Élans lancés ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Élans lancés ?

Les élans, il en faut. Sauf qu’ils s’oublient aussi vite qu’un clin d’œil. Qu’ils ne laissent aucune trace. Désordonnés, ébouriffés, ils se dépeignent trop vite. Rien qui ne tient bien en place. Pas un élément, ne serait-ce qu’une miette, qui va constituer notre être. Quel est ce mystère de ce qui semble tant, à un moment, dévorer nos vies, et qui ne semble ne l’avoir nourri de rien ? Juste du vent, un halètement ? Et, pourtant, comme ces élans paraissaient plus importants que tout, lorsque nus les vivions...

Une aube de réponse se trouverait dans ceci : Nous organisons si bien sur le papier. Mais pas dans la vie concrète ? Nous nous organisons excellemment dans l’abstrait et tellement moins bien dans le concret. Ce qui expliquerait les cruautés si déraisonnables de la politique ? Nous oublions bien trop vite ce que nous disons et ce à quoi nous nous sommes engagés. La nouvelle marée efface le sable de l’autre, la précédente. Nous élans toujours recommencés, mais jamais achevés, avouent pour nous, à notre place.

Il y a de cela – sauf que l’essentiel reste encore évité : s’il n’en reste rien c’est une affaire de mémoire. La mémoire n’enregistre pas, elle ne fonctionne pas, elle demeure comme éteinte. En ce qui concerne les impulsions des pulsions, ces élans droits devant – nous ne semblons pas avoir appris à mémoriser tous ces élans. Et, de la sorte, quelle serait donc la meilleure façon de mémoriser ? La meilleure mémoire c’est tout le corps qui mange et boit l’information. Tout le corps EN RÉPOND. Elle doit demeurer plus immense que nos vies, l’égo doit plier devant elle et se faire tellement plus petit…La mémorisation se fait avec chaque cellule, s’étoile sur les divers sites mentaux. Ce qui fait que le vécu restitue vraiment tout ce que nous AVONS A SAVOIR. Décliné par un des sens sensitifs sensibles sensationnels sensuels et sensés (tous les sens peuvent devenir très… sensés - la folle du logis c’est bien l’absence de sensibilité et l’imagination morte !). Comme de l’instinct concentré à tous les étages, en somme. L’animal pur. En un clin d’animal, nous sommes sur la brèche ou bien, en une fraction d’animal, je suis au top de la vie. Etc.

Comme si le corps était infiniment organisé mais sans contraintes, astreintes, pensums, sans lourdeurs, sans pesanteurs organisatrices. Non, organisé par des principes aussi légers que l’air.

Oui, dans ce cas précis, des élans il en faut. Pléthores mêmes. Mais surtout pas pour les oublier, les omettre, les effacer, les négliger, les épousseter étourdiment…Un témoignage serait-il bienvenu afin d’appuyer cet argumentaire moins courant que les laxismes moraux laissés sans suites ? Aussitôt dit, et même dans l’élan…« Oui, j’ai pris connaissance du texte pour lequel vous prisez mon expérience. Oui, jamais les pubs, les marketings et autres quincailleries si sommaires, n’ont pu avoir le moindre impact sur moi.et ce n’est rien du super héros qui me le permet. C’est, principalement, mon organisation corporelle et existentielle structurée très jeune en moi. Et que mes intuitions de l’époque m’avaient tellement poussé à rechercher. Puisque, tout simplement, tous ces pièges me sont bien trop grossiers, trop incultes, trop inexpérimentés, trop rudimentaires. Je les vois à 1 kilomètre et les éviter m’est trop facile

Et je les évite comme on va pisser, sans réfléchir à ce qui passe et se passe, le transit de toutes les toxines que transporte cette pisse qui les évacuent. Ce pourquoi, je vis en très grand ce que vous nommez « la mémoire organique ». Et que vous décrivez vraiment bien. C’est comme cela que cela se passe. Mais en plus vaste encore pour moi. La mémoire peut même devenir un déclencheur de savoirs neufs. Oui, elle peut déclencher des connaissances nouvelles tout simplement parce que la qualité supplémentaire vient de ne pas être déjà sue. Mais en passe de l’être. Et la mémoire de se reconfigurer à la vitesse de l’éclair. Cela c’est du flexible, pas un vain mot. Toute la vie sans avoir perdu la néoténie alors que vous vivez une très grande maturité intérieure. Du grand art. Tout ceci sort un peu du sujet et nécessiterait des explications forts longues, donc je passe. Et conclus en confirmant ce que vous dites sur les élans qui, si mal utilisés et si mal vécus, ne font que tomber dans le vide amnésique ». Eh bien ! Pas besoin d’en rajouter, n’est-ce pas ?

