Voyager et que tout le monde ne décide plus pour nous ?
Nous avons l’air aussi déplacés qu’un poux sur la tête du soleil, aussi anachroniques que la télépathie devant un tube cathodique bombardé d’électrons, d’aussi à côté de la question que nous ne parlons pas de la même chose. Voyager ce n’est pas une agence papier glacé, pas un, guide over-maternant, pas des trucs de suiveurs en laisse, etc. Rien à voir. Mais du tout. Voyager en vrai, c’est soi avec soi : faire le point et pas le gros dos. Une fois que le point se pointe et le mieux c’est le point de vue – déclencher en soi les mouvements internes qui mettent fin aux routines. Vous pouvez, alors, même sans quitter votre domicile habituel, commencer à vivre la Terre très différemment, ne plus mettre les pas présents dans les pas d’hier. Et le monde se sensualise beaucoup plus. Ses messages parfumés, sa musique de fond, son goût dans la bouche, tout bouge. L’air même est plus vibré comme le soleil de chaleur.
C’est que chaque transformation profonde de nos penses sont précédées par une modification de nos postures physiologiques. Changer de positions physiques c’est changer de positions mentales, de points de vue. Nous ne pouvons l’apprendre ici – seulement n’y faire briller que tous ses résultats, infiniment plus trépidants que la brumaille des routines. Chaque jour, découvrir que…au coin de la rue c’est l’aventure. Tout commence par la façon de tourner ce coin de rue. Sentons y frémir, et frémir jusqu’aux racines, l’animal qui est en nous. Déjà - tu brilles d’un élan impétueux et d’un chamois rapide.
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FLASHES - >>>>>>>> - Les voyages s’incrustent en nous par la puissance des flashes qu’ils nous tatouent à vie ? En illustration des flashes très douloureux. Puis des flashes de toutes beautés.
** /// Le plus étourdissant ballet de voitures du monde, une ile tendue de galeries souterraines, ferraillée de chaînes, des membrures jaillissant aux artères jaillies du cœur de la cité : le cirque de Piccadilly. Tu t’enfonces vers la soupe populaire, les puces et les usines désaffectées, le chemin est parsemé d’à peine plus que des enfants écroulés, leur sang éparpillé sur le trottoir, la seringue sangsue encore fichée dans le bras abandonné de la vie. Se tenant dans l’équilibre d’une épaule, d’une tête, ils forment les bouquets flétris balancés par la folie de la musique irresponsable et des guerriers de la came. Éructant de la bouche du « tube », le cinéma le plus vrai jamais vu dans les cavernes des hommes cinématoc…le flot laisse partout des traces de son sang : un jet sur le mur des toilettes. La vitesse, l’aiguille se plantent aussi vite et souvent que le couteau dans le beurre…alors tu prends le manège et atterri de l’autre côté du tourniquet le carnaby streetard, ce decorum du culte des icônes, vêtements dits impossibles mais trop possible. Là, où Regent’s street spécial riches lui fait angle droit comme les clubs privés de toi…et le parc, seule oasis où les arnaqueurs viennent chercher des feuilles ou des herbes pour les revendre, comme quoi la nature cela fait du bien. Les cinémas non stop où l’on passe des nuits entières à bruisser des sacs en plastiques, roter, dormir, bouffer des sandwiches cafés gratis devant le défilé des pires horreurs, comme quoi la trop grande fatigue, pastellisant tout, l’horreur et la mort sont décidemment de tristes spectacles.
