La nature à notre service
Contre toute raison, nombres d’humains étalent une très mauvaise volonté contre la nature. Se mentant à eux-mêmes sur elle et les services permanents qu’elle rend à l’Humanité. Services gratuits et inconditionnels. Quand donc, collectivement, atteindrons-nous une telle disponibilité ? Une telle hauteur de vue ? Une telle globalisation des bienfaits ? A avoir perdu tant de siècles avec l’arriérée religion argent (il n’est que de voir ses prêtres pour nous rendre compte à quel point ils sont plus qu’inadaptés par rapport à la vie, surtout collective !) – nous devons rattraper le retard. C’est à nous de nous mettre à jour de la nature et son omniscience paisible et non l’inverse. La trop grande mauvaise foi de certains (qui ont contaminé la société) nous a fait adopter la pire des postures : celle mêlant un immature « je veux pas le savoir » avec un « je suis infiniment supérieur à la nature » ! Ah oui, où cela donc ? Démontrez avant d’asséner. Prouvez votre supériorité. Étalez des actes sensés pour une fois…
Ainsi – fortes têtes mais cœurs en berne – nous sommes-nous engagés dans des solutions de facilités (clairement irréfléchies sur les conséquences) comme des obstinés du monologue (seuls les humains ont cultivé l’anti communication bestiale telle « la langue de bois » ou parler pour dire Rien !). Pendant que les bébés au pouvoir boudent la réalité - il est devenu possible de faire du plastique à partir d’algues marines biodégradables. Nous avons opté pour l’erreur monumentale du plastique de pétrole - non biodégradable. Qui nous casse la tête afin d’éradiquer le poison du plastique pétrole qui contribue à assassiner les océans. Pendant que les irresponsables couronnés ( les financiers fous internationaux, incapables d’énoncer le moindre raisonnement global et cohérent) représentent la pollution sociale en grand. Eh bien ? Eh bien quoi ? Les solutions contre ces doubles pollutions se trouvent dans la nature. La nature à notre service.
Un ensemble d’exemples concrets vont nous rapprocher de ces nouveaux concepts – d’autant plus que l’urgence écologique fait que nous ne pouvons plus admettre la « société du caprice », qu’est devenu le consumérisme infantile. Je veux, je veux, piaillent ces infantiles dangereux. Le monde est comme il est, non comme ils voudraient qu’il soit, vains frivoles ! Et ces durs rêveurs, ces dingues agressifs sont en train d’entraîner la collectivité sur la très mauvaise pente. Nous sommes les adultes. Et nous sommes les responsables de la Terre du seul fait (en creux !) qu’ils /elles en sont les complets irresponsables. Nous devons stopper ces non adultes dans leur folie intégrale : nous en avons la tutelle pleine et entière. Utilisons-là !
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La nature reste à notre service. Mettons-nous au service de la nature. Ceci peut se nommer transition, ou tout autre, l’essentiel est que nous nous bougions. Que nous nous mouvementions drus.
Ainsi, le plastique du pétrole ? Apparemment la Nature, à chaque problème a déjà, à l’avance, la solution symétrique. Mais, pour l’entendre, nous devons « parler nature » c’est-à dire, nous…taire et l’observer. Écouter son ouvrage, non attendre, figés, une voix langagée qui ne viendra pas.
« Les scientifiques s’intéressent en ce moment à la larve de la fausse teigne de la cire. Elle serait capable de nettoyer les océans de nos déchets plastiques plus rapidement que les méthodes élaborées jusqu’ici.
Cette-larve-dévore-le-plastique-en-un-rien-de-temps-et-pourrait-bien-sauver-la-Terre
Cette larve sous le nom scientifique de « Galleria Mellonella » est jugée depuis toujours comme dangereuse. En effet, dès les premières secondes de sa naissance, elle détruit ce qui l’entoure notamment dans les ruches. Mais on vient de lui trouver une caractéristique : outre le miel, elle raffole du plastique.
