La décentralisation des enjeux
La décentralisation des enjeux ? C’est la décision la plus importante qu’il y a à prendre. Et vu l’inattention acharnée de la classe politique, en général, nous allons tout à l’opposé. Ils ne s’occupent que du superflu (rendre plus riche ceux qui le sont déjà trop) et néglige l’essentiel (sans la Terre « vivable » sous leurs pieds il ne leur sert à rien d’être trop riches). A partir du moment où le socle du sérieux, la feuille de route de la raison collective sont établies, 2 voies se dessinent :
*** - à partir du centralisme, déverser conseils et explications. Mais cela risque de nous placer derrière la vitrine, séparés et éloignés des enjeux les plus quotidiens.
*** - vraiment apprendre la décentralisation des enjeux. Nous préférons cette seconde route de la toute raison.
L’écologie est ainsi faite que si tout le monde respecte le respect à la nature – sauf un, qui déverse irresponsablement ses pollutions, les efforts de la grande majorité resteront vains. Un seul acte annule des millions d’actes. Avec les décentralisations des enjeux ceci deviendra nettement plus improbable.
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Chacune et chacun ne s’occupe plus que de la nature auprès de chez soi, ce qui parait plein de bon sens, puisque des milliards d’humains qui font pareil, assurent qu’aucune autre méthode ne peut être efficace. Ce socle rationnel établi, c’est au contenu de cette protection de la nature que nous devons porter attention. Vouloir faire bien ne garantit pas les résultats. Le contenu de l’action en devient primordial. Alors, ici, il y a ce que nous devons quitter comme mentalités très nocives. Et ce que nous devons mettre à la place.
>>>> - L’attitude irresponsable du consommateur qui, soi-disant, paie et ne doit jamais se préoccuper des conséquences de ses gesticulations infantiles, doit être énergiquement combattue. Et il faut donc expulser la mentalité consumériste hors de la société : traiter publicités et marketings, etc. comme des activités antisociales pernicieuses pour le futur commun. Et ne plus permettre aux humains de s’effondrer dans des caprices puérils (de faire joujou avec tout ! Rapprocher les conséquences des actes c’est très pédagogique…) qui doivent être, fermement, remplacés par un contenu extrêmement réfléchi. Dans ce contexte, la centralisation n’aura fait que renforcer tout ce qu’il ne fallait pas faire. La survie de la nature se montre un milliard de fois plus urgente que des profits déraisonnables pour une poignée de marginaux capitalistes. Marginaux.qui vivent en dehors de la société comme des parasites – et, à aucun moment, ne pensent ni à la biodiversité ni à la survie de la vie (celle nécessaire pour que la « qualité » de vie humaine ne s’effondre pas). Les fondations sont atteintes (la nature) - alors les statues extérieures superfétatoires (les profits – ces coûts reportés sur les autres) peuvent attendre. Vraiment très longtemps.
>>>>>> - Nous revenons, ainsi, à des pensées adultes responsables. Et revivons dans un monde remis à l’endroit. Expulsés tous les poisons, nous mettons à la place du terre à terre : c’est localement que la nature se sauve. Pas sur des affiches centralisées qui bafouillent des gamineries irréalistes : prenons soin de l’environnement. Juste le dire c’est le faire ?…Non et non ce n’est pas dire mais faire qui importe : soit offrir à chacun-e d’entre nous toutes les possibilités, mais toutes, de pouvoir concrètement sauvegarder une nature saine. Pour cela il faut abolir les obstacles : abolir le profit comme structurant social principal. Le profit est un caprice de gamin qui ne veut pas connaître les conséquences de ses compulsions maniaques. Il doit être traité comme tel : ne pouvant jamais plus être le but essentiel de toutes les décisions collectives. Abolir la société de consommation et la centralisation qui gaspille tout. Le consumérisme rend irresponsable, insensible, déraisonnable et nous fait vivre hors sol, trop loin de la réalité terre à terre. Nous devons revenir sur Terre – des deux pieds. La centralisation aboutit à des pensées insensées et à des aveuglements affolants. Où ce sont les plus loufoques et les déréalisés qui prennent des décisions nuisibles au futur commun. Les décentralisations des enjeux sont la thérapie de choc adaptée au contexte.
