Quelle agriculture pour un temps de crise ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Quelle agriculture pour un temps de crise ?

Les centralisations inconscientes rendent tout plus fragiles. Les décentralisations sont bien les sagesses pragmatiques qui renforcent les territoires, leur permettent de trouver leurs anticorps et de réagir toujours à temps. «Aujourd’hui dans nos sociétés, on a une économie, des lignes d’approvisionnement, un système financier, des structures de flux – tout ce qui est système alimentaire, système d’’approvisionnement en eau, système médical. Tout cela est devenu extrêmement fragile parce que complexe, inter-connecté. Donc ce qui va s’effondrer, c’est tout ce qui dépend des énergies fossiles. Cela inclut les énergies renouvelables et le nucléaire, car pour les fabriquer, il faut des énergies fossiles. Quand on se rend compte que quasiment toute notre nourriture dépend du pétrole, qu’est-ce qu’on va manger ? Ce qui va s’effondrer est absolument gigantesque. » Ce qui nous rend si vulnérables (bien moins qui en a pris conscience – néanmoins, le poids de la collectivité irresponsable lui reste aussi épuisant ! Les seuls « adultes » étant ceux qui ont pris conscience : les responsables par défaut de la Terre !) ce sont oui les excès de centralisations. Excès seulement pour les abus de personnages qui ne savent absolument pas quoi faire du pouvoir ( le « vrai »pouvoir : ce qui permet, ouvre, lève les obstacles et motive les êtres…) et racornissent la société entière dans de puériles obstinations répressives !

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L’audit ? Nous sommes face à une agriculture en danger et qui nous met en danger. Maltraités par la société en tant que classe sociale, les agriculteurs sont devenus minoritaires même à la campagne. Il y a parfois de lueurs de raison, envers eux, telles « il faut nourrir ceux qui nous nourrissent » mais l’ambiance reste, plutôt, à trop les appauvrir et à les pousser, si stupidement, au départ. Sauf quelque trop gros propriétaires nul ne vit très bien de nourrir autrui. La bestialité sans issue du profit doit, ainsi, être arrachée des frontons de la société : cette puérilité (puisque le profit d’un n’est que le coût des autres – que, globalement, le profit n’existe donc pas, il n’est qu’un coût parmi les autres !) aurait réduit, au delà du seuil d’alarme, le nombre des paysans pouvant travailler. Mais aura, aussi, multiplié les rendements, à coups de pestes de pesticides et de reniements de la grande sagesse ancienne où « la terre fertile est la vraie et grande richesse » et pas l’argent. Au point où il faut être un grand dément pour préférer l’argent abstrait et pure convention à une terre toujours fertile !

Sols épuisés qui peuvent avoir perdu jusqu’à 80 % de leur fertilité, sols érodés qui partent dans les fleuves ou au vent, sols dénutris que la chimie aura amaigri de vies au-delà du sensé, etc. (hélas, etc. !)…le tableau de chasse des détraqués du libéralisme est plus que déplorable. Leur obsession maniaque (oui une maladie grave ) de « leurs » intérêts nuit plus que gravement de l’intérêt général. Plus rien d’intéressant dans leurs intérêts immérités. Ils ne savent plus penser. Il s’agit de les démettre de toutes leurs fonctions. Ils sont un grave danger pour la société. Ainsi – ils mettent la nourriture en grand danger ainsi que les humains qui nous nourrissent. Et osent, déshonorés jusqu’aux racines, nous parler de « leurs » intérêts. Comme si c’était un argument recevable et non une accusation contre eux, désormais. C’est parce qu’ils ne savent pas s’autoréguler (malgré leurs prétentions braillardes), oui s’auto-contrôler, mettre des limites à leurs cupidités bestiales, rester matures et responsables – que tout va mal sur Terre. Les pauvres ne font que subir leurs inaptitudes à vivre collectif. Cette fois-ci, impossible (contrairement à leurs habitudes de lâches) de détourner les culpabilités vers d’autres. Comment un pauvre pourrait ruiner les sols fertiles ? Il faut être trop riche pour y parvenir. Et a cause de ces esprits infantiles (faut vraiment être immatures pour considérer que « son » intérêt non pondéré et maniaque (donc devenu très malade) puisse être l’intérêt du monde entier)… Plus mégalomanes de l’inessentialité, impossible ! -: non, nous devons les réguler et faire reculer, partout, leurs intérêts indéfendables. Ils peuvent nous conduire à l’effondrement rapide. Pour l’alimentation c’est encore plus flagrant et facile à prouver.