Devenue l’héroïne de la biodégradation, elle mange le polyéthylène produit à plus de 80 millions de tonnes chaque année et généralement déversé dans les océans. Ce composé chimique – fait de longues chaînes d’atomes et de liaisons carbone-carbone particulièrement solides – met environ 400 ans avant de disparaître dans la nature. D’ailleurs, il a été jusqu’en 2000 considéré comme non-biodégradable. Ensuite sont venues l’utilisation d’acide nitrique, procédé extrêmement long et corrosif, puis peu après, la découverte d’une bactérie alimentaire dans l’intestin de la larve Plodia Interpunctella, seulement capable de manger de très fins films du polyéthylène et ce, de manière très lente soit 0,13 milligrammes par jour…
Et voici la « Galleria Mellonella ». Elle transforme le plastique grâce à une substance créée par ses glandes salivaires. Au Royaume-Uni, des chercheurs de l’institut de biomédecine et de biotechnologie de Cantabrie ont alors expérimenté cet asticot sur un sachet plastique. Ils en ont mis une centaine et ont remarqué l’incroyable : l’endommagement du sac en moins d’une heure. Ils confient dans leur étude que les premiers trous sont apparus après 40 minutes et qu’au bout de douze heures la masse du plastique avait été réduite de 92 milligrammes. De plus, ils concluent que la larve ne mange pas uniquement ce matériau, elle le transforme en éthylène glycol grâce à une substance créée par ses glandes salivaires. Il leur reste désormais à définir ce processus moléculaire qui pourrait révolutionner le monde ! ».
C’est ainsi que nous nous devons d’apprendre à réfléchir et ressentir. Oublier le profit juste bon pour les fainéants et les lâches : en fait, ce prétendu profit coûte bien trop cher en dégâts collatéraux, faut oublier. Vite. Et démettre de toutes fonctions collectives ses drogués lourds au profitisme, maladie vraiment honteuse. Le libéralisme est bien une inadaptation dramatique du cœur. La permaculture lui est, d’ailleurs, un cinglant « Ferme ta gueule » qui remet les prétentieux à leur minuscule place. Ils ne sont pas des bœufs mais ont la taille d’œuf. Oui la permaculture, ce miracle épistémologique, qui arrive à contrer toute la fureur destructrice humaine. Par des recettes à contre-courant (en fait, qui vont dans le sens du courant). Ne toucher à quasiment rien, laisser la nature faire, ne pas retourner les sols mettant la mort en surface, etc. Observer et observer, ainsi vient la science de la permaculture. Imiter la nature, entrer dans ses rythmes. Devenir biomimétique (qui imite la vie) semble être très adapté afin de vivre survivre. Et puis de rebrousser la mort industrielle (parce que cette industrie trop aveuglées par le délire profit – qu’il faut bien considérer comme une maladie mentale que ce profit qui ne fit que du mal ! – oui cette industrie n’a que, rarement, été biomimétique !) – la permaculture fait revenir à la vie la nature, elle, toujours régulée. Et surtout pas dérégulée (du verbe dérégler !) ). La nature reste à notre service. Oui, malgré tous les maux et outrages que nous lui avons fait subir. C’est qu’elle n’a aucune psychologie ne peut donc aller pourrir dans les…passions tristes. Dites aussi sentiments négatifs, oui qui nuisent aux humains entêtés !
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Une maison à énergies positives, l’aquaponie et les parcs à éoliennes coopératives – au menu. Au menu du… arrêtons donc de pleurnicher et nicher dans les pleurs que la société irait mal. Et, en plus, non assistance à société en danger, cela commence à trop mal faire ? Si elle va mal ce n’est pas en chialant sur notre sort que cela ira mieux – mais bien en la soignant énergiquement. Ses remèdes sont en elle. Observons et…servons !
« On ne peut pas éternellement continuer de pleurnicher sur la société qui va mal. Pour ceux qui ne connaissent pas la légende sur laquelle je me suis fondé, c’est une légende amérindienne qui dit qu’un jour il y a eu un grand incendie de forêt. « Tous les animaux étaient là, découragés, et puis il y a ce petit oiseau, le colibri avec son long bec qui s’activait, allant chercher quelques gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu. Le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! » Et le colibri lui répondit » Je le sais, mais je fais ma part » A partir du moment où je fais tout pour ne plus être dépendant, alors à ce moment là, je construis une société différente », rapporte Pierre Rabhi. [[C’est comme une maison, le premier jour, rien ne se voit de sa finition. Pour une société, il s’agir de centaines de millions de maisons à bâtir…différemment. De ne pas le ressentir c’est se montrer très…antinaturel. Voire contre nature !]].
Certains français se sont affranchis des circuits traditionnels de grande distribution. Ces libérés ne combattent cependant pas leur confort et vivent de manière tout à fait décente. Qui sont-ils ? Quels sont leur mode de vie et surtout comment font-ils ?