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Le socle solide existe déjà : pendant que l’écologie politique divaguait dans des impossibilités structurelles, pensant par le renforcement des centralismes irresponsables parvenir aux décentralisations nécessaires. Impossibilités pratiques. L’écologie de terrain, elle, a fait d’immenses progrès dans le terre à terre. La permaculuture en très peu d’années a attient un savoir et une sagesse insurpassables. Laisser la nature faire, puisqu’elle sait mieux que nous, c’est la méthode la plus durable. Ne pas respecter sa structure et ses rythmes pour les motifs irrecevables que des gosses immatures auraient le vain caprice de « se faire des profits » n’est plus socialement acceptable. La nature vit mieux sans pestes de pesticides, sans fongicides ni insecticides. Les profits de ces produits ultra nocifs ne doivent plus faire mentir sur la hiérarchie des valeurs : le profit de quelques uns n’est pas une valeur collective. Dehors les profits plus qu’illicites – inadaptés ! Et donc la nature (qui est notre vie terrestre) n’a pas à subir ces dommages immenses pour que des inconscients jouent à faire des profits. Il est possible, socialement, de leur aménager des lieux où « ils joueraient à faire des profits » mais sans jamais porter atteinte à la vie et à l’environnement. Déconnectés. Comme cela leur maladies maniaques et compulsives s’exprimeraient sans dégâts…jusqu’à complète disparition.
Le savoir de terrain existe, il s’agir de le renforcer, de le diffuser. Or, coup de chance, le maillage d’internet c’est celui de la plus grande décentralisation. Surpassée que par la gigantesque civilisation des arbres et son réseau rhizomique. Même si des multinationales centralisent déraisonnablement les décisions de logistiques et de logiciels. Pas insurmontable cette fausse mentalité. Et donc ? Nous devons soit démettre les politiciens de leur professionnalisation et de leur centralisation néfastes. Soit ne plus les mettre au centre des diffusions, leurs actions n’étant que déraisonnables – en commençant par internet, ne plus parler d’eux, plus jamais, mais uniquement de ces humains (individus ou groupes) ordinaires qui font des choses extraordinaires. Soit favoriser, amplifier et parachever la diffusion de toutes les initiatives individuelles utiles pour vraiment tous (oui réparer les graves trahisons du monde écervelé de l’édition qui ne sait plus lire depuis un certain temps !) – la concrète décentralisation en marche. Les politiciens du fait qu’ils ne s’occupent que de leurs carrières ne peuvent pas prendre en charge les problèmes collectifs. C’est incompatible : nous n’avons qu’une tête. Le temps perdu à s’occuper de choses inutiles (une carrière) empêche de se préoccuper de l’essentiel (organiser la société vers des buts communs sains et d’intérêt général).Le fardeau qui leur pèse c’est la professionnalisation : abolissons-le, tout vote se fera au tirage au sort. Avec, au tout début seulement, panachage avec 1/3 d’ex politiques professionnels.
Biens communs, communs numériques, logiciels libres non propriétaires, retour aux services publics à buts non lucratifs, intelligence collective, fin de l’agriculture intensive, fin des monopoles illégaux du privé, limitations des patrimoines, limitation des propriétés recentrées sur l’usage, etc. Tous les éléments existent afin de bâtir une nouvelle civilisation. Mais comme en tout projet qui se construit, il faut commencer par le début. La décentralisation des enjeux est ce début. Nous l’avons réalisé (eu la conception mentale) et avons commencé de le réaliser ( le rendre bien concret sur le terrain) – nous savons désormais de quoi nous parlons.
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La démocratie (que l’illégale oligarchie mondiale se permet de bafouer chaque jour !) est un but accepté par l’écrasante majorité des humains. Ils le savent d’autant mieux qu’elle n’existe quasiment nulle part. Un peu plus dans les pays européens nordiques et dans quelques lieux locaux du fait de la volonté de ses populations (Marinaleda, etc.). C’est un but commun à construire. Et un but qui n’a besoin d’aucune centralisation : puisque la démocratie est internalisée et que, même, toujours plus savent que démocratie = décentralisation. Tandis que les seuls ennemis de la démocratie concrète c’est l’oligarchie de la centralisation déraisonnable. L’oligarchie irresponsable (faire du profit comme seul but prouve l’immaturité complète et de leurs cœurs et ce leurs esprits). Donc ? La décentralisation ne peut qu’aider toujours plus la démocratie. En est même son expression la plus…directe !
