Que court-circuitent les circuits-courts ?
Au lieu de perdre son temps à ne décrire que la société en disant qu’il faut la changer, oui la changer – il semble plus utile de se mettre à la changer. Concrètement. Sur le terrain. En commençant par ce qui est à notre portée. Pas en en parlant plus mais bien en le faisant…Mais cela le paternalisme hypnotique des médias, dans les bras desquels trop se planquent, ne nous en dira rien. Ils ne sont même pas au courant. Déformatés pour ne jamais l’être. Faut se lancer tous seuls. S’émanciper. Se libérer. Évidemment, au début, nos efforts ne se voient pas du tout ou si peu et, les esprits formatés, eux, par les fausses pensées dominantes veulent du résultat immédiat (pires que des spéculateurs ?), tout de suite, tout dans le court terme. Et abandonnent, en conséquence, avant même d’avoir vraiment commencé. Alors que d’être devenu autonome nous a rendu nos corps et leurs facultés. Dont celle d’anticiper, de remplir les pointillés inconnus par de l’imagination en acte. Fort heureusement, les esprits abîmés par l’exigence si puérile du court terme vont pouvoir se convaincre, à peu de frais, par les…circuits courts. Là la transformation est visible à l’œil nu, même pour un regard distrait. Transformer c’est la forme de contestation nettement la plus …évoluée !
C’est que l’ambiance générale c’est plutôt de tout reprendre directement en main; de tout se réapproprier. Inutile de passer par la case vote qui ne prouverait que son propre narcissisme (par exemple, de démontrer avoir visiblement raison – gaminerie dont nous pouvons nous passer : préférons le faire avec raison…). En effet, s’il faut passer par la Constituante c’est à nous d’assembler toutes les démarches qu’il faut pour. Ne plus rien attendre des politiques professionnels va désormais faire gagner beaucoup de temps. Et – tout de suite – afin de comprendre tout ce que court-circuitent les circuits-courts !
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Examinons de très prés. De toute évidence, un circuit-court c’est l’inverse d’un circuit long – la base même des immenses gaspillages du scandaleux consumérisme antisocial. Le consumérisme ou bien tous ces actes illégaux que certains humains, sans fois ni lois et sans respect pour les autres, s’auto-attribuent pour agir des pires façons sans s’en ressentir responsables ni coupables. Avec des sbires qui sont payés pour tricher et mentir pour eux, utilisant tous les jésuitismes et tartufferies pour – soi-disant – empêcher les critiques. Ils ne les empêchent pas du tout, trop incapables pour cela, ils ne passent que sous silence. Oui censurent bassement : actes de toujours des esprits infantiles puisque censurer c’est avouer avoir tort. Qui a raison ne va pas censurer, les faussetés vont tomber d’elles-mêmes emportées par leurs seuls vides et légèretés mêmes. Aussi, lorsque ces justes et précises critiques reviennent cela créent des passages, des percées, des débuts de victoires dans les murs de cette société illégalement barricadée. Et qui ne voudrait pas rendre des comptes. En se prétendant, outrageusement, réactionnaire – en réaction à quoi, à ses propres impostures ? Donc pas réactionnaire que…fuyarde… Ainsi, depuis quelques années peu d’avancées visibles afin d’éradiquer l’épidémie consumériste (cela se détecte dans les recherches de vidéos, par exemple) dans le train-train juridique de la société, sinon sur l’obsolescence programmée – cet acte profondément antirépublicain, flirtant avec le hors la loi, qui en période de forte augmentation des pauvretés, de « transition énergétique », etc. ose gaspiller notre air pollué pour rien, notre terre affaiblie par trop de ces transports longs – dont même pas 10 % a lieu d’être. Oui c’est la société qui mérite d’être engueulée à fond pour ses frivolités injustifiables. Comme elle perd tout droit à faire obstacle à qui répare les choses…à sa place. Qui reste prévoyant et vigilant …à sa place.
