Plus les riches sont riches, moins la croissance est forte
La part excessive des riches ampute par trop la croissance économique. Oui diverses études de fond discréditent complètement les politiques d’austérités et donc les politiciens qui les portent. Elles contredisent, frontalement, les « théories du ruissellement » qui osent qu’enrichir d’abondance les riches enrichirait les pauvres par quelques miettes qui leur tomberaient dessus. Ces prétendus ruissellements ne font juste qu’augmenter les déficits supportés par tous. Enfin, elles prouvent que le dogme sociétal de la croissance (comme chiffre incontournable servant de base à toutes les prestations et salaires) est trop amputé par la monopolisation de ces trop riches d’une trop grande part des fruits de la croissance collective. Et que, en conséquence, pour la société entière, cette croissance ne sert pas à grande chose. Ce n’est pas sur ce chiffre que les politiques si paresseuses doivent se tourner. Mais bien sur limiter les patrimoines abusifs et contraindre les riches à payer leurs impôts sans plus frauder. Et à ne plus se conduire en « sur-assistés » (voir le désastre Fillon), etc. Tandis que – tout à l’opposé - la réduction des inégalités n'est donc plus seulement une question de justice sociale. C'est aussi une nécessité pour empêcher l'éclatement de nouvelles crises financières (toutes causées par les inégalités – preuves à l’appui). Qui dit tout cela ? Oui c’est le F.M.I. ! Mais pas seulement – il vient après d’autres affirmer tout ceci…Et donc ? Rien de plus urgent que de revaloriser les revenus des pauvres, ce qui réenclenche le côté vertueux de la croissance. Et donc ? Les théories du libéralisme économique ont tout faux. (fake). N’en demeurent que d’inadmissibles cruautés sociales. Ce texte contribue, alors, à prendre conscience du gigantisme des possibilités libératrices d’aujourd’hui.
« Ce serait une erreur de focaliser sur la croissance et de penser que les inégalités se régleront d'elles-mêmes, au moins pour la seule raison que cela se traduira par une croissance faible et non-viable" [[vérifiée ces dernières années]], écrivent les auteurs de cette étude qui a reçu l'onction du chef économiste du Fonds monétaire international, Olivier Blanchard.
Le-fmi-appelle-à-s'attaquer-à-l'explosion-des-inégalités
Selon ce document, les inégalités sociales risquent ainsi d'"amputer la croissance" en réduisant l'accès à l'éducation et à la santé ou en alimentant l'instabilité politique et économique. Ces experts n'hésitent pas, dès lors, à prendre le contre-pied de certains économistes libéraux selon qui la redistribution des richesses par l'impôt et les transferts sociaux (allocations, aides...) décourageraient l'initiative privée (fake) et seraient, in fine, nuisibles à l'activité économique.[[tout au contraire ce sont les ponctions exagérées des trop riches qui auront nuit à l’économie complète !]].
"Nous n'avons trouvé que de rares signes démontrant que les efforts de redistribution traditionnels ont un impact négatif sur la croissance", soulignent les auteurs. Selon cette étude, ces politiques ont au contraire permis de soutenir une croissance "plus rapide et plus durable" et montrent que l'inaction face aux fortes inégalités était indéfendable "dans de nombreux cas". [[ donc la redistribution des richesses DOPE la croissance et c’est une faute politique grave que de ne pas …redistribuer les richesses : l’austérité pour les autres en devient bien une faute inexcusable !]].