** /// Devenir un morceau du paysage
Besoin de rien : sinon d’un peu d’herbages et s’y asseoir. Et, du silence (choisir ses heures !). Se ralentir par l’écoute intégrale... C’est que, de nos ancêtres préhistoriques, nous avons hérité de l’oreille du guetteur, celle qui leur permit de survivre. Dans une posture tendue toujours, afin de n’en point perdre une miette. Ici, jusque guetter mais sans rien attendre. Cela n’en arrive que mieux. Détente entière. Et, mieux encore, l’écoute évince les pensées, il n’y a plus de pensée. Que des sensations tous azimuts : les animaux si silencieux qui courent dans l’herbe, les oiseaux, le sol qui frémit, le vent qui module. Quelques étages d’écoutes intenses plus loin – nous pouvons même percevoir une taupe qui fouie, un mulot qui gratte, une abeille qui froisse la fleur, un buisson qui crisse et une infinité d’infra-bruits qui aiguisent, d’autant, nos sensibilités vives. Disons que cet ensemble de perceptions activées nous anesthésie en ce qui concerne notre présence. Désirante. Pas d’activités autres que de…vibrer à fond. De ressentir notre infini intérieur. Pas d’attentes. Pas de but. Autre que de vivre éveillé : d’où l’endormissement superficiel de tout ce qui peut perturber. L’ensommeillement des vaines agitations. Et ? La perte joyeuse de tout besoin d’identité. Nous sommes moins que le socialement exhibé. Mais tellement plus à la bourse des valeurs de l’univers. Tellement. Plus. Nous sommes devenus des morceaux de paysage. Fondus dedans. Quasiment indécelables. Bref - expérience qui vaut son pesant d’or. Et plus même. Ne plus avoir besoin d’identité c’est se ressentir tout : ce vent qui nous caresse, ce vif rayon de soleil, ces parfums floraux qui se diffusent, ce ver de terre qui émet un micro-son, ce goût de terre et d’iode qui nous salivent, ce papillon qui agite l’air immense de ses ailes petites. Nous sommes tout et tout nous est. Sans plus la moindre pensée, aucune, sinon la sensation musclée de faire partie de tout à la fois. De tout accueillir, de tout recueillir : bref, de vivre la plus somptueuse des « réceptions » possibles. Invité(e)s ? L’univers entier et tous les paysages. Oui, nous vivons toutes les richesses du cosmos prodigue au lieu de les dessécher à les foutre dans des coffres faibles. Quelles têtes d’étourdis sans…rien que de la monnaie de singe !...La première fois, faut s’accrocher, c’est un peu dur… Tout nous distrait et nous perdons le trait. Le trait qui conduit le véhicule d’aller plus haut mais sans rien conduire. N’y inclure aucune volonté. Et le second trait – celui qui atteint toujours le centre de sa cible. Mais, avec un peu d’efforts, nous pouvons redevenir des morceaux de paysage à volonté. Se rajeunir par pertes de tout besoins d’identités à chaque fois que notre santé nous dit « stop avec ces virus ! ». Ce qui surpasse tous les nectars et les excitants de la société humaine ! Adhérer au paysage sans désirer être plus c’est avoir réussi à incarner une identité…sans limites. Pas de plus SOMPTUEUX voyage. Un LUXE existentiel que nul argent ne peut se permettre ! Que du gagnant- gagnant, les loosers de la haute !
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TRANSPERCER LE QUOTIDIEN - >>>>>>>> - Les voyages c’est, aussi, la route. Sur la route à la découverte de l’inconnu lorsque l’inconnu, lui-même, nous découvre :
En poussière jusqu’au soleil du cœur, les jambes assoiffées, la tête surprise de l’ombre, il déscia les épaules du poids du sac collé à son dos cuisant, ratissa la sueur de ses cheveux et englouti la Pivo, le demi-litre de bière glacée, les yeux perdus dans la buée, les prunelles caressées de fraicheur. Il les ferma voluptueusement ses yeux. Et puis, lorsque la piscine de son corps fut comestible, il s’aperçut brusquement que le sac avait disparu, quelques tuniques, pantalons et son passeport nettoyés…Heureusement, tout son argent était cousu dans ses doublures de pantalon et qu’il se trouvait dans ce pantalon…et du quai de ce larcin, s’effondra son départ en Asie. Un laissez-passer, tamponné à Zagreb, pour retourner en France uniquement. Pas pour poursuive à l’estival…le festival fut de folâtrer le retour !
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ÉLÉMENTAIRES LES ÉLÉMENTS ? - >>>>>>>> - Vivre les tempêtes, les intempéries comme un voyage véridiquement hors éléments ? Faire corps avec la Terre, sculpter son corps en faisant front debout aux vagues ? Charnelliser le monde. L’avoir vraiment dans la peau. Favoriser tous les contacts naturels.