On-ne-peut-éternellement-continuer-de-pleurnicher-sur-la-société-qui-va-mal
La maison à énergies positives de Christophe dans le nord de la France
Dans le Nord Christophe Laplace a décidé d’être autonome quant à l’eau, l’électricité et le chauffage. Il a construit sa maison de dix pièces, 200 m2. Isolée à la paille, la maison est montée sur pilotis et toutes les fenêtres sont orientées plein-sud pour emmagasiner de la chaleur et recueillir le maximum de lumière. Dans son jardin, les 20 m2 de panneaux photovoltaïque lui permettent de couvrir 3 jours d’autonomie à l’aide de batteries situées sous la maison. Il stocke alors l’énergie grâce à un onduleur qui transforme le courant continu en alternatif ainsi qu’un régulateur qui s’occupe de charger le tout correctement. Il a également conçu un frigo, en faisant rentrer de l’air froid l’hiver grâce à une ventilation basse et une évacuation haute mais ce n’est pas tout, d’autres projets sont prévus. Le premier concerne l’autosuffisance alimentaire, actuellement il cultive quand il fait bon et recouvre le sol de paille l’hiver afin d’éviter les gelées. Le second consiste en l’installation d’une roue à aube qui servira à transformer la force de l’eau en un mouvement circulaire grâce à une génératrice pour avoir du courant.
L’aquaponie de Grégory dans la région de Bordeaux
Grégory Biton a découvert l’aquaponie il y a 4 ans et a opté pour une serre dans son jardin. Pas besoin de se baisser, tout est à taille humaine. Grégory cultive alors des fruits et des légumes grâce à un système hors sol. D’un côté le bac de poisson – des truites nourries aux billes d’argile - de l’autre celui des plantes, entre les deux de l’eau circule en continu. Sous l’effet des bactéries, les nitrites contenus dans les déjections des poissons se transforment en nitrates nécessaires à la croissance et à la bonne santé des plantes. Filtrée par les racines, l’eau devenue propre retourne dans le bac des poissons. Ce schéma se perdure indéfiniment et ne requiert aucun engrais, pesticide ou autre substance chimique, il peut même se réaliser à toute petite échelle, en ville par-exemple.
Le premier parc à éolienne coopératif français de Michel à Beganne en Bretagne
Michel Leclercq et sa femme avaient l’ambition de monter une éolienne sur le toit de leur maison. Stopper par EDF car refusant de leur racheter l’électricité, ils n’ont pas baissé les bras et ont décidé de créer le premier parc éolien coopératif français pouvant fournir tout un village. Après s’être battu avec l’administratif pendant 12 ans, 4 éoliennes ont surgit à Beganne et fournissent aujourd’hui 8 000 foyers soit 18 000 personnes en électricité. Pour ce faire, il a fallu convaincre 1000 personnes d’investir dans le projet afin de réunir 2,7 millions et d’obtenir un prêt de 13 millions. Cette initiative a impulsé la création d’un nouveau parc à Sévérac-Guenrouët par l’entreprise Isaac Watt. »
Épousant tous la nature et ses forces paisibles, ces trois projets ne peuvent que se développer, s’agrandir, s’amplifier…naturellement !
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Encore, oui nous pouvons recharger nos téléphones dans une plante. Carrément. Voyez. «Vous pouvez opter pour une plante-chargeuse de téléphone. Cette ingénierie s’appelle « Bioo Lite » et résume le pari remarquablement réalisé par la startup Bioo Team : générer de l’électricité à partir de la photosynthèse d’une plante en bonne santé.
Recharger-les-appareils-électroniques-sur-les-plantes-c'est-possible
L’électricité n’a jamais été aussi verte qu’avec les développeurs barcelonais d’Arkyne technologies alias la Bioo Team.En effet, le surplus de molécules rejetées par les racines de la plante lors de sa photosynthèse est récupéré par un générateur d’électricité placé à l’intérieur du pot de fleur. Les feuilles de la plante ont quant à elles le rôle de panneaux solaires et permettent une production d’électricité exponentielle utilisable de jour comme de nuit. Ce produit est également doté d’un système de purification et d’automatisation de l’eau et produit l’énergie nécessaire pour 3 recharges complètes de téléphone par jour via un port USB. »
Imiter en tout la nature (tout ce qui se préfixe- bio-), se lover sur ses formes qui informent, devient le NOUVEAU BONS SENS. Genre voyons – d’abord – ce que fait la nature….avant d’entreprendre quoi que ce soit. La sagesse naturelle a, enfin, atteint la collectivité. Et on s’en fout que les politiciens professionnels et leurs lobbies complètement ringards ne captent rien. C’est, qu’entre temps, la colonne humaine s’est inversée. Elle va carrément dans l’autre sens. Et ces abrutis se retrouvent en piteuse…arrière-garde. Enfin inaudible. Clair qu’ils ne peuvent plus décider…pour les autres !
