La croissance une espèce en voie de disparition ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La croissance une espèce en voie de disparition ?

Alors qu’en son nom tant d’espèces ont disparues - c’est la croissance qui est en train de devenir introuvable. Belle et bien en voie de disparaître. Déjà, parce que nuls prétendus responsables ne s’avisent de poser cette simple question : « D’où vient la croissance ? » – et, à cause de cette ignorance, piétinent toutes les possibilités qu’elle puisse apparaître. Ensuite, parce que ces mêmes irresponsables ne veulent surtout pas écouter les esprits lucides qui savent y répondre – puisqu’il leur faudrait modifier quasiment toutes leurs mauvaises habitudes. Et cela ils ne le veulent surtout pas. Le mot « croissance » est donc limité à rester un grigri magique qu’ils agitent afin d’écarter toute réflexion publique comme toute discussion adulte. Le pitoyable état des médias dominants comme celui offert par les élections qui font plus que friser l’antidémocratie, ajouté aux faits que les financiers internationaux fuient tout débat de fond = prouvent à quel point ils veulent juste continuer l’escroquerie en cours. Piller tous les biens publics et saccager la terre si terre à terre afin de s’attribuer de faux profits (puisque ces dits profits ne sont que des coûts flagrants reportés sur les autres). Lorsque – justement – l’état des sols ex-fertiles, la biodiversité, l’air, l’eau et les vies fossiles sont des éléments essentiels de la croissance. Dont nul ne veut surtout s’occuper.

Les analyses produites ici veulent ne plus laisser la moindre chance aux impostures au pouvoir de pouvoir paraître sérieuses. Seuls osent parler de croissance ceux qui la gaspillent indignement sans cesse – leur parole n’a donc aucune valeur puisqu’ils ne savent pas vraiment ce qu’ils font…

………………........…………************************************************

Accepter que la vérité ne soit plus jamais dite c’est s’engouffrer dans les spirales d’erreurs qui vont produire des erreurs et toujours plus…d’erreurs. Retenons-en trois :

*** à la date d’aujourd’hui aucun gouvernant n’est au courant de ce qui alimente la croissance, du fait que l’énergie est « contrainte », et qu’il ne faille surtout plus financer l’avenir comme il a été fait jusqu’ici. Les générations futures c’est tout de suite. Elles ont déjà commencé. Il s’agit donc de changer la majorité des habitudes de consommation (ces si scandaleux gaspillages), de quitter la dépendance extrême aux énergies fossiles, etc. : bref de vivre SANS croissance.

*** qui empêchent que cette réalité insistante vienne jusqu’à nous ? Les médias d’argent et les lobbies. Qui ne sont là que pour…mentir. Et qui s’imaginent si stupidement que tout n’est que rapport de forces. Or la vie et les ressources…oui naturelles sont en dehors des rapports de force. Ils représentent une réalité extérieure à laquelle nul ne peut rien opposer. Bien au contraire, qui est égaré dans les puérils rapports de force ne peut plus décider SAINEMENT.

*** ce qui correspond exactement à l’énorme aliénation des trop riches qui croient, dans leurs naïvetés sans limites, que « s’ils sont riches le pays est riche » - tout au contraire, il s’appauvrit et possède donc moins de ressources pour s’en sortir. Nous pourrions nommer cela « le syndrome des stars » qui se leurrent tant avec un « plus ils ont du succès plus le monde va mieux ». C’est tout le contraire (il va plus mal) puisque ce succès n’a pas été semé directement dans le tissu social. Et reste le piteux esclave du seul capitalisme. Par exemple, la musique DEVAIT fonctionner avec des coopératives partout, oui partout (de la production, sa diffusion jusque aux spectacles). Comme James Brown qui a laissé son public gérer ses tournées. Tout un chacun posant les affiches, s’infiltrant dans les radios, informant des dates et des lieux, collectant les scènes, etc. Bref – zéro dépendance aux médias fous et aux lobbies déconnectés du réel : « son » profit n’est surtout pas un critère RATIONNEL. Le profit c’est une …anti-civilisation complète. Nous voyons où cet enfantillage a mené la planète.