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Ce langage, toujours si euphémistique, ne masque pas tout ce que nous subissons inutilement et injustement – puisque c’est très exactement ce qu’il ne faut pas faire qui nous aura été infligé par les gouvernements – et qui, de leur fait, aura été un refus puéril des réalités économiques. Telles :
** 1) – ce sont les inégalités qui ont provoqué les crises et celle de 1929 et celle de 2007 et qu’il est urgent de réduire les inégalités, pas de gaspiller le temps social à accuser les migrants ou les pauvres prétendus «assistés » (en aucun cas les pauvres ne sont « assistés », ils sont spoliés !). Alors, qu’il faut se dépêcher de commencer énergiquement la vraie lutte contre les paradis fiscaux, l’évasion et la fraude fiscale ajoutée aux possibilités scandaleuses que les trop riches ont de ne pas payer l’impôt commun (tout en profitant tellement plus que les autres des services publics et des infrastructures payées par l’impôt). Ceci n’a pas été fait. Le libéralisme est discrédité partout…Et si des politiciens d’inspiration libérale sont encore autorisés à saccager toute la société - ces mêmes échecs vont se reproduire. Tout ce qui est rationnel dit : finies toutes formes de libéralisme !
** 2) - Le FMI prouve donc que de rendre les riches plus riches ne marche pas du tout pour la croissance. Que les politiques d’austérités sont juste dues aux abus de leurs « sur-assistanats » (emplois fictifs, utilisation de l’argent des impôts pour des buts qui n’ont rien à voir avec l’intérêt général, acheter l’information et diffuser une propagande qui a prouvé qu’elle avait entièrement tort (fake comportement). Et que c’est par le patrimoine que la société en pleine inflammation aiguë peut s’assainir. Voir le lien qui suit
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Nous procédons bien, dans ce texte, à la preuve par les…faits. Et les analyses poussées jusqu’à leurs rationnelles conséquences : des solutions mises réellement en action !
« C'est un réquisitoire inhabituel pour le FMI. Ce lundi, des experts de l'institution ont publié une étude dans laquelle ils fustigent les inégalités économiques, accusées de freiner la croissance économique et d'alimenter les crises financières. S'aventurant sur un terrain qui lui est peu familier, le Fonds monétaire international relève que le fossé entre les riches et les pauvres est à "son plus haut niveau depuis des décennies", spécialement dans les pays riches. Le constat n'est pas très neuf mais les causes identifiées par le FMI peuvent surprendre, venant d'une institution gardienne de l'orthodoxie financière et de la libéralisation de l'économie.
Plus-les-riches-sont-riches-,-moins-la-croissance-est-forte-c'est-le-fmi-qui-le-dit
Les bénéfices des plus riches ne retombent pas sur les plus pauvres : Selon cette étude, "l'assouplissement" des réglementations du marché du travail et le déclin syndical auraient ainsi renforcé les inégalités de revenu en limitant les capacités de négociation des salariés. "Des règles plus souples d'embauche et de licenciement, des salaires minimums plus bas (...) et des syndicats moins puissants sont associées à de plus grandes inégalités", indique cette étude, qui ne reflète pas la position officielle du FMI.
Les progrès technologiques ont également joué un rôle en pénalisant les salariés du bas de l'échelle, selon les experts, qui pointent les conséquences sur l'activité. Selon leurs calculs, la croissance économique est plus faible à moyen terme (-0,08 point) quand les revenus des 20% les plus riches augmentent de 1%. "Cela semble suggérer que les bénéfices ne retombent pas" sur les plus pauvres, écrit le FMI, invalidant de fait la "théorie du ruissellement" selon laquelle les revenus des individus les plus riches sont réinjectés dans l'économie.
A l'inverse, une hausse similaire des revenus des 20% les plus pauvres doperait la croissance de près de 0,4 point de pourcentage, selon l'étude.
Taxer le patrimoine et lutter contre l'évasion fiscale : Autre conséquence pointée par le FMI, l'influence "croissante" des plus riches et la stagnation des bas revenus auraient tendance à favoriser l'éclosion de crises financières. "Une période prolongée d'inégalités plus élevées dans les économies avancées a été associée à la crise financière (de 2008-2009) en renforçant l'endettement par effet de levier (...) et en permettant aux groupes de pression de pousser vers plus de dérégulation financière", indique l'étude, qui liste quelques recommandations.
