Abandonner l’utopie d’une nature asservie par l’humanité ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Abandonner l’utopie d’une nature asservie par l’humanité ?

Les fondements du capitalisme sont enfin dévoilés : complètement farfelus. Ce qui remet en cause son sens irrationnel de sa propriété entière de la nature. Dont il avait, trop étourdi, exclu l’usage qui en est fait. Or, c’est la nature qui nous possède et non l’inverse. Si nous ne suivons pas ses règles nous la…détruisons en notre défaveur très polluée. Aussi simple que cela ! Le capitaliste est donc ce fou intégral qui « ne vit pas » dans la nature, et où vit-il, alors, dans un lieu si extraterrestre ? Sur l’île déserte de sa « supériorité » (sic) par essence divine ? Pas très clairs ses bafouillages…Oui. Impossible de vivre HORS de l’environnement, l’environnement n’existe vraiment pas (sauf pour les aliénés !) – c’est exactement la même vie que la notre qui le traverse. Parler d’environnement comme éloigné et étranger c’est comme se couper les 2 bras – nous ne pouvons pas vivre sans l’environnement… qui ne nous environne pas : il est déjà dedans nous ! De ne pas comprendre ceci : c’est là toute la folie libérale, partout étalée désormais…

Capitalisme ? La nature c’est un hangar inerte voué à ses lubies. Mais qui lui a offert ce hangar si inerte ? Les extraterrestres bien sûr et qui d’autres ? Vu sa supériorité dans…l’escroquerie ! Par exemple, pour l’agriculture vivante, il tourne le dos à tous les grands penseurs, aux philosophes mêmes. Pour ce cancre permanent, gavé d’émeutes mentales, la nature n’est que le réceptacle abruti de substances issues de la chimie industrielle, les engrais et les biocides. Pas très réfléchi : une merveille grandiose telle que la nature n’existe « que » pour les mesquineries menteuses du « tout pour moi et rien pour les autres » (définition du capitalisme en 1750, par Adam Smith, le soi-disant fondateur du capitalisme. Alors qu’il aura été son ennemi clair et net. Plus qu’étrange qu’aucun grand esprit n’aura « inventé  le capitalisme » sordide ? Il n’aura eu que les esprits les plus nuls à son service : suffit de voir les résultats, pour en être convaincu (e) !).

Alors soudaine défaite des maîtres et possesseurs de la nature – si incapables d’affronter les conséquences propres de leurs actes ? Traitant la nature avec une telle violence et insensibilité que ces deux régressions, prises la main dans le sac, ne peuvent être celle de véridiques maîtres et possesseurs de quoi que ce soit. Juste de trop balourds barbares incultes…Dont l’exemple le plus pitoyable est bien le capitaliste (cet adorateur mono-obsessionnel de l’argent : il ne croit qu’en lui -  guère étonnant qu’il le voit partout, comme un fantôme invivable. Ce n’est, là, que le symptôme de sa maniaquerie maladive et pas de sa pertinence historique !). Cet utopiste complètement irréaliste refuse toujours d’admettre qu’il ne vit que de graves illusions – puisque toujours aux détriments des autres humains !

Ces résultats soudains seraient surgis de nulle part ? Surtout. C’est tout ce que le benêt libéral aura censuré qui triomphe…Voyons tous nos livres, parmi d’autres aussi, toujours à la pointe des débats exigeants. Et pétris de l’idée centrale que l’intelligence et la sensibilité vont démantibuler l’absurdité libérale. Et ce malgré la médiocratie (le rôle désastreux des classes moyennes qui ne pensent que contre elles – représentant la plus grave pollution de la noosphère jamais vue !). Oui, pendant que trop de nos contemporains perdaient leurs vies enchaînées à n’être « que » consommateurs de vides – nous nagions dans le « cerveau sensualisé » où chaque pensée est, aussi, sensation. Il le fallait afin d’écraser définitivement le visage de mort du capitalisme fou ! Dans ces conditions, nous pouvons donc dire que la victoire d’aujourd’hui (l’implosion du capitalisme qui reposait surtout sur la folie du « maître et possesseur de la nature » - cette si toxique inhumanité en marche !) est, tout d’abord, la nôtre. Sans ces slogans martelés, le capitaliste hébété ne peut plus cacher qui il est : juste une brute ! Parcourons tout son faciès…

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 « L’agriculture industrielle et l’industrie chimique réincarnent, respectivement, Faust et Méphistophélès : Faust a sacrifié son âme, l’agriculture industrielle sacrifie la santé d’êtres vivants et l’intégrité de la nature. Comment en est-on arrivé là ?