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Si ça s’effondre, qu’est-ce qui s’effondre exactement ?

>>> - 1) - « Une autre manière de répondre est que plus un pays est riche et industrialisé, et hors sol, plus il va tomber de haut. Aux périphéries, cela va être beaucoup moins grave [[pour une fois les délaissés vont être favorisés !]] et il va y avoir des jeunes pousses qui vont pouvoir relancer une civilisation. Par exemple, pendant la crise des subprimes de 2008, il y a eu trente-cinq pays qui sont entrés en émeutes de la faim, juste à cause d’une fluctuation des matières premières [[les spéculations peuvent devenir crimes : avant 1789, les « accapareurs » étaient nommés les …affameurs, les criminels de la faim des autres ! ]]. Au Mozambique, ils n’étaient pas connectés au système mondial économique, et ils n’ont pas subi cette crise.

Tout-va-s'effondrer-Alors-préparons-déjà-la-suite

Est-il possible d’éviter cet effondrement ?

Non, c’est un des grands messages du livre. L’éviter voudrait dire qu’on continue notre trajectoire de croissance. Or non seulement ce n’est plus possible (on l’a montré avec la fin des énergies fossiles), mais si on continue de croître, le réchauffement climatique et la destruction de la biodiversité provoqueront un effondrement de notre civilisation [[que ses dirigeants ont rendu si peu civilisée ]]. L’autre voie pour éviter un effondrement serait de bâtir une économie qui n’ait pas besoin de croissance. Mais sans croissance, la civilisation industrielle actuelle s’effondre. Donc de tous les côtés, ça s’effondre. On est cerné.

La posture du livre est de l’accepter. Il y a un effondrement, d’accord, on respire. On apprend à gérer sa raison, à gérer ses émotions, à gérer son rapport avec les autres, avec l’avenir. J’ai dû renoncer à des rêves que j’avais pour moi, mais j’ai dû renoncer à des rêves que j’avais pour mes enfants. C’est très douloureux. Une piste de sortie, c’est que l’effondrement peut être vu comme une opportunité incroyable d’aller vers quelque chose qu’on peut commencer à construire dès maintenant.

Est-ce qu’on le saura, quand l’effondrement arrivera ?

Vous connaissez la fable de la grenouille ? Quand on met une grenouille dans l’eau bouillante, elle saute. Quand on la met dans l’eau froide et qu’on fait peu à peu monter la température, elle reste jusqu’à en mourir parce qu’elle ne se rend pas compte que l’eau devient bouillante… Notre intuition est que peut-être, en Grèce, en Espagne, en Syrie, l’effondrement a déjà commencé. Nous, on n’est pas encore touchés parce qu’on est riches.

Comment êtes-vous arrivé à concentrer vos recherches sur l’effondrement ?

Un spécialiste du pic pétrolier, dans un colloque, a un jour parlé de ce qu’il appelle des « Oh my God points » [des points « oh mon Dieu » - NDLR]. Ce n’est pas un choc de la tête, c’est un choc du ventre et du cœur et après, plus rien n’est pareil.