Des comptes sur quoi, cette société fuit de les rendre ? Qu’un yoghourt à la fraise « mérite » 9 000 kilomètre afin de répondre aux caprices illégitime de divas contaminés par les pubs – voici qui amène à de vraies engueulades. Comment les objets créés par les uniques fantaisies d’inconscient(e)s va voyager tellement plus que nous, parcourir infiniment plus de distance, va user des deux transports qui polluent le plus (la voie maritime et les avions) ? Alors qu’il y a juste à côté de chez vous assez de nourriture dont l’empreinte écologique et le bilan carbone restent raisonnables et acceptables. Inacceptables donc tous les circuits longs ? Terminée la « société du caprice » que semble l’injustifiable société de consommation qui contrevient à…toutes les lois existantes. Oui puisqu’ils (ces caprices insensés) ne reposent que sur les lubies de personnes qui n’ont strictement aucun argument pour justifier ces formes de passe-droits d’un autre âge. Il est même possible de lire dans un justificatif « juridique » de circuit long que qui « veut » du miel d’Argentine a « autant de droit que nul ne peut contrarier de le vouloir que d’affréter des avions pour aider des humains qui meurent de faim »…ce serait du même ordre, d’oser comparer les deux et d’assener « cela se fait » (où cela sur la planète xy ?)…eh oui ! ils en sont là ? Effondrés, à ce point ? A tenter de justifier des gaspillages qui usent tant la planète. Et qui pourrait être évités. Le yoghourt à la fraise ? Attendez la saison des fraises (les serres coûtent, aussi, en énergies qui peuvent être économisées) et faites du yoghourt prés de chez vous. Le commerce de proximité c’est 150 kilomètres maximum. Et lorsque nous sommes en face de dizaines et centaines de milliards de trajets tous les jours qui sont plus proches des 10 000 km (nommés le « kilomètre alimentaire ») que des 100 km de la claire Raison des circuits- courts, nous comprenons pourquoi les étasuniens usent 2,5 planètes à eux tous seuls (en en privant scandaleusement les autres), ne veulent pas que les chiffres de leurs pollutions flagrantes changent leur politiques de vie (le grave hors la loi Bush osa même « notre style de vie (= style de mort pour les autres) n’est pas négociable ». Pour qui se prend-il cet ennemi de l‘Humanité ? Ce style est plus que négociable – il doit…tourner court !
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Nous commençons par entrevoir tout ce que court-circuitent les circuits-courts ? Afin d’avancer à très grands pas, aidons-nous d’exemples bien concrets. Genre des solutions tangibles pas des idées toutes faites (que l’on tartine afin de ne jamais…rien faire !)…
« Alors que le modèle de la grande distribution traditionnelle traverse aujourd’hui une crise multiforme (faillite de l’agriculture, déconnexion croissante entre les producteurs et les grandes surfaces, défiance à l’égard des grandes marques), plusieurs initiatives en France explorent de nouveaux modèles de consommation : tour d’horizon des solutions pour manger plus sain, plus local, plus respectueux des agricultures, et avec plus de transparence.
Une crise tout au long de la chaîne : Du producteur au consommateur, le modèle de production alimentaire actuel est en crise. A l’origine, un profond malaise chez nos agriculteurs et éleveurs, dont moins de 10 % ont annoncé être optimistes pour l’année 2017. En cause, une triple faillite de la filière : celle-ci a perdu 30 % de ses emplois entre 2000 et 2013 et ne survit que grâce aux subventions européennes de la PAC ; elle accuse également le coup de l’utilisation massive des pesticides, avec un nombre croissant de maladies professionnelles attribuées à ces derniers ; enfin, c’est la terre elle-même qui rend les armes : sous les coups des pesticides, nos sols sont appauvris, nos vergers ne sont plus butinés (faute d’abeilles), et notre consommation d’eau décolle – pourtant les rendements baissent (- 30 % sur le blé en 2016).