Le sol fertile est un écosystème extraordinairement riche de composantes minérales, végétales et animales, et d’interactions entre elles. D’Aristote qui rendait notamment hommage aux vers de terre pour leur travail incessant d’aération du sol et de recyclage de déchets organiques, à Daniel Hillel, agronome et ingénieur inventeur de la micro-irrigation (jusqu’à 80 % d’économie d’eau d’irrigation) et auteur de Soil in the Environment (synthèse la plus achevée des rapports entre sol, cultures et environnement), une longue lignée de scientifiques et de praticiens ont mis en évidence l’importance pour la santé et les rendements des cultures de l’insertion harmonieuse de celles-ci dans le « système » sol.

Pour-une-agroécologie-à-la-fois-plus-efficace-et-plus-équitable-que-le-désastreux-modèle-industriel

A tout cela l’agriculture industrielle tourne le dos. Le sol n’y est plus pour l’essentiel qu’un réceptacle de substances issues de la chimie industrielle, engrais et biocides. Certes les plantes ont besoin d’éléments nutritifs, en particulier l’azote. Mais l’excès du bon est mauvais. Aux États-Unis et en Europe, les agriculteurs apportent en moyenne 200 à 250 kilos par hectare et par an d’engrais azotés, dont 20 % à 30 % seulement sont absorbés par les plantes.

Le danger des biocides : L’excès d’apports est encore plus élevé en Chine, où les agriculteurs restent persuadés que les rendements sont proportionnels aux apports d’azote. Les quantités en excès ne sont pas seulement gaspillées, elles polluent sévèrement l’eau et l’air, contribuent à l’effet de serre par émission d’un gaz, l’oxyde nitreux, dont chaque molécule a la même action que 300 molécules de CO2. En outre les résidus d’engrais dans le sol engendrent des réactions chimiques qui le dégradent au point de le tuer, à moyenne échéance. »


Donc le capitalisme de la bêtise quantitative, de l’argent sait tout et sans réfléchir – sa bestialité inculte qui écrase tout bon sens et toute démonstration rationnelle est définitivement VAINCU ? Cette pitrerie grotesque aura presque détruit la Nature et la vie afin de démontrer que qui a la vulgarité de cœur ne SAIT PAS penser. Toutes ses injustices, ses abus de propriétés et sa mégalomanie luciférienne, son unilatéralité permanente –( à moi toutes les dérégulations et je sur-réglemente, anti-symétriquement, les autres…voir le désastre social de ces rapports au travail des…autres, qui le déconsidère tant !), etc. oui tous ses comportements profondément barbares lui sont, désormais, à charge. Il est accusé et accusé de ce qu’il aura fait sans aucun droit de le faire, sans aucune légalité ni légitimité, sans appui d’aucune science véridique. C’est le savoir et l’intelligence qui mettent fin au libéralisme d’arriération évidente !

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Abandonner l’utopie d’une nature asservie par l’humanité ? La pire utopie de tous les temps ? Oui le capitalisme fou et sans limites (pour son aliénation…) reste le vrai « utopiste » (au sens négatif qu’il donne à ce mot). Il demeure irrationnel, égaré dans ses rêvasseries de puissances genre qui peut peu, complètement hors du concret et fuyant…toutes les conséquences de ses graves bévues ! C’est lui le « rêveur » (au sens négatif qu’il donne à ce mot) et tous ceux/celles qui réussissent à le stopper sont les grands « réalistes ». Les véritables adultes de la planète. Le libéraliser semble bien une régression vers l’infantilisme le plus débridé. Rien de sérieux en lui. Il n’aura jamais, même une seconde, été sérieux !

Le fait qu’il demeure le dernier à se croire maître et possesseur de la Nature le déconsidère définitivement. Ce ne sont plus que délires qui virent aux cauchemars –et nous devons protéger la société de ses lubies si infondées. C’est un malade devenu dangereux.

