La gestion coopérative d’une ville ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La gestion coopérative d’une ville ?

Les résultats tout à fait étonnants remettent eu cause les très nombreux défauts des archaïques structures pyramidales qui gaspillent beaucoup et provoquent trop de troubles induits. Sans rien apporter aux collectivités. Le texte ne peut contenir une étude exhaustive (qui existe déjà dans ses grandes lignes), et doit trouver, à la place, des raccourcis qui apportent les preuves factuelles des conclusions de cette étude. Ici, nous allons commencer par rassembler des éléments d’interrogations disparates. Éléments qui rassemblés font émerger un modèle complet de réorganisation sociale que nous allons développer en plusieurs textes les prochains jours. Dont un « Comment libérer les économies ? ».

Regroupons déjà les informations qui contredisent tant les médias d’argent.

** 1 ) - La France représente 23% du marché mondial de l’économie collaborative, avec ses deux géants que sont Blablacar et le Bon Coin mais aussi avec des entreprises jeunes, souvent spécialisées sur des niches. Des populations davantage actrices de leur économie, des créations de nouveaux systèmes de solidarité, un esprit de communauté grandissant… L’économie collaborative vise le partage et l’échange de biens et de services entre particuliers, s’éloignant du schéma classique « marque-client ». Favorisé par l’essor du numérique, le marché pèse aujourd’hui 15 milliards de dollars dans le monde. Pourquoi donc masquer l’analyse objective de cette information ? Cui prodest ? A qui cela sert-il ? Le fait est que la France avec les États-Unis sont les deux pays les plus avancés dans ce domaine. Les États-Unis par le très mauvais côté de l’ubérisation (le versant très capitaliste et très exploiteur d’un modèle qui ne leur appartient pas). Et la France enfumée par l’amalgame malsain économie collaborative et ubérification, lorsque l’ubérification ne représente qu’un très petit pourcentage de la réalité française (ce qui signifie bien que l’écrasante majorité ne l’est pas et reste…vertueuse, un bien pour la société entière !). Alors que la France est la première dans le monde , ses politiciens lui cache cela. Pourquoi ? Cette économie collaborative vertueuse entre dans l’immense conglomérat de « l’économie CONTRIBUTIVE » (qui contient plusieurs facettes que nous ferons découvrir). Économie contributive qui peut, avec de la volonté, mettre à bas définitivement le système pyramidal obsolète de la rente immobile sur le travail des autres. Bref, l’arriération capitaliste !

Transition-écologique-priorité-majeure !

** 2 ) - Partir des inquiétudes et des préoccupations concrètes de nos contemporains et non des profits qui ne débouchent sur rien de collectifs (en 2016 les dividendes auront, irrationnellement, surpassés les investissements. Oui mais de 2,6 % fois plus. Ce qui est énorme ; les dividendes ne renouvellent pas l’économie et étranglent le futur. Vu comme cela ce n’est pas du « partage équitable » (étymologie exacte du mot dividende) mais bien…du pillage. Ainsi – la transition écologique (avec sa composante énergétique trop mise en avant aux dépens de l’ensemble), ne peut viser le versant profit se montrant puérilement hors sujet. Mais bien la survie de l’espèce humaine

90 % des françaises et français se disent préoccupés par le futur énergétique, la transition écologique. Évidemment, les candidats n’en parlent pas. 90 % c’est un trop petit nombre. Tandis que 1 % c’est carrément la grosse majorité. Qui a vissé dans sa tête que plus vite nous…aurons appris à nous passer de tels dirigeants pour tous les aspects de la vie - plus vite nous nous attellerons efficacement aux projets qui changent tout.

