Comment courir après discourir ? (2/3)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Comment courir après discourir ? (2/3)

Cours le discours ? Un cours et tu cours encore ? Une coursive reste, aussi, dans la course, etc. Le but, si ce n’est pas indiscret ?…Changer de langage c’est changer de vision du monde et cela nul ne pourra nous en empêcher. Une fois changé de vision, sans efforts, nous irradions ce qui transforme autour de nous…Le « elle pleut » en faisant comme le plat de résistance. Elle pleut. Ce simple mot prouve que le langage n’est pas encore accompli, qu’il ne fait que commencer, que rien d’essentiel n’a encore été dit, que le futur ne sera pas le passé. Que de se décourager reste toujours aussi inutile. Que les prétendus dirigeants sont de la terre fondante sous la pluie. Que leurs règnes sont trop vains pour durer. Oui la simple féminisation du «il pleut» trop usé en « elle pleut » aura déjà produit tout cela. Pendant que le texte soulève tant d’autres transformations vraiment si imprévues.

Une piste copiste ? Comment placer l’immensité de son attention sur les souffrances ? Que cette attention, au moins, ne pèse pas un milligramme de gêne. Discourir, alors, est thérapie, soulagement, mais discourir plus dans le direct dis, dans les dis donc, dis-le, dis voir…que dans le courir trop vite.

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L’évocabulaire. Ce qu’il évoque plus qu’il n’affirme. Jusqu’à ce dé-finir qui ne peut jamais finir (de déterminer) un sens définitif. Toujours à l’infinitif infini. Et n’impose, de la sorte, jamais une définition finale. Une définition avec finitions. C’est que le langage tout entier ne doit pas être seulement voué à ne parler que de nous. A se restreindre à ne parler que de ce que, nous, nous lui disons « être la réalité ». Le langage est tellement plus vaste que cela et ses fonctions excèdent tant ce à quoi nous voudrions…l’asservir…Et, non il n’est pas d’accord du tout avec toutes ces restrictions et limitations mesquines. Ses rapetissements et nettes incompréhensions à son égard…Son univers est tout l’univers, il englobe tout même le globe d’où nous prétendons lui imposer un sens rationné. Notre sens. Pas le sens désintéressé ! Rien qu’à effleurer ce thème, quasiment jamais abordé nulle part, la fleur de peau se redresse de tous ses poils. Nous allons, de ce fait, écourter, sans prouver plus avant – juste en évoquant la suite….

*** 1) – Veuillez veiller à la logique, la logique qui loge tout.

Comme ceci : Enlevez vos cendres ou l’on va vous descendre….à votre juste place. Descendre des cendres ?

ou bien : Se fondre dans le paysage et personne qui vous touille

encore : Être à côté de la question c’est ne pas la masquer.

sauf : Décrire d’écrire ou plutôt écrire décrire ?

sinon : Comme commère ? Comment alors ? Commères commémorées !

sans quoi : Votre vote contre contre qui vous n’aviez pas voté pour (interloqué l’interlocuteur) ?

 

*** 2) – Renouer avec les étymologies.

Ainsi : Parcourir oui mais pas trop vite, que nous ne perdions rien dans ce trop courir

mais aussi : Ne rentre pas bredouille. En cas de difficulté – bredouille encore mieux !

ou : …Se courir de secourir d’où recourir n’attend pas non plus !

et : Tu surenchéris, chéri ?

comme quoi : Voyage dans le temps ? Voyez avec les intempéries où le temps ne peut périr.

autant : Afin de ne pas disparaître, ne soyons pas disparates. Est-ce que le disparate disparaît ? Ou l’inverse ?

 

*** 3) - Toujours au pied de la lettre

Tout comme : Un homme de paille moyen. Vu qu’il taillait sa taille chaque jour.

soit : …Un guerrier aux aguets reste aux agrès agressifs.

aussi : Venez à moi…je suis à vous.

plus : Le tonnerre sort ses dents, la lune passe la main.

avec : Des slowgants

sans omettre : …nous étions dans l’ignorance simple mais peu pure de l’immensité jamais atteinte de toutes les…possibilités. Hips….

:

*** 4) – Courser même le verbe du proverbe.

Et donc : Réclame tes réclames. Annonce ton annonce. Les commandes aux commandes - et les placards au placard. Enseigne plutôt ton enseigne (dès que nous plaçons les mots en situation de verbes, même la réalité change…)

mais : On n »est pas sorti de l’auberge. Faudrait d’abord y entrer !

bref : Concernant consternant !

 

*** 5)La dialectique qui aide à voir une problématique sous plusieurs angles.

Oui : … Un guerrier guère férié. A opposer à un terrier à guerriers verriers ?

aussi : Tu brilles d’un élan impétueux et d’un chamois rapide.

pourtant : Voulez-vous ma taille taillée ou, alors, détaillée ?

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A glisser dans les à peu près, que nous n’utilisons jamais. Soit nous restituons fidèlement le mot en son processus (chaque terme doit aller à son terme) soit nous refusons l’appellation stupide de « jeux de mots ». C’est entre les mots qu’il y a du jeu, comme pour les pièces d’un moteur qui tourne bien. Donc jamais d’ex-jeux de mots forcés . Que des restitutions fidèles, que tout le monde peut vérifier (le verbe qui va avec le mot vérité. Une vérité ? Cela se vérifie.). Voici ce que nous ne faisons jamais….