Les-circuits-courts-bouleversent-complétement-la-grande-distribution
De l’autre côté de la chaîne, la crise aussi fait rage, mais c’est une crise de conscience. De plus en plus de Français rejettent les modèles de la grande distribution, se méfient des produits des grandes marques et demandent plus de transparence, d’authenticité et de respect de l’environnement. Dans un appel à témoignage lancée par Le Monde, les mots sont clairs : « selon moi, l’essentiel des produits diffusés par l’industrie agroalimentaire est malsain pour notre santé », témoigne l’un ; « notre consommation doit changer, rien que par respect pour les animaux et la nature », affirme l’autre ; « je n’ai absolument aucune confiance envers les marques de l’industrie agroalimentaire dont le seul but est de satisfaire leurs appétits financiers », assène un dernier témoin : le ton est posé.
Car au centre de la crise, deux catégories d’acteurs ne la connaissent pas : les entreprises dites de la grande distribution se portent plutôt bien : en dix ans, la rentabilité des grands industriels (Danone, Bonduelle) et des grands distributeurs (Auchan, Carrefour) n’a fait que croître, progressant même de 25% pour les premiers. Et pour cause, ceux-ci négocient leurs marges avec grand soin, au point de se faire récemment épingler, dans le cas de Casino et Intermarché, pour « pratiques commerciales illicites » (demande de remises aux fournisseurs hors des périodes prévues à cette effet). [[la grande distribution ne survit qu’en vivant sur le dos des producteurs – sauf que ces producteurs ne…l’acceptent plus ! Et le prouvent en…agissant !]]
Bio : il faut séparer le bon grain de l’ivraie. Comment faire pour continuer à s’alimenter sans entretenir un tel système, et même en essayant de le guérir ? Les alternatives existent et se développent, et ne se limitent pas à l’alimentation biologique. En effet le bio, bien que réponse satisfaisante au problème écologique, est aujourd’hui exploité à grande échelle par les mêmes grandes enseignes, (le marché pesait plus de 5 milliards d’euro en 2014) perdant souvent de son sens : 70% des produits bio sont vendus en grande surface, et proviennent d’exploitations qui, si elles respectent la réglementation européenne sur l’agriculture biologique, ne respectent pas toujours les exigences du label AB, plus hautes. Pour manger un réel produit bio, préférez des enseignes spécialisées, comme Biocoop. Vous pouvez aussi vous tourner vers des certifications plus pointues que le label AB, comme Demeter, Nature & Progrès, ou encore Naturland.
Cependant, même l’exploitation d’agriculture biologique la plus respectueuse de l’environnement, si elle se trouve à des kilomètres de chez vous, ne peut vous proposer un mode de consommation écologique. Le transport, en effet, entre pour part essentielle dans l’empreinte écologique des produits d’alimentation. Hors saison, pour continuer à proposer aux consommateurs tomates, poivrons et fruits rouges, les grandes enseignes n’ont d’autre choix que d’importer des produits de serres biologiques d’Italie ou d’Espagne. Ces produits sont bio, certes, mais ils viennent de loin, dans des semi-remorques réfrigérés très polluants.
Aller plus loin, manger plus près : Pour concilier respect de l’environnement, des producteurs et de notre santé, la réponse est à chercher du côté des circuits courts. Ces petites structures, mettant en relation consommateurs et producteurs sans passer par l’intermédiaire de la grande distribution, ont aujourd’hui vent en poupe. Le plus connu d’entre eux est probablement le réseau AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne), installé en France depuis 2001, et alimentant au moins 270 000 consommateurs (chiffre de 2012).