Osons-les-jours-heureux-25-mesures-prioritaires-vers-une-transition-écologique

** 3) – Le grave danger collectif de la compulsion de mettre des étiquettes sur tout. Comme si nous atteignions à l’intelligence instantanée de la chose – c’est trop souvent le contraire, l’étiquette empêche de s’interroger. Ferme les regards sur les argumentaires propres à l’évènement. Et ressemble trop à un enterrement illégitime. Mettre une étiquette, dans ce cas, c’est pour ne pas en parler. C’est pour dissimuler et occulter. Et non comme une facilitation pour une meilleure clarté de l’intelligence du monde. Trop d’étiquettes tue et, en 2017, il y trop d’étiquettes, chaque nouveau mot est étiqueté si inutilement (puisque le déroulement du sens complet souligné par le raisonnement se voit omis - oui la « périphrase qui explique » !)…Surtout ensevelies la curiosité salutaire et l’attention portée aux autres. L’inhumaine étiquette chosifie tout… Et donc ? Tout ce qui fonctionne de manière neuve et inattendue (le modèle coopératif qui est tout le contraire de suranné ou vieillot comme les insupportables petits bourgeois qui n’agissent jamais, mais sont d’illégaux spectateurs aigris de passivités qui salissent tout sans distinctions. Alors qu’ils ne savent rien de la difficulté rare de créer, d’innover, d’affronter les préJugés et d’inventer du vrai futur, ils font perdre du temps à tout le monde avec des.. « des ah nôôôôn alôôôôrs la coopérative c’est ringâââârd ». Qu’en savent-ils ces imposteurs ?). Donc – ce texte dépoussière tout ce qui doit l’être et met aux poubelles de l’Histoire ce qui le doit. Ici la subversion des modèles anciens : les fournisseurs de base locaux reprennent un supermarché et vont le transformer en surface de circuits-courts et de nourritures saines, le tout dégagé des folies puériles des profits compulsifs (compulsifs – comme ce qui n’appartient pas à la raison pratique et que l’on fait malgré soi…sans penser !).

Face à la grande distribution, les petits producteurs ne pèsent pas lourd. Sont-ils pour autant condamnés à s’écraser à perpétuité ? Certainement pas ! Exemple dans l’est de la France où 35 paysans ont uni leurs forces… pour racheter un supermarché ! Gros plan sur une initiative culottée, maligne et exemplaire.

Colmar-des-agriculteurs-achètent-le-supermarché

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Grâce à ces données frottées l’une contre l’autre apparaît triomphalement un NOUVEAU PARADIGME complet (nous avons la clef du paradigme mais il faut fréquenter un certain temps avant d’apprivoiser – en conséquence, il sera distillé à l’aide de divers sites mentaux et d’exemples qui renversent les prétendus évidences évidées)

Co-produire le changement, s’y mettre toutes et tous – au lieu de stagner dans la royauté présidentielle, soit de régresser à « tout » espérer d’un humain providentiel. Et rien des autres humains.

Coworking où gestion co-opérative d’une ville ? Et non coopérative comme dans le titre qui ne pouvait entrer plus dans les détails : co-opérative c’est la méthode employée et l’explication du succès. Une petite ville, Loos en Gohelle, est sortie de sa condamnation à dépérir parce que la maire (réélu à 82,16 %) a décidé d’IMPLIQUER LES HABITANTS. Et pas du tout par de simples réunions où ils n’auraient qu’à écouter. Ou même à sortir leurs « cahiers de doléances » ( comme il le formule)…où tout-e un-e chacun-e « va se mettre à exiger l’impossible, à juste insulter le maire, ce qui va empêcher le possible ». Où l’on « consomme des réunions comme des produits de supermarché », ajoute-t-il. Non il s’agit bien de « l’habitant-acteur » qui va coproduire la nouvelle ville. De la reconstruire ensemble et de la conduire vers une prospérité partagée jugée carrément impossible.

La ruine du charbon avait fait perdre toute activité, dépérir le commerce, etc. et laissé, en plus, des terres très polluées et beaucoup de ruines. (« il ne s’agissait plus de critiquer le système mais de soigner ses pathologies »). Il fallait inventer un nouveau modèle pour la ville qui la reconvertirait en tout autre chose. Et ce sont deux phénomènes toujours oubliés par les technocrates qui ont permis ce prodige :

*** - tout aura été basé sur la confiance. Dans le sens où aucune information n’était restreinte, soit dissimulée (seulement étaient évités tous les fascicules techniques complexes se trouvant derrière chaque décision adoptée collectivement). Et que donc tout le monde voyait les progrès accomplis. C’est à l’aide de « l’économie circulaire » (tout récupérer) qu’il a été possible de quitter l’état d’une ville polluée pour devenir une ville saine. Par exemple, toute l’eau utilisée par les services municipaux est de l’eau de pluie récupérée. Mais, avant, il aura fallu toute une réhabilitation thermique, faire baisser le taux dangereux de nitrates dans l’eau, etc. De construire patiemment la TRANSITION. De passer à une ville martyrisée pour que tous les profits aillent ailleurs – à une ville qui sert d’exemple pertinent pour de nombreux aspects. “On a 25 ans d'avance sur le reste de la France en matière de transition énergétique”. Eh oui, lorsque la confiance règne le progrès redevient progressiste !