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« Moustiques modifiés, transformations du vivant, manipulations génétiques… Les progrès des biotechnologies nous donnent un sentiment de toute-puissance. Et c’est la nature qui en fait les frais. Ne serait-il pas temps de se poser les bonnes questions ?

 

Les menaces sur les écosystèmes et le climat forcent à changer de cap. Dans son dernier rapport intitulé « Biodiversité et santé : nouvelles relations de l’humanité avec le vivant ? », le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et la santé (CCNE) demande de « repenser notre rapport au monde vivant ». Il s’agit d'en réapprendre le sens des limites, celles de notre « pouvoir » à transformer et posséder le vivant. Alors que la question de la croissance est centrale, les réponses apportées par les diverses parties doivent faire l’objet d’un regard moins dominateur et plus solidaire pour repenser le progrès et améliorer le bien-être dans un monde limité, mais divers. De manière concomitante, le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) publie son avis relatif à l’utilisation de moustiques génétiquement modifiés. Des cadres qui semblent bien fragiles à l’épreuve des logiques économiques…

 

« La conscience du danger nous rend-elle sages ? Force est de constater que les « Sages » du Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et la santé (CCNE) n’ont jamais été aussi lucides ! Il nous faut « abandonner l’utopie d’une nature asservie par l’humanité » martèle leur dernier rapport consacré à Biodiversité et santé, assumé par onze auteurs des plus divers : l’avocat Jean-Pierre Mignard, le philosophe engagé Abdennour Bidar, le pédiatre Alain Grimfeld… C’est un appel à la responsabilité de chacun pour « éviter de laisser aux générations futures une Terre moins propice à l'humanité qu'elle ne l'est aujourd'hui ».

 

Affaire de survie véritablement. « 20 % de l’humanité contrôlent, gèrent et consomment 80 % des ressources [[et démontrent, par son manque permanent d’autolimitation et de d’autocontrôle son ABSENCE de compétences en ce domaine]], alors qu’une partie importante des populations n’a pas accès à la nourriture, à l’eau potable et aux soins ».

 

Affaire de solidarité obligée aussi qui touche la santé de tous. « La rapidité de disparition de certaines espèces ou la menace pesant sur elles constitue un révélateur des atteintes que nous provoquons [[ces 20 %]] en termes de dégradation de l’environnement et leurs conséquences en matière de santé humaine ». 

LIRE DANS UP’ : La perte de biodiversité entrainerait une augmentation de la transmission des virus et bactéries pathogènes

On assiste à une fragilisation des plus précaires puisque, selon l’OMS, « 80% de la population mondiale dépendent des remèdes traditionnels issus d'espèces sauvages ». [[ces 20 % de « nantis antis » détruisent, plus qu’inconsciemment et se montrent incapables de rien mettre à la place. Dans son système de désorganisation permanente, la « destruction créatrice » n’existe évidemment pas – il n’y a que destruction. ]].

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A quoi bon de telles déclarations, me direz vous ! Certes les alertes et tentatives pour changer nos systèmes de production ont été légion depuis les années 80… Qui se souvient notamment de l’initiative de Nicolas Hulot (avec le biologiste moléculaire aujourd’hui décédé, André Adoutte) pour mettre en place un « Comité d’éthique de l’environnement » ? C’était en 1997, il y a 20 ans.

 

Aujourd’hui le « défenseur de la planète » est aux manettes. Et les reconfigurations politiques et économiques se multiplient, bientôt à marche forcée. Les transitions diverses sont en train de « faire système ». Si elles ont une longueur d’avance dans l’agriculture (voire la poussée de l’agriculture biologique ou de l’agroécologie) et le domaine de l’énergie, elles n’ont pas encore vraiment percolé le monde de la santé. Pourtant, les constats sont dramatiques rappelle le rapport du CCNE : «L’OMS indique que la pollution de l’air provoque à elle seule la mort prématurée de 8 millions de personnes, par an, dans le monde. La moitié de ces décès est liée à la pollution de l’air extérieur, et l’autre moitié, principalement dans les pays pauvres, à la pollution de l’intérieur des habitations par l’usage domestique d’énergies fossiles ».