………………………..............**************************************

Ayant réussi à faire comprendre que, politiquement et socialement, LE MAUVAIS USAGE de la croissance a été la folie occidentale. Et que toutes les décisions politiques ont affaibli gravement le monde entier. Le privant de futur. Le seul futur qui nous reste est d’abolir tout de suite le capitalisme (qui n’est qu’une immense fainéantise anti-créative qui se vautre sur le reste de la société) puisque celui-ci ne fait qu’empêcher les solutions utiles à tout le monde…Revenons aux politiques…et leurs scandaleuses hypocrisies qu’ils ne PEUVENT RIEN FAIRE tant qu’il n’y a pas de croissance. Finies ces déshonorées gesticulations. Outre qu’elles les font paraître comme des enfants gâtés incapables d’assumer la moindre difficulté coriace – il faut bien admette que c’est la désorganisation sociale qui « empêche » toute croissance. Ainsi, les banques ne s’occupant plus d’économie réelle ne donnent bêtement l’argent qu’aux spéculateurs, ces parasites qui volent le travail des autres – jusqu’à les étouffer ? Leurs autorégulations bidons c’est juste un « il est impossible de faire confiance à la parole d’un capitaliste ». Et point barre.

Que les banques ne financent que la spéculation – en un premier temps – est masqué par un il y a toujours autant de liquidités mais utilisées à se mentir à soi même. Tout comme Jean-Marc Jancovici a observé excellemment que la quantité de combustibles fossiles actuels masque le grave manque en cours. Nos yeux (sauf ceux de l’esprit) ne voient pas le futur. Et les corps qui ne sont que matérialistes nous trompent dès que nous nous avisons de …penser. Dans ces conditions de dysfonctionnements des banques la solution est : les trop riches doivent avoir la CONTRAINTE d’user des richesses collectives pour produire du social. Interdictions sous saisines de spéculer. Clair ? Il s’agit d’arracher les 3 virus dangereux pour la société : les lubies des lobbies, les médias d’argent et les banques qui fonctionnent à l’envers. Leur parole d’halluciné égare.

Le ce « ne rien faire » (vous vous rappelez le politicien capricieux qui tape du pied pour son « qu’on me donne de la croissance et je vais faire mumuse ») oui ce ne rien faire est, d’ailleurs, un effroyable mensonge : si c’était vrai – ils font tant de mal par ce qu’il vaudrait mieux…ne pas faire. Comme faire partir en fumée le pétrole vivant puisque sa présence …dans les sols est essentielle pour la survie de la planète – peut-être – mais la nôtre, d’humains de survie, sûr à 100 % . Il vaut mieux pour notre survie que le pétrole reste dans les sols et ne parte pas en…fumée, bandes de drogués si lourds. Oui, Le débat n’est pas, en effet, le peakoil mais bien la proportion de combustibles fossiles qu’il faut-il impérativement laisser dans le sol ? Pour notre survie ? L’argent n’est qu’une convention abstraite pas une INTELLIGENCE…Et il en va de même pour tous les refus de débats…groupés sous l’étiquette sordide de « pensée unique ». Qui n’est, en fait, que la « leur » et qui, de plus, s’avère comme une non-pensée. Un vide mental qui refuse de répondre sur le moindre détail (n’en ayant pas le début même de l’argument).

…………………………........*********************************************

Il y a tellement d’aliénations à déblayer (en gros, depuis 50 ans, surtout en occident mais partout sur la Terre, les pays qui imitent cet Occident …sans issue – toutes les décisions politiques auront été celles qu’il ne fallait surtout pas prendre…) que ces aliénations occupent trop la scène de la discussion. Nous ne pouvons qu’esquisser ce qu’il faudrait faire. Et qui n’est pas fait parce que les médias d’argent sont…incultes. Tout comme la majorité des politiciens qui ne lisent plus rien que les rapports complètement farfelus (pas un mot de vrai !) des lobbies § lubies. En gros, ces décideurs ne sont vraiment pas au courant de la réalité – juste de l’idéologie et des puérils rapports de forces…Bon, esquissons toujours des oasis de compréhensions

Sans poules aux œufs d’or – impossible de voler les autres. Les arriérés capitalistes ont toujours mis la charrue avant les bœufs…devant une telle incompétence bardée d’arrogance inutile, il faut surtout les empêcher de faire de prétendues affaires (qui coûtent une fortune aux autres) ? Et ces poules aux œufs d’or ? Ces fous accusent, en plus, les seuls créateurs de valeurs (le travail concret pas les délires de la spéculation) de ne pas créer plus afin qu’ils le gaspillent comme des malades. Voyez les caricatures jointes qui cognent bien.