>>>>>>>>> -- ** Le nuage rebondit sur terre à la vitesse d’une balle de ballon, la tornade se tortilla, sauta, tourbillonna comme un grand serpent vert, dénudant une rangée de dents scintillantes. Voyage dans le temps ? Voyez, alors, avec les intempéries où le temps ne peut périr.
>> - ** Espace ? Convulsion des planètes voisines/ pierre de foudres / d’orage / d’éclair - haches de ciel / de tonnerre – dents du tonnerre éclat de foudre flèche de cosmos. Nous sommes les cibles touchées en plein centres. Nous seuls, humains, possédons un centre : l’univers n’en a aucun, il est partout et nulle part, à la fois, son prétendu centre…l’espace, pour nous, restera l’espace espacé. Nous ne pouvons l’embrasser d’un seul geste. Vivre donc notre part d’espace – il y a tout un admirable voyage dans le simple acte de savoir regarder la profondeur du ciel. Tout le corps bruissant comme un navire ! Le vaisseau « magique » de Mr Tambourine man.
>>*-*-*- En bord de mer, entrer dans les courants qui résistent, en levant haut les genoux. Vous sentez à quel point la résistance de l’eau adhère à votre corps. Vous épouse. Systèmatisez. Progressez, jusqu’à avoir de l’eau au-dessus de la taille ou à mi-poitrine : chacun-e a sa posture de confort. Un fois merveilleusement bien dans ce nouveau monde de sensations - lancer les jambes sur le côté, derrière, devant, etc. en ressentant la sculpture du contact, les traçages des sillages, l’équilibre de toutes les forces universelles en vous. Ensuite ? Il y a bien une centaine de positions alliées à des sensualités différentes, vous apprendrez bien tout seul. Le but est ? Dans n’importe quel point de nature, vous donnez à fond, herbes avouant leurs odeurs prenantes. Sous-bois, collines à grimper, etc. Passez-y la journée ardente, lorsque les forces se renouvellent de leurs fatigues. C’est quoi le voyage ? Lorsque vous vous coucherez repus, vous découvrirez ceci : que vous êtes gavés de sensations, d’odeurs, d’images, de sensualités naturelles. Et que ces images supplantent en puissances massantes tout ce que l’humain a pu produire comme films ou photos. Ce n’est pas sous plastique éloigné ! Ces images sont en plein contacts physiques avec vous. Elles ont une odeur, un goût, un corps intérieur. Etc. (tant à dire). Fermez donc les yeux : en vous va se dérouler le film le plus fantastique de votre temps de vie. Vous venez, véritablement, de redécouvrir que la Nature rend absolument extatique. Que c’est notre tout. Et que tout contact chevronné avec elle est vraiment un immense voyage. Quittez les pulsions nerveuses d’une urgence d’aller « voir » ailleurs. En fait – ailleurs vous y êtes déjà. La pauvreté des moyens voyage, souvent, infiniment mieux que la richesse qui anesthésie par trop les sensibilités… Comment le savons-nous à ce point ? Simple, lorsque passant, tout palpitant de nature, nous jetions un œil si attristé sur la vie de plastique des riches enyachtés – nous ressentions à 1000 % à quel point nos sensations pleines nous faisaient les vrais rois du monde ! La nature c’est total charnel ou ce n’est pas : l’exact contraire d’un décor !
Si vous n’aviez pas encore RESSENTI, oui ressenti tout ceci ?...Comme la ville emmitouflée de cercles était l’ignorance simple mais peu pure de l’immensité jamais atteinte de toutes les possibilités – oui vous devrez faire appel à vos images in action (nommées aussi, en diminutif : imagination). L’imagination c’est le voyage permanent en nous. Elle ne coûte pas un centime. Ce pourquoi sa valeur est infinie. Puisque seul ce qui reste…hors de prix (impossibilité de poser un seul prix dessus) se montre infiniment précieux pour nos vraies vies ! C’est comme ça : le capitalisme-cancre devra bien se plier à la loi implacable de la valeur. Ses demandes et ses offres qui n’offrent rien sont devenues irrecevables. Voyages aussi se dérident toutes les manières de le quitter !