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Un temps afin d’assimiler (de rendre semblable à nous, nous souffle l’étymologie), d’intégrer intégral et de savourer les saveurs. Et nous déboulons ? Boulons ? où cela donc ? C’est parce que nous ne vivons pas intensément nos vies, que nous nous laissons distraire par l’inessentiel, que tant de nos élans s’ensablent. C’est que nos corps ne sont pas construits derrière. Il faut mémoriser la vie de son corps tout entier, demeurer infiniment présent à soi-même et ce à chaque seconde, et plus aucun effort de mémoire ne sera requis – le vécu ramènera à la surface ce que nous avons besoin de savoir pile à cet instant. C’est tout le corps qui devient critique, pas que l’esprit. Le texte frémissant nous remet bien en face des apprentissages de la mémoire, ces tissages impeccables du tissu social complet. Avec des témoignages d’êtres qui sont à 100 % à ce qu’ils vivent si ardemment. Que rien ni personne ne peut manipuler. Puisque jamais « spectateurs » des mensonges des autres : en effet, qui parle trop du passé c’est parce qu’il/elle ne l’aura pas vécu lorsqu’il le fallait. Les êtres naturels (surtout pas transhumains !) de demain sont déjà à notre portée. Oublions un peu les imposteurs médiatiques de ce jour !

Vivons – dès lors – un descriptif existentiel des réseaux de nerfs…Si tes nerfs sont plus fins qu’ils savent l’être ; plus précisément, si les nerfs sont plus fins qu’ils savent tresser leurs courants, les retourner. Ton corps en est plus ouvert, aéré et il semble que tu pourrais moins souffrir. Que 80 % des douleurs viennent du superflu égo et de son égoïsme plus que contre productif. Une survivance vraiment trop ridicule…Affine tes nerfs et tu seras beau car bon.

Puisque ton corps reste la preuve que tu sais donner. Et avec style. Ceci ne veut pas, aussi, dire que j’ai pu vivre l’expression accomplie de ce que je dis – mais, bien plutôt, que j’en ai vécu sans arrêts le chemin qui y conduit…Le sensible a du sens. Il les a même tous. Il semble donc que la sensibilité soit donnée par les sens, qui savent jouer du tambour avec le cerveau. L’insensé serait-il, dans ce contexte bien recadré, l’insensible, l’insensé ?

Prends un billet. Il n’y avait que des regards doux et confiants. Aussitôt, c’est la méfiance et l’angoisse. Car il n’en restera plus rien, trop bientôt, du si communicatif, du merveilleux spontané qui change tout à la seconde. C’est une petite mort comme est appelée ton extase humaine. Comment découper les objets à posséder sur le symbole ironique fragile du fric : tu sens que l’on dépèce ta corporalité, sa fonction même ? Le fric est descendu bien trop bas…eh bien à bas ce fric-là ! Le fric n’est plus qu’atrocement régressif, il va le ramener aux cavernes…Puisque, après les pillages, il ne resterait aux bourgeois (qui demeurent toujours les mêmes, les mal nés des villes totalement dénaturalisés, abstraits, tics tics de partout – le corps sans « mouvement », plus rien qui ne le mouvemente !), après les pillages, que le pillage du corps. Écarquille les yeux après les avoir fermé ; salive-toi la vision de ta chair découpée et, si ton cœur n’est pas encore broyé – choisis enfin, choisis – car il a ÉTÉ trop tard !- La plénitude de l’être demeure dans la mémoire des grands maîtres de leurs propres vies.

Depuis - Tant et tant d’élans élancés. Se lancer à fond dans un élan. Un élan a donc bien été lancé ? Qui en fut le/la lanceur (se) d’origine ? Le silence répond seul…c’est que peu de sincérité admettait, au départ, que c’était bien lui, malgré lui et qu’il n’en voulait pas particulièrement de cette paternité. Manque de sincérité d’origine, l’Histoire véridique ne peut s’écrire. En demeure la vive mémoire…

L‘enfance c’est toi, toujours. La rejeter, tu le dois, mais seulement de sa forme soumise, sans défense ou juste mal intériorisée, dégradée par le minéral vieillard. Ceci c’est le passé, l’asphyxiant, la passivité de glace. Dés lors, projette-toi en flammes, tout au contraire, dans le sang de ton présent. Projettes toi l’enfance – c’est tout toi. Comme Orphée, ne te retournes pas, la glace de l’enfer te reprendrait. Il fait chaud lorsque tu tournes au rythme de la terre présente.

……………………………Le soleil y demeure si nourrissant !

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Tous ces lancers lancinants mais comme inaudibles ? Tous ces élans sans suite ? Tous ces feux qui ne nous laissent même pas de cendres ? Tous ces gaspillages insensés de notre être ? Pourquoi pourquoi ?

