La culture de masse masse-t-elle les masses ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La culture de masse masse-t-elle les masses ?

Les urgences telles la misère, dont il coûte en fait si peu d’argent pour l’abolir (à peine le dixième de la vente d’armes dans le monde sur un an), ou bien la Nature, qui demande une attention très urgente, n’ont trouvé la préoccupation d’aucun médiatique depuis quelques mois…Non plus, la culture qui fait partie des solutions, comme il est si bien dit…Vivraient-ils tous hors sol, très loin de la réalité ? Oui, le vide béant dans le temps collectif, monopolisée par des élections indisposantes, aura étendu un silence vraiment complet sur la NATURE et la CULTURE. Ce ne peut être une coïncidence. Les urgences qu’auront provoquées les gaspillages injustifiables de l’infantilisme irresponsables de la consommation - lorsque se juxtaposent un discours qui ose qu’il faille nourrir toujours plus d’humains et des faits où nous nous apercevons que l’organisation agroalimentaire industrielle peut produire jusqu’à 50 % de gaspillages, selon les lieux et les moments. Toutes ces inconsciences au sommet pouvant donc être évitées : si les astreintes basculaient du côté des prétendus dirigeants vraiment nuisibles, pas des pauvres qui ne nuisent pas à la planète. Ces 50 % de gaspillés étant, très exactement « ce qui manque à l’agriculture intensive afin de nourrir tous les humains.»( selon leurs dires). Comme par hasard ? Si elle gaspillait moins, elle y arriverait – bien évidemment. Le but de l’agriculture est de nourrir non de profiter sur le dos des affamés. La culture véritable peut permettre (ce pourquoi elle fait partie de la solution) d’arracher la maladie du profit de toutes les têtes et les cœurs. Qu’en est-il ?

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Est-ce que la culture de masse vise à détruire les masses ? Ou aurait-elle le but de les élever ? « Cet essai se veut un rappel pour certains, une piste à suivre pour d’autres. Mais à l’heure où l’électeur-téléspectateur est conditionné comme jamais, il nous semble important de rappeler comment nous en sommes arrivés là.

Sun Tsé écrit : « Un habile général ne se trouve jamais réduit à de telles extrémités : sans donner de batailles, il sait soumettre l’ennemi ; sans répandre une goutte de sang, sans tirer l’épée, il fait tomber les villes ; sans franchir la frontière, il conquiert les royaumes… »

Alexandre Soljenitsyne avait fini par reconnaître qu’en Union Soviétique « on donnait une culture classique au peuple ». Et en occident ? Ne lui donne-t-on pas au contraire une inculture classique, au peuple ou à la plèbe qui le remplace ? [[n’est-on pas son ennemi, et sans motif avouable, 24 h sur 24 ?]].

La culture de masse est née dans les années 1920 aux USA. Elle se fait maintenant à coup de cinéma puéril en 3D, de livres d’ésotérisme déments, de jeux vidéo sadiques, de soap opéras pour sourdes-muettes, de drugstores bourrés de sucreries et de best-sellers sélectionnés par le NYT et tous ses relais. Comme disait Adorno :

« La répétitivité, la redondance et l’ubiquité qui caractérisent la culture de masse moderne tendent à automatiser les réactions et à affaiblir les forces de résistance de l’individu. »

La culture contemporaine postérieure à la Première Guerre Mondiale a toujours répugné à une élite intellectuelle sous sa forme élitiste ou massifiée. Voyez Céline ou Hermann Hesse… La culture dans laquelle nous vivons, et qui a tourné le dos à notre patrimoine [[ donc menée par de grands régressifs de l’éducation saine qui reste au patrimoine collectif et non à des…privatisations qui n’enrichissent que des marginaux asociaux…]], qu’il s’agisse de Lady Gaga, du bouquin Millenium, du jazz, du rap, de « la peinture contemporaine » ou du film Avatar, n’est pas fortuite, elle n’est pas le fruit des goûts du public et du génie naïf de ses initiateurs. Cette culture, remarquait le comte Tolstoï vers 1900, n’est plus enracinée dans l’histoire d’un peuple ou dans un sol ; elle est liée au conditionnement de masse, elle est abstraite et massifiée, elle a des buts abscons et des objectifs précis, mondialisés, qu’on peut aussi retracer à travers l’histoire de « l’alittérature contemporaine » ou du cinéma postclassique. La musique moderne doit rendre fou, disait Adorno. La pollution sonore sert à détruire la personnalité humaine. Cela s’est du reste toujours su : Plutarque évoque le terrorisme sonore des Parthes avant la bataille, dans sa vie de Crassus.