Mon premier, c’était le pic pétrolier. J’ai vu un documentaire sur comment Cuba a survécu au pic pétrolier, et ça m’a tellement bouleversé que j’y suis allé pendant deux mois. Un autre grand « Oh my god point » est ma rencontre avec Dennis Meadows, le co-auteur du rapport du club de Rome [Rapport sur les limites de la croissance, 1972 - NDLR]. Son message est clair : il est trop tard pour le développement durable, il faut se préparer au choc, et construire des petits systèmes résilients parce que l’effondrement est là. Cela fait quarante ans qu’il dit cela, personne ne l’écoute. Le rapport prévoit un effondrement pour le début du 21e siècle et c’est ce qu’on est en train de vivre.

Pourtant, la grande majorité des gens ne voient pas l’effondrement.

Ils sont dans le déni, parce que c’est trop violent [[et leurs dénis d’hallucinés sont vraiment insupportable à vivre pour les autres : allons un peu de tenue : c’est VOUS qui nous avez entrainés dans ceci, imposant à tout le monde vos…tristes lubies ! Donc taisez-vous et apprenez !]]. Après plein de gens savent. C’est le grand problème de notre époque : on sait mais on ne croit pas. Les mythes sont toujours plus forts que les faits [[…et une très grave aliénation : « Le mythe est une méthode consistant à décrire le monde de telle sorte que rien de neuf ne puisse arriver (Peter Sloterdijk – Essai d’intoxication volontaire). Et donc ? Les médias dominants sont dans le mythe malade, déniant et reniant tout le rationnel, et empêchant toute solution. N’oublions pas que ce sont eux les…accusés ! En face de leurs graves déréalisations ce n’est pas un pitoyable « décodex » que nous avons mais « le décryptage de leur inaptitudes au réel de « faible à compète, oui complètement hors sol)…leur fake news sont tellement minables, incomplètes, sidérante de stupidités qu’elles n’ont pas intégré les « fake analysis » , des faits sans analyses sérieuses, les évitements de faits (informer en cachant la moitié ou plus c’est bien…désinformer !), et autres rétentions toutes en leur déshonneur !]]. Notre mythe vraiment faiblard, c’est la croissance infinie, la techno-science qui domine la nature [[des trucs de gosses, quoi !]]. Si on trouve un fait qui ne colle pas avec ces mythes, on le déforme [[oui de sales gamins, en fait – rétrécis à mentir sur absolument tout ! ]] pour le faire rentrer. On dit qu’on trouvera de nouvelles énergies, par exemple.

C’est pour cela qu’avec ce livre on est sur le terrain de l’imaginaire, qui est beaucoup plus fort que les faits, et structure la manière de donner sens au monde. On dit que l’utopie a changé de sens : les utopistes sont aujourd’hui ceux qui croient qu’on peut encore continuer comme avant [[ tiens, on dirait bien du Gun Giant pur jus !]].

Accepter l’effondrement, c’est comme accepter la mort d’un proche. Il faut dépasser les phases du deuil : le déni, le marchandage, la colère, la tristesse et l’acceptation. Beaucoup de gens sont encore dans le déni, mais il y en a aussi dans la tristesse, dans la colère. Et il y en a qui sont dans la joie, parce qu’ils sont déjà dans l’acceptation. [[très facile à reconnaître non ? ]]

N’avons-nous pas la preuve que nos élites politiques ne nient plus l’effondrement et cherchent des solutions ?

Non, je pense que les politiques n’y croient pas [[tellement ils sont égarés dans leurs utopies si mal ficelées ]]. C’est bien que des gens se mettent autour de la table pour parler de climat, cela a au moins une vertu pédagogique. Mais parler de solutions, c’est tordu. Cela laisse la porte ouverte à tous les techno-béats qui sont là à trépigner avec la géo-ingénierie. Et cela empêche de se rendre compte que le changement climatique, même si tout s’arrête d’un coup, c’est déjà trop tard, il s’est emballé.