« Habitué à accepter sans passion l’information, à l’organiser comme les pièces d’un puzzle, jusqu’à ce qu’un dessin émergeât. Il ne se souciait même pas d’enregistrer ce que le savant lui disait. Il faisait confiance à son entraînement pour sélectionner et ne garder que les points les plus importants (p. 194 – John Brunner – tous à Zanzibar, tome 2, 1972). » Grave erreur. Grave erreur, pourquoi donc ? « Dans notre société mécanique, on a trop tendance à faire confiance aux spécialistes. Mais se spécialiser, c’est aussi ignorer. Il y a des faits qui ont la tête dure. (ibidem) » Le spécialiste sans culture générale, atrophié de vécu, rendu trop insensible au global, châtré de son humanité devient, ainsi, dangereux et toxique, non par ce qu’il sait…mais par tout ce qu’il ne sait pas. Et qui peut s’avérer très vaste. Son analphabétisme existentiel et émotionnel dû à sa trop mince et trop piétinée tranche de savoir – même pas intégrée logiquement dans un corps de savoirs bien plus grand. Un peu comme s’il demeurait un puceau du savoir, si maladroit et inexpérimenté dès qu’il quitte son trop minuscule lopin.

Ce pourquoi, en général, nous ratons toutes les relations de cause à effet. Bien trop univoque, unilatérale, simpliste : une cause- un effet et non de multiples causes- un effet qui synthétise toutes les gigantesques con-Séquences…Toutes ces séquences à décrire et expliquer sans en omettre aucune…Alors que nous titille le mot co-Incidences, de coïncidence, qui nous conseille tant de penser et ressentir bien plus grand, plus multifactoriels, plus universels, plus toute l’Humanité, plus inclueurs, plus d’accueils partout ouverts. Mais que le poids des si mauvaises habitudes sociales nous cloitre dans un fonctionnement sans culture ni raffinement. De vraies brutes non dégrossies… Ainsi, trop inhumain sera le spécialiste qui nous traite en machines, nous assène que notre cerveau est ordinateur et rien, d’autre- et autres barbaries sans issue. Ce pourquoi – alors que nous élans nous appellent, nous poussent et nous conduisent – nous ne savons pas ( lorsque enfermés dans une éducation si peu concrète) quoi en faire et comment les faire galoper à l’unisson ? Alors que le mot émouvoir ne parle que de mouvoir, de se bouger, de se mouvementer en mouvement mondial, nous méconnaissons complètement les élans dans leurs facultés de déplacements, de transformations, de changements, oui de mutations par métaphores. Nous nous cantonnons, non fertiles et non acteurs, dans des élans intempestifs et extrémistes.

« -- Pourquoi ? – Cela restreint le patrimoine génétique. Si nous prétendons être l’espèce dominante sur ce globe de boue, cette prétention repose sur le fait que nous avons le plus vaste patrimoine génétique de tout le règne animal et végétal. Nous pouvons nous croiser d’un pôle à l’autre. Et c’est cette possibilité de multiplier nos contacts génétiques qui nous permet d’affirmer notre suprématie sur d’autres créatures, infiniment plus nombreuses que nous, comme les fourmis et les nématodes (p. 125 – ibidem). » Ce qui signifie ? Que les racismes sont surtout un inexcusable analphabétisme. Une connerie d’ignorants…Genre d’insulter les autres prétendues races de rendre l’espèce humaine la plus riche et diversifiée de la création. Sans ces prétendues races nous vivrions dans une pauvreté génétique qui nous anémierait trop stupidement. Le trésor gigantesque piteusement piétiné par les analphabètes racistes ? Si incapables d’apprécier le vrai beau et qui se haussent du gosier à se prétendre les authentiques, oui les authentiques du toc surtout… Que nous avons le plus vaste patrimoine génétique de tout le règne animal et végétal réuni. Le plus vaste oui à la seule condition que nous en ayons pleinement conscience… Que nous avons tellement plus de chances que toutes les autres êtres vivants et que d’insulter cette chance n’est certainement pas l’attitude rationnelle adulte et ne peut mériter le plus infime milligramme d’admiration. Surtout pas. Non, mais bien une grande indignation de voir que ce sont toujours les cœurs médiocres qui polluent toute l’ambiance collective. Les différences humaines sont les PREUVES flagrantes de notre grande richesse collective. Si nous écoutions ces égarés et vivrions à part, séparés, nous vivrions comme des miséreux génétiques. Cœurs pauvres égalent des sociabilités en bernes. Puisque – ceci touche au fond du débat – nous connaissons les cœurs par leurs… élans ! Pas d’élans pas de cœurs. Des élans éparpillés et insensés : un cœur qui se fuit lui-même. Et ne veut pas se planter, prendre racine afin de commencer sa…maturation ! Celle-là même qui permet de transmettre et de rendre de grands services aux autres…avares donc ces régressifs racistes, avares comme des avaries !