On sait que le jazz a été fabriqué à l’époque de Gershwin et il a sciemment remplacé les negro spirituals traduits par la grande Marguerite Yourcenar. Il a contribué à la déchristianisation des noirs américains, chose visible aussi dans le biopic de Taylor Hackford sur Ray Charles. Ces noirs US ont été rendus amers et dépendants par le système dans les années 60, et je me souviens qu’ Alain Daniélou, musicologue de l’UNESCO, l’observait dans ses mémoires. Quant aux rappeurs, ils ont accompagné le million de jeunes noirs américains tués en trente ans pour quelques trottoirs de drogue… A chacun ses vices : le cinéma classique hollywoodien lui-même devient pénible pour qui observe que tout le temps on voit des personnages fumer des Marlboro (dans chaque scène parfois, pour John Wayne ou Errol Flynn) ou absorber le whisky Seagram des Bronfman, les financiers de l’ADL…

On sait que cette culture a été lancée pour contrôler les activités de la jeunesse politisée [[ce qui est plus qu’un abus de pouvoir ]]. Le marxisme-léninisme a été court-circuité de cette manière si déloyale par la CIA qui promotionnait des agents d’influence, des artistes comme Pollock et Kooning. Le film Daddy Long-Legs (1957) décrit le conditionnement psychique d’une jeune orpheline française et sa possession physique et psychique par son mécène amateur d’art moderne. Fred Astaire, clone ici des Rockefeller (tout le cinéma de Fred Astaire fut lié au soft power US). Et puis, pensez à Pinault reprochant au grand public de n’être jamais assez éduqué pour comprendre le génie de sa collection de Rothko ! [[alors que tous les médias d’argent font « tout » afin de les déséduquer – Pinault devrait, logiquement, lutter contre ces médias d’argent au lieu d’y participer ]].

On sait depuis peu, aussi, que l’intronisation des drogues et de la contre-culture correspondait à un projet policier et politique : on peut citer les projets MK-Ultra, Cointelpro, Artichoke dont Hollywood s’inspira peu et mal à une époque plus rebelle. Ken Kesey, l’auteur du Vol au-dessus d’un nid de coucous, essayait les drogues pour les programmes de contrôle mental. Le message libertarien de ce film antisystème dissimulait comme d’habitude un agenda plus sinistre et perturbant que prévu. Les univers parallèles ont été plus faciles à contrôler que les partis politiques à noyauter. Tu veux fuir ce monde ? On va t’aider et même te guider… c’est l’arc-en-ciel du magicien d’Oz (pauvre destin de Judy Garland) que l’on retrouve après dans le testament de Kubrick Eyes Wide Shut.