** - ensuite le rêve . Oui l’imagination, les visions, le rêve créé en commun à permis de mobiliser les cœurs. Le rêve fait beaucoup bouger surtout si l’on y participe. Par exemple, les initiatives individuelles étaient libérées. Tout le monde pouvait donner son grain de sel. Pas de répression inadmissible sur la qualité de la diction, le vêtement porté, les images et exemples employés, etc. – toutes ces bassesses rampées qui disqualifient définitivement une…caste vraiment aux abois !

Les flagrants résultats de ces deux moteurs qu’aucun technocrate hors sol ne peut comprendre sont impressionnants :

-- Les terrils sont réutilisés pour promouvoir une cité scientifique

- L’Ademe nomme cette si petite ville du nom de « démonstrateur sociétal du développement durable » (le vrai , pas celui de l’obscène capitalisme avec ses puérils profits « à n’importe quel prix » qui rend donc tout…non durable !)

- Une halle aux écomatériaux prolonge le principe où tout est récupéré

- La mise en place de circuits-courts très efficaces.

- Le bassin minier (grâce au modèle de la ville qui encourage les autres à s’en sortir) est inscrit au patrimoine mondial de l’Humanité, etc. Pour ne citer que les réussites les plus étonnantes.

Ce qui importe c’est que ce maire a quitté le principe d’encadrer (répresssivement) la population, de la mettre devant les faits accomplis, de n’écouter que les technocrates et les lubies de lobbies, etc. – il a écouté tout le monde, il a fait de l’économie collaborative avant que ce mot même n’existe. Du « coworking aussi ». Ce qui a produit un modèle très attractif : artistes, scientifiques, autres municipalités viennent voir. La vie associative s’est multipliée par deux, etc. Bref – c’est ce modèle absolument non prévu par les monopolistes de la vie non-publique qui aura RÉUSSI à fond là où ils (les cinglés des privatisations tueuses de futur) échouent partout. Évidemment, ils ne veulent pas en retirer des leçons – puisque ceci va contre eux et que leur seule sale habitude c’est de pilonner tout le monde et de ne jamais se remettre en question. Alors, qu’après 40 ans, tout le monde sait qu’ils ONT INFINIMENT TORT ! Qu’ils devraient, au moins, conserver la dignité de s’en aller et de laisser les nouvelles élites de réparer « leurs » dégâts !

La gestion co-opérative d’une ville ? Nous, oui, nous en retirons d’amples leçons. Tant il demeure toujours bon d’apprendre à la bonne source.

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Autre exemple – modèle ! De la gestion co-opérative d’une ville à celle de l’économie entière ?

Ne plus rien jeter, mais tout transformer. Le geste futile et cruel d’occulter les portes et fenêtres des bâtiments inoccupés – ne pouvait que rencontrer sa solution intelligente. Simple : sans détruire, toujours trouver un nouvel usage ! Nanterre transforme une usine abandonnée en un « accélérateur d’innovation sociale » par l’alimentation collaborative et solidaire.

Nanterre-transforme-une-usine-abandonnée-en-temple-de-l'alimentation-collaborative-et-solidaire

« Réinvestir les lieux où la surproduction gaspillarde prônait sa légitimité est aujourd’hui de plus en plus commun. L’idée est de ne rien détruire mais de tout transformer; c’est le concept même du « vrai » développement durable [[pas celui des faux jetons capitalistes ]]. « Le château de Nanterre » se voit transformé en un haut lieu de consommation collaborative et solidaire !

Dans un monde en pleine mutation, tout est possible et Le Château de Nanterre est en train de nous le prouver. Inscrit aux monuments historiques, Le château de Nanterre est en train de casser les codes de notre société [[pas de changements sans bousculer, à bon escient, les petites habitudes encroûtées !]]. Ses 2 300 m2 d’espaces intérieurs et ses 6 000 m2 de jardin nous laissent rêveurs !

Cette ancienne usine de pâte à dentifrice propose un nouveau concept partant du simple constat que notre alimentation est à bout de souffle — notamment à cause des récentes révélations d’études scientifiques nous prouvant que de nombreuses substances toxiques sont cachées dans notre alimentation —, ce qui entraîne inévitablement une baisse de confiance de la part des consommateurs. À partir de Juin, ce monument nous propose de fédérer les acteurs de la transition alimentaire dans une communauté auto-apprenante afin de mutualiser moyens, compétences et outils, le tout grâce à des produits aux prix et conditions accessibles pour faciliter l’expérimentation, la professionnalisation et le développement.

