Amnésies environnementales ?
Environne…mentale. C’est bien dans la tête que cela se passe. Et qu’est-ce qui est concerné, en fait ? Une approximation vraiment très nébuleuse puisque, à la question « environnement, où cela ? », la réponse devient… «Oh ! environ par là, en très très gros, à la louche, sans regarder de trop prés ! » Oui, vraiment très sommairement, dans les parages mais sans pouvoir définir où, presque à l’entour mais pas exactement, dans l’entourage intime, pas du tout au centre de la cible, à côté - environ quoi ! ». Donc un lieu indéfini, quasiment utopique que l’environnement…Ce qui laisse très songeur…et en plus amnésie ? Amnésie du trop flou et de l’encore plus imprécis ?
« Appelé “ amnésie environnementale ”, ce processus psychologique expliquerait que la préservation de la nature n'est pas dans nos priorités, estime Anne-Caroline Prévot, directrice de recherches au CNRS.
Et si, pour analyser la sortie américaine de l'accord de Paris, ou pour comprendre notre inaction face à l'extinction de la biodiversité et au réchauffement climatique, il fallait croiser les disciplines ? Parler science, politique, religion, mais aussi... psychologie ? C'est le pari que propose Anne-Caroline Prévot, directrice de recherches au CNRS et chercheuse au Muséum national d'histoire naturelle, dans un ouvrage collectif codirigé avec la philosophe Cynthia Fleury. Où l'on apprend que nous — à commencer par Donald Trump — sommes peut-être frappés d'un nouveau type d'amnésie, l'amnésie environnementale...
Moins-on-est-en-relation-avec-la-nature-plus-on-l'oublie
Qu'est-ce que cette amnésie environnementale ? C'est un concept formulé en 2002 par Peter Kahn, un psychologue américain de l'environnement. Son hypothèse est la suivante : l'environnement naturel dans lequel nous grandissons, quel que soit son état, constitue pour chacun d'entre nous la référence d'une nature « normale ». Et c'est à partir de ce niveau de référence que nous mesurons les évolutions de la nature, plus tard, dans nos vies. De génération en génération, l'urbanisation et les dégradations de l'environnement augmentent, mais chaque nouvelle génération considère le niveau dégradé de cette nature comme un niveau « normal ». Pour Kahn, il s'agit d'une «amnésie environnementale générationnelle», et c'est l'une de ces hypothèses passionnantes venues du champ de la psychologie. …Hypothèse qui concourt donc, aussi, à élucider pourquoi nous avons tant de mal, collectivement et individuellement, à réagir à la …réalité supérieure de la nature – supérieure, dans le sens que nous avons vitalement besoin d’elle et elle pas du tout de nous ! Et que la majorité n’en a toujours pas entière conscience, comme si les bébés naissaient dans les choux.C’est la Nature le véritable berceau de nos vies...Tant que nous ne le ressentons pas, nous ne pouvons pas vivre normalement !
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L’éducation déplorable que les bourgeois assènent à leurs enfants ? Au lieu de leur dégoiser « l’environnement » si imprécis que nous ne le trouvons nulle part, oui environ par-là, très grosso modo par ici, mais pas sûr quoi – il faudrait mieux leur dire, à la place de cette dépersonnalisation un « Allons retrouver la nature qui t’habite déjà depuis toujours ». « Oui, c’est la même vie que la tienne que la nature vit. Nous allons rencontrer une partie de toi». « C’est elle ta vie, ce que tu manges, que tu bois, que tu respires, etc. Nous lui devons un respect absolu puisque sans elle nous ne survivrions pas ». « Elle n’a pas besoin de nous, mais nous complètement d’elle". "Il nous faut la protéger telle une enfant elle qui serait plutôt comme nos parents ! »…Oui pourquoi n’est–il jamais dit la vérité qui est…écologique aux enfants bourgeois ?
Oui, pourquoi ? Toujours les mêmes euphémismes pour chochotes genre un jeune qui commet un accident avec blessés…. « Il faisait la fête, il faut bien que jeunesse se passe, allons allons ce n’est pas grave. Il n’est pas responsable du tout de ce qui est arrivé»…afin de, très inéquitablement, atténuer au maximum (jusqu’à même les faire disparaître !) tous les dommages causés par ces fils et filles de bourgeois. Inéquitable puisque, à l’exact opposé, le pauvre commettant un accident bien moins grave sera juste… « un ivrogne inexcusable qui aura très gravement blessé x et y. Il est responsable à 100 % de ce qui est arrivé. Jamais aucune circonstance atténuante … ». Le premier aura toutes les excuses et le second jamais la moindre, toujours chargé à bloc de…responsabilisations. Éducation plus que désastreuse pour les chochotes bourgeoises !
