Oui se libérer enfin de leur Économie
Tout se fissure du côté des pouvoirs. Faut dire que leurs historiettes sont exagérément cousues de fils blancs. La bataille des mots et des concepts les laisse vraiment sur le côté. Ils ne sont plus dans le coup. C’est que nous pouvons véritablement nous passer de leur organisation antisociale qui ne signe que leurs…parasitisme. Leur économie n’en est pas une, mais une forme de mendicité indigne qui aura corrompu le Droit et obtenu des privilèges tous plus illégaux les uns que les autres. Jusqu’à ce que les populations se grattent et fassent tomber ces pique-assiettes si dépendants ( sans aucune autonomie).
Ce texte retrace l’histoire véritable qui les démasque très largement… Il part de la vidéo mise en première qui use, à bon escient, du concept performant… « mais si le capitalisme est si bénéfique, il faut absolument que tout le monde y participe. Oui si les dividendes sont si vantés il faut que tout le monde soit bénéficiaire du…bénéfique ». Ainsi le capitalisme, ce système si étriqué de profiteurs illégitimes (et qui se font passer pour une…élite), s’écroule tout net sous ce surpoids tout à fait légal. Bref, il se transmue (contre sa volonté) dans le système qu’il a tant empêché : une vraie civilisation. Le « dividende universel » surpasse de partout toutes les piteuses théories capitalistes qui doivent fuir tout débat. Et se terrer dans les miteux monologues. Sale temps pour les imposteurs.
Leurs trop farfelues sous-évaluations de leurs concitoyens à qui ils mendient, si impudemment les votes, auront abouti aux...mises en contacts de concepts très électriques. Ainsi, avons-nous saisi la posture des prétendus dirigeants …n’exigeant les austérités que pour les peuples… afin de pouvoir se saisir de biens sociaux pour leur seul compte. Sur-assistanats. Les exemples ont abondé sous nos regards. Et donc ? Les austérités ne sont que le nom très délinquant pour que les spéculateurs, les entreprises Cac 40, les multinationales, etc. se servent, trop largement, dans l’argent public. Et que « leurs » politiciens traîtres participent à ces illégalités devenues « trop » ridicules. Pour que ces trop riches se servent dans la dépense publique il faut…. en priver – plus qu’anti-républicainement – le peuple souverain. Et tous les concepts s’auto-avouent de la sorte. Austérités inutiles sauf pour se conduire en délinquants politiciens, journalistes et financiers, etc.
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La centralisation très hiérarchisée s’est faite passer pour la mondialisation. Elle en est tout l’inverse puisqu’elle empêche tout partage des peuples entre eux et à l’intérieur d’eux-mêmes. La vraie mondialisation…se balbutie oui à peine, par la base et « sans » ces dirigeants indignes. Par ? La co-production la cogestion, la coparticipation de tout le monde à sa propre vie. De nombreuses lignes de forces se mettent en place (dont une qui empêchera tout monopole des richesses collectives par ces dirigeants devenus de vraies…pollutions politiques). La fiscalité ne pourra plus leur être favorable puisqu’elle sera remplacée par une redistribution permanente et instantanée. Tout comme l’impôt à la source s’est imposé sur les salaires, il s’étendra à toutes les autres sources de revenus. Au lieu du trop corruptible théorème de l’offre et de la demande – nous aurons un référent INVARIANT. Inaccessible aux mains humaines – ceci étant une exigence impérative de la…main invisible qui insiste pour rester invisible. Sans intrusions des mains trop cupides. Le dividende universel appartient à tout le monde. Donc à personne. Personne ne pourra se retourner contre tout le monde. Seul tout le monde existera : l’universalité vraiment atteinte. N’en déplaise à Hegel, trop provincial !