Le principe est simple : un producteur (certifié agriculture biologique ou non, mais en général cela va de pair) s’engage à fournir un certain nombre de foyers en produits de son exploitation, mis en paniers en fonction des saisons. Ces petits groupes de consommateurs, appelés « locavores » (parce qu’ils consomment local) s’engagent à acheter les paniers, ce qui permet à l’agriculteur de prévoir son activité sereinement : « c’est un vrai confort. Je peux prévoir mes revenus sur plusieurs mois avant d’écouler mes produits », témoigne Vivien Lamouret, maraîcher dans les Yvelines. Le modèle de l’AMAP séduit les foules. Depuis 2001, de nombreuses offres similaires et concurrentes se sont développées, dans les villes comme dans les campagnes. Ainsi, La Ruche Qui Dit Oui, qui fonctionne sur le même principe mais en réintroduisant un intermédiaire (pas d’engagement, les clients peuvent faire leurs achats sur un site Internet puis aller les retirer), compte à ce jour plus de 700 réseaux en France. Du côté des AMAP, on déplore la perte du lien social avec le producteur, et la suppression du préfinancement ; du côté du client, on apprécie la flexibilité et le choix.
Reprendre le contrôle de son assiette : Si le modèle AMAP fonctionne très bien pour les produits de base (fruits, légumes, produits frais), il ne propose pas toujours de produits transformés (pâtes, farine, pizza, etc.) et peine aujourd’hui à assumer son succès (en 2012, 265 communautés prêtes à fonder une AMAP ne trouvaient pas de producteur). Pour étendre le principe du circuit court à ces zones d’ombre, des initiatives récentes proposent de faire intervenir le consommateur directement dans l’élaboration du produit fini.
Créé en octobre 2016, le collectif « C’est qui le patron ? » propose à ses adhérents d’élaborer collectivement des recettes de produits, avant de les confier à des producteurs pour les retrouver dans les rayons des supermarchés. Premier produit : la brique de lait ; le cahier des charges élaboré collectivement a imposé un lait sans OGM origine France, un pâturage entre 3 et 6 mois par an, des fourrages locaux, une rémunération qui permet aux producteurs laitiers de profiter de leur temps libre, et un prix de 0,99€ le litre. Aujourd’hui, avec 4 millions de briques vendues, c’est un franc succès, et les projets (pâtes, pizzas, œufs) se multiplient.
Ce modèle, qui réconcilie environnement, producteurs, grandes surfaces et consommateurs, a de l’avenir ! » Et le modèle grandes surfaces qui gaspillent l‘avenir commun toujours moins de futur. Ainsi à chaque étape de reprise de tout en main et à chaque nouvel obstacle rencontré (les AMAP ne proposent pas de produits transformés) la solution la plus intelligente survient. C’est qui le patron ? Toujours moins…La coproduction c’est mieux, la gestion collective et l’intelligence qui va avec, aussi. Le consommateur intervient en acteur et l’ex-patron nage…nage dans un trop ancien modèle dont toujours moins veulent. Toutes ces phrases contestent plus profondément l’ordre (encore) dominant que de se contenter à stationner à ressasser les mêmes trucs usés d’hier demain et demain…pareil. Et de NE RIEN FAIRE afin de modifier cet ordre de choses que l’on prétend…vouloir changer. Parce qu’il nous fait tant souffrir. Pas très convaincant. Méthode pas du tout concluante. Changer complètement de position et tout reprendre en main parait plus fatigant (un peu, mais juste au début, alors) mais cela, au moins, mène quelque part. Les circuits-courts contestent par l’activité toujours plus élargie qu’ils contiennent. N’ayez plus confiance qu’en qui conteste en reprenant tout en main. En agissant. Pas en qui conteste pour laisser (en fait)… la main aux dominants. Dire sans rien faire n’aboutit qu’à renforcer l’ordre non établi (mais bien là) ! Voyons comment ceci va devenir toujours mieux impossible ?
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Pages-du-terroir-:-l'annuaire-national-des-produits-locaux
Trouvez joint, ici, l’annuaire national des produits locaux. Très utile.