LIRE DANS UP’ : Pollution : nos enfants nous accuseront !

Le CCNE veut promouvoir une approche écosystémique de la santé, indispensable face à la mondialisation des risques sanitaires. « L’usage inapproprié ou abusif des antibiotiques en santé humaine et animale peut déséquilibrer les écosystèmes bactériens dans l’environnement, à commencer par le microbiote intestinal humain ». Cet usage inapproprié, minorant les capacités évolutives du vivant, conduit à des impasses thérapeutiques redoutables. Afin de surmonter les limites des approches conventionnelles sur les maladies infectieuses, un nouveau concept, dénommé « One Health /Une seule santé», visant à renforcer les liens entre santé humaine, santé animale et gestion de l’environnement, s’est développé. Cette nouvelle approche de la santé, fondée sur une collaboration intersectorielle et interdisciplinaire, est encouragée par le gouvernement français.

LIRE DANS UP' : Révision des lois de bioéthique en 2018 : pas sans les citoyens !

Mais le rapport se montre percutant quand il entend réviser la notion de progrès [[un prétendu progrès qui n’est que perturbations, catastrophes écologiques, incultures dans tous les domaines et conséquences désastreuses sur la vie naturelle et humaine n’a que le visage de la Régression, du dé-progrès, c’est un monde vraiment à l’envers !]] : « La notion de progrès jusqu’ici assimilée à une maîtrise croissante [[où cela ?]] du vivant se doit d’être questionnée. La mise en œuvre du « principe de précaution » ou de la «compensation écologique » fait souvent l’économie d’une réflexion sur la dynamique des processus naturels et l’intérêt à moyen et long terme d’une démarche de coévolution limitant l’altération de ces processus ». 

 

Les rapporteurs insistent : « Le développement de l’humanité ne peut se faire au prix de perturbations mettant en cause les capacités d’adaptation et d’évolution des écosystèmes et des espèces. Il doit privilégier le concept de sa coévolution avec le vivant ». On reconnaît ici la pensée développée par la philosophe Cynthia Fleury notamment dans le livre collectif qu’elle a coordonné avec Anne-Caroline Prévot "Le souci de la nature". Un effort pour dire combien l’expérience de nature (relation et non connexion) peut transformer les politiques publiques.

 

Il s’agit là de considérer les conditions de vies des organismes dont le potentiel est totalement dépendant de leurs insertions. Bernard Chevassus-au-Louis et Gilles Pipien racontent cela parfaitement : « Si la description de la biodiversité en termes d’entités constitue une approche légitime […], un individu d’une espèce ne peut exister que s’il tisse, dès sa naissance, de multiples relations avec d’autres individus de son espèce ou d’autres espèces, relations qui vont déterminer à la fois son propre devenir et le rôle qu’il va jouer dans le fonctionnement des écosystèmes : la biodiversité, c’est d’abord une affaire de relations ! » (voir Chevassus-au-Louis B. et Pipien G. (2014). La biodiversité, du « grand inventaire » à la « toile du vivant », Humanité et biodiversité n°1, 15-24.) [[les seules relations dissymétriques du capitalisme semblent bien être toujours la…plus stupide destruction !]].

 

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A propos du progrès, les auteurs soulignent que les dégâts de notre [[enfin d’une minorité irresponsable de « dominants » ! donc « leur pas « notre »…]] mode de développement sont aujourd’hui incontestables car « largement documentés ». Ce qui conduit à de graves menaces. « Approximativement 60% (15 sur 24) des services d'origine écosystémique étudiés dans le cadre de cette évaluation (y compris 70% des services de régulation et services culturels) sont en cours de dégradation ou d’exploitation de manière non rationnelle. [[le capitalisme, fanatisme idéologique n’est plus qu’irrationalités !]].Les services d’origine écosystémique qui ont été dégradés au cours des 50 dernières années incluent la pêche, l'approvisionnement en eau, le traitement des ordures et la désintoxication, la purification d'eau, la protection contre les risques de catastrophe naturelle, la régulation de la qualité de l'air, du climat régional et local, de l'érosion, la plénitude spirituelle, et le plaisir de l’esthétique ».