Puisque nous retrouvons la même déresponsabilisation, avec euphémisations en masse, et apprentissages à l’ahumanité, des enfants de la bourgeoisie, par rapport à la Nature. Au lieu de leur souligner que toutes les atteintes et blessures (oui la nature est vivante, donc ce sont des blessures qu’elle doit guérir par elle-même que nos prédations d’écervelés) sont…graves ! Très graves et doivent, en priorité, être évitées…Ils sont comme incités à toujours plus détruire la nature, la négliger, ne pas en tenir compte, se conduire comme de vils barbares ! Au lieu de traiter la nature comme une vassale, une terne employée, une zone de stockage pour les caprices frivoles des humains, ses « supérieurs », ses chefs et ses « possesseurs » qui n’ont aucun compte à rendre - changer à 100 % d’éducation (l’éducation bourgeoise c’est juste de la sauvagerie insensée…sans aucun respect pour rien !). La civiliasdtion ? Elle aura été plus que ratée chez la bourgeoisie. Prenons TOUS nos modèles ailleurs que chez ces inhumains insensibles. Leurs apports pour l’Humanité ne doivent plus demeurer, ils ne sont absolument pas recevables.
Aucune amnésie environnementale de leur part ne sera plus tolérée. La société doit afficher, fermement partout, que la nature c’est plus vital, formateur, sociable et primordial que l’argent. L’argent doit être vassalisé face à la nature – à son complet service et surtout pas l‘inverse. Les financiers internationaux ont assez prouvé leurs trop graves anormalités : incapacités à connaître et reconnaître le réel réel, inaptitude à déterminer les priorités rationnelles, handicaps irréparables envers tous débats prolongés, communs et raisonnables, vies hors sol et pertes complètes de tout esprit pratique, concret et partageable par leurs frères et sœurs humains. Assez de ces incapables majeurs ! Qu’ils se rappellent à chaque seconde que nous sommes tous nés de la Nature et certainement pas l’inverse. Ils n’ont définitivement absolument plus d’excuses. RESPONSABILISÉS à bloc ! Et à fond ! C’est ainsi…
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La réflexion de Chaia Heller « Désir, nature et société » – L’écologie sociale au quotidien ; 2003, qui sait ramener le respect envers la nature au même niveau que le sens donné à la vie. Plus nous respectons la nature, plus notre vie a un sens. Et nous en sommes tous ardents et vibrants ! A l’opposé, l’irrespect rend nihiliste, oui les pires, les nihilistes en costards cravates, les destructeurs auto-fanatisés. Seuls pare-feux contre ces monstres ahumains ? Construire des institutions qui apprennent tous les modes coopératifs dans les relations sociales et écologiques. Bref, protéger la nature d’abord de ces fous qui se croient tous les droits. Mais, en fait, n’en ont aucun d’aucun de légitime. Aimer la nature se traduit par désirer offrir une meilleure vie à toutes et tous. Et non dégueuler un mépris plein d’amertumes sur autrui, avec des pulsions maladives d’exploitations et de spoliations des autres. Ce qui maintient ces voyous bourgeois dans l’immaturité à vie…Bref, pour eux, seul compte tout faire pour désorganiser toute la société et salir la vie paisible des autres humains. Le bourgeois se révèle bien l’ennemi du genre humain tout entier. Et ceci se démasque dans ses rapports de vrai délinquant structurel avec le berceau sacré de nos vies – la nature. C’est parce que, tout d’abord, son éducation aura été…un monumental échec. En gros, le bourgeois doit tout réapprendre. Il n’a rien compris de la vie ! L’écologie de son esprit est à…moins 2 000 sur 20 !
La-grande-et-inexcusable-amnésie-écologique
Les conséquences de la diminution forcenée des expériences avec la nature « apparaissent à l’âge adulte : avec une identité environnementale plus faible, ils sont moins en demande de nature dans leur vie quotidienne, ils l’intègrent moins dans leurs actions. L’extinction de l’expérience de nature peut donc avoir des effets insidieux et profonds sur la protection de la nature et de la biodiversité, profonds car ils ne concernent pas uniquement les acteurs engagés dans cette question, mais tous. Or si nous ne tenons pas compte collectivement de la biodiversité dans nos modes de vie, alors nous allons en souffrir. [[ ce qui semble déjà avoir commencé dans l’abrutissement, drogué à l’idéologie, des égarés bourgeois !]]
Se-mobiliser-contre-les-extinctions-des-expériences-de-la-nature
Face à la gravité de l’extinction de l’expérience de nature, il est pourtant urgent, évidemment de ralentir la minéralisation des espaces [[le béton nous fait des cœurs de pierres !]], mais aussi de mettre à disposition des citoyens un plus grand nombre de ces lieux de nature, pour des usages et des pratiques variés. De plus, pourquoi ne pas accepter ou inventer de nouveaux types de gouvernance locale de ces espaces ? Les parcs urbains de Berlin sont par exemple co-construits avec des comités d’usagers, restent ouverts en permanence et n’ont pas d’interdictions notables d’usages, sans que les berlinois aient un rapport à la nature si différent des parisiens. C’est une responsabilité politique, mais qui demande aussi un repositionnement des acteurs sociaux notamment les scientifiques et les experts : s’ils restent responsables de l’offre de formation à la biodiversité, ils pourraient la mettre en oeuvre en faisant de la biodiversité un merveilleux exemple de la complexité défendue par E. Morin. [[plus nous acceptons la complexité, donc le partage avec le plus grand nombre, donc la biodiversité, donc les singularités, etc. oui plus nous SAVONS vivre et rester hyper sociables !]]. Ils pourraient aussi se positionner non plus en tant que porteurs d’une objectivité (souvent fantasmée), mais en tant que scientifiques citoyens, qui apportent certains éléments que d’autres n’ont pas, mais qui sont aussi porteurs de sensibilité, de valeurs et d’enjeux à défendre et négocier avec les autres. » Surtout les inhumains qui se prétendent dirigeant (au sens de celui qui sait DIRE que le dirigeant, donc surtout pas qui impose sans discussion…l’écologie c’est l’art de l’intégration de tout le monde dans les débats ! Pas la prétendue realpolitik qui n’est que de l’idéologie fuyarde !
