Absolument contre l’écoligion
L’écoligion ? Un système de croyances, de dogmes et un clergé qui est juste au service de ces mensonges indignes qui ont pris la place de la vraie Économie. Soit un réel obscurantisme à la place d’une science organisatrice. Pour raccourcir, comment cette écoligion s’est donc installée ? Par la lâche facilité de la Nomination comme pouvoir de dénomination. De Dé-nomination, qui défait le sens naturel des mots. Et l’enferme dans un faux langage. Comment oser dire ceci ? Ces perversions des versions enferment les mots dans un sens qu’ils n’ont pas. Et veulent contraindre les humains à ne plus comprendre que ce sens malsain.
Par exemple « concurrence » qui veut dire « courir ensemble ». Comme une émulation participative. Oui est profané, défiguré en une…guerre économique actuelle, où tout le monde doit tuer tout le monde. Ne penser qu’à soi. Dans le gaspillage le plus stupide où toutes les versions doivent être assassinées, sauf une. Un seul prétendu gagnant pour 9 999 perdants c’est, au sens fort, très…antiéconomique. Que de l’antiscientifique…dilapidation…Le « courir ensemble » qui signifie bien que nous devons nous assurer que tous les coureurs restent dans la course. Qu’il n’y ait pas d’exclus ni de prétendus perdants. D’où – les se courir de secourir et autre recourir ! Oui ce courir « ensemble » profané pour une illégale guerre où les perdants sont, arbitrairement, exclus. La monstruosité de ce choix de corruption morale se démasque lorsque 8, 8 seulement ex-humains ( ce si petit nombre crie donc l’échec flagrant de ces « gagnants » ! ) oui ces minuscules êtres « ont » autant que 3,5 milliards de vrais humains. C’est bien que la loyale concurrence n’existe pas – seulement la concentration injustifiable. Pire ? Que toutes les concrètes concurrences du courir ensemble sont bien complètement interdites. Capitalisme = complète absurdité où toutes égales concurrences sont, très violemment, empêchées ! La « libre » concurrence, pas question. Que des monopoles, des cumuls anticoncurrentiels et des dissymétries grimaçantes…
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L’ensemble du texte s’inspire, au départ, de la fulgurante pensée de Patrick Viveret, telle que dans les deux premières vidéos, mais la dépasse et la synthétise plus. Qu’il en soit fortement remercié…Oui, suite à cette efficace percée au centre de la folie flagrante des prétendus dirigeants, nous pouvons en tirer, immédiatement, 2 séries d’actions probantes :
** 1) vérifier que tous les mots de la vraie économie sont transformés en écoligion.
** 2) aller vérifier si les grands penseurs économiques sont d’accord avec ces bassesses.
**1) --- // Compétitions ?
http://www.imagiter.fr/article-competer-111346207.html
Compéter. Ce son hideux est bien le verbe qui conjugue "compétition", lui-même si déconsidéré de sa pétition constitutive, sa plainte incessante. Et de sa radicale fuite devant le réel. Com- pétition, avec pétition, réclamation, protestation, requête, contestation, objection, parfois même supplication, etc.…Jamais de jamais contente de son sort – Bon : à qui donc est adressée cette plainte pour départager ou arbitrer . Certainement pas à qui est dans la compétition, la société comme lamentation !!!