Les richesses seraient ainsi mieux réparties en s'appuyant davantage sur les taxes sur le patrimoine et la propriété immobilière et en renforçant la lutte contre l'évasion fiscale, assure l'étude. L'organisation Oxfam a aussitôt salué ce rapport, se félicitant que le FMI "sonne l'alarme" et tente de réveiller les gouvernements. "Le FMI prouve que rendre les riches plus riches ne marche pas pour la croissance", a réagi son directeur à Washington, Nicolas Mombrial. »
Ces analyses vont, toutes, dans le bon sens sauf qu’elles s’arrêtent en route. Et perdent donc de leur efficacité à solutionner la société. Nous le prouvons à l’instant.
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Ces "autres" dont nous parlions au premier paragraphe ? Notre travail reposant sur la force de la raison peut produire une liste liens qui se lit très facilement grâce aux titres explicites. Les dates remontent à 2011 et les analyses du F.M.I. produites ici remontent à autour de 2 ans (rien de mieux n’a été dit depuis). Et donc ? Chronologiquement, nos analyses et synthèses semblent être bien antérieures. Oui ? Et que tant d’experts avec tant de moyens qui mettent si longtemps avant d’établir le même diagnostic que le nôtre – cela inspire quoi ? Que, oui pendant ce temps tant de souffrances imméritées se sont déversées sur l’Humanité : mauvais diagnostic, pas de soins adaptés. Ou sous-dosés : par exemple, de prétendre qu’il faille « taxer » les patrimoines, c’est la fausse solution (d’ailleurs, tout ce qui commence par « taxer » n’est jamais ni salutaire ni rationnel – un bon moyen, pour démasquer des candidats)…non pas « taxer » les patrimoines mais les limiter énergiquement par la politique. Y mettre une barre maximum restrictive (genre revenu maxima garanti) empêchera, très clairement, que ces enrichissements appauvrissent toujours plus d’humains (genre nous passons de 300 à 160 puis 8, oui seulement 8 milliardaires qui ont la même chose que la moitié pauvre de l’Humanité (soit 3,6 milliards)). Et donc ? Moitié pauvre qui travaille, d’une manière ou d’un autre, à la croissance collective mais voit tous ses efforts aspirés par la trop archaïque pyramide hiérarchique d’un autre temps. Apex et climax jamais examinés ni interrogés ni analysés (analyses gravement fake)…LES REDISTRIBUTIONS N’ONT JAMAIS EU LIEU…
23 sept 2011
http://www.imagiter.fr/article-argent-gratuit-pour-les-capitalistes-85109809.html
25 septembre 2011
19 avril 2011
30 mai 2011 - L’habitude d’avoir le cerveau fortement diminué par les médias vous a, peut être, FAIT PERDRE TOUT SENS DU RÉEL, n’empêche que ce réel existe malgré tout. Grâce au monopole oligarchique absolu du privé (que fait l’Europe si acharnée à détruire les judicieux monopoles, oui mais très régulés, des services publics, devant ces flagrants monopoles trop régaliens ?) – nous obtenons une hallucinante utilisation barbare des budgets mondiaux. 5 000 milliards de dollars pour les banques et bourses, 1 500 milliards pour les armes. Oui mais, seulement, 19 milliards pour l’accès…à l’eau potable, 19 milliards pour le SIDA, 5 milliards pour l’analphabétisme. Soit, respectivement, 263 ou 1000 fois…moins. Plus le nombre d’individus concernés : une poignée étique pour les 2 postes gigantesques et la foule immense pour les 3 postes trahis (au moins 1,6 milliards d’humains attendent de l’eau potable !). Vous multipliez les 263 et 1 000 par des 50 000 et vous obtenez le taux d’illégalité de ces détournements de fonds publics…En 2016, le chiffre de 1 milliard d’humains ne mangeant plus à leur faim est dépassé alors que l’insensée agriculture intensive hurle qu’elle peut en nourrir 12 milliards. L’avantage des mensonges c’est que les mensonges s’excluent en eux-mêmes : donc les 12 milliards OBLIGE l’agriculture intensive à 0 affamés tout de suite, sinon plus de crédibilité, n’est- ce pas ? En est-elle là ?