Le capital idiot jusqu’à l’os (en lui-même) est une décroissance (celle de toutes les vraies richesses collectives) – et il ne veut même pas savoir pourquoi. L’argent n’est pas un bon guide il ne fait qu’égarer. L’argent n’est que la face émergente d’un énorme ensemble de paramètres. Ces paramètres seuls comptent – l’argent n’est qu’un soubresaut symptomatique…en lui il n’y a nul mode d’emploi du fonctionnement global. Donc ? Aucune intelligence dans l’argent. Et donc ? Il faut empêcher tous les avides d’argent, les addictifs au symbole neutre de gérer les richesses collectives. Seuls des humains désintéressés sauront gérer l’argent commun puisqu’ils ne s’occuperont plus que de l’énorme ensemble de paramètres. Énorme ensemble de paramètres que masque l’amour monstrueux et complètement cinglé pour l’argent. Un politicien qui ne pense qu’à s’enrichir est un danger public. La société doit s’en protéger.

La « croissance grigri magique » c’est afin de FUIR les questions qui taraudent. Comme « à quoi sert la croissance » ? A quoi sert la croissance, en effet, si 52 % de celle-ci est bouffée par des multinationales monopolisatrices et par une poignée illégale d’individus égarés ? Tous les patrimoines doivent être plafonnés et des multinationales plus puissantes que des états doivent obéir (comme ces états moins puissants le font !) à des règlements internationaux. La destruction de la croissance vient d’un MAUVAIS USAGE de l’argent, non de sa possession. La solution ? De la rationalité qui surgit de « globaliser vraiment la pensée » - à la limite ils pourraient posséder à l’implacable condition de ne plus jamais gérer. La croissance « monopolisée » aura disparue dans leurs postures vraiment très infantiles… A quoi « sert » la croissance si 52 % de celle-ci disparaît dès qu’elle apparaît. Accaparée par des entités qui n’en font rien…ni de public ni de social ? Donc qui la gaspille par les fenêtres. A quoi sert la croissance pour (plutôt) …à qui ne sert-elle pas : au minimum à 90 % des humains…Question qui n’obtient jamais de réponses (sauf les nôtres) ? Genre : pourquoi travaillerons-nous pour une croissance confisquée illégalement par d’autres ? Tuer les travailleurs c’est ne mettre que des obstacles sur la gestion rationnelle des richesses collectives. La démocratie est un système que tout le monde veut défendre (ce pourquoi les républiques sont obsolètes). Si tout le monde veut les défendre - plus besoins de polices, d’armées, de banquiers d’affaires (uniquement de dépôts), de médias d’argents et de lobbies. La société se réorganise autour du paradigme : « nous devons sauver de la richesse réelle : la fertilité des sols, la pureté de l’eau, le non usage des énergies non renouvelables, une économie d’intelligences collectives non de croissances « passives » qui vont s’ensabler… Etc.

Jean-Marc Jancovici affirme que toutes les questions centrales qu’il pose n’ont jamais obtenu de réponses adultes ni des experts économiques ni des politiciens dits « de gouvernement » (appellation qui fleurent, désormais, le manque de professionnalisme – toujours à radoter des recettes datant de 40 ans et ce quels que soient les contextes !) Les vidéos de Jean-Marc Jancovici, jointes au texte, vont toutes au centre essentiel des débats. Nous de même : il est temps de considérer que qui brandit « son » profit, ou qui délire que l’argent est plus « vrai » que la vie et la nature – sont atteints de grave maladie mentale. Tout comme nous devons ne plus dépendre (drogués grotesques) de l’énergie non renouvelable, l’argent doit être banni des élites qui vont – si avantageusement – remplacer les actuels déchus si corrompus. Ne plus oublier les ressources réelles dans les futiles rapports de forces. Rapports de forces qui n’existent que parce que la politique est …monopolisée par des professionnels uniquement préoccupés d’eux seuls. JAMAIS DE NOUS ! Dès que les tirages au sort désigneront des politiques très temporaires – tous ces sacs de nœuds si nocifs disparaîtront !

Donc – plutôt la permaculture que l’agriculture du désastre chimique, plutôt les comportements coopératifs et solidaires que l’anti-concurrence capitaliste, plutôt les tirages au sort politiques que la non réPublique, plutôt les médias protégés de l’argent fou selon des décrets de 1944, plutôt des vrais écrivains que des journalistes incultes, plutôt la fin du star system et l’art-coopérative géré sans business, plutôt les services publics autogérés que les privatisations, plutôt N.R.V. que les partis politiques, etc.…etc. Point par point – une autre civilisation est déjà en place. Ne manque que son mode d’emploi ?