Donc la compétition (qui participe de la pétition), dès le départ, nous cache la moitié de la réalité. Puisque la moitié manquante de la photo – qui assume la charge et l'embarras de la poursuite de la plainte puérile (tout pour moi moi moi moi – et écrase les autres pour moi moi moi), et de la destruction sociale complète (le coût réel de la compétition et ses "doublons" par millions n'est plus supportable !) qu'elle implique…D'autant plus que le contraire de la compétition – la co-ordination met de l'ordre en tout, comme le nom le "martèle" !!! La co-opération met toutes les opérations en synergie et efficacité multipliés, comme le nom le "martèle" !!! L'association qui est le sens ontologique de l'as-société, lorsque les associés font l'associé-té comme le nom le "martèle" !!! Le "martèlent" aussi (selon les tics intrus des médias d’argent) – la participation qui permet de tout réPartir, de partager les parts et d'établir la justice économique par redistribution. Oui la contribution contribue à dé- Partager, instaurer le partage comme système suprême de sagesse (puisque les mots l'ont déjà, entièrement, "réalisé" ! Compris avant nous !). Avec ceci nous obtenons tous les appuis, les aides, les concours, les synchronisations, les plannings, les organisations (inclus dans le mot "coopération" oui !)…
** --- // « Valeur » qui est « la force de vie » - d’où valeureux, ruisselant de force de vie. La valeur ajoute un supplément de force de vie. Lorsque ce mot est crasseusement violé, tout devient mortifère : les actionnaires reçoivent un supplément d’inertie mortelle, les dividendes récupère seulement la force de mort. Toute la société est bloquée…Ces mêmes inversions malsaines se retrouvent dans « l’épargne » – mot de compassion et de soin. Puisque nous épargnons des vies, nous les laissons vivre. Puisque nous épargnons (économisons) un poids sur les frêles épaules. Nous ménageons les autres au lieu de les maltraiter. Économiser c’est ne pas dépenser, ne pas gaspiller, c’est frugalité, prévoyance, modération, mesure…au lieu de l’illégale brutalité d’une prétendue société du profit sans aucun profit pour la collectivité. Où le petit nombre arrache barbarement ce qui revient à tous. Tous les mots de l’économie sont ceux des thérapies, ses soins et des attentions portés aux autres. Nous les faisons revenir à leurs sens originel. Où bénéfices sont bénéfiques et non sources de malheur pour le plus grand nombre. Ou les « biens » font du bien. Etc. Clair que la bestialité capitaliste ne respecte aucune vraie valeur…
** --- // Aussi, l’étymologie de dividende c’est…partage. Actuellement c’est clairement l’anti-partage. L’abus de dividendes se fait au détriment du travail et des investissements. Comment ? Seuls les dividendes déclarés (15 %) sont taxés. Il y a 2,6 fois plus de dividendes que d'investissements ! Et, du fait des appropriations abusives des richesses produites par les dividendes, les entreprises doivent, la plupart du temps, s'endetter massivement pour… investir! Vraiment pas malin du tout. C’est comme s’auto-saboter ! Les dividendes plombent les salaires. Etc. Le seul travail des économistes, anti-scientifiques vendus - c'est donc de SABOTER la vraie économie...
** --- // Encore « richesse » qui conserve la même étymologie que puissance (reich). Sauf que les mots « puissance, force ou pouvoir » ont une double face. A l’origine, chacun de ces mots est créateur. Donne plus de vigueur, insuffle la vie, offre l’effort qui rend plus fort…etc. Puis, ce double face inverse les qualités de la vie saine et rend la force forcenée (que plus aucun bon sens ne peut raisonner) ; le pouvoir y peut peu et que la puissance ne puisse plus. Puisse, subjonctif présent du verbe pouvoir.