L’avantage de tout co-ordonner ainsi est que ces ordres atteindront leurs principales cibles : les ex-privilégiés vraiment trop désobéissants. Si dissipés, si dissipateurs, si peu attentifs aux réalités vécues par tous les autres, encore moins respectueux de quoi que ce soit …bref, des graves cancres sociaux qui sont entrés dans le délire catastrophique de…déréguler mais que pour eux. Pas pour tout le monde. Les autres doivent demeurer « réguliers » et réglos si ce simplisme doit exister…Désormais, très loin de ces délires toxiques (…lorsque le dérégulé séparé « dérègle » tout !), les interactions sociales seront au centre de tous les calculs – aucune caste ne pourra faire partition (empêchant la répartition générale), faire sécession (se déclarant ennemie de la société comme dans les enfers fiscaux…pour les autres de leurs scandaleuses fraudes et évasions fiscales de véridiques lâches), oui de faire bande à part, marginaux intégraux…la monnaie sera enfin devenue équitable et équitablement partagée. Selon le vœu affiché de tous les théoriciens capitalistes – ils veulent, les chochotes, d’une société équitable mais pas égalitaire (sic). Comme s’il y avait une différence basique entre les deux mots, sinon que « équitable » c’est se montrer plus attentif aux sorts particuliers ! Mais que, sans égalité préalable, pas d’équitabilité de possible, le premier concept contenant le second et non l’inverse…Voici ces théoriciens rassurés, le nouveau capitalisme (ayant perdu son nom en route) sera vraiment…équitable sur toutes les tables. Pas grâce à eux mais à leur vigilances tout de même : quel acharnement à tout rendre équitable, oui même à Davos, mon riche monsieur !
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Quoiqu’il en soit, les FLUX informationnels auront quitté ces « autocentrés » (nom technocrate pour égoïstes)...c’est désormais la société qui définit la monnaie. Et non plus, la monnaie (illégalement monopolisée par une secte se prétendant prêtres ingodwetrust de l’argent… que pour eux) oui la monnaie qui définirait la société. Non mais, cela ne va pas ? assez de métaphysique, assez de lunatiques capitalistes – du concret, du concret à étaler tout de suite sur la table Plus de ces impostures intellectuelles de société du marché. Ou, pire, de civilisation du profit. Tout profit (à sens unique, toujours pour les mêmes mêmes) est bien une anti-civilisation. Anti-universelle ; que des ploucs lourdauds ces financiers hors sol…Une régression barbare. Ainsi, la monnaie ne se crée plus par le CRÉDIT, la monnaie-dette est bien une barbarie si cynique que les humains du futur en vomiront en l’apprenant. Les ressources terrestres ne peuvent être que des biens communs. Nul humain ne peut se prouver à ce point supérieur, surhumain, soit divin, pour s’en dire…complet propriétaire. Ce qui, alors, dénote une nette infériorité morale, affective et …rationnelle (ils font aux autres ce qu’ils ne supporteraient que l’on fît !)…La monnaie pour eux, le crédit truqué pour les autres : aucune dictature n’a osé afficher une telle déchéance existentielle. Désormais, l’économie se crée par les liens. Il est y pensé global (établir l’invariant qui permet le dividende universel) et agi local (partout à la fois). Selon les circonstances particulières et les contextes personnels. Une économie CONTRIBUTIVE donc qui « économise » les archaïsmes trop gaspilleurs du capitalisme, ce vrai gâchis humain, cette technique si arriérée uniquement de pillages, ce qui brûle trop de biens collectifs pour pouvoir rester accepté durablement.