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FAUSSE LA VISION DES MÉDIAS, SI FAUSSE - >>>>>>>> - …Ainsi (il y aura des suites) - Un voyage ne change pas la vie - mais l’élargit, l’agrandit, la rend tellement plus dense – fait de la vie un voyage intense. Un ensemble ? Toutes les voyageuses et voyageurs connaissent bien cette sensation : redécouvrir son chez soi sous un tout nouvel angle. Savourer ce que l’on a, mais savourer mille fois plus. Et ces centaines de détails que nous oublions de citer : la sensation d’envol quotidien lorsque nous surgissons dans la rue où tout le monde chante une autre langue. Sont débusquées des émotions dont nous ne savions même pas être porteurs.
Ceci c’est la routine basique la plus rencontrable – et puis il y a les esprits aventuriers qui ne vivent rien de ceci. Mais ont sauté par-dessus toutes les habitudes et voyagent même dans leur lieu de naissance. Certains n’ont absolument pas besoin d’un chez soi. Ils vivent à l’hôtel ou en pension, afin de changer très souvent. Bouger légers. Leurs racines sont rhizomiques – aimer plusieurs pays comme le sien propre, le cœur qui tangue a assez de place pour l’infini. Et de la sorte, aucun mais aucun des problèmes psychologiques, dont nous pourrions parler, ne les rencontrent jamais. Leurs souplesses d’adaptations paraissent si symbiotiques. Se fondre dans le paysage et personne qui vous touille. Pas le temps de vous coller une étiquette – ce désastre qu’il faut sans cesse combattre que de déchoir au point de coller des étiquettes sur les autres. Au sens de leur flanquer une pierre tombale et qu’ils ne bougent plus dessous. Qu’elles/ ils soient, les racornir à être comme nous avons décrétés qu’ils seraient. Mettre une étiquette est un acte de tyran. Un monologue unilatéral, un monopole jeté sur la vie d’autrui. Tout le monde est tellement plus qu’une étiquette. En tout cas, qui voyage ne met jamais d’étiquettes (trop encombrantes extravagances). Un monde sans étiquettes ne peut que progresser, s’améliorer harmonieusement. Seuls les flicards de l’esprit et les journalistes vendus sont les maniaques compulsifs (pas beau à voir de près) de l’étiquette. Voulez-vous, encore, vous trouver en si sinistre compagnie ?
Sont relativisés tous les règlements vus de plus loin. Ici, ils osent gérer autrui comme ceci mais là-bas comme cela. L’utilité dogmatique de telle loi s’en trouve très atténuée, rapetissée – non plus impérativement impérative. Rien qui nous y contraint intérieurement. De l’eau au moulin contre ceux qui n’ont pas un gramme d’esprit voyageur (ils perdent tous droits à devenir des…législateurs !) ? Oui, la majorité de ce qui est dit, écrit sur ces voyageurs – dans leur dos et sans les consulter – est faux. Toujours faux (-ceux qui osent juger les autres ont tellement plus faux : les journalistes n’ont aucune compétence morale pour juger du « faux », ils sont beaucoup trop dedans…le faux. Et ils ont trop installés de faux comme « indiscutables » dans toute la société. Qu’ils fassent la thérapie de leurs pratiques, d’abord. Nous les démettons donc de leurs fonctions de décodex. Où c’est le faux qui veut prêcher le vrai ?