Mais on peut limiter les dégâts [[ donc les dégâts causés par les prétendus dirigeants, de ces malades d’utopies, de ces anarchistes si désorganisateurs refusant le vie collective ? ]] c’est pour cela que c’est bien de mener des négociations. Et surtout on doit le faire parce qu’aujourd’hui, il n’y a aucun grand conflit international. C’est le moment idéal pour des négociations.

Que peut-on faire d’autre au niveau politique pour faire face à l’effondrement ?

On est dans des paradoxes, car si quelqu’un au niveau politique commence à parler d’effondrement cela va créer une panique des marchés financiers, qui va provoquer l’autoréalisation de l’effondrement. Il va provoquer ce qu’il voulait éviter. [[les prétendus « marchés » c’est ce qui est de moins sérieux sur la Terre, ils ne sont que croyances jamais vérifiées et superstitions qui surpassent toutes les religions – oui que de l’irrationnel, hey stupid !]].

En revanche, on peut agir au niveau micro-politique. Avec l’effondrement, les macro-structures vont souffrir. On va retourner à des sociétés beaucoup plus locales. Le mouvement de la transition est en train de redonner du pouvoir aux gens au niveau municipal. C’est cette échelle qui permet de passer à l’action rapidement.

Vous dites que pour décrire l’effondrement, les faits scientifiques ne suffisent pas. Il faut aussi avoir l’intuition qu’il arrive. Ceux qui portent des alternatives sont-ils ceux qui ont cette intuition ?

Pour beaucoup, oui. Il y a des millions d’individus dans le monde qui sont déjà dans le monde post-pétrole, post-effondrement : le monde d’après. Le problème est que si on n’a pas encore mis les lunettes de la transition, on ne voit pas ces initiatives. [[les incultes volontaires et les « ignorants » dominent ce monde à l’envers – sans intelligence et sans sensibilité – que des échecs de vie]]. On ne comprend pas pourquoi tel paysan a développé la traction animale. Or dans vingt ans, l’agriculture industrielle se sera effondrée et tout le monde sera à la traction animale.

Il faut se mettre en transition, c’est une opportunité de changer le monde. Cela veut dire construire des « réseaux des temps difficiles ». C’est retrouver le lien aux autres, à la nature, avec nous-mêmes. C’est accepter l’interdépendance de tous les êtres. Quand une civilisation s’effondre, les bâtiments peuvent s’effondrer, il reste les liens humains.

A quoi ressemblerait ce monde d’après, ce monde en transition ?

Ce n’est pas à moi de répondre à cette question. Ce qu’on donne dans ce livre, ce sont des outils pour qu’avec votre imaginaire,[[un technocrate sans imaginaire, donc sensibilité, est bien un anti-humain dangereux !]] vous forgiez votre monde d’après. Il sera différent d’un pays à l’autre, d’une personne à l’autre, c’est la mosaïque de l’effondrement. Je ne sais pas si on arrivera dans un grand sursaut collectif [[en tout cas, les vrais écrivains l’ont réussi ! ]] à en atténuer les effets, ou si on ira vers plus de guerres, de famines, de catastrophes. Mais je sais qu’il y a un grand chemin intérieur à faire, qu’on a déjà commencé et qu’on est nombreux. [[disons qu’il y a moins de fous sauf à certains endroits « tragiques », les médias, l’édition, le show biz et tout ce qui fait « espace public et devant être libéré »]].

Ici nous sommes au Hameau des buis, une communauté installée dans la campagne ardéchoise. Avoir fait le choix d’habiter ici, est-ce une façon d’anticiper l’effondrement ?

J’aimerais dire non, mais en fait je dois avouer qu’au fond de moi, j’ai fait cela pour quitter la ville parce que je sens qu’à ville, cela va être de plus en plus difficile. Un grand exode urbain a commencé. Plein de jeunes, de néoruraux, de « nimaculteurs » - non issus du monde agricole - y participent.

Et la transition, comment l’amorcez-vous ici ?