Cuisines partagées, incubateur de startup, espaces de dégustation et jardins dédiés à l’expérimentation agricole, tel est le nouveau projet du Château de Nanterre. Un espace culinaire de 400 m2 pour tester le concept et démarrer sereinement sa propre activité en se concentrant sur l’offre. L’espace extérieur de plus de 6 000 m2 carré servira à expérimenter, apprendre et promouvoir l’agriculture urbaine. Potager, ruches, poulailler, zone de compost… tout sera à disposition pour bâtir les premières pierres du monde de demain. Comme l’explique Armonia Pierantozzi, chargée de projets ETIC et Présidente de SITOPIA : « Nous avons donc l’ambition de rassembler et structurer toutes ces initiatives au Château, en faisant passer cette ancienne usine à l’économie du XXIème siècle : un laboratoire d’innovation qui accueillera ces acteurs dans des espaces de bureaux et de coworking, des lieux d’expérimentation, d’exposition et de contact avec les humains. Il sera également un lieu de production et d’expérimentation de l’agriculture urbaine. Notre vision est de permettre à des acteurs dynamiques du changement de travailler dans les meilleures conditions possibles, en agissant sur plusieurs leviers majeurs : en baissant les barrières à l’entrée en rendant accessibles des espaces de qualité, conviviaux et à des conditions flexibles ; en les incluant dans un écosystème où ils pourront créer leur réseau de partenaires et bénéficier d’un ‘accompagnement adapté leur permettant de pérenniser leur activité, leur impact et les emplois créés. »

Le concept, bien trop négligé dans la lutte contre le capitalisme mortifère, de coopérative est ici complètement rénové. Et de ringard (mais c’est purullé par la propagande), il devient super en avance, très novateur. Qui veut changer, en commençant par la base, ne doit avoir peur de rien. D’aucuns concepts. Qui se targue de ne jamais penser prouve ainsi qu’il/elle ne pourra jamais vraiment penser aux autres. Tels qu’ils sont et avec leurs besoins. C’est ce tout faire pour ne pas penser qui devient plus que ringard – ennemi !

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Les coopératives comme des « accélératrices d’innovation sociale » ? Voici qui décape les incompréhensions farfelues sur le ferment révolutionnaire de la coopérative. Ce sont bien les prises de consciences qui sont archaïques, ringardes et vieillottes – et pas les concepts. Toujours les arriérés conformistes qui confondent tout

Oeuvrer-autrement-grâce-aux-coopératives-: une-innovation-sociale

Où sont les incompréhensions ? « Les coopératives sont plus nombreuses et embauchent proportionnellement davantage que leurs homologues capitalistes [[ elles représentent donc le futur et le capitalisme le passé !]]. Mais elles ont quasiment disparu du débat politique [[donc c’est bien là qu’ont très peur les pouvoirs !]]. 53% de hausse en dix ans : le nombre de sociétés coopératives et participatives (Scop – anciennement « sociétés coopératives ouvrières de production ») et de sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic) ne cesse de progresser en France. Appropriation du capital par les salariés, partage plus équitable des bénéfices, gouvernance participative, écarts de salaires limités, emplois pérennes…[[que des solutions radicales à de vieux problèmes que le système fait exprès de garder irrésolus : ici, les décisions seront juste…décisives !]] »

Lorsque l’antisocialisme puisque libéral bafouille ? « Créée au début du quinquennat Hollande [[avec Royal à sa tête ]], « la Banque publique d’investissement (BPI) a refusé de financer la coopérative sous prétexte qu’elle ne faisait pas d’innovation », dénonce Sylvie Mayer. « Pourtant, elles faisaient bien de l’innovation sociale. » Pour ces égarés les mots n’ont aucun sens, ce qui va les perdre définitivement : innovation c’est rabougri au seul « ce qui rapporte au monopole illégal du capital – ça c’est innovation ». Évidemment ceci ne peut avoir d’avenir ! Le co-Opératif par son gigantisme même et l’amplification naturelle des implications auto-multiplicatrice, oui

……………………………………………………….…et dix mille fois oui !

http://www.imagiter.fr/2017/04/pendant-les-elections-les-solidarites-continuent.html

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Comment utiliser efficacement la perte de temps que peuvent être les élections ? En détectant tout ce dont il n’est surtout…pas parlé (c’est l’essentiel – là où sont les grandes peurs des pouvoirs). Et en repérant, aussi, les comportements incohérents (par exemple, sur internet des manips qui prouvent la croyance naïve que les prises de conscience cela se…« chiffre » seulement. Alors que ceci se jauge avec l’intelligence émotionnelle, genre la profondeur des nouvelles compréhensions ! etc.). Ainsi, tous les atouts concrets du pays France, mais tous, sont sournoisement occultés. Comme le fait que la France c’est 23 % du marché mondial – oui mondial - de l’économie collaboratrice (dont le concept n’a rien à voir avec sa nocive dérive capitaliste d’exploitation de l’homme par l’homme de l’ubérification). Vous vous rendez compte la France le pays le plus avancé du monde pour l’économie collaborative – et ils n’en…parlent pas ! Ce n’est donc pas une bonne nouvelle pour eux.