Quant à la révolution sexuelle, elle était perçue comme un remède à l’esprit contestataire par les tyrans antiques. La Boétie parle des tavernes et des bordels pour travailler le contrôle de la population de Lydie, qui a donné le mot de ludique [[donc qui sonne encore pire que le trepallium de travail]]. A notre époque ce contrôle social à sens unique [[les contrôleurs jamais contrôlés- ce qui est donc profondément irrationnel]] a débouché sur une pornographie de masse accessible à tous sur le réseau mais aussi sur les meutes hargneuses du politiquement correct. [[faire plaisir aux désastreux dirigeants en livrant un non-langage qui efface tous les faits douloureux dont ils sont les causes directes !]]. Mais le sexe n’est pas la seule arme de destruction massive du monde actuel. L’œil du voyeur fusionne avec celui du délateur. Le corps du petit monstre des télétubbies, émission emblématique chargé de conditionner les…bébés (mondialisme, héliotropisme, sociabilité de bonobo, animalisation, consumérisme) est déjà orné d’un énorme écran blanc. L’enfant est un hardware qui marche [[ce non-respect flagrant de la personne humaine devrait être énergiquement sanctionné et ces prétendus adultes être poursuivis et chassés de leurs fonctions ]] et qu’on programme jusqu’à l’âge adulte. Si vous lui demandez plus tard un dessin, il vous dessinera tous les canons lasers du monde destructeur de ses jeux vidéo. [[ Les nuisibles terrorisants ne sont pas ce que l’anticulture médiatique prétend vilement !]].

Dans le même esprit bien sûr, toute la culture « sexe drogue et rock’n’roll » de la génération du Baby-Boom a eu un seul but : abrutir la jeunesse et pour plusieurs générations, répandre le consumérisme, l’hédonisme et le nihilisme, détourner et canaliser ainsi toutes ses énergies : il faut se transformer en canal, en Ipod (cosse de l’oignon, en anglais), en tube (you…le tube ?). Cette possession – ou connexion – induit bien sûr la référence au satanisme, qui a été évidente dans la musique heavy metal puis dans la littérature pour enfants (Harry Potter, War Craft, et tout le reste) et la culture pop contemporaine via des bourriques comme Rihanna, Gaga ou Beyoncé qu’un œil expert comme celui de Daniel Estulin invite à voir d’un autre œil avec leur symbolisme maçon. [[Ce qui aboutit à ce qu’ils s’en prennent à la jeunesse…corrompue alors que se sont eux les corrupteurs ! Et qu’ils devraient donc s’auto-mettre hors des circuits !]].

Dans son beau discours de Harvard, Soljenitsyne parle des « musiques insupportables » qui nous envahissent et nous abêtissent de tous côtés. L’auteur du Petit Prince Antoine de Saint-Exupéry s’était fait insulter pour avoir écrit que l’on pouvait écouter du Mozart à l’usine… mais en Union Soviétique. Ce n’est pas un hasard d’ailleurs si dans les films hollywoodiens les nazis et les tortionnaires sont présentés comme des hommes cultivés (cf. Hannibal, Shutter Island). Pour être bien intégré il faut être crétin. Le cinéma intelligent et artistique était d’ailleurs depuis longtemps réservé aux maîtres russes comme Tarkovsky, Paradjanov ou Sokurov ! Et la critique a fait après la guerre, de Bogart et son chapeau, notre Ulysse.

Le désarmement moral de la culture de masse américaine est allé de pair avec les délocalisations et la désindustrialisation forcée. On a ainsi liquidé avec les syndicats les risques de mobilisation populaire et on a dispersé tout le monde avec l’automobile (Mumford). Mais le grand outil de l’arme silencieuse est resté la télévision, avec sa propagande et ses pseudo-événements décrits par Boorstin. Comme le cinéma, mais en permanence, la télévision fournit un modèle mimétique. Il faut créer le troupeau d’animaux bien dociles, comme disait Céline. L’offensive fut menée par la publicité, issue de la propagande de guerre de Edouard Bernays, puis par l’école de Francfort et par exemple sa chasse systématique à la figure autoritaire. On a ainsi promu comme l’écrit Adorno la figure de l’homosexuel, on a crétinisé le père de famille, on a transformé la femme en modèle Bovary de série, éternellement endettée, enamourée et divorcée, on a créé l’ado rebelle (conforme) insatisfait et demeuré avec sa casquette retournée ; revoyez l’équipée sauvage de Brando qui remplace dès 1953, avec le suicidaire James Dean, les héros traditionnels comme John Wayne et James Stewart. On a détruit la famille puis l’idée de nation, jugée fascisante par les banquiers, et enfin celle de civilisation. On ne parlera pas de la race ou du sexe puisqu’ils n’ont (heureusement) jamais existé…