 

Pour le CCNE, « l’irrespect des obligations des Etats (chartes mondiales de l’ONU concernant tant l’économie financière ou les échanges commerciaux que la santé et la nature) est préoccupant car ces engagements constituent un préalable à toute considération éthique effective de la biodiversité par l’ensemble de l’humanité ». [[il nous faut donc précéder ces Etats trop négligents et fantaisistes dans la prise en compte collective de la priorité de l’écologie sur toute autre solution sociétale !]].

 

Les auteurs tiennent aussi à dénoncer les positions erronées assumées par des collègues scientifiques. Ils rappellent que la communauté scientifique peut à la fois être une pépinière de lanceurs d’alerte sur la fragilité du vivant, mais aussi un creuset de conservateurs, véritables « croyants de la science » et donc incapables de réviser leur conception du progrès. En 1992, à la veille du sommet de Rio, plusieurs centaines de scientifiques ont lancé l’appel d’Heidelberg qui dénonçait « l’émergence d’une idéologie irrationnelle qui s’oppose au progrès scientifique et technique » puis abandonnait l’analyse scientifique et toute prospective en poursuivant que «l’humanité a toujours progressé [[il faut lire…régresser !]] en mettant la nature à son service ». [[prouvant, ainsi, que c’était eux les véridiques ennemis de l’intelligence pour tous et des progrès collectifs. Plutôt peu reluisant !]].

 

On apprit par la suite que la compagnie Philip Morris et des industriels de l’amiante avaient cosigné cet appel. Ce type de collusion n’est pas à mettre aux exceptions du passé… La guerre avec les climatosceptiques continue de faire rage puisqu’elle a permis à Trump de sortir de l’accord de la Cop21. Elle ressurgit aussi très régulièrement dès qu’on évoque les OGM. C’est ainsi que l’on a vu en juillet dernier 100 lauréats du prix Nobel signer une pétition de soutien pour le riz doré contre Greenpeace… » [[être réac’ pour être réac’ a des limites !]]. »

LIRE DANS UP’ :  Greenpeace attaqué par des Nobel. Enquête sur un jeu de dupes

Pouvoir, juste une seconde, voir de tels hurluberlus comme maîtres et possesseurs de la Nature, parait si impossible…que nous les voyons tomber de très haut : pas plus que de si minables mégalomanes irrationnels dopés aux auto-mensonges.

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« En premier lieu, la France rurale ne doit pas être ramenée à un espace nécessairement en perte de vitesse démographique. Les ruralités, dans toute leur diversité géographique, sociale et culturelle, représentent 85 % de la superficie nationale et 27 millions de Français. La vieille grille d’analyse construite autour de la « diagonale du vide » a fait son temps. Aujourd’hui, à quelques exceptions près comme la Haute-Marne ou le Cantal, l’espace rural français est en voie de repeuplement, essentiellement grâce à un solde migratoire positif.

Nous-devons-changer-le-regard-que-nous-portons-sur-nos-campagnes. Et vite !

Les néoruraux [[ces si réalistes !]] sont désormais en majorité de jeunes couples avec des enfants en bas âge, et non plus des retraités comme il y a encore 30 ans. Ce repeuplement par l’installation d’une population jeune a comme conséquence d’augmenter à son tour l’accroissement naturel de ces territoires et donc de favoriser à moyen terme leur revitalisation.

L’agriculture, qu’un aspect : En second lieu, les ruralités ne peuvent pas être pas être résumées à la seule agriculture : 72 % de l’activité économique rurale est aujourd’hui réalisée dans le secteur tertiaire. »

 

Nous nous apercevons, ainsi, que la non-pensée des dominants (qui ne dominent plus rien, sauf pour les médias mercenaires) n’aura été qu’un ramassis de préJugés, qui jugent à l’avance et sans jamais rien savoir. Que c’est la plus grande concentration de fainéants et de d’auto-laxistes de l’effondrement moral, affectif et intellectuel qui se trouvent derrière – jamais vue. Qui ne savent que censurer ce qu’ils ne comprennent pas (plus de 80 % de tout – c’est dire !), que, pour ces immatures, penser c’est s’amuser, c’est vivre dans l’irresponsabilité complète et le narcissisme nauséabond et surtout, que penser c’est ne …pas y penser. Et ne rien penser, en général et cela se voit…ce ne sont que des voyous antisociaux. Quel échec MONUMENTAL. Pour cela - nous devons changer DE REGARD sur absolument toutes leurs…arriérations. Toutes ! Illustration immédiate…
 