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L'écologie-la-grande-perdante-des-élections
Dans l’effondrement politique de la grotesque campagne électorale – tout le passé s’est écroulé ridiculement…Oui…Pendant trop longtemps, nous avions tout fait à l’envers. Nous hissant comme supérieurs à tout : il n’est que de voir tous les dégâts et pollutions qui ont suivi ces nocifs délires (tels les politiciens professionnels qui, pour leur carrière inessentielle, bloquent tous les biens communs et l’intérêt général, faisant passer un groupe de…marginaux comme portant tout l’intérêt et le futur de la société…grave démence, n’est-ce pas ?). Puisque toutes les découvertes utiles imitent la nature, sont biomimétiques et biodégradables, rendant le service imparable de suivre le cycle naturel de la vie.
Le texte nous aura fait connaître des exemples où la nature se prouve vraiment à notre complet service. Ainsi, le plastique du pétrole se voit (sans que les prétendus dirigeants pigent les processus psychosociaux !) supplanté par un plastique biodégradable issu des algues. Et, parallèlement, les larves de la fausse teigne de la cire seraient capables de nettoyer les océans de nos déchets plastiques. Quant aux autres exemples, ils sont tous conçus par des humains ayant, lucidement, quitté la société « des caprices » dite consumérisme, cette inadaptation radicale à la vie. La leçon est qu’ils aident la nature à nous rendre service, qu’ils l’imitent puisque, à l’évidence, elle en sait bien plus que nous. N’a, d’ailleurs, strictement rien à apprendre des humains. Et que les descendants des mégalomanes qui pensaient le contraire sont en train de pourrir dans la nursery consumériste sans issue. Là où il est impossible de devenir adulte. Ces égarés sont notre fardeau et nous devons les sommer d’arrêter immédiatement leurs conneries. Puisque l’écologie est devenue l’urgence mondiale. La planche de salut est que la nature à notre service. A condition que nous lui rendions le service de pouvoir…continuer.
Les-petits-pas-d'emmanuel-macron-vers-l'écologie ?
Le vice rend ici tout honneur à la vertu. Comme tous les financiers, détraqués, il imite ce qui lui semble dans la tendance (mais sans y attacher d’importance) et donc le fait qu’il croit qu’il doive « se déguiser en écologiste de terrain pour voler des votes » prouve à quel point l’écologie est de toute première urgence. Et son libéralisme de pacotille une vieillerie juste bonne à foutre à la poubelle.
……………………….Tel est donc pris qui croyait prendre !
……….………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
cette larve qui tue les ruches pourra, sans doute, nous débarrasser du plastique…
La maison à énergies positives de Christophe dans le nord de la France
Aquaponie Associer l'élevage de poissons et la culture de plantes dans une même production : c'est le principe de l'aquaponie. Ce système vertueux utilise le même circuit d’eau pour les plantes et les poissons qui se nourrissent l’un l’autre…
parc éolien citoyen- ne plus se battre contre mais créer quelque chose pour Le premier parc à éolienne français de Michel à Beganne en Bretagne
En Allemagne plus de 50 % de l’énergie renouvelable est financée par les citoyens. Ensemble, réussir l’inimaginable est possible.
Les plantes qui rechargent votre téléphone ?
[Nexus-Energie] La transition énergétique est loin d’être écrite. Le futur énergétique s’avère particulièrement incertain dans les villes où se concentre la consommation. Des chercheurs ont interrogé 50 grands témoins de l’énergie et de l’immobilier. Ils ont croisé leurs points de vue pour élaborer quatre scénarios à l’horizon 2040 centrés sur des acteurs pivots. Centré sur les Coopératives de consommateurs reprenant en main leur destin énergétique, ce scénario est à comparer aux scénarios Grandes entreprises et Collectivités locales.