Ici, au Hameau des buis, on n’est pas du tout autonomes en énergie, en alimentation, etc. Quand je suis arrivé, j’ai fait ma conférence et cela a provoqué des « Oh my god points ». On a entamé des travaux pour être autonomes en eau et en alimentation. On se dit qu’il va falloir qu’on ait des chevaux pour se débrancher de la voiture. [[ah la voiture le plus grand fléau antisocial, l’anar complet de la destruction sociale !]].

Pour moi, la transition c’est l’histoire d’un grand débranchement du système industriel. Se débrancher avant qu’il ne s’effondre et nous emporte avec. Car pour l’instant, si tout s’effondre on est mort : je ne sais pas vivre sans voiture et sans supermarché. »

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>>>> - 2) - Des ouvertures ? L’agriculture depuis toujours ne peut être que collective jusqu’aux prés communaux. Ce pourquoi la permaculture remet, magistralement, en question tous les délires irrationnels de la propriété fermée. Une société permacole aura fortement tempéré les dérives mortelles de la propriété bourgeoise. Désormais rendue à la raison par une « propriété d’usage » auprès de la « propriété juridique » : bon vous êtes propriétaire mais c’est la collectivité qui DÉCIDE de l’usage de ces terres. Les « communs » incluent toutes les terres pour le simple fait que les aliments ne doivent plus générer le profit mais la santé pour tous. « Le service public de l’alimentation » en devient la solution la plus sensée…

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Autre folie due à la centralisation stupide ? Le même modèle simpliste imposé partout sans jamais s’occuper des réalités locales. Tous ces experts hors sol et ces financiers coupés de tout réel vécu sont devenus plus dangereux que toute épidémie. Il s’agit de les démettre de toutes fonctions autres que consultatives. Il faut rendre les pouvoirs de décisions à des cerveaux de culture générale, à des sages de la culture littéraire appliquée à toutes les techniques. Qui maîtrise la langue maîtrise tous les domaines de pensées !

>>>> 3) - « S’entêter dans une augmentation frénétique des rendements agricoles dans toutes les régions du monde n’a pas de sens. Il faut opter pour des solutions locales et ciblées pour ne plus avoir 1 milliard de personnes souffrant de la faim face à 30% de nourriture gaspillée comme cela est le cas aujourd’hui.

Consommer et produire autrement

Un premier axe d’amélioration repose sur une baisse de la consommation de protéines animales (viande et produits laitiers), qui permettrait alors de réduire le détournement des cultures pour l’alimentation animale. Le choix d’une alimentation divisée par deux en protéines animales pourrait permettre de dégager assez de nourriture pour deux milliards de personnes supplémentaires.

Agriculture-changer-de-modèle-pour-nourrir-tout-le-monde

Un deuxième axe d’amélioration (et pas des moindres) repose bien évidemment sur la réduction du gaspillage alimentaire. Aujourd’hui, le gaspillage des denrées alimentaires est considérable ; principalement dû aux pertes après récoltes dans les pays en développement (produits non adaptés à la transformation, problèmes de stockage, rejets pendant les opérations de récolte…) et aux déchets produits par les consommateurs et les distributeurs dans les pays industrialisés.

L’agriculture écologique, en s’appuyant sur la biodiversité (rotation des cultures, polycultures…) constitue un moyen efficace d’augmenter les rendements dans les régions qui en ont besoin. Au niveau mondial, l’agriculture écologique pourrait en moyenne produire 30% plus de nourriture par hectare que l’agriculture conventionnelle. Il suffit de lui laisser sa chance. [[donc de désocler la folie du profitisme, qui se fait croire profit issu de nulle part, auto-engendré alors qu’il est un…coût !]]. »

Enfin, privilégier toutes les initiatives locales – les locaux maîtrisant bien mieux les besoins voisins. Le centralise catastrophique a vécu…

>>> - 4) – Par exemple, une initiative positive et un grand changement qui s'annonce au Maroc et dans tout l'espace méditerranéen.

