Un état des lieux du « pouvoir » des banques ?
Pourquoi le virage stratégique de Goldman Sachs vers l’activité de prêt ? La banque d’affaires, de spéculations et de gains arrachés aux investissements, se rabaisse au marché du crédit aux particuliers et aux entreprises ? Nous voulons savoir comment et pourquoi. Ces banques qui achèteraient tous les politiques, oui qu’y a t-il de changé dans leurs pouvoirs réels?
« C’est un peu comme si un pilote de formule 1 se transformait à ses heures perdues en chauffeur de VTC. Goldman Sachs (GS), la Ferrari de la finance, maître incontesté de la banque d’investissement et de la gestion de fortune, est en train d’accélérer son développement dans le prêt aux particuliers et aux entreprises, selon des sources proches du dossier citées par le Wall Street Journal. Pour le groupe, s’attaquer au marché du crédit, à l’instar des banques de détail classiques, constitue une véritable révolution culturelle.
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« Nous sommes une banque, nous devrions agir en tant que tel », avait prévenu en février Lloyd Blankfein, le PDG de GS. Cette volonté de banalisation affichée s’explique par la profonde mutation du monde bancaire depuis la crise financière de 2008. Sous la pression des régulateurs, le secteur a été amené à réduire son exposition au risque et à la spéculation, ce qui pèse désormais sur la rentabilité des établissements, qui n’ont jamais retrouvé leur niveau de profit [[des dangereux 32 %]] d’avant la crise de 2008.
La-métamorphose-assumée-de-Goldman-Sachs-dans-l'activité-de-prêt
Les encours de crédit de la banque ont doublé depuis 2011 pour atteindre 95 milliards de dollars. Le volume de prêts immobiliers a été multiplié par dix et le crédit aux entreprises a triplé. Depuis, les investisseurs préfèrent miser sur les banques présentes sur tous les métiers, aussi bien la banque d’investissement que celle de détail. Un choix, qui garantit des revenus plus modestes mais aussi plus réguliers. C’est ce contexte qui conduit aujourd’hui GS à accélérer sa dite diversification. L’activité de prêt constitue un relais de croissance, au moment où le potentiel de la banque d’affaires prend conscience que, sur ses métiers historiques comme les fusions-acquisitions ou les introductions en Bourse, le marché n’est pas extensible à l’infini. Dans le crédit, « on ne peut que croître », fait remarquer Stephen Scherr, le patron de GS aux Etats-Unis.
Mais ce n’est qu’en janvier 2017 que le groupe a créé une entité spécifique dédiée aux particuliers et à la banque commerciale, regroupant plusieurs centaines de salariés.
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Cette mutation s’accompagne d’un changement profond dans le recrutement, la banque d’affaires n’hésitant pas à faire venir des pointures du secteur comme les spécialistes de la carte de crédit, Discover ou Capital One, mais aussi des professionnels du marketing et du commercial venant par exemple du monde de la distribution.
Ce virage stratégique trouve ses origines dans la crise, lorsqu’en septembre 2008, à court de cash en raison des retraits effectués par ses clients et de la chute de sa valorisation boursière, GS avait consenti à changer son statut juridique pour devenir une banque commerciale, ce qui lui permettait d’accéder aux liquidités proposées par les pouvoirs publics pour éteindre l’incendie financier. Mais ce statut de banque commerciale, longtemps resté une coquille vide, n’a véritablement été réactivé qu’à l’issue d’une décision remontant à l’été 2014.
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Une seconde étape a été franchie à l’automne 2016 avec la création de Marcus, une activité de prêts en ligne destinés aux particuliers. Cette entité a ainsi prêté plus de 1 milliard de dollars en six mois. Parallèlement, la banque cherche également à développer les prêts aux entreprises à l’occasion d’opérations de fusions-acquisitions.