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Élan palan, élan que d’impulsion, d’entrainement mais vers quoi, l’entrainement ? Élan tel l’accès, le mouvement et le transport de ce mouvement même. Il y a bien cette grande positivité qui joint s’élance et s’élève. La pétulance qui se lance, la rutilance et sa fougue, etc. oui mais c’est à chaque fois pareil – les descriptions flamboient mais les résultats demeurent tant en deçà de l’imaginable. C’est organisé sur le papier et trop désorganisé dans la vie. Et le mystère n’est qu’à peine entamé…

Qui ne vit pas tous ses élans de toute sa mémoire n’en garde rien du tout. L’imbécillité contente d’elle, qui ose désigner d’autres comme des cons alors que la flagrance de leurs conneries les ridiculise en plein jour. Tant de gaspillages si irrespectueux des autres place ces faix jetons du côté des…capitalistes. Ces personnages trop incultes et qui refusent, loufoquement, d’APPRENDRE. Oui on fait semblant de contester et on renforce dru le système, en fait. On se dit antisystème et on ne cesse de se prouver trop pro-système. Qui ne se construit pas par ses élans (ces messages de l’émouvoir mouvoir) n’a aucun respect effectif des autres. Exactement comme les monstres capitalistes à qui elle/il ressemblent trop.

Et donc ? Le scandale qu’il n’y ait pas de mouvement mouvementé mondial vient de ces êtres que de passivités. Qui ne parlent que du passé, parce qu’elle/il ne l’ont pas vécu lorsqu’il fallait le vivre. Et le font…payer si injustement aux autres : quels malappris ! Oui, très exactement des mal appris ! Nous avons beaucoup parlé à notre splendide témoin qui a entièrement et naturellement construit sa vie par la présence exigeante de l’instinct, de la sagesse animale et végétale en lui. Mais qui accueilli aussi toute la Raison humaine, etc. Ses pulsions et élans lui sont, ainsi, des sources d’informations étonnantes. Il n’oublie rien d’aucun de ses élans qui, tous, continuent de galoper en lui, comme à l’âge de leurs premiers pas. Ce pourquoi chaque jour lui ajoute une immensité de plus. Oui chaque jour lui est gigantesque. Un réel gigantesque. Un univers entier. Son univers intérieur est véritablement à la taille de tout l’univers…que déraisonnables, à côté, les piteuses télévisions gavées de mensonges irrespirables…bien trop petites pour être honnêtes !

Chaque jour lui mouvemente la vie. Oui parce qu’il est déjà à 100 % dans le MOUVEMENT.

Le mouvement de la vie et du futur…le mouvement nommé N.R.V.

N.R.V. ? Parce que personne ne l’a inventé ce mouvement et donc que ne nous pourrons pas nous ensabler dans le passé des…successions.

Noir Rouge Vert c’est la plus grande majorité mondiale possible. Qui ne le comprend pas n’a absolument pas de cœur, absolument aucun respect pour autrui..

Et ses élans ensablés ne gardent mémoire que de son vide existentiel :

……………………………ce sont des élans ratés, des élans manqués !

 

…………….(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

pulsions peintes...

pulsions peintes...

sculpture pulsive...

sculpture pulsive...

curseur d'élans

curseur d'élans

Élans lancés ?
mesures d’élans lancés…

mesures d’élans lancés…

nous ne sommes pas des circuits...à bas tout réductionnisme...

nous ne sommes pas des circuits...à bas tout réductionnisme...

une vie qui n'oublie jamais l'essentiel...

une vie qui n'oublie jamais l'essentiel...

élans ensablés...

élans ensablés...

Élans lancés ?
Élans lancés ?
juste avant les pulsions...

juste avant les pulsions...

Élans lancés ?
élans ensembles...

élans ensembles...

Élans lancés ?
bien évidemment que non sinon nous resterions des puceaux de la vie à vie…c’est de leur plénitude centrée sur un but dont il est question…non de leurs gaspillages antisociaux capitalistes – ce niveau zéro des sensibilités ouvertes…

bien évidemment que non sinon nous resterions des puceaux de la vie à vie…c’est de leur plénitude centrée sur un but dont il est question…non de leurs gaspillages antisociaux capitalistes – ce niveau zéro des sensibilités ouvertes…

Ce qui devrait nourrir une mémoire vivante ne reste que sur le papier infertile - fort heureusement, pas pour tous les humains. Seulement pour une majorité égarée...

Ce qui devrait nourrir une mémoire vivante ne reste que sur le papier infertile - fort heureusement, pas pour tous les humains. Seulement pour une majorité égarée...

avion guidé et alimenté par la seule impulsion du...soleil

un élan très traçable

tout sera bien qui se finit bien...

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