On nous parle de VI ème République. Pourquoi pas de 1ère Démocratie ? Ce n’est pas vraiment par les urnes que ceci s’obtient ? Elu pile poil pour dissoudre la « royauté présidentielle » et instaurer une assemblée constituante peuvent se faire, aussi, tout à fait en dehors des urnes. Votes plus qu’à la carte d’identité (les 6 millions de non inscrits étant des citoyens probes qui ne veulent pas être mêlés à la mascarade de politiciens professionnels non tenus à respecter leurs engagements = soit « dévotables », oui révocables en cas de trahisons. Les électeurs sont « assez bon » pour voter mais pas dévoter ? Allons donc, un peu de sérieux…. !). Le Constituante ne passe pas par le vieux vote trop manipulé : les trop riches y sont tellement sur représentés. Par exemple, employés et ouvriers représentent 53 % de la population et ont rarement plus de 1 % des sièges à l’Assemblée. Tandis que les 10 % riches exagèrent de monopoles illégaux (selon la Constitution qui interdit à toute fraction de la population de tout imposer aux majorités.). Ce qui s’impose aux riches trop surreprésentés qui peuvent se monopoliser jusqu’à 80 % et parfois plus des sièges. Ce procédé de vote n’étant pas « sérieux » (pas du tout…représentatif dans une démocratie…représentative - faut vraiment le faire !) n’est pas donc à… prendre en compte. Une Constituante doit même plutôt se décider hors de ce circuit trop maltraité !
Voici pour le nous savons de quoi nous parlons. Et nous savons qu’il faut déplanter l’axe central de la société (les prétendus élites actuelles ayant couvert toutes les bassesses d’argent – n’en sont pas du tout, des élites ! Nous pouvons, avantageusement, nous passer d’elles !)…oui axe central déplanté et le replanter ailleurs.
Dan ces décentralisations des enjeux où les enjeux commencent, justement, par les décentralisations. Où aucune oligarchie arriérée ne pourra plus y mettre ses mains plus qu’incompétentes. Et où les trop détraqués financiers internationaux (ceux qui stoppent la vraie mondialisation des…peuples. Peuples, enfin unis pour fonder l’Humanité, qui n’a jamais encore existé )…oui ces financiers fous là ne pourront plus jamais nuire.
La nouvelle civilisation commence par l’acte de décentralisation des enjeux.
Acte qui se passera autant dans chaque tête et chaque cœur que…
…………………………..sur le terrain !
>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - AUTRES ARGUMENTS - <<<<<<<
Qu’est-ce à dire avec ces décentralisations des enjeux ? Simple. Dès qu’un pouvoir est là, il s’agit de tout faire pour le limiter et délimiter, le circonscrire, lui ôter son venin. Bref, le réguler et surtout pas le déréguler, lui offrir le toboggan de la folie furieuse. Où quelques personnages ahumains, inaccessibles à tout sentiment comme insensible aux émotions dans leur psychopathologie, va (vont) enrayer les mécanismes biens pensés de la civilisation. Ce qui bégaie comme la fable de l’inutile police. Qui ne cogne que contre les plus faibles, les sans défenses et qui n’ont, absolument, pas besoin d’être cognés. Et jamais ne se dresse, cette police, contre les cupides, les destructeurs, les abusifs, les fraudeurs lourds, les sans limites des monopoles et des cumuls des médias et de la politique alors dépolitisée. Là, où pourtant sa claire utilité brille tant. Les centralisations des jeux qui ne jouent plus opèrent alors. Le chaos actuel ne vient que des inadmissibles laxismes des autoproclamées élites incapables de limiter les délires des hyper capitalistes (ne vivant plus à 100 % que sur l’argent des autres). Ce qui, déjà, avoue que ces autoproclamées élites ne sont certainement pas élites – puisqu’elles demeurent si inaptes à déceler les véritables antisociaux. Facile, pourtant, dès 1750, Adam Smith avait détecté leur slogan si nuisible « tout pour moi et rien pour les autres ». Slogan anti-humain issu de la folie de l’argent - dont Adam Smith s’est toujours méfié à fond, oui de l’argent. Appelant même à un surcroît de régulations (pas de dérégulations) envers son usage. Bien.
Pendant ce temps, les sols sont dévitalisés, l’air tué toujours plus, les pollutions galopent et les liens sociaux sont pour ainsi dire décousus puisqu’il n’y a que la …centralisation…
Centralisation si nuisible…En effet, ce savoir de tout ce qu’il y a en commun entre nous a quasiment disparu – d’où nombres de conflits potentiels en hausse. Les prétendus dirigeants ne font plus que diviser en n’ayant strictement aucune conscience des dangers vers lesquels ils mènent la société....Donc que l’écologie de terrain importe tellement plus que l’argent. Les décentralisations des enjeux deviennent, alors, incontournables. Des documents des années 1980 le prouvent à fond.