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Quels déshonneurs pour l’éducation bourgeoise pour qu’explose ainsi son échec…elle ne produit que des…amnésies environnementales. Aussi bien que sociales ou humaines. A aucun moment, elle ne sait parler de l’essentiel, transmettre le plus précieux, offrir de vraies valeurs autres que celles de la fausse monnaie (l’argent qui ne sert pas à transformer la société vers le mieux commun n’est que de l’argent…sale). Bref, rate absolument tout les buts d’une « bonne » éducation. Les bourgeois n’ont produit qu’une éducation qui rend voyous, asociaux, amputés du cœur et incapables de penser plus loin que le bout de son ego…surdimensionné. A côté des QI et QE, le Q.N., quotient naturel, place le bourgeois très proche de l’imbécillité. Et de la stupidité…irrécupérable bêtise ?
Considérer que d’empêcher les contacts avec la nature et dénaturer les priorités de la civilisation (l’argent est tellement moins primordial que la protection de la vie naturelle donc humaine) constitue oui de la grande délinquance SOCIALE. Le trop riche a un énorme déficit social : apprenons-le-lui à redevenir sociable ! à penser sans cesse aux autres et donc…
………………………….à la nature par extension spontanée !
………….............…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Se mobiliser contre l’extinction d’expérience de nature : laisser une grande place à la nature dans la construction de nos identités !
n’oublions jamais que la voiture « individuelle » ce sont les irrespects portés au maximum avec le droit (sic) barbare de polluer autrui à outrance. Aucun civilisé n’est pour la voiture « individuelle » qui transforme tout un chacun en…monstre !
Le bourgeois est tellement fou que, dans son extrême égarement, il croit que de ne pas savoir quelque chose l’empêche d’arriver. Vivant dans ses seules fictions, il fait des ignorances maximales le comble du …savoir. Son monde est plus qu’à l’envers. Quittons ses maladies mentales, affectives et émotionnelles…la vraie vie n’est pas chez lui !
la grande délinquance perpétrée envers la nature ne soulève toujours pas d’indignations gigantesques ?
N’avoir aucun souci de la nature c’est ne pouvoir jamais parvenir à la plénitude existentielle…grande comme tout l’univers. C’est demeurer recroquevillé dans un minuscule égoïsme fermé à tout. Et sans issue. Bref, c’est ne pas vivre du tout !
Le niveau le plus bas de la déchéance humaine ? Impossible de tomber plus bas que d’avoir le cœur cramé de convoitises si malsaines. L’argent peut être une drogue très dure. Enfermons tous ses arrogants dealers…
amnésie environnementale d’Anne-Caroline Prévot
Cynthia Fleury - L'exigence radicale de la réconciliation, biodiversité et société
Les sciences participatives sont des opérations de recherche qui s’appuient sur la collaboration de réseaux d’observateurs bénévoles, collectant les données selon des protocoles bien précis. Anne-Caroline Prévot-Julliard souligne que ces recherches sont importantes non seulement (au plan scientifique) parce qu’elles contribuent largement aux progrès des connaissances sur la dynamique actuelle et le fonctionnement de la biodiversité, mais aussi (au plan écologique) parce qu’elles favorisent la reconnexion des observateurs avec la nature.
Le macronisme reste incapable d’intégrer l’écologie et la vie de la nature. N’est vue l’écologie que comme un gadget médiatique à agiter devant les soi-disant gogos. Grand motif d’incompréhension de la grave régression macronienne. Un immense retour en arrrière…
L'écoféminisme, ou comment se reconnecter au monde... Entretien avec la philosophe Emilie Hache
Vivre simplement ce qui est simplement vivre, discrétement et respectueusement, et que les “bourgeois” doivent apptendre rapidement. Eux les grands cancres sociaux, les voyous de la nature et les plus nocifs irrespectuex de l’Humanité. Ils doivent changer à 100 % et rapidement. Leur style de vie si stupide et trop destructeur n’est plus admissible
ÉCOLOGIE SOCIALE…une nouvelle façon de faire de la politique… ?
Peter Kahn is a professor at the University of Washington. He is the author of "Technological Nature" and the founder of the Human Interactions with Nature and Technological Systems Laboratory in Seattle, Washington.