……………….*****************************************************

http://www.imagiter.fr/2015/05/l-université-des-va-nu-pieds.html

Il y a un million de révolutions tranquilles…dans « l’université aux pieds nus - (conditions d’admission : être illettrés) » nous en avons fait l’illustration. Notons que notre texte date de Mai 2015 et la vidéo jointe de Décembre 2015. Et donc ? Nous nous ne copions personne, nous le voudrions mais où se trouve la hauteur exigeante où nous nous hissons. Donc nous créons nous-mêmes les réponses et sommes tristes de n’avoir vraiment pas assez d’humains à admirer. La non-clvilisation actuelle étant celle des « avachis », oui des vautrés. Moins tu demandes aux autres plus ils se gavent de…rien. Or, toutes les sagesses du monde ont prouvé qu’aimer les autres c’est les bousculer, ne pas rester indifférent à leurs « décrues affaiblies » sans issues. Oui qui fait bouger autrui et EXIGE en plus des efforts risque de rester fidèle, constant, fiable, persévérant, responsable, présent, durant et suant pour les autres. Se tromper à ce point (« moins on pense plus on serait intelligent », est bien ce qui gave certains milieux) c’est que l’on a trompé de route son propre cœur. L’Humanité mérite à 100 % d’autres dirigeants que les actuels. A ne renouveler en aucun cas (clones et prolongés). Assez de pistes de solutions sont ici dessinées pour que vous vous vidiez la tête…

……...............et vous vous mettiez enfin à…penser PAR VOUS-MÊMES !

 

http://www.imagiter.fr/2016/03/séparés-du-sens-global-du-savoir.html

……………….......************************************************************

>>>>>>>>>>>> - KIT POUR ABOLIR LE CAPITALISME - <<<<<<<<<<

La croissance une fable qui disparaît ? (et de sa faute en plus ?) – Au point qu’une «croissance verte» est incompatible avec la finitude des ressources !De n'importe quelle couleur, plus de croissance...

« Par ailleurs, quelle proportion de combustibles fossiles faut-il impérativement laisser dans le sol pour limiter le réchauffement climatique ? Et si c’est entre 60 % et 80 %, comme l’affirment les évaluations les plus récentes, quelles conséquences cela peut-il avoir sur une croissance mondiale encore très largement propulsée par ces combustibles [[dans la pensée des « lâches-fainéants » trop connue ]] ? Plus généralement, la croissance économique, même faible, est-elle compatible avec les taux de réduction des émissions de gaz à effet de serre aujourd’hui exigés pour ne pas franchir des seuils critiques de concentration dans l’atmosphère ? »

Et donc ? La croissance verte, cette nocive hypocrisie capitaliste est, au mieux, une escroquerie anti-scientifique [[ce qui explique les gesticulations anti-environnementales de Trump] ], au pire, une maladie mentale. La croissance sauvage (comme l’arriération ultra libérale l’a toujours été) tue la Terre. Il ne peut rien en croître de vivant (rappelons que le vivant c’est ce qui…croît !) .donc toute…croissance est rendue impossible par ses voraces mêmes !

Jean Gadrey et la croissance

« Les dévots de la croissance [[ ces idéalistes si angéliques, benêts comme tous les dévotants ]] sont enfermés dans des schémas de pensée où l’avenir ne peut ressembler qu’à une réactivation du passé. Ils n’imaginent pas que l’on puisse « relancer » autre chose que des quantités produites et consommées à grand renfort de campagnes publicitaires, d’obsolescence programmée et de vie à crédit. [[ ce qui signe l’étroitesse des cœurs qui n’habitent même pas de tels régressifs !]]. Et ils ressassent leur argument favori : sans une croissance suffisamment forte et continue, pas de créations d’emplois, pas de réduction du chômage ! [[bref, l’immense paresse affective qui tue…]]. Le triangle idéologique du libéral-croissancisme — la compétitivité des entreprises fait la croissance, qui fait l’emploi [[absolument Faux !]] — est d’un simplisme affligeant. Pourtant, il continue d’orienter les décisions politiques [[ce scandale ne s’éteindra plus jamais !]]..