Pour liquider la contestation de type communiste, il fallait inciter à une perte de temps et à un désordre mental. Lucien Cerise rappelle que l’on a créé le modèle du jeune voyageur qui veut découvrir le monde, ses plages, ses drogues, ses bières et toutes ses excursions sexuelles ! Pensez à Kerouac, à la génération du routard qui gesticulait pour rien (revoir dans cet esprit la balade inepte des deux motards junkies d’Easy rider). Cette bougeotte sans but (Di Caprio toujours, dans The Beach) ne vaut pas mieux que la geste clownesque du touriste massifié qui clique tout le temps sur son appareil numérique dans un paysage réifié et recyclé.

La culture comme arme de destruction massive est plus redoutable que les bombardements. Elle nous sépare de notre histoire, de notre espace, de notre prochain, de nos compatriotes. Elle crée un « avatar » d’individu en marge de ce monde et prêt à être capté par la matrice technologique du commerce américain qui peut ainsi imposer partout ses projets [[que de « détournements de mineurs » ont été pratiqués pour le profit injustifiable ?]], ses guerres et ses jouets transformés. L’usine à rêve prépare la prisonplanet.com et le camp de concentration indolore dont parlait Aldous Huxley vingt après son Meilleur des mondes. Et la matrice virale américaine est difficile à substituer aujourd’hui car elle a envahi [[terme qui définit…les ennemis ]] tous les réseaux, tous les cerveaux.

Ce n’est qu’en étant armé moralement contre elle que l’on peut s’en défendre – avec son âme, sa famille, sa classe et sa nation. »

….et sa culture – le médicament le plus puissant pour rester sain et combatif.

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…comme ceci…

Spinoza-rien-de-plus-utile-pour-l'homme-qu'un-homme-vivant-sous-la-conduite-de-la-raison

Très étasunienne et donc surtout pas universelle…l’anticulture, qui se prétend la seule culture, cherche à déloger toutes les valeurs locales par ce produit plastique qui peut (par qui acceptent d’être manipulés….et il y en a qui font « semblant » de critiquer les manipulations, alors qu’ils/elles en sont collabos)) faire perdre toute identité et singularité. Cette culture soit disant pour « faire plaisir à tout le monde » est donc l’ennemie intime de quasiment tout le monde. Sauf des profiteurs d’argent sur ce rabaissement collectif.

Tout a toujours prouvé que si nous traitons les autres comme très intelligents, si nous leur offrons de la qualité – tout le monde peut et …aime vraiment suivre. La qualité est donc ôté par les vrais…élitistes qui privent les masse de ce qu’elles veulent vraiment. Ceux qui sont, frauduleusement,, présentés comme « élitistes » veulent simplement partager…le meilleur…avec tout le monde. Sans les flicards de la pensée (les conformistes) cette épidémie aurait été jugulée : haro sur les conformismes, cela devient de la haute culture ! Oui, la vulgarité de cœur de l’anti-culture de masse en aura donc fait uniquement un monologue. Qui empêche toute autre expression. Ce qui est une preuve recevable d’avoir tort : vous empêchez toute concurrence réelle et vous dites que vous surpasser et surnagez au-dessus de tout (que vous empêchez déloyalement d’apparaître). La preuve est donc –

que, dans un traitement égal – votre anti-culture ne durerait pas du tout !

Actuellement que se passe-t-il ? La vraie culture est en train de prendre la main

 

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Elle seule peut s’offrit TOUS les éclairages. Devenant, chaque jour, plus universelle et élucidante…

1)---

Ce-que-les-médias-traditionnels-ne-vous-diront-jamais-sur-la-Corée-du-nord

2) ----- Comment l’américanisation du monde – en passe d’être contrée énergiquement – nous aura tant éloigné de la réalité. Aura agi comme notre pire ennemi à l’intérieur de nous…et que – par exemple – les peuples d’Europe (guéris de ses médias d’argent) - sont bien en train d’annuler l’influence de leurs propres anti-élites (se prétendant « les » seules élites) et de faire naître une nouvelle civilisation…hors de toute cette mentalité si corrompue !