.…………………….Un guet riez ex-guerrier aux aguets happen ?

http://www.imagiter.fr/article-l'abréviateur-120718540.html

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Et les contes à conte nus et contenant déjà le contaminé. Oui les récits en récitals. Préférés aux récitations…

Les nerfs mordus des montagnes, les vallées de sang femelles ou les rivages convulsifs des volcans encroûtés ? Où des milliards de cœurs auront raboté des milliers de génies et ont distillé la nécessité même du génie. Tristesses si improductives des jalousies hors sujet à leurs égards. Pourquoi jalouser une épreuve de vie ? A ne regarder que la façade, on omet de ressentir que soi-même ne pourra supporter une seule heure de la vie ébouillantée d’un(e) génie. Les médias, lorsque détenue par une poignée trop restreinte et peu renouvelée, ne peut que pourrir sur pied. Ce sont des journalistes qui ont commis (fomentés aussi) le putsch de prendre la place des écrivains. De tenter d’influencer les consciences mais pas par le talent par l’assommage déloyal de répéter et rerépéter sans cesse les mêmes creuses rengaines. Rengaine donc ta rengaine – que nous nous efforçons de désamorcer !

Ce pourquoi, ces journalistes ont aigri dans le ressentiment et la rancœur qu’ils/elles ont eux-mêmes créé de toute pièce. Drôle d’idée de vouloir voler la place des vrais écrivains et des penseurs, en ne mirant que la façade et non la dureté de ce qui se trouve derrière. Le prix à payer. Nul ne peut avoir, à la fois, le leurre et l’argent du leurre. Plus ils ne présentaient que des âneries plus enflaient (en vase clos) leurs jalousies malsaines. Comme si c’était la faute de qui que ce soit, à part eux….et pendant ce temps – plongeaient les mots des films muets …le prodige de moments de vie de ces penseurs écrivant ou non échappent aux droit du public (comme se déplaisent à mentir ces jours à listes…oui incapables de restituer de l’existentiel puissant, ils tentent de dénigrer la simple possibilité de ces survenues des traits de génies. Ils peuvent toujours, le passé surgit inlassablement pour les démasquer. Comment il y avait de vrais génies dans le passé et il n’y en aurait plus aujourd’hui ? C’est donc que vous nous les cachez. Vous les jours à listes vous êtes les accusés, vous savez. Vous avez été beaucoup top loin. Vos inhumanités vous déshonorent.

Oui, comme si, là, dans le filet gonflé du cerveau, là dans un cœur qui nous fit sœurs, sœurs de sœurs, là, dans la colonne qui vous fit vertébral, un trou, une mollesse, une chute, un vide qui ronge. Subsistait., de subsistere, « sistere » « s’arrêter dessous, être placé en réserve…dessous », préfixe « sub- sous» du subsidere, de subsidium, le secours ….ce subside si vital qu’ils ont osé rendre subsidiaire ! …à moins que vous vous soyez dégonflé de ce que vous aviez subtilisé, déloyalement, et dont les fils d’ondes sont entrainés par votre fuite. Vous traçant des mobiles phosphorescences…

Quand je me lamente de la montgolfière de mon sang, quand je hurle dans la nuit le protégeant de son vent ventArdise ardeur trop poussée, quand je pleure pour vous, de vos bassesses et médiocrités, quand je pleut et quand je rugis : c’est vous, parfois, que je vois en ce centre qui est partout et nulle part, entre l’espace de nos mains, nous en tenons la trajectoire –

......……………………………………………….venez à moi

 

-Les-expressions-à-bannir-au-bureau-qui-devient-des-barreaux (-il-est-drivé-par-l'argent)

pour voir à quoi la liberté de pensée fait échapper…

http://www.imagiter.fr/2017/04/courir-aprés-discourir-1/3.html

 

..........………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

agathe may

agathe may

« Les hommes sont mille fois plus acharnés à acquérir des richesses que la culture bien qu’ils soient parfaitement certain que le bonheur d’un individu dépend bien plus de ce qu’il est que de ce qu’il a »- Arthur Schopenhauer

« Les hommes sont mille fois plus acharnés à acquérir des richesses que la culture bien qu’ils soient parfaitement certain que le bonheur d’un individu dépend bien plus de ce qu’il est que de ce qu’il a »- Arthur Schopenhauer

Comment courir après discourir ? (2/3)
« Ne demande pas ton chemin à celui qui le connaît, tu risques de ne pas t’égarer » - Rabbi Nachaman de Braslaw

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Secrétons les étoiles de nous-mêmes

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Le révoltaire…du nom d’un groupe de musiciens

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Comment courir après discourir ? (2/3)
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rêver de révérences

rêver de révérences

effet contraste

effet contraste

La Nature est si généreuse et la recommence sans cesse cette générosité – essayons d’être un peu comme elle. C’est la nature le vrai MODÈLE et certainement pas le fruit sec et infertile du capitalisme (ce qu’il ne faut surtout pas être)…

La Nature est si généreuse et la recommence sans cesse cette générosité – essayons d’être un peu comme elle. C’est la nature le vrai MODÈLE et certainement pas le fruit sec et infertile du capitalisme (ce qu’il ne faut surtout pas être)…

changer complètement de modèle c’est ne plus laisser la moindre place à la résignation !

préludes à la plénitude

et là...désapprise - sans prises sur nous désormais.

se révolter ici (en anglais) est supposé désigner un rebelle ou un déserteur. Mais ne pas se révolter n’est-ce pas déserter le meilleur de l’espèce humaine ?

chi va piano va plénitude….

L’univers qui semble déborder de créativités contient, aussi, ce qui peut sembler se définir comme la perfection du vide – le moyeu du moyen, le mouvement déclenché par ce qui reste en repos, la force comme ce qui ne s’utilise jamais…et les 3 ressentis de ceci (sentiments, émotions et pensées qui deviennent sensations) qui nous font, enfin, passer à aller plus haut…

Très particulier et même dérangeant…Reprendre le pouvoir aux prédateurs (Arnaud Upinsky, Valérie Bugault)

Publié dans corps des langages

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