Vidéo-projet-de-société-le-papillon-Source-d'un-avenir-meilleur

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>>> - SANS OMETTRE ****- Que le drame causé par le capitalisme, le pire ennemi de l’intelligence que l’Humanité n’ai jamais eu, a détruit la plupart des possibilités de devenir un ESPRIT QUI SYNTHÈTISE, cette forge mentale qui relie tout à tout et qui conduit aux solutions les plus collectives – tout comme « ses » journalistes mercenaires ont fait un putsch contre les « vrais » écrivains ( et tenter, grotesquement, « prendre leur place ») - écrivain = développement, hors du commun, de toutes les qualités collectives, ou, même, ces ensembliers des relations humaines capables de relier chacun à chacun en pulvérisant toutes les catégories abstraites, ces épidémies de sottises (comme si français, turc ou pygmée existaient ailleurs que dans les tableaux ? Alors qu’il n’y a que des êtres HUMAINS ! Qui – très très subsidiairement – sont turcs ou peuls, mais ceci ne les définit absolument pas – trop simpliste)…Les appellations de groupes, ethnies, religions sont trop floues pour être...honnêtes…toutes les « transactions » (sic) capitalistes nécessitent l’ombre, l’ambigu, l’indécis, le trompeur, l’équivoque (« trop d’intégrité tue le profit », dit l’un de ces détraqués dans son sommeil), etc. et nécessitent donc que tout ce qui est social, inter-humain, etc. reste confus, indécidable, déconstruit oui saccagé. C’est cela diviser pour régner : détruire l’Humanité dans l’œuf avant qu’elle ne prenne conscience d’elle-même et ne se gratte des parasites capitalistes (ne vivant « que » sur l’argent des autres !)...Ôtons le capitalisme - les relations humaines vont soudain resplendir de…soulagements. Et donc que provoquent ces absences des MEILLEURS esprits humains (ceux qui maîtrisent la langue et/ou ceux qui savent tout synthétiser) ? Que la majorité des mécontemporains (qui ne sont plus dans l’aujourd’hui mais égarés dans des abstractions inatteignables – et « moins on pense, plus on est abstrait » !) ne soient PLUS DANS LE RÉEL. En général !

Ainsi, pour tous les continents, les fleuves prennent leurs sources dans les hautes montagnes centrales. Et que pour l’Afrique c’est l’inverse : le « centre » de l’Afrique (et des pays) est une dépression plus basse que les périphéries. Donc pas de montagnes centrales d’où coulent les fleuves…Puisque les fleuves y prennent leur source d’une façon très chaotique avec de nombreux obstacles, comme s’ils rebroussaient toujours chemin (par rapport aux autres continents). Et que ceci c’est juste de…l’observation (que tout esprit libre, soit libéré de toute centralisation abêtissante et abrutissante, peut réaliser tout seul !). Observation rejointe par des relevés. Que nuls médias d’argent ne reprend jamais (ses fake news sont à la source des…faits, éviter les faits, censurer beaucoup et omettre une grande partie du réel…cela est leur désinformation, indigne désinformation- et ces médias sont les vrais accusés !). Où (à cause aussi du désastre de ces médias !), quel que soit le sujet, nos mécontemporains ne sont plus « dans » la réalité. Mais sont hors sol, hors réel, hors raison et sens sensés !

……………Le recyclage ? Impossible aujourd’hui

« Il faudrait recycler tout ce plastique, mais c’est aujourd’hui impossible. Il n’y a pas d’usine capable de traiter ces bouteilles et le business du recyclage est inconnu. Il y a juste une petite entreprise, Recovad, qui transforme des sacs plastiques en pavés.

