archi-politique, qui consiste à réinstituer un peuple capable de légitimer un homme.» [[pour qui le piège est-il le plus grabd pour ces pseudos pouvoirs qui gesticulent d’égarements pour ce peuple qui en devient ….souverain ? Une élection NON sentie LEGITIME fout en l’air toute la faiblarde gouvernance mondiale.]]
Nul ne semble s’apercevoir de l’inanité des systèmes de gouvernement modernes où le principal intéressé, ce souverain qui les légitime, est écarté des débats, atomisé, réduit en une bouillie muette et indifférenciée, l’équivalent du raya infidèle sous un pouvoir islamique. Le gouvernement pour le peuple et par le peuple est peut-être une illusion, mais un gouvernement contre le peuple et pourtant en son nom est une absurdité de phase terminale qui conduit sûrement à la catastrophe. C’est en son nom que les oligarchies aujourd’hui hissent pignon sur rue avec des hologrammes de type Macron® — afin d’achever de le réduire à une masse servile.
[[mais comme ils ont froid, ridiculement deviennent trop frileux, sans pouvoir dire qu’ils agissent en son nom, qu’ils restent virtuellement d’accord, qu’il lui sert de prothèse…médiatique, etc. – lorsque tout peut virer à la folie…eh non ! il ne faut pas qu’il soit, ce peuple, « trop » asservi. Et toc, là, la marge de manœuvre est infime. Même…négative…c’est le dés-asservir qu’il le faut…et cela ils ne sauront jamais comment faire…la parole du « on n’enseigne pas les salauds » semble avoir fonctionné à fond. Ils n’auront jamais rien écouté…d’essentiel, ces cancres à l’ancre.
………………… Et donc ? Les égarés…]]….
>>>> - *** « PS. — La France des gens normaux retrouvera-t-elle la voix [[ un peu…il n’y a jamais eu autant de voix hyper puissantes et …sans micro]] ? Je me le demande chaque fois que je passe deux ou trois jours à Paris [[ stop, stop, Paris demeure le lieu le plus …arriéré de France…faut surtout aller voir ailleurs…]], à entendre et observer. Les classes y sont séparées comme au cordeau, par la tenue, le maintien, la manière de s’exprimer. Il y a ceux d’en bas, qui disent «bonjour» en trois syllabes (bonjourreuh) et mettent des chuintantes à la fin des mots comme les clercs serviles des romans de Gogol (ouiche, merciche). Il y a le «personnel technique», sécurité et services, qui, vivant dans la crainte, semble parler à contrecœur pour aussitôt se dédire de chaque mot prononcé, comme le caméléon ravale sa langue. Et puis la caste des bureaucrates et des cadres supérieurs, qui gutturalisent et se portent raides et précautionneux tels des vizirs sous leurs grands turbans, imitant la démarche ondoyante et majestueuse de leurs chameaux. Ceux-là ne voient personne autour d’eux. Ils oublient que c’est à cause de leurs turbans, qui les obligeaient à construire des navires trop hauts, que les amiraux turcs ont été ratatinés à Lépante. Le réveil d’un «peuple», on l’a vu en Russie, passe par la…
…. confusion, même éphémère, de ces castes cloisonnées qui se repoussent comme l’huile et l’eau. »
Articles liés : Le cœur du Système, I. – Le cœur du Système, II.
[[ …et il y a les…spontané(e)s qui englobent tout, ont les pieds sur Terre, si à l’écoute de celle-ci, qui respirent tout le vaisseau de l’Humanité, celui des magic tambourine men, qui détectent le centre de chaque discours en une seconde et y répondent à la vitesse de leurs cœurs. Cœurs devenus insurpassables dans la connaissance des vrais …humains non rétrécis, enserrés, ratatinés, etc. (et 100 etc.)….dans la moindre ALIÉNATION .
Non, non – naissant chaque jour toujours plus Nature et plus irréductibles.
.........Nul ne peut changer leurs âmes d’airain et leurs regards connaissant déjà le futur !]]
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……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Sûr que les oligarques, les lobbies en lubies, l'argent sale et les politiques corrompus sont entièrement coupés d'au moins 7 adultes sur 10 (tout compris) déterminés à vivre tout de suite sa...
chiffres qui réconfortent….vraiment.
en général, ils ont beaucoup de parrainages du…système (qui ne les croit donc absolument pas en antisystème).
qui aura voulu des privatisations ? Oui autour de 10 % de la vraie population…donc privatisations très illégales ?
Le Pouvoir Souverain du Peuple : Les fondements légaux de l'État Démocratique et de Droit
Vers la vraie démocratie : La Constitution (Partie 1)
Cette vidéo présente un aspect méconnu mais essentiel de notre constitution : la protection du peuple face à l'état de droit. Durée : 7 min Date : 28 mars 2014 Source : Demos KRATOS
http://www.informaction.info/video-gouvernance-vers-la-vraie-democratie-la-constitution-partie-1
la protection du peuple est prévue dans la Constitution
des extraits dans le texte démonstratif...
les élections ne sont pas la démocratie….
antipresse
la méthode de l’égalité est de loin la…meilleure.
Lorsqu’à l’intérieur de leurs pays que font-ils donc ? Nigel Farage, député Européen critique une construction européenne antidémocratique et technocratique qui selon lui mènera à la révolte des peuples pour " regagner leurs Etats-nations et leurs démocraties ".
Le seul révolutionnaire au monde….qui soit très réactionnaire, hyper conservateur et pro-libéral. Donc systématiquement pour le système
Se dire antisystème c’est juste « répondre » aux besoins du marketing politique ? Lui…obéir ! ( ?) Les antisystèmes véridiques veulent le tirage au sort et la fin de la …non,-représentativité.
Macron juste un produit lancé par les médias si peu transparents…par lui-même son hypocrisie antisystème ne tiendrait pas une journée. Dans sa vraie vie il est tellement système que tout va en marche arrière…
Trahi par lui-même…ce ne sont que des ingrédients qui ne peuvent permettre la moindre sincérité. Il n’y a qu’un monologue qui ne se peut partager…