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Marges-et-prix-:-les-goinfreries-de-la-grande-distribution
Sur le scandale des chiffres réels non fakés que l’industrie alimentaire des grandes surfaces cherche à dissimuler…vous avez cet excellent article qui aide à faire le point.
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Impact-des-modes-alimentaires-sur-l'environnement-et-la-disponibilité-alimentaire-mondiale ?
« Face à la pression démographique actuelle (9 milliards d'humains en 2050 d'après l'ONU), alors que près d'un milliard d'humains souffrent déjà de la faim, opter pour une alimentation basée sur les végétaux permettrait de lutter contre le problème de l'insécurité alimentaire tout en épargnant des dommages irréversibles à l'environnement. Or, l'épuisement des ressources de la planète déclencherait des conflits sans précédent et mettrait en péril le maintien de la vie sur terre.
Vouloir solutionner les problèmes actuels de santé publique n'a donc pas grand sens si l'on ne s'attache pas, avant tout, à œuvrer pour faire évoluer des modes alimentaires qui, en plus d'être responsables de l'apparition de maladies pour les uns, ne font que creuser les inégalités d'accès aux ressources alimentaires, et menacent plus généralement la survie de l'espèce humaine à moyen terme.
L'ironie du système insensé de production alimentaire est que des millions de consommateurs aisés dans les pays développés meurent de maladies d'opulence (attaques cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, diabète, cancers) provoquées par l'excès de viandes provenant d'animaux nourris aux céréales, pendant que les pauvres du Tiers-Monde meurent de maladies de pauvreté dues à l'impossibilité d'accéder aux terres qui leur permettraient de faire pousser des céréales pour nourrir leurs familles.— Jeremy Rifkin, Los Angeles Times»
Nul-le ne peut donc se cacher derrière quoi que ce soit. Notre alimentation PEUT TOUT CHANGER. Pour le moment, nous nous rendons malades ET nous rendons malades des innocents. Ce qui ne nous offre pas un beau visage de nous-mêmes. Modifions nos tics alimentaires et nous solutionnons les deux à la fois. Les circuits-courts court-circuitent ces horreurs…horreurs oui puisque évitables !
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Les-kilomètres-incroyables-de-nos-aliments-:-de-l'importance-cruciale-de-manger-local
« Les circuits courts restent "cependant une source possible d'aménités environnementales", reconnaît le CGDD (Commissariat général au développement durable). Engagés dans des productions à faibles intrants, voire biologiques (10% des exploitations sont converties au bio contre 2% en circuit long), les circuits courts émettent notamment moins d'émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à la fabrication d'engrais et présentent un potentiel en matière de consommation durable. Complémentaires des circuits longs, ils "peuvent constituer un des éléments de réponse au défi de l'alimentation durable". [[ malgré l’inadmissible euphémisme, nous n’avons pas le temps d’être chochotes - le « ils peuvent constituer » c’est le « ils constituent ». Ce qui inclut le symétrique que l’agriculture intensive…n’est pas une réponse. Du tout. Où est l’euphémisme ici ? ]].
La commercialisation de produits locaux permet également "une relocalisation des impacts, ce qui est un des points forts de ce mode de commercialisation d'un point de vue environnemental d'après l'Ademe", souligne le CGDD. [[ en clair la grande distribution détruit beaucoup, les circuits-courts vraiment tellement moins !]].
En effet dans son avis, l'agence rappelle que ces productions sont soumises aux règlementations nationales et européennes parmi les plus "exigeantes" en matière environnementale [[drôle d’aveu, les petits sont sur-contrôlés… Donc, les gros, moins au point de…pas assez !]]. L'Ademe note également que la production locale d'une partie des besoins alimentaires permet de sécuriser les approvisionnements, l'économie locale et la délocalisation des impacts. [[ en clair, balancer ses pollutions chez les autres !]]. Au sein des collectivités, de nombreuses initiatives émergent pour encourager le développement de filières courtes pour la restauration collective, "avec l'objectif d'améliorer le bilan environnemental des repas mais également pour favoriser le maintien ou le développement d'emplois sur le territoire", indique l'agence. [[le centralisme qui est déjà une pollution en soi – n’est plus capable d’entrer dans des pensées aussi fines et aussi concrètes…ce pourquoi il reste du côté des pollutions pas de leurs solutions ]].