En l’espace de trois ans, elle est passée du 9e au 3e rang dans ce domaine. Les dépôts ont ainsi fait un bond spectaculaire, passant de 28 milliards de dollars en 2008 à 124 milliards aujourd’hui, même si GS ne joue pas encore dans la même catégorie que JPMorgan, qui en totalise 1 400 milliards. Mais la banque de Llyod Blankfein ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et envisage désormais de se lancer dans le crédit automobile ou les prêts pour les achats sur Internet. La question est maintenant de savoir si un pilote de F1 peut devenir un bon chauffeur de VTC. »
Les faits ne parlent que s’il y a des analyses à la hauteur – ce pourquoi le concept de fake news est une imposture. Il refuse d’introduire les fake analysis et les fake synthesis…Les faits analysés sont un changement d’ambiance sous-jacent à ces auto-justifications peu probantes des banquiers. La situation d’avant 2008 ne semble pas pouvoir se reproduire. Les rumeurs à ce sujet ont tort. Le système bancaire semble, bel et bien, avoir perdu du terrain. La confiance globale de la société à leur égard a visiblement diminuée. Si la « banque la plus riche du monde », qui n’avait jamais été pénalisée, l’est tout de même – c’est par le fait qu’elle doive abandonner la partie de pointe de ses activités, qui délirait jusqu’à 32 % de croissance des gains en une année – ce qui représente bien une garantie pour la société. Qui, discrètement mais fermement, s’est protégée des « fauteurs de troubles » bancaires de 2008. Pour les médias vendus ceci fait partie du « non-dit » qui rend leurs infos des fake analysis. Et, puisqu’en France, ce serait leur règne aux banques, à travers un de leur représentant politique le moins apte à être un homme d’Etat – il était bon, de faire nous-mêmes l’état des lieux.
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D’autant plus, que les conformismes inertiels ayant encore gagné du terrain durant ces déplorables élections – nous devons quitter leur aire de phrases décousues plus jamais reliées à la moindre analyse globale. Et qui pédalent dans le vide et l’inefficacité – surtout chez ceux et celles qui ne se croient pas du tout conformistes-spectateurs. Il s’agit de ne se laisser aveugler par rien ni aucun comportement « paraissant » crédible. C’est la pensée qui débouche ou non sur une vision synthétique qui inclut toutes les données. Nous tenons à conserver ce véritable trésor : penser, mais vraiment penser par soi-même. Et eux pas, apparemment. Faire joli, briller dans le vide, ne produire que du démago « spectaculaire » – très peu pour nous.
Ainsi, les données sociétales qui sont le terreau de ces revirements humiliants pour les banques d’investissements – qui nous en parle ? Manque d’esprits hyper concrets, toujours pratiques. Les quasi 100 millions de pauvres aux U.S.A. Et, en France, l’augmentation du nombre de pauvres, depuis 2008, de 350 000 humains ayant moins de 828 € par mois…Les diminutions parallèles du nombre des classes moyennes, laminées tant dans leur patrimoine (40 % de perdu en quelques décennies) que de leurs revenus mensuels, depuis 2008. Etc. Ce sont les conséquences du « fake silence » des médias mercenaires, oui autour des conséquences dommageables de 2008. Ajoutée à la concentration vraiment anormale de toute la richesse mondiale entre quelques mains. Toujours moins nombreuses. Et dont l’accélération est si brutale. Jusqu’au nombre des quelques milliardaires ayant « la même chose que la moitié la plus pauvre de l’Humanité (3,6 milliards). Passant de 300 il y a encore 15 ans, à 160 il y a 5 ans, puis 30 il y a 2 ans à 8 en 2016. Ce qui ressemble plus à une catastrophe collective qu’à une bonne nouvelle. Tant de concentration et une hiérarchie aussi archaïque et rétrograde- voici qui ne cadre pas du tout avec les exigences de décentralisations et d’horizontalités dont a besoin le monde. Tout le monde devant participer à l’écologie planétaire.
Après ces faits si mal analysés – les reconnaissances silencieuses des parasitismes. L’argent-dette n’est certainement pas un bon système social. Il vaut mieux que chacun-e perçoive sa part de plus-values créées par la productivité collective que de recevoir des revenus indécents. Revenus rendus artificiellement insuffisants pour contraindre au crédit. Alors que, désormais, toute la quincaillerie des parasitismes (plus de crédit mais le « partage » collectif des dividendes (étymologiquement « qui se partage ») – plus de fiscalités si tordues pour que les riches s’en évadent et fraudent – plus d’argent répressif, ni de croissance inertielle et qui « ne sert à rien » lorsque 1 % se saisit de 50 % de la croissance mondiale !) – bref plus rien de l’organisation sociale démente qui admet des délires psychiatrisables comme "la nationalisation des pertes et la privatisation des bénéfices » - D’autant plus que l’aveu est complet…« bénéfices»…oui lesquels, sinon ceux de toute la société, du labeur collectif donc NON PARTAGE illégal. Tous les moyens existent afin de mettre fin à cette société si insensée et désorganisée…) Saisissons-les !