Qu’actuellement, aussi, opèrent d’autres subversions réussies des modèles passés : les fournisseurs-producteurs locaux de base reprennent tout un supermarché et vont le transformer en surface de circuits-courts et de nourritures saines. Une claire victoire de la base. D’autres encore exhaussés dans le texte : comme cette commune au conseil municipal collégial (tout le monde maire). Ou cet autre qui gère sa ville co-produite par tous ses habitants, etc. Soit ?

L’utilisation très novatrice de l’ancien concept de coopérative qui, avec tant d’autres éléments que nous découvrirons dans les prochains textes, constitue cette si complète « économie contributive » qui pourrait bien mettre à bas le capitalisme de rentes immobiles.

……….L’enjeu valait bien la peine de cliquer sur le titre du texte

……………………………… afin de voir se dérouler tout son conté contenu.

 

 

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ENCORE - <<<<<<<<<<<<

Ce-million-de-révolutions-tranquilles

Bénédicte Manier, Un million de révolutions tranquilles. Lorsque les collectivités locales et leurs concitoyens reprennent leur destin en main. Les « vraies » valeurs reviennent…..

Valeurs si hautement durables puisque…..

….Rien de plus solide que le solidaire. Nous nous appuyons, donc, que sur du dur et que sur du costaud.

….Se fonder sur la solidarité c’est durer des millénaires.

………………………..Ce que le troisième millénaire commence si bien !

 

 

...................(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Agriculture intelligente ? Les paysages en mosaïques constituent une pratique originale pour conjuguer adaptation au changement climatique et atténuation de l'érosion de sols....

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Apprendre à co-produire le changement

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L’Uberisation n’est que la récupération (ratée) d’un modèle qui ne les concerne pas…

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celui-ci – avec Uber c’est nous mettre en cage par l’exploitation- Le partage c’est sortir de la cage

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c’est le retour aux Communs – tout le monde la main au pot et non pas manque de pot pour tes mains…

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La gestion coopérative d’une ville ?
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les réseaux apprenants créent même beaucoup de réponses

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ce qui implique que, avec les multinationales, elle ne sera pas du tout démocratique

sauf si… Loos en Gohelle

Loos en Gohelle “on a 25 ans d'avance sur le reste de la France en matière de transition énergétique”. D’une ville quasi dernière, très polluée, comment ont-ils fait pour devenir la première ? Et avoir concrètement tant d’avance ?

Comment de seulement changer de regard implante un futur fertile ?

Autre nouveau modèle : élus collégiaux – donc tous sont comme des maires

Le secteur de l‘économie sociale et solidaire est loin d‘être marginal aujourd’hui en Europe : les coopératives par exemple emploient 4,5 millions de personnes. Pourquoi de plus en plus d’entrepreneurs parient-ils sur ce modèle ? Pour mieux comprendre, nous recueillons le point de vue de Martine Pinville, et découvrons en région parisienne, une coopérative à la fois sociale, solidaire, mais aussi compétitive, robuste et résiliente et nous recueillons le point . À la différence des entreprises cotées en bourse qui doivent servir les intérêts de leurs actionnaires et se concentrer sur la rentabilité à court terme, la priorité de ces sociétés coopératives est de redistribuer les bénéfices à leurs sociétaires qui peuvent être également leurs clients, leurs ouvriers ou leurs employés

La France représente ainsi 23% du marché mondial de l’économie collaborative, avec ses deux géants que sont Blablacar et le Bon Coin mais aussi avec des entreprises jeunes, souvent spécialisées sur des niches. Des populations davantage actrices de leur économie, des créations de nouveaux systèmes de solidarité, un esprit de communauté grandissant… L’économie collaborative vise le partage et l’échange de biens et de services entre particuliers, s’éloignant du schéma classique « marque-client ». Favorisé par l’essor du numérique, le marché pèse aujourd’hui 15 milliards de dollars dans le monde.

Coworking : pour travailler mieux, travailler ensemble

Bénédicte Manier, Un million de révolutions tranquilles. Lorsque les collectivités locales reprennent leur destin en main… et que fleurissent les universités des…pauvres !

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