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http://www.imagiter.fr/2014/05/speculation.html
**2) (la seconde piste) ---// ** La perte terrifiante du collectif ? Ce qui COLLECTE tout le meilleur de chacun-e de nous et l’offre à tous les autres ? Lorsque le tout est toujours supérieur aux parties, les égarés très contaminés qui « croient » que l’individualisme va tout savoir mieux que le holisme, détruisent concrètement le tissu social…Oui pourquoi ne sommes–nous plus collectifs ? Mais divisés, sécables et manipulables à merci, séparés et de nous et des autres, tellement affaiblis et débilités ? Trop de dualismes dans les indivis-dualismes ? 2 grandes voies de réponses :
>>> D’abord, tous les grands penseurs économiques d’Adam Smith à Marx en passant par Keynes ont tous dit que l’économie est SECONDE en importance collective. Accessoire, secondaire, annexe : que l’économie c’est pour l’économiser. La faire disparaitre. S’en passer complètement. Pour ? Lorsque la pénurie sera finie, il nous faudra passer aux « choses sérieuses ». Afin de la remplacer, cette pénurie enclose, par la république philosophique pour Adam Smith (vous savez celui de la main invisible qui a toujours dit l’inverse de ces vils capitalistes qui, pourtant, se planquent derrière lui afin de prolonger leurs forfaits…). Ou bien, le Marx du passage du règne de la nécessité au règne de la… liberté. La liberté étant zéro économie. Et Keynes qui élucidait, qu’après l’économie, sera l’âge de…l’humilité des économistes. Disons donc, avec une voix d’airain, que les imposteurs qui se prétendent, en 2017, des experts ne savent moins que RIEN. Ils radotent juste la métaphysique irrecevable de l’écoligion…L’économie reste SECONDE, de moindre valeur, de moindre importance, de moindre sérieux - oui que quoi ?
>>> En second, la preuve du grave défaut central siégeant dans la tête des prétendus dirigeants ? Vu le surdéveloppement de nos sociétés - l’économie aurait dû devenir très secondaire. Et l’Écoligion dominante (cette nuisible régression métaphysique) n’aurait pas dû exister du tout : c’est le règne des lâches et des fainéants (le cœur insensible et la moralité en berne) qui s’installent dans la mort des autres. Parce que, pour les vrais penseurs de l’économie comme enfance des sociétés, si l’économie reste…seconde qu’est-ce qui est premier, qui prime tout ? Qu’est-ce qui est le plus difficile, qui demande le plus de courage et de panache, de détermination et de lucidité ? Eh bien, le plus difficile n’est pas de produire des objets (trop facile) mais de produire des rapports humains. D’autant plus, que des liens d’Humanité ne se produisent pas en solitaires. Mais se co-produisent. C’est en courant ensemble, c’est en cocourant (en con-courant) que nous tissons ces liens. Pas de perdants puisque pas de gagnants : des pionniers oui, les laissées-pour-conte non.
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Apprendre le VIVRE ENSEMBLE (et tous doivent y…concourir !) cela est le plus rude et malaisé. Les économistes sont tellement moins utiles à la société entière que les vrais écrivains et les penseurs qui tissent du lien vital. Oui ? Dans ce cadre, l’économie n’est qu’un …divertissement (une société du spectacle), qui ne s’occupe de rien de raisonnable. Économistes (les déconnomistes !) qui ne sont que superficiels, frivoles (farfelus mêmes) puisqu’ils ne s’occupent jamais des…RAPPORTS HUMAINS. Ne disent que des absurdités inacceptables telles « on ne mélange pas les sentiments et les affaires ». Si, au contraire, nous les mélangeons énormément : les sentiments formant la très saine unité de mesures des affaires. Celle qui démasque leurs turpitudes possibles, leurs potentielles vénalités et leurs cruautés inadmissibles. Tout au contraire, il FAUT mélanger les sentiments et les affaires – à moins, justement, de ne pas être…humain. Toute stratégie transformatrice doit le savoir…que ce qui est rabaissé (par la censure du…silence – ce qui restera toujours preuve d’avoir tort. Qui a raison ne censure personne) par la déchue gente des affaires est, de fait, toujours très utile à la collectivité. Et pourquoi est-ce si difficile d’être un créateur, un cocréateur ? Parce que nous ne pouvons transformer à moitié. Sinon l’autre moitié nous revient en pleine gueule et nous blesse sauvagement…Aussi, l’écrivain ou le poète (qui ne s’occupent que d’affaires sérieuses !) sont preuves vivantes de transformations…ils se transforment eux-mêmes. Les autres ? Ne pouvant transformer (puisque refusant de « donner d’eux-mêmes »), ils accaparent (ou tentent de…) les biens mais sans faire de bien à personne même pas à eux. Accaparent les pouvoirs mais sans rien pouvoir en faire…sinon nuire. Et le sens, ils tentent de se l’accaparer ? Mais la « puissance » créatrice pulvérise leurs bafouillages inaudibles sans médias illégaux. Autre secret ? Les secrets ne se cachent jamais vu qu’ils…secrètent, et secrètent en pleine lumière. Suffit d’aller les trouver où ils se trouvent….