Autres points forts de ces circuits selon l'Ademe : ils permettent une réduction des déchets de conditionnement : dans de nombreux cas, les produits bruts sont peu ou pas emballés. Comme le délai entre la production/la cueillette et la commercialisation est réduit, ces distributeurs utilisent moins des procédés de conservation comme le stockage au froid.
Au-delà des performances environnementales, les bénéfices de la commercialisation locale "consistent davantage en des atouts socioéconomiques'' en renforçant le lien entre producteur et consommateur, conclut le CGDD, pour aboutir à un système gagnant-gagnant. Et de souligner parmi ces atouts : un "réancrage territorial de l'activité agricole, une meilleure valorisation des produits par le producteur, un rapprochement entre l'agriculteur et le consommateur, et une plus grande implication des acteurs publics [[que la centralisation avait toujours empêchée…]] et des habitants dans l'agriculture, comme des consommateurs dans leurs choix alimentaires".
C’est d’un vrai retour à la responsabilisation individuelle forte dont il s’agit ici. Oui ce rapport de la CGDD, parti pour dévaloriser les circuits-courts comme pas sérieux, se trouve, ensuite, coincé par ses résultats – et sans l’affirmer hautement, admet la SUPÉRIORITÉ collective des circuits-courts… Puisque l’escroquerie (qui devrait être pénalisée) du consumérisme c’est par des…éloignements et séparations symboliques…qu’a été séparé et éloigné le consommateur vraiment fou de ses responsabilités. Le consommateur doit aussi être sanctionné – ne serait-ce que moralement. Désobéir, dans ce cas, était son DEVOIR.
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Bioconsomacteurs- //Des-exemples-innovants-de-circuits-courts !
« Dans un quartier populaire de Lyon (69), l’épicerie De l’autre côté de la rue commercialise depuis 2006 des aliments et cosmétiques issus de l’agriculture locale, bio de préférence et commandés directement auprès des producteurs. Ce sont eux qui fixent leur prix de vente. L’épicerie vend ensuite les produits «avec des marges peu élevées et un bon rapport qualité-prix». L’inconvénient: ces faibles marges offrent peu de capacités d’investissement. 4 salariés sont employés à temps plein dans la société coopérative participative (scop). Par ailleurs, «il n'est pas facile de communiquer auprès des personnes qui ne sont pas sensibilisées aux thématiques du commerce alternatif [[disons que ce sont ces arriérés rétrogrades qui « refusent » de communiquer ! Comme d’habitude ils sont des fardeaux pour les courageux…]] et de l'agriculture durable, notamment les personnes à faibles revenus», reconnaît Alice Dupuis, l'une des 4 salariés. Basées sur la confiance et non sur contrat, les commandes de produits se font auprès de 5 à 6 exploitations agricoles pour chaque catégorie (laitages, viandes, maraîchage, vins, etc.). »
Cette mise du nez carrément dans le concret sous ses moindre détails nous prouve que seuls qui se réapproprient tout, reprennent les choses en main, sans plus attendre de pseudos encouragements des prétendus dirigeants - très blâmables, mais agir c’est appuyer le blâme sans perdre de temps – oui ceux-là seuls
…..................…………SAVENT DE QUOI ILS/ ELLES PARLENT ! (cqfd)
........……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Circuits courts - Réglementation commerciale - Chambres d'Agriculture de Bretagne
http://www.bretagne.synagri.com/synagri/circuits-courts-reglementation-commerciale
Produits bio : les circuits courts sont les moins chers du marché…encore un argument CONTRE les grandes surfaces.