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Tous ces faits en « fake synthesis » se retrouvent dans…«Le prêt à Monsieur-tout-le-Monde » (la banque la plus riche doit se…rabaisser à prendre à toutes les petites sources – aveu impayable !).
« Goldman Sachs va en effet lancer en octobre 2016 une nouvelle marque baptisée Marcus. Ce retour aux sources [[que leurs euphémismes prêtent à rire]] est censé accompagner le développement d’une activité inédite [[quelles difficultés à formuler une seule phrase qui tienne debout !]] pour la banque d’affaires : le prêt à Monsieur-tout-le-Monde. Il s’agit d’une révolution culturelle pour un établissement qui jusque-là travaillait exclusivement avec les grandes entreprises, les gouvernements et les ultrariches. [[tous les graves parasites du reste de la société]].
Ne-m'appelez-plus-goldman-sachs
Que voulez-vous, les temps sont durs [[ osait la commère ?]], même pour les stars de Wall Street [[construction très idéologique que ces « stars » - ceci ne parle jamais de réel et de ses faits !]]. Même si l’opinion a le sentiment, justifié, que les grandes banques de Wall Street s’en sont plutôt bien sorties [[quelle hypocrisie inadmissible : ce sont les impôts de tous qui ont payé les frasques irrationnelles de ces…sur-assistés…d’où la société s’en sort…appauvrie !]] lors de la crise financière de 2008, elles sont depuis confrontées simultanément à une chute de leur rentabilité et à un durcissement de la réglementation qui les obligent à se diversifier [[ces preneurs de risques…sur le dos des autres…ont, visiblement, « trop » abusé !]].
Libérons-les-économies-des-marchés-eux-mêmes
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - SANS OMETTRE - >>>>>>>>>>>>>>>>>>
Toutes les autres informations toujours traitées séparément par les médias qui ne savent pas (ou ne veulent pas ?) vraiment informer. Cela ne se fait pas de traiter séparément, dans des rubriques artificiellement cloisonnées, tout ce qui fait partie de la …même compréhension. Tant que cette société ne fera pas de véritables synthèses, elle saura bien peu d’elle-même.
La folie intégrale d’une société qui n’entre pas dans le « dividende (au sens de « partager ») universel » aboutit à ces scandales. Scandales si insultants pour les miséreux et les affamés. Des entreprises « sur-assistées » (alors que les pauvres ne le sont depuis tellement longtemps) qui ont TROP d’argent. Qui ne savent pas quoi EN FAIRE. L’échec collectif est flagrant : tout le monde saurait quoi en faite…sauf eux…Eux dont le marketing désastreux voudrait que les plaignions. Et pas les miséreux surtout. Alors que l’aveu est limpide – globalement la société produit SUFFISAMMENT pour que toute faim et misère disparaissent de sa surface. Mais une oligarchie…illégale, sans aucun droit, ni motif défendable, se permet de se « monopoliser » tous ces avoirs collectifs, ces biens communs. Le scandale de la Commission européenne est donc énorme : avoir contraint à « donner » au privé les « biens publics » (donc appartenant à tous ) avec le motif fallacieux, le fake motif, que les « services publics seraient un monopole alors qu’ils sont…sans buts lucratifs » et que c’est mélanger illégalement deux catégories juridiques qui n’ont rien à voir. Mais a vraiment à voir ce qui a été fait de ces biens publics….des MONOPOLES. Et que cette même Commission européenne ne sévit pas contre les monopoles illicites du privé qui ne peuvent être que pires que ceux du public (au niveau argumentaire)…Ici, il n’y a jamais eu aucun monopole du public puisqu’il n’est pas à but lucratif – juste un collage inadapté de lois qui méconnaissent que le bien public demeure supérieur aux intérêts privés. Très illégal que ce montage !
Sup-de-Cons-le-livre-noir-des-écoles-de-commerce
La pensée au niveau zéro – le cas des écoles de commerce traduit en B.D. Le contenu des enseignements seraient en-dessous de tout. Et ce serait « ça » qui voudrait diriger le monde. Nous imposer leurs claires inaptitudes !