20 octobre 2011 – alors que…
http://www.imagiter.fr/article-il-y-a-vraiment-assez-d'argent-pour-tout-le-monde-101109077.html
8 mars 2012…mais c’est qu’existe…
http://www.imagiter.fr/article-une-maladie-mentale-le-délire-profitiste-77148749.html
19 juin 2011. Le profit est un COÛT, un coût exporté sur les autres, externalisé pour qu’il ne se voit pas…
http://www.imagiter.fr/article-tiens-la-croissance-a-un-coût-116105698.html
12 mars 2013. Et donc les politiciens qui se la font à l’austérité…pour les autres ? Pas pour eux évidemment ! Oui ces politiciens créent des…déficits.
http://www.imagiter.fr/article-combien-de-siècles-ont-de-retard-les-dirigeants-115721694.html
Alors que même le FMI le dit (c’est dire !)
23 mai 2012…redistribuer va faire revenir une croissance vertueuse…
http://www.imagiter.fr/article-les-marchés-nous-font-régresser-en-tout-104782070.html
13 avril 2011….c’est que riches volent la croissance – créée par absolument tout le monde. Et leurs hypocrisies calomniant de relancer l’économie par les dépenses publiques comme « utopiques » ne peuvent plus masquer la hideur que, pour eux, les dépenses publiques peuvent …augmenter au-delà du raisonnable si c’est pour les …enrichir…et illégalement en plus ! « Racheter leurs dettes » ? Est-ce que le pouvoir public rachète les dettes des pauvres ? Pour le moment, il contribue à plutôt les…alourdir. Donc à tuer le futur commun.
14 décembre 2012. S’il y a bien des non-assistés ce sont les pauvres…
http://www.imagiter.fr/2015/10/lorsque-les-appauvris-paient-7-fois-plus.html
Pendant que les impôts de tous ne servent, au maximum, que pour enrichir les déjà trop riches. Selon l’idée plus que loufoque que leurs miettes « vont ruisseler » tellement fortement qu’elles vont restituer toutes les spoliations illégales effectuées sur le dos des pauvres.
http://www.imagiter.fr/2017/03/le-capitalisme-serait-désormais-financé-par-l'argent-public.html
eh oui, ce sont eux les déficits !
http://www.imagiter.fr/2015/10/le-capitalisme-supprime-la-pauvreté-en-...l'augmentant.html
pendant que ces délires sont diffusés dans les médias d’argent ou nuit, en plus, que toutes les analyse qui y sont produites soient « fake ». Dépourvues de toute l’honnêteté des preuves.
………………..........………….. >>> - SOLUTIONS - <<………
Pour le moment, la croissance aura surtout servie à enrichir les trop riches. Elle peut servir à tout autre chose. Comme redistribuer les plus-values toutes collectives, par exemple. Et que les dividendes deviennent « universelles », soit redistribuées à CHAQUE membre de la société humaine. Oui la redistribution en grand des plus-values: d’abord, en reprenant aux dividendes de « passivités nuisibles » la part importante du travail qu’elles spolient. Ensuite, en contraignant à ce que leur voracité folle reste au-dessous du taux d’investissement. Si des dividendes touchent 2,6 fois plus que l’investissement (comme en 2016) c’est toutes les générations futures (qui, à force de le dire – sont déjà là, et bien là) qui sont…dévalisées ! Très peu fiable ni équitable…
http://www.imagiter.fr/article-ce-sont-bien-les-inégalités-qui-créent-le-chômage-118262775.html
L’égalité en plus provoque le cercle vertueux de la…bonne santé. Plus il y a d’inégalités oui plus les humains en sont…malades.