Bonnes pratiques et petits gestes
Acheter autrement, oui mais comment ? : Envie de manger plus frais, plus goûteux, de consommer local, de connaître l'origine des aliments et la façon dont ils sont produits, de se réapproprier ...
http://www.ecobase21.net/Circuitscourts/PetitsGestesBonnesPratiques/Bonnespratiques.html
un article complet avec 30 liens qui couvrent tous les besoins
Végétarien, omnivore, locavore : quel régime alimentaire est meilleur pour l'environnement ?
Premier épisode de notre dossier spécial dédié à l'alimentation responsable ! Quel est l'impact environnemental de notre alimentation ? Réchauffement climatique, pollution des sols, contamina...
http://e-rse.net/regime-alimentaire-ecologique-vegetarien-omnivore-19772/
l’impact environnemental de notre alimentation décrypté
L’illogisme intégral du profit des entreprises agroalimentaires est responsable de cette situation. En France un circuit de proximité est fixé à 150 km. Un yoghourt à la fraise c’est…9 000 km
tout se réapproprier
De plus en plus de consommateurs souhaitent savoir exactement d'où proviennent les produits qu'ils achètent. Quoi de mieux que de se fournir directement auprès des producteurs ?
Faire cultiver son jardin à distance. Jardin que l’on aura loué…MonPotager.com : l'astuce pour cultiver son potager sans y être. Production locale privilégié
Thierry Desforges, fondateur de Monpotager.com, et Clément Le Fournis, cofondateur et directeur général d'Agriconomie, étaient les invités d'Innover pour le commerce. Ils se sont intéressés aux nouvelles formes de distribution des produits agricoles et de leurs impacts sur la crise agricole française. À noter que le circuit court a plus que jamais le vent en poupe. Et pour cause, 1 producteur sur 5 vend en utilisant cette forme de distribution. - Innover pour le commerce, du samedi 25 février 2017, présenté par Karine Vergniol, sur BFM Business
Le Département de Meurthe-et-Moselle agit pour favoriser l’approvisionnement en circuits courts dans la restauration collective des collèges, un bénéfice pour les collégiens, pour les agriculteurs locaux et pour l’environnement !
Les porteurs de projets en circuits courts peuvent se sentir relativement esseulés dans le montage et le lancement de leur activité. La profession commence à combler ses lacunes. Fin 2013, dans le cadre d’un projet Casdar, les Chambres d’agriculture et 60 autres partenaires publiaient un référentiel, intitulé « Innovations dans les circuits courts : facteurs de réussite et points de vigilance »
Emmanuel Lechypre revient dans sa chronique éco quotidienne sur les résultats de l'étude menée par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) concernant le coût de la transition énergétique. 44 000 milliards de dollars d'investissements seront nécessaires pour limiter le réchauffement à long terme de la planète à 2°C en privilégiant un modèle énergétique basé sur les énergies renouvelables et les économies d'énergie. Si la transition énergétique est bien faite, l'AIE prévoit jusqu'à 115 000 milliards de dollars d'économies d'ici à 2050.
combien de kilomètres de gaspillés pour ce qu'il y a dans notre assiette ?
Des solutions concrètes plus des idées toutes faites
solutions , entre autres, le développement de la vente directe et des circuits courts.
En France, 60% (En Allemagne 40 %) des ventes alimentaires se font par la grande distribution. Ce chiffre diminue sans cesse…Puisqu’il y a des mouvements internes, encore méconnus, dans cette grande distribution plus monolithe…Oui, face à ce modèle dominant, fondé sur les importations, producteurs et consommateurs tentent de renouer avec les circuits courts (même en interne). À Lille des supermarchés commencent à miser sur les produits locaux et saisonniers. Et ce sont parfois les producteurs eux-mêmes qui tiennent le magasin ! Le futur ce sera circuits courts dans les grandes surfaces aussi – soit de nouveaux rapports avec les producteurs.