Sculpteuse de cheveux ?
Cheveux veux, je veux cheveux…oui chevaux de cheveux qui galopent au-dessus des têtes ? Le rapport main-cheveux est si évident qu’il paraît bien anormal que l’activité de « sculpteuse de cheveux » n’existât pas encore. Voici qui est amplement réparé. Et vraiment très trés bien réparé…
« Découvrons l'époustouflant travail de Laetitia Ky qui se sert de sa chevelure comme d’une œuvre d’art pour nous faire découvrir son âme d’artiste à part entière !
Laetitia Ky est jeune créatrice de mode, captivée par l’art, la mode et… les cheveux ! D’origine ivoirienne, elle est passionnée par l’art africain. Bouillonnante d’idées, elle n’hésite pas à exprimer sa créativité en dessinant mais également en sculptant ses cheveux !
La jeune femme de 21 ans se sert de sa longue chevelure pour lui donner des formes originales et ainsi laisser libre court à son imagination. ».... Et libére tout autant la nôtre. Soutenons ces actes d’émancipations collectives. Nous menons véritablement le futur du monde et…ça se voit !
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Est-il possible d'un peu mieux la connaître ? Suffit de demander ! Son entrevue ( ex-interview, entre les vues, inter-views…) va suivre ….« L’univers créatif et audacieux de Laetitia Ky ne passe pas inaperçu sur les réseaux sociaux. A 21 ans, cette jeune ivoirienne fan de mode et d’art ne manque pas de talent. A la fois féministe, Afropunk et dotée d’une imagination sans fin, elle dévoile ses créations toujours plus surprenantes les unes que les autres. Titillée par ma curiosité, j’ai souhaité l’interviewer pour en savoir plus.
En quelques mots, qui êtes-vous Laetitia Ky ?
J’ai 21 ans, je suis Ivoirienne, moitié maoka moitié baoulé et je vis à Abidjan. Après mon Bac, je suis allée l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny pour suivre des études de commerce et administration des entreprises. J’y ai passé trois années, ce qui équivaut à une licence. Je n’ai pas continué, car j’ai eu envie de travailler dans l’art et la mode, activités auxquelles je consacre désormais mon temps. J’ai des petits projets qui commencent à prendre forme, d’où la création de ma page Facebook.
L'univers-créatif-pop-de-Laetitia-Ky (l'entrevue)
Comment votre amour pour la mode et l’art est-il né ?
Depuis toute petite, je suis créative. J’ai commencé par habiller et maquiller mes poupées. J’ai eu mon bac assez jeune. Puis mes parents m’ont poussé à faire quelque chose de bien particulier. [[ah, lorsque les parents sont anticonformistes…quel cadeau de vie !]]… L’école dans laquelle je suis partie est censée être la meilleure de Côte d’Ivoire. L’admission se passe sur concours et très peu sont admis. Pour eux c’était une fierté que je puisse y aller, d’où mon passage dans cet institut. Mais j’ai toujours apprécié ce qui est en rapport avec la mode et l’art.
On peut dire que je suis une Afropunk. Mais ce n’est pas uniquement lié à un look. Pour moi, c’est aussi un état d’esprit qui conduit à la tolérance, à l’acceptation des différences des autres, des variétés de modes de vie.
Je peux dire que mes idées naissent de partout. Je n’ai pas une source d’inspiration fixe. Ca peut être une personne ou entendre quelque chose, voir une image. Généralement quand j’essaye de réfléchir, de penser fortement pour trouver une idée, ça ne vient pas. Mon inspiration vient comme un flash.
Après, il y a des tas de personnes qui m’inspirent. Ma plus grande inspiration dans la mode c’est Jean-Paul Gauthier. C’est un Dieu pour moi. Il fait la différence. Mais je ne m’identifie à personne en particulier.
Généralement, une blogueuse mode présente des looks. De mon côté, ça sera complètement différent. Ca va plutôt ressembler à un blog de marque qui se centrera sur mes créations. Au départ, je croyais que les réseaux sociaux seraient différents. Je me dis que ça pourrait être supprimé. C’est pour ça que je voudrais mettre ce blog.
C’est effectivement un vrai levier. C’est impressionnant comment ils permettent de créer des contacts. Ca peut d’ailleurs être un levier pour tous ceux qui ont envie de se faire connaître quelque part.
Il y a des réactions très différentes des gens. Ici en Afrique, on est très conventionnel dans tout, dans la façon de s’habiller, de marcher, etc. Ici j’ai eu certaines remarques désobligeantes, mais ce n’est pas mon quotidien. J’ai globalement de bons retours. »
C’est au ras du quotidien, que nous percevons comment des personnalités indomptables se sortent des découragements collectifs et des mauvaises fois qui vont avec. Ces salopards, qui se déguisent, sournoisement, en «passe-partout» ne peuvent plus, alors, vous niquer votre joie de vivre. En gros, ils/ elles ne sont plus dans le coup. Le coup ? Ou beaux coups de coups beaucoup vont survenir…
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>>>>>> ** Le wax est devenu l’accessoire favori de l’Ivoirienne Laetitia Ky pour ses coiffures.
Lifestyle-comment-transformer-la-coiffure-en-oeuvres-d'art ?
« Du haut de ses 21 ans, Laetitia Ky a un véritable esprit créatif. Sur son compte Instagram, cette passionnée de mode et d’art, a fait de ses expérimentations capillaires une véritable plateforme pour exposer son talent. Ces auto-portraits originaux la montre, le regard droit devant l’objectif, arborer des coiffures sculptés et symboliques. Ici la carte de l’Afrique, là une croix ansée ou encore des plantes ou des oreilles de lapin, ses tresses portent toutes les formes possibles et imaginables. Mais c’est surtout son utilisation du tissu wax qui fait fureur. »
…..………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Laetitia Ky, une jeune ivoirienne de 21 ans, a décidé de sculpter ses cheveux pour faire passer des messages féministes
AFROPUNK FESTIVAL: C'est l'histoire de 50 gamins de Brooklyn qui décident de se réunir au début des années 2000 pour prendre la place qu'on ne veut pas leur donner. Porte-drapeaux de la culture afro américaine, issus des mondes de la musique, de la mode, de la photographie, des sports urbains ou même de la restauration, ces Millenials abattent les murs qui les cloisonnent pour créer des passerelles entre leurs multiples origines afin d'écrire leur histoire commune et conjuguer au présent la pop culture de demain. Rejoints au fil des années par une armada de fans et d'artistes, en herbe ou confirmés, inconnus ou légendaires, venant du monde entier et qui regardent tous dans la même direction, le mouvement prend de l'ampleur : ils seront 90.000 cette année, à Brooklyn et à Atlanta.
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