Une économie CONTRIBUTIVE qui intègre tout ce qui se fit de bien avant elle – dons et contredons pris dans un bénéfique maillage relationnel. Plus des têtes préoccupées à comment je vais faire pour arnaquer ce vis-à-vis en m’en foutant de toutes les catastrophes collatérales que cette violence relationnelle peut provoquer. Non il s’agit de penser à comment puis-je rendre le mieux service à tout le monde - ce qui va augmenter l’invariant donc mon dividende universel. Si j’aide tout le monde j’aurai plus pour moi – voici qui ressemble fort à un sourire vertueux. Un gigantesque sourire. Celui de la victoire collective. Cette forme très élaborée (mais de grande simplicité d’usage) obtient enfin ces reconnaissances de grandes gratitudes. Le tout est supérieur à ses parties. Les hérétiques capitalistes, ces graves ferments de désordres collectifs, ces nihilistes ricanant le mauvais vouloir, n’auront été qu’une petite partie qui aura pourrit le tout. Enfin, qui aura tenté de…puisque des réactions vitales se sont mises en place…réactions que – l’humour cosmique insiste là-dessus – ces grands déchus ne pourront jamais comprendre. Mais comment ai-je pu choir ? Dire « tu as chu puisque cela t’était échu » demeurera à jamais hors de sa portée. Déchéance = échéance. Pour le moins. L’horloge du cosmos n’a pas failli…
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Et à la place du fossile ridicule de la société pyramidale nous vivons, enfin l’HOLOMIDAL. L’homme comme la mesure de la société. L’Humanité Holomidale. Coopération opérative, opérationnelle et co-Opération, ces centaines de millions d’humains opérant en même temps et vers le même but. De co-opérer afin que tout le monde grimpe vers le maximum. Et cette nouvelle arithmétique non séquestrée par des esprits égarés sait effectivement faire les meilleures opérations, celles de la coopération. Impossible de calculer mieux ! Le pyramidal n’est plus ADAPTÉ du tout à 2017. Il doit accepter la loi implacable de l’Évolution (sur le même ton de voix que des monstres médiatiques usèrent contre les foules, leur crachant c’est « la loi implacable du marché » - sauf que cette fois ci cette si malhonnête divination se retourne …mais que contre eux ! Le rugby collectif à plaqué leur implacable même !). Oui, même si nous pardonnions, « ça » ne pardonnerait pas…qu’ils se débrouillent eux qui ont trop brouillés. L’économie collaborative, la vraie, c’est se mettre en liaison avec un centre qui se met, lui, en arrière, qui s’oublie et s’efface. Qui n’est que le moyeu non la roue… Ce centre hybride en est très transitoire : très bientôt nul n’y pensera plus. Le plus pyramidal ne sait qu’EXCLURE. En mentant qu’il faille tant et tant de pré requis. Ce qui est faux. Puisqu’il ne peut produire aucune…unité de mesure globale. Ce qui démasque un visage, laidement, tordu de trop de mensonges. Ces sommets auto-sabotés se verrouillent devant tout discours qui sait interroger. Comment le sommet pourrait soutenir la base si toute la pyramide est basée sur la base ? Le sommet paraît alors si superflu, surajouté, non nécessaire, c’est quoi son utilité intrinsèque? Ne vole-t-il pas trop la production globale de toute la communauté ? Le sommet n’est issu que d’une addition, une somme(t) qui refuse (puérilement et, puis, ensuite, cruellement, faute d’autre argument) d’admettre que la co-opéraion et le partage par dividende individuel sont un milliard de fois supérieurs à la quincaillerie rouillée de la pyramide.
Libérons les économies du prétendu marché libre lui-même ? Les créatifs culturels se saisissent alors du changement social. La justice sociale devient le seul profit que la société admet. Puisque la liberté n’y est plus une nuisance (la prétendue liberté de vivre sur l’argent des autres, de les spolier, à l’évidence, n’est pas une liberté…mais l’esclavage de parasites antisociaux, ces fardeaux pour la collectivité). Sont-ils riches que ce ne sera surtout pas une excuse. Tellement le contraire : une accusation flagrante. Les valeurs de sens surpassent les valeurs boursières, jamais aussi nominales que nous le croyons. Comment dire ? Ne plus jamais utiliser les systèmes PROPRIÉTAIRES. Les logiciels libres remplacent les logiciels propriétaires : et ce n’est pas si difficile. Qu’est-ce qui changerait – ah oui plus besoin de mots de passe. Qui perdrait son temps à vous arnaquer ? Alors que de servir à rendre service à tout le monde augmente, inexorablement, le montant de son dividende universel. Décentralisation des applications (type Blockchain, peer to peer mais autres) qui nous démontre en grand que la nécessité monétaire (trop coincée dans l’économie pyramidale) n’est plus…nécessaire. Leur « fausse » monnaie, la bancaire non la régalienne, n’a plus…cours. Plus de compulsion de privatisation (c’est aux autres donc cela va être à moi, hurle le fou possédé de privatisation. Omettant de penser qu’il n’a aucune vertu surnaturelle qui fasse éclater qu’il fait mieux le …service public en le privatisant…clair il ne fait ni ne rend plus aucun service et s’agite sans le public mais contre lui, en plus…son enrichissement séparé ne fait que priver le maximum d’humains des possibilités d’améliorer la société. Les privatiseurs devraient aller se cacher- = tellement leur vil parasitisme cause de souffrances imméritées !