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Oui l’énorme scandale de devoir traîner le fardeau des arriérés capitalistes, ces handicapés de la responsabilité et de la compétence véritable – parasites perpétuels et sur-assistés sans honneur, etc. Les preuves hyper actives ? … « Car l’agriculture « bio » paye pour tout le monde. D’abord en production. Victime de l’empoisonnement de la planète, elle doit empêcher les contaminations de polluants des champs qui l’entourent, une lutte de tous les instants. Pour se protéger du vent ou du ruissellement des eaux de surface, les agriculteurs bio plantent des haies ou s’isolent par des bandes de terres en jachère. Ne serait-ce pas à ceux qui polluent de protéger leurs voisins ? Et s’il y a contamination par des traces de produits chimiques, alors les productions sont déclassées, perdent la certification, sont vendues au prix du conventionnel.

Jusqu'à-quand-distribuera-t-on-des-subventions-à-une-agriculture-aux-conséquences-sanitaires-et-environnementales-coûteuses ?

 

Sans subventions, l’agriculture conventionnelle serait morte. [[ce n’est que l’inertie capitaliste qui ne s’agite que pour arracher de l’argent toujours…très immérité !]] Ce modèle fonctionne uniquement grâce aux aides publiques. Alors que pour prouver la non-contamination, l’agriculteur « bio » doit payer les contrôles (huit en moyenne). Les autres n’ont rien à justifier, aucun contrôle. [[ce pourquoi l’agriculture intensive soulève désormais tant de…répulsions !]]. Et, en fin de course, c’est la double peine pour les consommateurs « bio » [[Cqfd !]] : ils payent leurs produits plus chers et financent par leurs impôts la dépollution pour réparer les méfaits d’une agriculture conventionnelle qu’ils ne cautionnent pas. [[ ce qui isole cette agriculture intensive dans la posture d’imposture !]].

 

Modèle intenable : l’agriculture conventionnelle fonctionne uniquement grâce aux aides publiques. Il prétend que lui seul peut nourrir la planète en oubliant qu’il est sous perfusion. Sans cela, ce modèle est mathématiquement intenable. Les prix bas du conventionnel ne sont possibles que grâce aux aides. C’est 9 à 12 milliards d’euros. »

 

A comparer avec ce post du 10 juin 2011

 

http://www.imagiter.fr/article-Les-aides-perverses-à-l'agriculture-intensive-?

 

Ce journal prétendu sérieux et mondial et mondial, en aura mis du temps pour revenir à la réalité – et encore ici ce n’est qu’une opinion avancée qui ne représente pas le staff éditorial…Quel retards irréparables leurs inexcusables préJugés auront pu amonceler !

 

http://www.imagiter.fr/article-Agriculture-intensive-:-que-de-fausses-rentabilités-75833901.html

Serait-ce enfin, le chemin que met fin à la désinformation des sommets par manques de raisonnements exigeants ?

En tout cas, l’épiphénomène si grotesque des « fake news » (ce ne seraient que les pauvres qui commettraient des fake news – et allons donc ! Plus cons, n’est-ce pas ?) aura grandement….accéléré le mouvement de démasquages complets. Qui dit, en tout premier…

…………..aux sommets – il n’y a pas grand monde de SÉRIEUX !

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

commentaire humoristique pour la photo de couverture : et l’homme se fit épouvantail pour épouvanter la nature ?

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et la folie irrationnelle commença.

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que des questions très mal formulées – les orthodoxies ressemblent à de dangereux enfantillages…

que des questions très mal formulées – les orthodoxies ressemblent à de dangereux enfantillages…

Abandonner l’utopie d’une nature asservie par l’humanité ?
Défaite complète des maitres et possesseurs de la nature – incapables d’affronter les propres conséquences de leurs actes ? Traitant la nature avec une telle violence et insensibilité que ces deux régressions ne peuvent être celle de véridiques maitres et possesseurs de quoi que ce soit. Juste de trop balourds barbares incultes…Dont l’exemple le plus pitoyable est bien le capitaliste (cet adorateur mono-obsessionnel de l’argent : il ne croit qu’en lui, guère étonnant qu’il le voit partout. Ce n’est que le symptôme de sa maniaquerie maladive et pas de sa pertinence !).