Si fausse, si fake la version journalistique des vrais voyageurs, ces aventureux, ces voyous des voyelles du voyage, mais seulement voyous des délinquances que sont tous les conformismes : les vrais voyageurs secrètent eux-mêmes leurs propres lois. Et elles se montrent nettement plus incorruptibles que celles, si laxistes envers eux, et trop répressives envers les autres – des imbuvables assis ah si j’étais resté…
Non, elles/ils ne ressentent pas du tout cela et vivent encore moins ceci. Le voyage n’a rien à voir avec sa version journalistique. Rien ! Ils ne sentent vraiment pas le sujet. Les voyageurs heureux n’ont pas d’histoire : c’est qu’ils les ont toutes et ils chevauchent même l’Histoire ! C’est donc trahir la vérité que de vouloir les faire entrer dans une boite qui est à 1 000 kilomètres de leur vécu. Pas loyal tout comme chez les non-voyageurs, jamais très loyaux envers les vérités. Dogmes et préJugés (ce qui juge à l’avance et sans rien connaître - représente la si grave arriération du pré-jugé) les remplacent avec dommages ! Qui voyage ne peut s’encombrer du trop lourd bagage du préjugé : nous découvrons les humains tels qu’ils sont et non tels que nous voudrions qu’ils soient. Et sans commentaires non plus – bagages superflus et bien trop pesants. Les lourdingues, en plus, sont dingues. Valdingue tout cela !
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LES VOYAGES DU FUTUR SERONT PLUS INTÉRIEURS QUE TECHNOLOGIQUES - >>>>>>>> - Les mots même qui décrivaient et écrivaient donc les paysages nous conduisirent à de fulgurants angles sur les propres fonctions de nos corps. Les paysages et les vocables qui les placent tous ensembles en orbite dans nos corps nous font découvrir nos propres organismes. C’est notre propre vision, retournée sur elle-même, qui nous apprend toute la DISTANCE nécessaire pour faire entrer tout le corps dans un nouvel état de conscience !
Des pages 35 à 76 vous découvrez tous les paysages du monde décrits par leurs sensations mêmes…ouvrez donc le livre gratuit « Les mamelles du repos ».
manuscrit complet...pour faire le tour du monde c'est de la page 35 à 76 !
De la bulle d’une pensée au micron d’une cellule, tout l’organisme se met à y passer. Notre vision retournée toute vers nous ouvrir toute la compréhension. Puisque « de la bulle d’une pensée au micron d’une cellule » représente le consensus mis en place. Ce qui préfigure le devenir du Corps social dévoilé comme ayant soif de consensualité. De la sensualité de ce mot plein de sagesse. Avec toute la sensualité sensée du sens des mots. Réintégrons ainsi les fonctions de nos corps pour rendre tout le Corps social à lui-même. Quel autre moyen afin de partager, de le montrer et de le faire sentir et ressentir ? Quel autre ? Pressez vous de le dire puisque vous semblez, pour le moment, vous y opposez en tous points ! Ce serait donc que vous savez pertinemment pourquoi.
N’oubliez pas, toutefois, l’enfilade. L’identique mise en perspective qui sera la perspective du futur. Où tout le corps pourra se déployer. Et se clamer. S’apaiser. A en être de plus en plus sûr de lui. Sa marée biologique lui semble une rythmique universelle. Répartissant au mieux dans le moindre recoin. Recoin où nul ne sera oublié.
........…Le vraisemblable étant de plus en plus semblable pour tous nos semblables.
......…………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Tiens nous avons changé de passeport ? Celui-ci c’est celui des êtres humains habitant Terre ? Mais où se trouvent-ils donc sur la Terre ?
Calme ? oui inutile de courir si loin, nous avons toutes et tous ceci lové en nous. A un lieu qui se nomme love, oui lové, enroulé…
les 7 couleurs
véritable voyage pour vos sens : pénétrez dans ce somptueux tunnel floral japonais
Quand le rêve du voyage fait place à la dure réalité
Nous le remplaçons par autre chose…Comment je gagne ma vie avec mon Blog Voyage ? Et comment la planète n’aime pas vraiment les avions qui lui irritent toutes la peau
Chiner des idées ?
En nous nous avons toutes les ressources pour voyager. Ce n’est pas le lieu qu’il faut quitter mais changer « de » lieu en nous. Soyons toujours son propre dépaysement…
Faire le pont ? Un pont = chacun-e écrit ses errances /// Un puente : cada una o uno escribe sus errantes…/// One bridge : each one write its own drifts !
C’est que nous sommes toujours, à la fois, des géants ou des nains – tout dépend des contextes et des circonstances