Une-banquise-de-bouteilles-plastique-recouvre-le-fleuve-Congo-Kinshasa

Notre objectif est de sensibiliser la population à la réduction de leur production de déchets, mais aussi de motiver des entrepreneurs à investir dans l’économie verte et de prendre exemple sur des business florissants, notamment au Cameroun, où le recyclage fonctionne bien. Nous espérons aussi pouvoir alerter les autorités, pour qu’elles prennent les choses en main. Si tous ces facteurs convergent, on aura une chance de résoudre le problème.


Selon Radio Okapi, l’entreprise congolaise GTR (Gestion, traitement et recyclage) a commencé à récolter des bouteilles en plastique à Kinshasa depuis le mois de janvier 2016. Cette société partenaire des autorités affirme que des centaines de milliers de bouteilles sont ramassées chaque jour puis compactées avant d’être envoyées à l’étranger pour être transformées en granulés, tuyaux PVC et pare-brise de véhicules. Notre Observatrice affirme ne pas avoir vu ses employés travailler depuis environ un an. »

Les méfaits du centralisme trop DÉSORGANISATEUR se voient partout. Et sont, identiquement, cachés (en somme, des fake news avant la new…). Mais désormais chacun de ces actes devient accusatoires, et plus des pauvres –

………………………………….mais bien des prétendus dirigeants !

 

...............……(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

après la grande permaculture collective la permaculture individuelle

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Lorsque le chômage aide à inventer une agriculture intelligente

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que les privilégiés des campagnes n’oublient pas les villes

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carte mondiale des permacultures

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l'agriculture a vraiment besoin de nous...

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Tous les investisseurs ne sont pas également respectés – la preuve : où sont leurs dividendes ? Spoliés aussi ?

Tous les investisseurs ne sont pas également respectés – la preuve : où sont leurs dividendes ? Spoliés aussi ?

Les fonds spéculatifs s’attaquent à l’agriculture - S’il y avait un "service public de l’alimentation" ils ne pourraient pas du tout.

Les fonds spéculatifs s’attaquent à l’agriculture - S’il y avait un "service public de l’alimentation" ils ne pourraient pas du tout.

Vers des systèmes alimentaires résilients Avec l’accélération des crises économiques, sociales et climatiques, la généralisation des pollutions, la destruction irréversible des écosystèmes et la fin de l’ère des énergies fossiles, l’Europe risque d’être confrontée, bien avant 2030, à des chocs systémiques graves qui mettront en danger l’ensemble des systèmes alimentaires industriels, c’est-à-dire sa sécurité alimentaire. Quels chemins emprunter pour éviter de telles ruptures ? « Avec ce rapport, nous sortons enfin du 20e siècle. Le siècle passé aura été celui de la poursuite de l’efficience, de l’uniformité et des économies d’échelle ; le nôtre devra faire primer le souci de la résilience, celui de la diversité et des initiatives locales. Ce rapport nous met sur la voie ». Olivier De Schutter, Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à l’alimentation

Vers des systèmes alimentaires résilients Avec l’accélération des crises économiques, sociales et climatiques, la généralisation des pollutions, la destruction irréversible des écosystèmes et la fin de l’ère des énergies fossiles, l’Europe risque d’être confrontée, bien avant 2030, à des chocs systémiques graves qui mettront en danger l’ensemble des systèmes alimentaires industriels, c’est-à-dire sa sécurité alimentaire. Quels chemins emprunter pour éviter de telles ruptures ? « Avec ce rapport, nous sortons enfin du 20e siècle. Le siècle passé aura été celui de la poursuite de l’efficience, de l’uniformité et des économies d’échelle ; le nôtre devra faire primer le souci de la résilience, celui de la diversité et des initiatives locales. Ce rapport nous met sur la voie ». Olivier De Schutter, Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à l’alimentation

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les maisons d’après l’effondrement ressembleraient à ceci (ou aux yourtes) - au Hameau des buis

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oui oui c’est un grand fleuve mais vraiment recouvert de plastique

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une vraie banquise de plastique

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collecte vraiment artisanale de déchets

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Publié dans economie et politique

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