Défaite complète des maitres et possesseurs de la nature – incapables d’affronter les propres conséquences de leurs actes ? Traitant la nature avec une telle violence et insensibilité que ces deux régressions ne peuvent être celle de véridiques maitres et possesseurs de quoi que ce soit. Juste de trop balourds barbares incultes…Dont l’exemple le plus pitoyable est bien le capitaliste (cet adorateur mono-obsessionnel de l’argent : il ne croit qu’en lui, guère étonnant qu’il le voit partout. Ce n’est que le symptôme de sa maniaquerie maladive et pas de sa pertinence !).

les origines cachées de la trop inadéquate haine capitaliste…l’économie capitaliste étant bien une régression dans tous les domaines !

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Abandonner l’utopie d’une nature asservie par l’humanité ?
Lorsque l’homme devient « esclave » des structures mentales qu’il a lui-même créé, où pourrait-il se dire maitre de quoi que ce soit. ? Maitrise d’abord le contenu de ta tête avant de délirer sur des possessivités (autre sens déviant de maitre). Ce pourquoi nul être cupide ne sera jamais intelligent. Cet être ne peut jamais décider pour personne sans nuire : dont acte !

Lorsque l’homme devient « esclave » des structures mentales qu’il a lui-même créé, où pourrait-il se dire maitre de quoi que ce soit. ? Maitrise d’abord le contenu de ta tête avant de délirer sur des possessivités (autre sens déviant de maitre). Ce pourquoi nul être cupide ne sera jamais intelligent. Cet être ne peut jamais décider pour personne sans nuire : dont acte !

Que des avantages dans le biomimétisme : suivre la nature au lieu de la combattre si inefficacement, puisque lui nuire et la blesser c'est nous nuire et nous blesser !

Que des avantages dans le biomimétisme : suivre la nature au lieu de la combattre si inefficacement, puisque lui nuire et la blesser c'est nous nuire et nous blesser !

Impossible de vivre HORS de l’environnement, l’environnement n’existe vraiment pas – c’est exactement la même vie que la notre qui le traverse. Parler d’environnement comme éloigné et étranger c’est comme se couper les 2 bars – nous ne pouvons pas vivre sans l’environnement… qui ne nous environne pas : il est déjà dedans nous !

Impossible de vivre HORS de l’environnement, l’environnement n’existe vraiment pas – c’est exactement la même vie que la notre qui le traverse. Parler d’environnement comme éloigné et étranger c’est comme se couper les 2 bars – nous ne pouvons pas vivre sans l’environnement… qui ne nous environne pas : il est déjà dedans nous !

Le biocentrisme semble bien plus sérieux et tellement plus sage. Or le biocentrisme est férocement anticapitaliste !

Le biocentrisme semble bien plus sérieux et tellement plus sage. Or le biocentrisme est férocement anticapitaliste !

Emmanuel Delannoy - Maîtres et possesseurs de la nature ? Vraiment ?

Le sens du progrès, question à Cynthia Fleury

Daniel Hillel Wins World Food Prize for Irrigation Work - agronome et ingénieur inventeur de la micro-irrigation (jusqu’à 80 % d’économie d’eau d’irrigation)

Défaite éclatante des maîtres et possesseurs

Ne pas omettre : Quand économie rime avec écologie - Entretien avec Martino Nieddu, directeur du laboratoire d’économie et gestion REGARDS à l’Université de Reims Champagne-Ardenne.

Un nouvel horizon pour les Transitions by ACIDD - ITW Cynthia Fleury, philosophe

Assez partial - Bernard Chevassus-au-Louis, les blocages conformistes à la biodiversité. A prolonger par "L'économique et le vivant" de René Passet, Professeur émérite de Sciences économiques / Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne).

…montrer comment les enjeux écologiques doivent nous faire réinventer TOUTES nos institutions démocratiques.

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