http://www.imagiter.fr/2017/01/lorsque-les-trop-riches-deviennent-un-danger-pour-eux-mêmes.html
ce qui inclus une mise sous tutelle juridique de leur patrimoine. Qu’ils ne fassent plus comme s’il n’empiétait pas sur les « biens communs »
http://www.imagiter.fr/2017/01/lorsque-les-dividendes-tuent-l'avenir.html
2,6 fois plus que les investissements. L’aveu est clair : ils sont vraiment fous.
http://www.imagiter.fr/article-le-coût-du-capital-bien-trop-élevé-113102934.html
il empêche toute croissance et donc il n’a jamais pris de risque – ce sont pauvres et ex-classes moyennes qui ont fait tout le vrai travail. Et lui la vieille exploitation désuète d’Ancien Régime…
http://www.imagiter.fr/2017/01/fin-de-l'argent-gratuit.html
Ce qui avoue bien qu’il y eu tan d’années de…l’argent entièrement gratuit. Pour les trop riches
http://www.imagiter.fr/2014/05/spéculation.html
http://www.imagiter.fr/2016/03/séparés-du-sens-global-du-savoir.html
Ils ne savant plus savoir. Et donc la base légitime de décision échappe complètement aux prétendus dirigeants qui se seront tant vautrés dans l’austérité…pour les seuls autres !
http://www.imagiter.fr/2017/04/la-croissance-une-espèce-en-voie-de-disparition.html
sauf si les richesses COLLECTIVES sont redistribuées aux pauvres. Une justice et hops, ça repart !
http://www.imagiter.fr/2016/12/quand-la-france-nourrit-paris.html
Le monde à l’envers – qui ose prendre des décisions nuisant aux autres est, en « fait », un handicapé qui est déjà à la charge des autres !
http://www.imagiter.fr/2016/12/alléger-les-charges.html
Selon le principe que les « charges sociales » sont pour les salariés qui les supportent à fond (le mot « charges patronales » en est donc…illégal) et… «cotisations sociales » pour les patrons…vu qu’ils avaient pris l’habitude de ne pas les respecter !.
http://www.imagiter.fr/2016/05/comment-l'injustice-fiscale-s'est-installée.html
Comment faire semblant de s’étonner que des marginaux (les capitalistes) qui vivent hors de la société et ne respectent pas ses règles sont…l’injustice véridique ?. Ne payant pas d’impôts, vivant en « sur-assistés » sur l’argent public, fraudant toujours plus etc. ils ne peuvent avoir qu’un impact NEGATIF sur la société. Les injustices fiscales ont toujours été les moteurs des évolutions brusques de l’Histoire.
http://www.imagiter.fr/2016/01/renverser-la-pensée-économique-fossilisée-depuis-les-années-1970.html
Ceci expliquant le niveau de stupidités sans démonstrations rationnelles qui tiennent lieu d’expertises économiques et de politiques « qui ne se font pas » et qui – alors que l’état global du monde est bon et abondant – ont réussi à tout dérégler (dérégulations) saloper (les inégalités et les misères sont pires qu’avant – voir les 100 millions de vrais pauvres aux U.S.A., etc.). Et dire qu’ils radotent les mêmes contre-vérités depuis plus de 40 ans !
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Voici qui prouve une pensée très réfléchie, bien en phase avec le réel, abondante en solutions adaptées et qui devrait, à l’évidence être, bien plus écoutée. Vu qu’elle seule (et les réflexions qui avancent dans la même direction) peuvent répondre, exhaustivement, à la question lancinante : et, pourtant, rien n'est fait pour inverser la tendance ? Explications.
Les inégalités sont-elles à l'origine des crises ? « C'est la thèse des économistes Michael Kumhof et Romain Rancière. Dans un article publié pour le FMI, ils rapprochent le point commun entre les décennies précédant la crise économique actuelle et celles d'avant la Grande dépression de 1929.
Les-inégalites-sont-responsables-de-la-crise !