Quand-l-Asie-éclaire-nos-mondes_(et-plus-les-USA-)

« Cela aura été l’angle mort de la campagne présidentielle française. S’il fut amplement question de l’Europe, de la Russie et de la Syrie dans les débats et les discours, l’Asie-Pacifique ne fut jamais mentionnée. C’est pourtant une région capitale, dominée par une Chine qui pourrait détrôner les États-Unis comme première puissance [[et non plus première économie !]] dès 2030.

Économiquement centrale, elle l’est aussi géopolitiquement : les nouvelles tensions autour de la péninsule nord-coréenne et des ambitions nucléaires de Pyongyang montrent qu’un nouveau conflit majeur opposant Pékin à Washington n’est pas à exclure. Opportunité et dynamisme d’un côté, danger de guerre de l’autre. Tous les ingrédients sont réunis pour attirer l’attention du monde. Mais étrangement, la France, pourtant l’une des cinq nations disposant d’un siège permanent au Conseil de sécurité, semble avoir oublié qu’elle y possède des territoires et des intérêts, en particulier la Nouvelle-Calédonie…

Ce désintérêt pour l’Asie est d’autant plus déconcertant [[marque, plutôt, d’un dysfonctionnement mental, de cette incapacité à hiérarchiser les priorités, de trier l’essentiel du superflu, de ne jamais s’égarer dans les détails ou de s’enliser dans le…frivole – preuve flagrante que trop d’anti-élites sans vision globale du monde squattent un pouvoir qu’elles ne peuvent assumer. L’inculture fait, obligatoirement, tomber ses imposteurs !]] que la région pèse de plus en plus, c’est une évidence, comme l’illustre le dernier ouvrage de l’éditorialiste du Financial Times, Gideon Rachman (Easternization : Asia’s Rise and America’s Decline, From Obama to Trump and Beyond, non traduit). « Au XXIe siècle, explique-t-il, les rivalités entre les nations de la région Asie-Pacifique façonneront la politique mondiale, tout comme les luttes entre les nations européennes ont façonné les affaires du monde pendant cinq cents ans à partir de 1500. » [[Les U.S.A. n’étant plus qu’une province lointaine hors du coup !]].

3) – La méconnaissance autodestructrice de la vraie culture…

Quora-le-site-de-questions-réponses-qui-se-veut-digne-de-confiance

Comme si la culture n’était qu’un mécanisme oui-non ouvert-fermé tic-tac question- réponse. Tout comme il est tellement plus serviable d’apprendre à cultiver le sol que de donner des légumes – il est un million de fois plus formateur …d’apprendre à s’interroger et de savoir avancer dans la queste des questions que de …donner des réponses « toutes faites ». Bien trop mécanique …pour être honnête

4) – Lorsque l’auto-élucidation de la société par elle-même ne fonctionne plus de prétendus acteurs sociaux prennent leurs défaites pour des victoires. Voire des triomphes. Ils sont obligés de se déguiser en rupture parce que …la véritable rupture arrive. Et qu’elle ne sera pas la leur…mais se déploiera contre eux…Ils ont fait entrer le cheval de Troie, qu’ils en soir remercié (au sens de mis dehors)…

Capitalisme-Europe-partis-:-allons-enfants-de-la-rupture

« Deux mots ont caractérisé cette élection présidentielle : « antisystème » et «rupture». D'une même voix, avec force gestes, tous les candidats ou presque sont partis sabre au clair contre le « système » qu'ils se faisaient fort de bouter hors de France. S'ils étaient élus, les citoyens allaient voir ce qu'ils allaient voir, ils seraient les présidents de la « rupture ». Mais de quelle rupture ? Et pour en finir avec quel système ? [[ Ou, plutôt, parce que s’ils s’affichaient pour l’ordre existant PERSONNE ne les aurait écouté une seule seconde ? Et que, même si c’était un déguisement, ils étaient « contraints » de l’endosser. Ce qui se montre comme un « triomphe de la culture qui marche en avant, elle du moins !]] Précisions avec le jeune politiste Thibaut Rioufreyt, chercheur à Sciences po Lyon.