(…) En réalité, les acteurs dominants du capitalisme néolibéral adorent le chômage comme dispositif disciplinaire [[et après cela ce ne sont pas des monstres ?]] les autorisant, d’une part, à freiner les revendications salariales et, de l’autre, à intensifier et précariser le travail pour accroître les profits [[ cette pitrerie qui disqualifie qui s’y adonne ! ]]. Aucun projet post-croissance n’aboutira s’il ne convainc pas que la « relance » du bien-vivre dans un environnement préservé est nettement plus efficace pour vaincre le chômage que les recettes éculées du libéral-croissancisme.

Et pourtant, la croissance n’est nécessaire à la création d’emplois que dans le modèle actuel, qui repose sur la quête perpétuelle de gains de productivité [[dont les gains ne sont jamais redistribués ]] : produire toujours plus avec le même volume de travail [[et qui produit ce dit travail ?]]. Dans ce modèle, une croissance nulle ou faible, plus faible que les gains de productivité, mène à la régression du volume de travail, et donc du volume d’emplois si le temps de travail moyen par personne reste inchangé. »

Face aux dévots drogués jusqu’au rabord des drogues des illusions des lâches – les rappels à la réalité… 1) - *** En France, Thomas Piketty nous met lui aussi en garde : « Est-il bien raisonnable de miser sur le retour de la croissance [[qui ne reviendra plus tuée, entre autres, par la stupide spéculation et les CDS]] pour régler tous nos problèmes ? Cela ne résoudra pas l’essentiel des défis auxquels les pays riches doivent faire face. » A son tour, Daniel Cohen nous exhorte : « Affranchissons-nous de notre dépendance à la croissance.» [[Abandonnons à la seconde tout consumérisme et ses scandaleux gaspillages ! Les voir dans ce lien

http://www.imagiter.fr/2017/03/la-grande-catastrophe-consumériste.html...]].

On doit à l’économiste Michel Husson (Michel Husson, « Un abaque climatique », note n° 89 (PDF), 20 août 2015.) des projections assez simples permettant de déterminer d’ici à 2050 le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) mondial — ou du PIB par tête — compatible avec les différents scénarios du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Il les a établies en fonction d’hypothèses sur le rythme de réduction de l’« intensité CO2 du PIB mondial » . Conclusion : « L’objectif plancher du GIEC [une division par deux des émissions globales entre 2010 et 2050] ne peut être atteint que par une combinaison d’hypothèses très optimistes sur le rythme de réduction de l’intensité CO2 du PIB [— 3 % par an, soit le double du rythme observé depuis vingt ans] et l’acceptation d’un ralentissement marqué de la croissance du PIB par tête [0,6 % par an en moyenne dans le monde]. Quant à l’objectif le plus ambitieux — une baisse des émissions de CO2 de 85 % d’ici à 2050 —, il semble complètement hors d’atteinte. » Il exigerait en effet une réduction drastique de l’intensité CO2, et une réduction absolue du PIB par tête.[[soit la fin de la société de consommation !]].

http://www.imagiter.fr/2015/05/la-croissance-est-un-mythe-:les-ressources-naturelles-et.la-réalité.html

Sans omettre ceci…

Mythes-économiques-:-il-faut-limiter-la-consommation-des-ressources-naturelles-pour-les-générations-futures-déjà-là !

les délires des ultra-libéraux qui fuient le réel…A ne lire qu’en sachant être soulevé de nausées devant tant de corruptions morales et affectives !

Pour s’en guérir – revenir aux fondamentaux…dont les historiens dont (bizarrement) les médias d’argent ne parlent jamais (trop peur d’eux/elles ?)

Histoire-générale/le-mythe-de-la-croissance-illimitée-et-les-historiens

......l’Histoire est vraiment contre le capitalisme et ses grands délirants !

Les-marxistes-bêtement-accros-à-la-croissance?

Jusqu’aux marxistes (sans le vrai Marx)…qui ne veulent surtout pas écouter.

Voici que vous avez la plupart des éléments en main – vivez maintenant que vous allez réellement grandir et croître…SANS la croissance économique toujours aussi incomprise !

 

 

..........……(à suivre)

…………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Seuls osent parler de croissance ceux qui la gaspillent indignement sans cesse – leur parole n’a donc aucune valeur…Pour eux , croissance = autorisations de tout gaspiller !

Seuls osent parler de croissance ceux qui la gaspillent indignement sans cesse – leur parole n’a donc aucune valeur…Pour eux , croissance = autorisations de tout gaspiller !