"On a étudié comment les agents réagissaient à la tendance de l’explosion des inégalités, explique Romain Rancière, professeur associé à la Paris School of Economics. On a constaté que, malgré l'érosion de leurs salaires, les Américains 'd'en bas' cherchaient à maintenir un certain standard de vie, comparable à celui des Américains 'd'en haut'. L'expression anglaise 'keeping up with the Joneses' est symptomatique de cette culture où les gens se comparent constamment les uns aux autres et veulent avoir la même maison ou la même voiture que le voisin" [[ la rivalité mimétique qui pourrit tous les rapports humains ]]. Les ménages pauvres ont donc abondamment emprunté pour compenser la stagnation de leurs revenus.
Mais pour emprunter, il faut qu'il y ait des prêteurs. Et justement, les ménages aisés étaient à la recherche de rendements élevés [[ce qui représente une folie antisociale inexcusable !]] pour placer leur surplus d'épargne. La soif d'endettement des ménages pauvres leur a permis d'investir dans des produits financiers adossés sur ces crédits. A noter que cette volonté d'emprunter des uns et d'épargner des autres a augmenté les besoins en services financiers et donc gonflé le secteur, dont la taille a doublé entre 1981 et 2007 pour atteindre 9% du PIB.
Le gouvernement a quant à lui encouragé ce processus dans les années 90 en dérégulant le marché bancaire et en poussant Fannie Mae et Freddie Mac à accorder des prêts immobiliers aux ménages les plus modestes. De fait, il est plus facile de masquer les inégalités en encourageant le crédit facile plutôt que de s'y attaquer à travers des politiques de redistribution.
"Le problème, c'est que cet endettement excessif des classes pauvres et moyennes a fragilisé le système financier : quand les prix de l'immobilier ont arrêté de progresser, des emprunteurs ont fait défaut en masse, et cela a déclenché la crise en 2007, poursuit l'économiste. La réduction des inégalités n'est donc pas seulement une question de justice sociale. C'est aussi une nécessité pour empêcher l'éclatement de nouvelles crises financières ".
Empêcher les crises du futur ? Tous les ingrédients bien détectés existent encore, ces mêmes trop riches, leurs lobbies hors sol et leurs aliénations qui les poussent à nier, renier et dénier la réalité peuvent encore les pousser à inventer, de toutes pièces, une INUTILE crise : il faut donc vraiment se méfier de tous politiciens tellement hors réel qu’ils vont préconiser austérités, diminutions des dépenses publiques pour les pauvres, non redistributions des richesses toutes collectives, non limitations des patrimoines (les actions boursières font partie du patrimoine !), non interdiction des abusives concentrations des richesses (ces concurrences non libres et complètement faussées) comme de pouvoir « acheter » les médias « biens communs », etc.…ces mentalités nuisibles sont à l’origine de la plus grande partie des maux de la société.
Aujourd’hui, nous pouvons les circonscrire et les empêcher de nuire…
………………….. ils sont vraiment, à 100 %, démasqués !
l'OMS-dans-les-griffes-des-lobbyistes
…lien à ouvrir pour la vidéo d’Arte !
........................……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La croissance est obligatoirement collective, tout le monde y contribue. De vouloir faire croire l’inverse ne fait que fourvoyer la majorité des vrais talents…
la vraie croissance vient de la vive vie – ce ne sont pas des abstractions très déloyales qui pourraient l’imiter.
et, surtout, l’investissement – si les dividendes sont 2,6 fois plus élevés que les investissements (comme en 2016) ces dividendes sont très ennemis de la croissance. Comme la consommation (2ème prétendu moteur) si elle tue la nature et la vie en aucun cas elle ne peut tirer une machine qu’elle enraye. Plus d’obsolescence programmée et de gaspillages scandaleux, etc. Donc la publicité doit devenir…anti-publicitaire (réparer tous ses mensonges en ramenant la réalité dans les regards !). Enfin le commerce extérieur dépend de la diminution énergique des inégalités et du partage équitable des plus-values. Le libéralisme met ces 3 moteurs en panne.