Si ce n’est à l’avantage de personne, où serait le conflit ? Les biens communs dénouent toutes les possibilités de crises. Les instruments neutres de mesures (trop tordus et mal influencés par le privé) fonctionnent normalement et sainement – sans n’être intéressés à rien d’autre qu’à bien fonctionner. Gains nets partout pour la société. Il aura suffi de contraindre le capitalisme à aller jusqu'au bout de son discours : libéraliser …oui libéraliser le capitalisme (cet esclavage du sordide). Le libérer de son pire. Rendre sa prétendue économie…vraiment libre. Ouverte à tout le monde. La libéraliser : faire tomber ses chaînes…inutiles. Chaque entrée, désormais, produit de la co-création monétaire. Chaque lien désintéressé n’obtient plus de blocages, de frottements, d’obstructions, de crispations. Personne n’a plus besoin de VENIR PRENDRE à personne. Chaque transaction est une véritable action, une trans-action. Le seul obstacle épistémologique ? … : ne pas comprendre que le changement commence par une transition. Un avant et un après qui ne sont pas visibles en même temps. Sauf pour les véritables pionniers, initiateurs qui auront vécu les premiers pas avant les autres. Les « conditions d’échanges » ayant changé de conditions. Il n’y a plus d’échanges avec la greffe monstrueuse des aliénations commerciales – juste les clairs usages qui circulent partout dans leur paix complète.
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Comment est-ce possible ? Les agents ex-bancaires deviennent les seuls GARANTS du système. Et plus du tout les banques redevenues des services basiques aux droits très limités. Il n’y a plus de centralisation avide et vampire qui aspire quoi que ce soi (et ne restitue jamais rien). Juste, à la place, une invariance tranquille. Comment est-ce compréhensible ? La vie humaine est la VALEUR ultime, une valeur incompressible. Impossible d’indexer la vie humaine. Et sur quoi l’indexer ? La vulgarité capitaliste s’est privée de toutes…transcendances. Les avoir déguisées en ses ambitions trop médiocres pour faire gober que cet ex-sommet serait garant de l’intérêt général n’a fait voir que de sales bonshommes ne sachant que se remplir les poches. Trop minables. Sans mesures ni autorégulations ! Or tout législateur doit être…pondéré (face aux impondérables) donc régulés, réguliers, ayant le sens des…mesures. De tels cœurs vulgaires ne peuvent se dire législateurs. Voter des lois ce n‘est pas voter «sa » loi. Toute la valeur revient à l‘humain – d’avoir instrumentalisé d’autres institutions n’est plus possible….le vrai libéralisme c’est la monnaie libre. Oui si l’économie est « privée » elle ne peut se prétendre libérale (ce qui libère et ouvre l’abondance - non ce qui en prive)…le dividende universel comme le dû dû à chaque être humain du fait d’être humain (la valeur suprême que l’humain) – aucune privatisation ne pourra plus s’immiscer dans un discours aussi clair. Auront été discrédités les politiciens professionnels. Par ? Leurs insupportables hypocrisies sur le revenu d’existence, qui ne pourront plus exister – autant il parait trop facile de débloquer des centaines de millions pour nationaliser les pertes de quelques spéculateurs et/ou banquiers, autant il parait difficile d’élever un bien trop bas revenu (ce qui ne coûte même pas le vingtième (1/20) des occurrences précédentes. Qui se renouvelaient trop souvent !). De quoi gérer un revenu d’existence sans un pli – la « ruse » de l’Histoire c’est que le dividende universel ne pourra pas « recevoir » toutes critiques loufoques que reçut le revenu universel d’existence. Simple « introduction » (à tous les sens du terme) du concept de dividende universel ! Impossible de tirer deux fois…le dividende universel regroupe tout ce qui a été conçu avant lui. Mais, du même coup magistral, nous libère aussi de tout ce qui l’a précédé…
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Lorsque tout aura été MARCHANDÉ, tout aura été corrompu par ce qu’il y a de malsain dans l’esprit marchand (il y a aussi tout un aspect salubre et sain !). Le travail trop mal payé (puisque ses plus-values lui sont volées), servira de moteur aux crédits bancaires (marchandages déloyaux). Pas assez de salaire = vivre à crédit. Et toutes les prestations se déduiront de ce premier marchandage de marchand : les prestes prestations ! Le non-dit étant d’établir « rente durable » sur les besoins d’autrui. Et…le médiocre devient la norme, médiocre qui écarte toute discussion, toute question, toute grandeur humaine. Rien ne lui est meilleur que de se vautrer dans sa médiocrité, le cœur éteint. Perte de sens (du) collectif. Le profit distord tout vers son plus mauvais : ainsi, par exemple, les profits dessinent et se centrent sur un malade virtuel (celui qui augmente ces profits – sans exister tangiblement) - Et donc ? Les vrais malades meurent puisqu’ils ne sont pas virtuels. Ils ne se rapprochent pas du modèle, avec leurs besoins réels. Les soins au seul profit prédominent. Et ces pratiques qui désorganisent, aboutissent à un chaos social qui pourrait être évité – en délogeant les concepts maladifs (profits, marchandisations, croissance, P.I.B., taux bancaires, usures, fiscalités surtout conçues pour les fraudes, privatisations antisociales des bénéfices et plus que scandaleuses nationalisations des…pertes des seuls trop riches, une aberration plus que folle, etc.) qui auront tant pollué (mais ne peuvent plus le faire) le ciel de notre société complète).