Soit ? Par quoi commence le rapport social et/ou humain ? Par se reconnaître mutuellement. Une fois reconnus nous pouvons nous connaître nus. Par quoi briser cet enfermement du sens dans les perversités que l’arriération capitaliste impose ? Par le changement de postures. Qui obtient une double victoire : vous changez de posture et l’imposture de certain-e-s se voit comme le nez au milieu de leur figure, figurez-vous…et…2) sachant que vos « positions » mentales et intellectuelles correspondent, sont reliées à des « positions » physiologiques, vous « savez » qu’en changeant d’attitude physique, corporelle vous changez votre regard sur le monde. Et bien sûr inversement…ce que nous appelons le stade du « cerveau sensualisé » (où chaque pensée devient une sensation sensée et sensuelle).
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L’économie (qui aura renié, nié et dénié tous « ses » grands penseurs !) c’est se vautrer dans la facilité. Et donc FUIR les difficultés. Tellement plus pénible de philosopher en vrai, d’écrire, de parler à neuf ou de penser nu, que de mentir écoligion…tellement plus ardu de réinventer un vivre ensemble que de produire des objets et que d’imposer unilatéralement (toujours la posture de ceux qui…fuient) ses cruautés antisociales. La plupart des politiciens s’habillent des lâchetés des fainéants du toujours dire le moins difficile (aux écrivains, alors, de dire le plus difficile, en s’écorchant partout) : nous voyons les désastreux résultats. L’amour et le sens cela c’est la vraie et l’immense difficulté. Y voyons-nous un seul économiste-clerc ou un politicien ? Bon...non et non, commençons, alors, par nous débloquer les imaginaires de n’avoir pas compris tout ceci plus tôt.
Encore un raccourci qui accélère le cours du texte (et le rend donc plus court) ? Il existe. Tout comme les mots ont été dénaturés; les chiffres ont subi la même perversion. Derrière les comptes il y a des contes. La comptabilité est donc tout sauf neutre et objective. Elle ne fait que refléter les arbitraires choix de société (et les cachent ces honteux choix sans nous derrière cette façade lisse)…la pensée unique est la plus grande trahison que des êtres ex-humains aient pu perpétrer contre l’Humanité. Leurs déshonneurs sont infinis…Les institutions instrumentalisées par ces mensonges – immobilisent toutes les possibilités de choix. Et ne peut qu’enfermer une société à ressasser sa propre mort. Son incommunicabilité, son obligation à tous finir dans la solitude. Oui, plus de vivacité vive, plus convives qui disent vive la vie, plus de vitalité joyeuse - que la rengaine de la mise à mort de l’humain par l’argent mort… Alors que UN PAS DE CÔTÉ, seulement un pas de côté nous sort de ce piège pervers. Pervers qui sème la confusion envers le vers…quoi ou qui ? Et donc ? Pourquoi le capitalisme sur-hait (sans aucun droit de se le permettre) les penseurs et les écrivains ? Parce que pour l’amour et le sens, ils ont pris sacrément de l’avance. Eux seuls très spontanément se donnent tous les droits de visiter le sens des mots (ce qui pulvérise les gros mensonges des vils capitalistes). Oui le droit de « récupérer » le vrai sens des mots, de co-créer le vocable du futur…ce qui les rend, mentalement et affectivement, androgynes (force créatrice féminine et capacité d’émerveillement de l’homme). Ces créatifs lient, mêlent, conjuguent ces deux conjugaux (conjugaux comme ceux qui ont été conjugués) …
Ce pourquoi cette androgynat créatif ne peut que DOMINER le scandale de l’écoligion !