La croissance une espèce en voie de disparition ?
les banques ne s’occupant plus d’économie réelle ne donnent bêtement l’argent qu’aux spéculateurs, ces parasites qui volent le travail des autres – jusqu’à les étouffer ? Auquel cas il y aura toujours autant de liquidités mais utilisées à se mentir à soi même. Les trop riches doivent avoir la CONTRAINTE d’user des richesses pour produire du social. Interdictions sous saisines de spéculer. Clair ?

les banques ne s’occupant plus d’économie réelle ne donnent bêtement l’argent qu’aux spéculateurs, ces parasites qui volent le travail des autres – jusqu’à les étouffer ? Auquel cas il y aura toujours autant de liquidités mais utilisées à se mentir à soi même. Les trop riches doivent avoir la CONTRAINTE d’user des richesses pour produire du social. Interdictions sous saisines de spéculer. Clair ?

La croissance une espèce en voie de disparition ?
La croissance une espèce en voie de disparition ?
sans poules aux œufs d’or – impossible de voler les autres. Les arriérés capitalistes oint toujours mis la charrue avant les bœufs…devant une telle incompétence bardée de son arrogance , il faut l’empêcher de faire de prétendues affaires (qui coûtent une fortune aux autres)!

sans poules aux œufs d’or – impossible de voler les autres. Les arriérés capitalistes oint toujours mis la charrue avant les bœufs…devant une telle incompétence bardée de son arrogance , il faut l’empêcher de faire de prétendues affaires (qui coûtent une fortune aux autres)!

Le capital idiot jusqu’à l’os est une décroissance – et il ne veut même pas savoir pourquoi ...même lorsque c'est sous ses yeux !

Le capital idiot jusqu’à l’os est une décroissance – et il ne veut même pas savoir pourquoi ...même lorsque c'est sous ses yeux !

ces évaporés accusent en plus les seuls créateurs de valeurs (le travail concret pas les délires de la spéculation) de ne pas créer plus afin qu’ils le gaspillent comme des malades

ces évaporés accusent en plus les seuls créateurs de valeurs (le travail concret pas les délires de la spéculation) de ne pas créer plus afin qu’ils le gaspillent comme des malades

la décroissance existe déjà - sauf pour les trop riches là où il y en le plus besoin…

la décroissance existe déjà - sauf pour les trop riches là où il y en le plus besoin…

profit dément = perdre la terre …réelle.

profit dément = perdre la terre …réelle.

Le mythe de la croissance face à la réalité des ressources naturelles Objectif croissance ! Mais à quoi tient réellement la croissance sinon aux ressources naturelles qui elles ne sont pas infinies, notamment à l'énergie ? Le mythe d'une croissance perpétuelle tant relayé par nos chers médias, ici démonté par Jean-Marc Jancovici.

indexer la première à la seconde est un défaut impardonnable de pensée...

pourtant appris au lycée...

entre autres...

Argent déconnecté de la croissance ? Connecté à quoi alors ? Aux délires ! L’argent n’est pas un bon guide il ne fait qu’égarer. L’argent n’est que la face émergente d’un énorme ensemble de paramètres. Ces paramètres seuls comptent – l’argent n’est qu’un soubresaut symptomatique….en lui il n’y a nul mode d’emploi du fonctionnement global. Donc ? Aucune intelligence dans l’argent. Et donc ? Il faut empêcher tous les avides d’argent, les addictifs au symbole neutre pour gérer les richesses collectives0. Seuls des humains désintéressés sauront gérer l’argent commun puisqu’ils ne s’occuperont plus que de l’énorme ensemble de paramètres. Énorme ensemble de paramètres que masque l’amour monstrueux et complètement cinglé pour l’argent.

le capitalisme est-il une pensée primitive ?

le PIB n’est plus utilisé que par les lâches et les fainéants. Dépourvus de toute sensibilité ?

Marie-Monique Robin, Sacrée Croissance !

l’agriculture urbaine transforme ceux qui la pratiquent : les solutions sont plus nombreuses que les problèmes. Mais ceux-ci braillent pour que cela ne soit pas su.

Des solutions à l’absence de croissance ? Bénédicte Manier, Un million de révolutions tranquilles. Lorsque les collectivités locales reprennent leur destin en main..

partir des ressources sources non des profits déserts....

Professionnels, ils ne s'occupent de rien de PUBLIC - et ne font que radoter ce qui a toujours échoué - sauf à enrichir inutilement une poignée d'égarés...

Publié dans economie et politique

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article