La plupart des candidats à cette élection présidentielle ont brandi le drapeau de l'antisystème. Comment l'analysez-vous ?

Comme un symptôme. Un signe évident de la mauvaise santé de notre non-démocratie plombée par la défiance des électeurs vis-à-vis des hommes et des partis politiques, et bousculée par la demande de renouvellement des têtes et des idées. Tous les candidats se sont ainsi empressés [[poussés par quoi ?]] de se déclarer « antisystème », y compris ceux dont les projets n'étaient que la continuation de politiques ou d'idéologies depuis longtemps sur le marché, y compris ceux dont les visages s'inscrivent depuis des années dans le paysage politique. Mais pourquoi avoir choisi ce terme, «antisystème» ? Pourquoi ne pas avoir parlé d'alternative ou d'alternance ? Sans doute parce que cela ne suffit plus aujourd'hui pour convaincre des électeurs échaudés par des années d'alternances entre des partis dont ils ont le sentiment qu'ils mènent peu ou prou la même politique. Mais aussi parce que le mot «antisystème» est ce qu'on appelle un signifiant flottant, un mot qui a le mérite de pouvoir dire tout et son contraire. »

Et que – oubli fondamental – seule la critique, qu’il faut espérer constructive, de la désorganisation sociale (sens de « système ») est porteuse de…futur. Afin de pouvoir…durer…ils sont contraints de nous…imiter. Même d’aspect extérieur ! Ce qui est notre victoire et leur défaite

……….  Puisque nous demeurons en avant…et en avance !

 

………….(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

la gravité des peuples...

la gravité des peuples...

et la vulgarité étasunienne...

et la vulgarité étasunienne...

si loin de l'irrationalité des U.S.A.

si loin de l'irrationalité des U.S.A.

Description de la barbarie

Description de la barbarie

La culture de masse masse-t-elle les masses ?
La culture de masse masse-t-elle les masses ?
la véritable culture exalte la nature

la véritable culture exalte la nature

affinités électives

affinités électives

....puisque ce n'était pas un jeu avec des règles si truquées mais l'art de toujours rester du bon côté de la vie (lorsque l'argent peut aveugler à mort)...

....puisque ce n'était pas un jeu avec des règles si truquées mais l'art de toujours rester du bon côté de la vie (lorsque l'argent peut aveugler à mort)...

L’autruche de l’un est aussi aveugle que celle de l’autre…il ne s’agit pas de quantités mesquines mais bien d’une amplification intégrale (ou non) de l'art de vivre

L’autruche de l’un est aussi aveugle que celle de l’autre…il ne s’agit pas de quantités mesquines mais bien d’une amplification intégrale (ou non) de l'art de vivre

en masse...

en masse...

Historique - Adorno, sur la pop music et la culture de masse

Nicolas Demorand reçoit dans le 6h30/10h de France Inter, Frédéric Martel, écrivain et sociologue

….ressentir ceci c’est découvrir que nous avons une vraie culture en nous. Oui, parce que nous respectons TOUTES les cultures, c’est que nous en possédons une vraie. Et que jamais nous n’y n’irions dans les pays afin de les piétiner !

une autre parole peu entendue

Lorsque la culture n’est plus « qu’une » industrie – nous en perdons déjà 80 % (loi de Pareto).

pourquoi la véritable culture déstabilise toute la devanture artificielle ?

Les Bilderbergers sont effrayés! de Daniel Estulin

Belles de mai - vidéo n° 2

Le poids d'une pensée peut faire basculer le cours de l'Humanité

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