Sans la marchandisation de tout (qui provient de l’effondrement moral de qui a osé articuler cette hideur – hideur lorsque l’humain demeure le centre du but de toute la société). Sans cette marchandisation si abusive, pas de courses aux profits. L’industrialisation a amené l’exploitation de l’homme par l’homme. Bien pire a fait le commerce en tant que pratique dominante. Il y a ajouté les tortures au crédit, les harcèlements si illégaux de la publicité intrusive, l’usure immorale des taux bancaires, les fausses dettes, les lobbying dégradants sur les lois, les leçons arrogantes données par des personnages plus que corrompus etc., etc….
Les investisseurs livrés à eux-mêmes (promettant fielleusement à des gouvernements si ingénus qu’ils vont s’autolimiter oui s’autoréguler alors qu’ils sont si gravement alcoolisés à l’argent trop facile). Oui ces investisseurs à la spéculation volent la part quasi entière du gâteau collectif. A remmener à un bien commun. Seul, le partage lui aura mieux que résisté. Socialement et politiquement. La concurrence du marché n’a jamais existé : c’est une non-concurrence qui empêche et le contrôle et l’émulation salubre. Le partage n’était jamais entré dans ces sacs de nœuds. Lorsque le marché veut tout rabaisser à « son » profit (celui des autres ne doit pas exister et surtout ne pas devenir le profit de tout le monde)…ce qui avoue – trop naïvement – que quelqu’un doit PAYER le prétendu profit de l’autre. Tout le monde ne peut être profiteur. Il faut des « profités », des dos sur lesquels on profite. On comprend qu’une telle médiocrité ne peut diriger la société. Aussi les maigres actes de ces effondrés ont été de faire persévérer des simili-législations ne servant qu’à faire continuer leurs soûlographies avides aux dépens des autres.
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Cette inertie imposée à la société démobilisée en tout sauf en l’absurdité zozotante « zauffe de m’enrizir moi ze moi » du bébé capitaliste à vie …oui cette congélation de la société pour ces futilités l’empêche de se concentrer sur tout ce qui est SÉRIEUX. Mesurer l’impact de l’humain sur l’environnement, par exemple. Et bébé capitaliste fait joujou avec ses billets monétaires-joujoux sans jamais s’occuper d’autre chose que de son narcissisme si malsain. La maison brûle il s’en fout. Il détruit le futur de la vie, il s’en fout, etc. Sa maturité est trop inexistante pour que le sort de milliards d’humains puisse rester une seconde entre ses mains. Son exemple déplorable, sa vie roulant comme un échec universel, auront abouti à ceci : il faut un INVARIANT universel. Ce qui sert de transcendance inatteignable dans le moteur collectif. Nous l’avons. Reprenons (une toute dernière fois) le dysfonctionnement de la tête de bébé capitaliste. Il pense de travers, à l’envers, mais à 100 % oui en est détraqué… « si la pollution a un coût pour la planète, c’est d’un prix dont il s’agit et donc je vais spéculer sur ce prix. Ce prix ! »… Nous remarquons l’insensibilité, justement dite « inhumaine » de tels pervers narcissiques. Mono-obsessionnels et pluri-maniaques. Tout pour moi, des sous, fortunes, argent, que pour moi. Obsession donc maladie. Maniaqueries ? Les compulsions : placer les chiffres du regard, les faire glisser dans les colonnes surplombées par son nom. Éviter du regard tout trajet entre cette manie compulsive du tout pour moi et rien pour les autres et sa concrétisation déflagrée flagrante. Les immenses catastrophes que cette folie maniaque provoque dans la société – rien pas l’ombre d’une réaction, encore moins une lueur. Même pas un frémissement de sensibilité devant toutes ces ruines et misères causées pour …rien (et son obsession et ses maniaqueries sont vides, creuses sans contenu…donc sont…rien). Attribuer un prix et à n’importe quoi c’est se faire stationner à vie dans l’esprit d’un enfant et son irresponsabilité.