L'euro-est-vraiment-mort-:-60-%-des-liquidités-créées-par-la-Bce-vont-en-Allemagne
L’anomalie de l’Europe lorsque l’Allemagne a pressurisé, peu légitimement, la Grèce – commettant donc un crime anti-européen inexcusable de non-solidarité entre les pays…survient la vérité de la banque centrale (B.C.E.). Banque centrale qui ne serait là que pour servir l’Allemagne. Uniquement. Et pas tous les pays membres. Voici qui doit être débattu en long et en large. La moindre des choses à faire, face aux tensions séparatistes de l’euro – c’est de clarifier que l’euro reste une bonne structure, c’est uniquement la gestion de l’euro qui aura été calamiteuse. Et que… 1) - tous les coupables vont être poursuivis 2) – leurs procédés vont tous être abandonnés. L’euro doit rester, pas les arnaqueurs…
Les-privatisations-ne-devraient-pas-être-impopulaires!
D’une revue néolibérale qui essaie de montrer qu’il y a avantage aux privatisations des « biens publics » (appartenant à tous) lorsque aucun des services rendus par les services publics ne s’y retrouve plus. Et que les prix – loin de baisser comme menti – ont tous très augmenté. Si le socle de l’honnêteté a été trahi, ce n’est pas la rhétorique qui va modifier le scandale total des privatisations…
Le-président-de-la-Bolivie-Evo-Morales-explique-comment-son-pays-a-retrouvé-sa-souveraineté
La leçon est claire : un pays ne s’enrichit COLLECTIVEMENT que dès qu’il a son indépendance financière. Ce qui lui permet, déjà, de se gratter de tous les corrompus, de cette frange des enrichis sur la pauvreté des autres, qui « vendaient, par derrière, leurs pays aux financiers internationaux »…toutes ces absurdités pour ne finir qu’entre les mains de…8 milliardaires trop sur-assistés ! Qui assume « la responsabilité » de l’entière communauté humaine alors ? Lorsque les trop riches la fuient ?
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Alors notre synthèse ? Les certitudes ancrées qu’une société de crédit (afin de pallier la bassesse de revenus trop bas pour la majorité de la population) est complètement dépassée. L’argent-dette est bien une monstruosité qui doit être abolie. Nous pouvons utiliser la richesse collective afin de la répartir équitablement sans surcoût. Bien au contraire. Le système obsolète de la vieillerie fiscale se voit supplanté par l’impôt à la source. Bien tourné contre les fraudeurs structurels que sont les trop riches, ces cancres qui ne veulent jamais rien apprendre. Tout ce qui reliait monnaie, crédit, fiscalité, croissance, privatisations se voit bien balayé par une vision extrêmement plus économe des ressources collectives, des biens communs et des humains devenus la valeur centrale de la civilisation. Système réellement tellement plus simple. Plus naturel et normal. Bien sûr ? aussi complexe que l’existant oui, mais d’un fonctionnement limpide et transparent. Ce pourquoi nous nous sentons si bien ! Quoi qu’il arrive - nous SAVONS à 100 % que nous pouvons vivre (et tout de suite !) dans une organisation sociale au complet service de l’être humain. Oui débarrassée de tout argent au vieux sens du mot, de crédit, de tout taux et de toute banque commerciale – donc de toute crise et austérité, attachées à ces seules notions.
C’est que la richesse mondiale a encore augmenté de 68 % ces dix dernières années. Ce qui veut dire que nous n’avons jamais été aussi riches sur Terre depuis oui que l’Humanité existe. Tout est bien là afin que nous changions tout.
***Or ce changement est simple et ne coûtera rien.
……………………………………Nul besoin des banquiers pour cela…
..…….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La banque envisage de baisser son ticket d'entrée. N'importe quel particulier ou petite entreprise pourrait demander des prêts.
rien de définif dans ce genre d'assertion...
les fauteurs de troubles ne payaient pas pour leurs exactions...
Pourquoi les banques sont elles systématiquement renflouées quand elles sont en difficulté et pas les entreprises? Les banques sont devenues si puissantes au point qu'elles exercent des presssions énormes sur les politiques, allant même jusqu'à glisser des banquiers dans les gouvernements (Macron qui vient de chez Rothschild par exemple) ou à des postes stratégiques (Mario Draghi à la tête de la BCE, ancien dirigeant de Goldman Sachs). Tout ceci n’est pas anodin et à pour but de renforcer le dictat des banques et de la finance. Ce sont les banques qui ont le vrai pouvoir, les politiques n'étant que leurs marionnettes (?)
Des scénarios d’investissements : ils conseillent aux clients des scénarios qu’ils dirigent dans la mauvaise direction afin qu’eux en tirent d’énormes profits en agissant complètement à l’inverse…
Marcus by Goldman Sachs
Historique : Un homme qui dérange ? ou bien Des liaisons dangereuses ?