………………………….Et y mettre fin. (le sens précis de fin-ance)
………...................(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
rien n’est LOYAL dans "leurs" similis concurrences. Tout y est sournois, tortueux, dissimulé, vraiment très déloyal, aux et mensonger. Rappelons que loyal vient du mot loi. Loyal qui respecte les lois implicites de toutes démarches…
le désordre organisé afin que très peu s’approprie tout le travail des autres. Nous sommes dans un système d’oligarchie, oligarchie qui prétend imposer « sa » concurrence. Oui mais en empêchant toutes les autres de concurrence. Monopole est l’illégalité flagrante des prétendues concurrences.
Culture solidaire…Intervention de Patrick Viveret, philosophe, magistrat à la Cour des Comptes
Culture solidaire…Intervention de Patrick Viveret, philosophe, magistrat à la Cour des Comptes (2)...le texte s'inspire de ces 2 vidéos plus qu'intéressantes !
c'est l'Humanité la solution pas les abstractions économiques
L’économie est seconde dans le sens qu’elle doit s’économiser, disparaitre et laisser la place à la CONSTRUCTION DES RAPPORTS HUMAINS.
Lemaire : "La libre concurrence doit s'appliquer à tout le monde" – sinon elle n’a rien à voir avec la concurrence. C’est bien une non-concurrence. Le monde non libre ne permet aucune libre concurrence
les gouvernements ne sont plus que des huissiers pour l’argent illégal des banques privés ? Et afin qu’une telle absurdité il faut absolument que plus aucune autre…concurrence ne soit possible. La concurrence « libre » n’existe absolument pas en occident…Pas de libre entreprises (sauf les multinationales) et pas de concurrence des options. C’est pensée unique, partie « éligible » unique, version unique et inique…
Le secret de la spéculation est une affaire d'hormones et de cortisol. Ce qui n’est que compulsions obsessionnelles doit être soignés et non subis par qui sait s’auto-réguler. Les irrationnels spéculateurs ne doivent plus pourrir la vie des autres.
Pourquoi nos sociétés contemporaines sont-elles aussi fascinées par l’argent ? Pourquoi font-elles de la production de richesse matérielle et de la possession de cet argent la valeur suprême ? Comment expliquer que notre civilisation ait sombré à ce point dans la religion du dieu argent, c’est-à-dire dans la logique du capitalisme financier, du profit à tout prix, au risque des pires inégalités et de la destruction de la planète ? Pour le comprendre, il faut sans doute commencer par rappeler que l’argent a bien en effet quelque chose qui l’apparente à un dieu… Quand on parle du « dieu argent », ce n’est pas en effet une simple expression, ce n’est pas hélas une simple image, mais quelque chose qui renvoie à l’immense pouvoir qui est celui de l’argent, un pouvoir qui nous fascine parce qu’il ressemble de façon très troublante au pouvoir que nos imaginations ont attribué à tous les dieux de toutes les religions : le pouvoir de tout faire, de tout rendre possible, de tout créer – bref un pouvoir absolu qui est celui de la toute-puissance… Voilà pourquoi l’argent exerce sur nous cette fascination dont je parle : comme les dieux tout-puissants, il nous tend l’image de la toute-puissance ! Et c’est même plus redoutable encore... parce que l’argent semble avoir un avantage sur ces dieux des différentes religions. Car la toute-puissance que nous lui prêtons semble beaucoup plus concrète que celle des dieux, c’est une toute-puissance dont les hommes peuvent s’en emparer – la toute-puissance que l’argent paraît est accessible, alors que la toute-puissance des dieux nous échappera toujours… Grâce à l’argent, les hommes rêvent ainsi de vivre la vie des dieux… Ce que les adeptes subjugués de la religion du dieu argent expriment en disant : « Tout a un prix », « tout s’achète, il suffit d’y mettre le prix ».