Tout ceci s’inverse : la monnaie est privée donc BRIDÉE. Et trouvent, ici, leurs vraies cibles, tous les discours si mensongers contre les services publics, ces soi-disant archaïsmes et ces limitations des possibilités du privé, le seul qui sache…supprimer la misère par sa maîtrise des coûts (surtout des surcoûts dus à des revenus démentiels ?). Oui, la misère, c’est en… l’augmentant qu’il la supprime. Donc la monnaie privé BRIDE toutes les initiatives individuelles et particulières. Il faut « socialiser » cet ours mal léché, il faut « socialiser » ce grave rustre aux manières trop violentes et cupides pour être acceptées en société…civilisée. L’argent privé c’est le grave archaïsme actuel – la liberté du marché libre de tout le monde est trop…bridée. Les multinationales refusent toute loyauté, toute introduction de compétition d’égal à égal. Et osent du dumping international, bafoue les lois anti-trust (celles-là mêmes dont ses textes de lois incluaient, incluent encore et reconnaissaient les « complots ». Le grave ridicule que de dire que les lois contre les « ententes préalables » sont « complotistes » (« oui mais y zont dit, oui zont dit « préalable » préalable ça zzz’est complot… »). Jamais une banque n’a parlé de la concurrence démocratique. Si elle ne peut être démocratique est-ce encore une concurrence ? Ou des moyens déloyaux de rétorsions, de contractions, de distorsions, de non respects volontaires de tous les contrats. Voilà nous avons examiné en très direct l’arrière du décor capitaliste. Il n’y a absolument rien à conserver. Rien. Dividende dont l’étymologie vient de …partager, partager équitablement, retrouve son sens premier, son sens qui procure la santé à toute la société…
….celui d’un dividende que tout le monde touche. En gros, ce sont tous les bénéfices que l’œuvre collective (chacun-e y apporte sa pierre) rapporte à la société entière…sans accrocs jamais…
.........Ensuite, répartis si équitablement…entre tous les humains qui la constitue
...........……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La liberté radicale du dividende universel appelle à combattre le marché non libre, chasse trop gardée du capitalisme…et à l’abolir
Thomas Piketty : " De l'inégalité en France "
Dans sa chronique, l'économiste, qui participe à la campagne de Benoît Hamon, s'interroge sur la suppression de l'ISF que proposent certains candidats. Le Monde | * Mis à jour le | Par Thomas ...
dans leur vie morbide il ne reste bientôt plus rien. Plus rien d’humain – que l’argent. L’argent qui les agit, leur a avalé leur personnalité, tout ce qui les rendait unique. Il ne leur reste plus qu’à se battre pour cet argent. Ouvrez la fenêtre, vous allez vite les repérer ces mortifères.
L’homme ne naît pas un loup pour l’homme. Pas plus qu’il ne naît homo economicus. L’esprit de compétition et de conquête n’est pas inné. Il est culturel. Et si l’on grandit dans une société où la valeur partage est centrale, un autre monde est très facilement possible.
" Les économistes négligent le monde irréel car ils ne savent pas le mesurer "
Si les faits, les chiffres et les prévisions des économistes peinent à s'imposer, c'est peut-être aussi parce que les technologies permettent, plus que jamais, de partager des mondes virtuels ...
leurs compétences semblent si étriquées qu'elles n'offrent qu'anxiétés à leur égard...