Coopération décentralisée, les agences de l’eau dressent le bilan
Chaque année, les agences de l’eau et les collectivités accompagnent de nombreux projets de solidarité ou de coopération institutionnelle dans le cadre de la loi Oudin /Santini, contribuant ainsi de façon non négligeable à l’Aide Publique au Développement.
Ce rapport d’activité propose un bilan de l’efficacité de ces aides et présente l’articulation des interventions des agences de l’eau avec leurs principaux partenaires, l’Agence Française de Développement, le Partenariat Français pour l’Eau, l’Office International de l’Eau et le PSEau, les ONG, les associations… etc.
On estime que depuis 2007, grâce aux projets de coopération décentralisée auxquels les agences de l’eau participent, 4,5 millions de personnes ont eu accès à une eau potable et 400 000 à l’assainissement. 13,6 millions d’euros ont été consacrés par les agences de l’eau à ces actions, soit 0,72% de leurs recettes.
Prendre connaissance du rapport
>>>>>> - TEXTES EN AVANCE SUR LES DÉCENTRALISATIONS ? <<<<<
http://www.imagiter.fr/article-La-maladie-Paris-57115866.html
http://www.imagiter.fr/2017/01/Comment-les-territoires-peuvent-se-défendre.html
http://www.imagiter.fr/2016/08/La-politique-fait-que-nous-ne-occupons-plus-des-projets-communs.html
http://www.imagiter.fr/2016/02/La-décentralisation-toujours-autant-sabotée.html
http://www.imagiter.fr/article-un-pays-compétitivement-fédéraliste-103205590.html
Les collectivités locales ne contribuent que pour 0,10 % au déficit public !!! En ces temps de rationalisation des dépenses communes ne faut-il pas plus se tourner vers ce qui ne contribue pas au déficit public ? Rationnel et raisonnable non ? Faire le détour vers qui restent "Les bénéficiaires des déficits?" - post du 25 janvier 2012 - oui ces trop riches qui S'ENRICHISSENT en créant tous les déficits ET en faisant semblant de s'en inquiéter (donc en raflant, une deuxième fois, une part exagérée pour les "combler", ce qui…augmente les déficits. CQFD ?)…ce pourquoi les collectivités locales ne contribuent que pour 0,10 % au déficit public ***
( **** sources le mensuel "Acteurs Publics" n° 85 et suivants…)…
..........................Puisque "les bénéficiaires des déficits" n'y sont pas…
Autre délire massif – la France serait le pays des fonctionnaires…Faux et plus qu'archi faux…Le Danemark, tiens donc, en a 3 fois plus de services déconcentrés de l'Etat que la France…et 30 % de plus pour les Pays Bas, etc (**** sources l'OCDE, 2009)… Le détail offre :
<<< !!!! >>> Nombre d'agents en charge de l'exécution des politiques publiques pour 1000 habitants - de SEULEMENT 4,6 pour la France, 5,1 pour la Norvège, 6,4 pour les Pays- Bas et 13, 6 pour le Danemark. Pays considérés comme chantres du "libéralisme" tranquille…Soit 3 FOIS MOINS en France qu'au Danemark…donc la France MANQUE, si limpidement, de services publics…par rapport aux pays "libéraux- fédéralistes"…désinformations scandaleuses, non ? Ou hallucinations récurrentes des notables en état d'ébriété permanente ? Selon le titre du post "Le capitalisme est structuré comme un alcoolisme"
.........……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
inefficacité sur le terrain garantie /// incommunicabilité – rien ne peur remonter sinon avec une force supérieure à toutes les forces terrestres actuelles. La centralisation c’est le monologue unique…
Aucune interconnectivité entre les membres centralisés, tous aveugles et sourds aux autres – bref, c’est le foutoir, le désordre, le chaos véridique – ce n’est beau que sur le papier. Décentralisation c’est la main qui ramène… la raison - Elle ne demande rien. Mais veut qu'on la laisse agir...
la centralisation est vraiment irresponsable
quasiment aucune initiative centrale pour la décentralisation (voir les chronologies)
Paris, à sa sale habitude, n’écoute rien des expériences mondiales de décentralisations. Et donc prive la population de « son » pays de tout. Sauf de l’écoute en boucle de ses graves délires…
Laurent Davezies et Olivier Régis - L’égoïsme territorial
un exemple de décentralisation, malheusement payé par de l'égoisme central envers le reste du monde ?
interrompre le monologue de l’oligarchie qui n’a jamais rien, écouté
La Nature est entièrement décentralisée - biomimétisme ou le vrai savoir du monde – loin de tous les artifices compassés et psychorigides…