Libérons les économies du marché dit libre ? (1) - Le blog de imagiter.over-blog.com
Nous parlons comme d'habitude des oubliés des médias, que l'histoire, elle, n'a pas oublié - la preuve nous parlons prioritairement d'eux....pourquoi cette méthode ? Les discours contre les ...
http://www.imagiter.fr/2017/04/liberons-les-economies-du-marche-dit-libre-1.html
Jusqu’à hier, toujours le défaitisme ? Parachuté d’où d’ailleurs ? Se battre conceptuellement au lieu de se plaindre ? Le poncif qui va suivre est trop répondu pour qu’il ne serve pas à quelqu’un. Pas question de le prononcer une seule fois. Sauf pour ridiculiser le faux argument qui est… « Tant que l'argent dominera le monde, l'écologie ne sera pas prise en compte et le corail mourra! et avec lui toute la chaine alimentaire dont il forme la base! »….réponse… sauf que la hiérarchie du réel ne permettra pas que cela continue ainsi...impossible de manger des billets de banque, de les respirer ou boire. Au XVIII ème siècle "l'économie de la nature" était considérée comme première et celle de l'homme en...dépendant, vassale. La richesse y était des sols fertiles, des éléments assez sains pour continuer à vivre, etc. Aucun vrai penseur n'a jamais déifié l'argent (ce n'est qu'un instrument de mesure pas la richesse)... ce ne sont que des esprits médiocres qui mentent (sans une seconde de répit) depuis les années 1980. Et qui bafouillent l'inverse en fuyant tout débat. Ils ne tiendront plus très longtemps ! Fini pour eux !
Le film d’où est parti ce texte…Alors que nous sommes en période électorale, les candidats usent de promesses encore et toujours. Ils nous parlent (comme depuis 40 ans) de degrés de libéralisation des marchés = mais sans aucune…libération véritable. Que des droits à pillages pour les marginaux…capitalistes. Il nous suffit de les prendre au mot et de démontrer que libérer vraiment les économies nous affranchirait de tout, y compris des candidats eux-mêmes.
un nouvel modèle d’organisation sociale
6 millions d’humains, en France, n’ont pas de compte en banque, pas de RIB…on n’attend plus, on fait…La 23ème Up Conférences, sur la question de l'inclusion bancaire…et non plus l’exclusion bancaire.
donner enfin du SENS à cet argent
La Bolivie rejoint les quelques rares pays disposant de leur propre banque centrale- début de la monnaie libre.
les confusions intéressées...seul le dividende universel ne peut être récupéré !
Sortir de la crise grâce au Dividende Universel ? Notre système monétaire actuel marche sur la tête : notre monnaie commune, l'outil indispensable et universel pour réaliser nos échanges quotidiens, acheter et vendre nos biens et nos services, payer et encaisser nos salaires, nos honoraires, nos factures... notre monnaie commune est de la dette qui circule ! Le seul moyen de créer de la monnaie, c'est que quelqu'un fasse un emprunt bancaire ! C'est ridicule, c'est absurde et c'est dangereux. - Dès qu'il dépense l'argent de son "prêt", chaque emprunteur devient de fait diffuseur de monnaie réelle. Oui un dealer de drogues. Si les emprunteurs font défaut, les banques font faillite. Seul moyen pour sauver les banques, et donc nos économies et nos moyens de paiement : les renflouer ! Chacun de nous doit payer pour assumer le risque de défaut d'un prêt personnel ! - La monnaie créée par l'emprunt doit revenir en permanence à sa source, augmentée des intérêts. Nous sommes obligés de nous battre en permanence les uns contre les autres, juste afin de surnager sur cet océan de dette. Si l'un flotte, un autre coule, et vice-versa ! - Le système bancaire n'est plus un fournisseur de crédit, mais un créateur de monnaie, et engouffre, sous la forme de l'intérêt qu'il exige sur l'ensemble de la masse monétaire, un pourcentage toujours croissant de la richesse et de la production communes. Le seul moyen de s'en sortir, c'est de trouver un autre moyen de…diffuser la monnaie dans la société : distribuer à chaque citoyen sa propre part de monnaie, régulièrement et équitablement…ce qsui signifie ? Que nous devons avant tout « entendre » l’information, la comprendre (média) pour la répandre comme un médicament (re-Média du remède).
Vers une économie contributive ne reposant plus du tout sur l’emploi
Libérons complètement les économies du prétendu marché libre !